De son ancienne utilisation comme “lieu à penser et d’expérience/ salle de réunion”, le local du 1515 N Gardner street a conservé son esprit créatif. Depuis mi-février, cet espace accueille la Show Gallery, “un lieu inattendu” de 110 m2 destiné aux oeuvres d’artistes internationaux.
Pour donner une seconde vie à cet espace, les propriétaires, le Belge John Gheur et la chanteuse Américaine POE se sont associés à deux “amies d’amis”, l’Allemande Katharina Baron (pour les relations presse) et la Canadienne Margot Ross (à la direction artistique). “Il était important de retourner aux Beaux arts. La qualité et la narration se sont perdus”, déplore John Gheur, qui a fait carrière dans la musique et le design.
Tous les mois, ce collectif invite un artiste choisi “au coup de coeur” par Margot Ross, qui a dirigé une galerie (Pangée) à Montréal, multiplié les expériences à Paris et travaillé pour plusieurs institutions de Los Angeles.
Jusqu’au 12 mai, la galerie ouvre ses portes à “New Mountain”, la nouvelle exposition de Sonja Schenk. Basée à Los Angeles, cette artiste explore le futur paysager de Los Angeles, entre utopie et dystrophie, au travers de onze peintures et deux sculptures. Le lieu a, au préalable, été inauguré avec les oeuvres spirituelles de la Française Loan Chabanol, actrice, mannequin et artiste. Puis, Margot Ross a amené un artiste issu du cinéma, Corran Brownlee, dont les dessins au fusain ont séduit nombre de célébrités telles que Kirsten Dunst ou Keira Knightley.
“Nous voulons laisser les artistes évoluer sur place, qu’il s’en serve comme d’un studio”, défend John Gheur. Pour faire vivre les expositions, le trio ambitionne également d’organiser des “pop-up” événements, tels que des concerts, des dîners et des projections.
“Ce qui nous différencie, c’est la vibe du lieu”, assure Margot Ross. La galerie fait partie d’un ensemble, positionnée entre la boîte de graphisme Signature Creative et le studio d’enregistrement appartenant également à John Gheur, dans cet “ouest secret” de la ville. “Dans ce quartier, il y a une rencontre entre l’art, la mode, la musique, la poésie, le cinéma.”
A Los Angeles, la Show Gallery croit en sa vibe
"La Tortue rouge" vient charmer Austin
Austin se met à l’heure du cinéma français. La “New French Cinema Week”, présentée en partenariat avec UniFrance et le festival Premiers Plans d’Angers, reprend ses droits du 25 au 29 avril à l’AFS Cinema.
Pendant ce festival, les cinéphiles d’Austin sont invités à découvrir des cinéastes francophones pas ou peu distribués aux Etats-Unis. A l’affiche cette année: le très poétique “La Tortue Rouge” (dimanche 29 avril, 1pm). Ce film d’animation de 2016, réalisé par Michaël Dudok de Wit, raconte l’histoire sans aucun dialogue d’un naufragé sur une île déserte qui tombe amoureux d’une tortue transformée en femme. Une oeuvre magique, qui plaira aussi bien aux petits qu’aux grands enfants.
Le reste du programme:
- “Petit Paysan” (mercredi 25 avril, 8pm): ce film multi-césarisé met en scène l’inquiétude d’un fermier confronté à l’apparition de la maladie de la vache folle dans son cheptel
- “Montparnasse Bienvenüe” (jeudi 26 avril, 7pm): une comédie sur la fin d’une histoire amoureuse. Réalisée par Léonor Serraille et une équipe créative quasi-entièrement féminine. La compositrice sera présente.
- “The Correspondence Project” (jeudi 26 avril, 9:30pm): projection et concert autour d’une initiative d’échange culturel entre des cinéastes et des musiciens d’Angers et Austin.
- “Custody” (vendredi 27 avril, 7:30pm): distingué au festival du film de Venise, ce film de Xavier Legrand avec Léa Drucker évoque le combat d’un couple pour la garde de leur enfant.
- New French Cinema Week Shorts (samedi 28 avril, 1pm): séries de films courts par des réalisateurs francophones.
- “Chez nous” (samedi 28 avril, 4pm): le réalisateur Lucas Belvaux examine la montée du Front National.
- “En attendant les hirondelles” (samedi 28 avril, 7pm): une ode à l’Algérie et ses paysages. Avec la participation du réalisateur Karim Moussaoui.
- “La Tortue Rouge” (dimanche 29 avril, 1pm): voir ci-dessus
- “Félicité” (dimanche 29 avril, 5pm): une chanteuse congolaise est prête à tout pour payer les factures médicales de son fils hospitalisé dans ce film d’Alain Gomis.
"Macron a plus à gagner que Trump de cette visite d'Etat"
Emmanuel Macron arrive à Washington lundi 23 avril pour une visite d’Etat de trois jours, marquée par un discours devant le Congrès. C’est la première fois que Donald Trump accorde à un chef d’Etat ou de gouvernement les honneurs de cet événement très cérémonial, destiné à mettre en valeur l’amitié entre deux pays. Au-delà du symbole, quelles sont les implications politiques de ce déplacement ? L’analyse de Charles Kupchan, expert au Council on Foreign Relations (CFR) et professeur à Georgetown University.
French Morning: Quel intérêt Donald Trump trouve-t-il à inviter Emmanuel Macron en visite d’Etat ?
Charles Kupchan: Il voit en Emmanuel Macron son meilleur interlocuteur européen et lui rend la pareille de l’invitation du 14-Juillet en France. Les relations de Trump avec les leaders étrangers, notamment européens, sont assez mouvementées. Mais Macron s’est démené pour créer de bonnes relations avec lui, tout en restant ferme sur des sujets comme le nucléaire iranien ou l’Accord de Paris sur le climat. Il fait de son mieux, en étant conscient que tourner le dos à Donald Trump pourrait avoir des conséquences encore plus mauvaises.
Politiquement, cette visite peut aller dans les deux sens pour Macron. D’un côté, Trump n’est pas une personnalité populaire en France ou en Europe. Mais de l’autre, le président français a l’occasion de se montrer présidentiel. On lui accorde un honneur spécial. Même s’il sera critiqué, cela sera contrebalancé par la perspective de gains politiques dans son effort de rendre à la France un rôle plus visible et actif sur la scène internationale.
A-t-il plus à gagner que Trump de cette visite ?
Il a plus à gagner dans le sens où cette visite sera plus suivie en France qu’aux Etats-Unis. La plupart des Américains ne sauront pas qu’il est là et n’écouteront pas son discours au Congrès. Mais à l’inverse, les médias français la suivront de près. C’est aussi un moment crucial dans sa présidence. Macron essaie toujours de se prouver. Il est au milieu d’un combat avec les cheminots de la SNCF et d’autres syndicats. Cette visite peut l’aider à mettre un peu de vent dans ses voiles.
Du point de vue de Trump, il peut utiliser cette visite comme une manière de dire à ses critiques qu’il ne s’est pas mis à dos ses alliés et qu’il n’a pas isolé les Etats-Unis.
Doit-on s’attendre à ce qu’ils règlent leurs désaccords sur le maintien de l’accord sur le nucléaire iranien, le commerce ou l’environnement pendant cette visite ?
Aucun des sujets sur la table ne sera résolu. Macron a toujours dit qu’il allait continuer à travailler Trump sur la question du climat. Il l’évoquera certainement avec lui. Donald Trump est quelqu’un qui change d’avis. Il a exprimé récemment l’idée pour les Etats-Unis de rejoindre le TPP (Trans-Pacific Partnership, accord commercial avec les pays du pourtour du Pacifique) après y avoir été farouchement opposé. Mais je ne vois aucun signe de retour en arrière sur l’Accord de Paris.
La plus grande victoire pour Macron serait que Trump sorte de leur rendez-vous en disant: “Mon bon ami Emmanuel m’a convaincu de rester dans l’accord sur le nucléaire iranien”. C’est un sujet urgent car la deadline pour la certification approche à grands pas (le 12 mai, ndr). Je ne pense pas que cela se produira. Il aura plutôt tendance à prendre ses distances depuis que l’ultra-conservateur John Bolton l’a rejoint comme conseiller à la sécurité nationale. Mais voyons ce qui va se passer !
Les deux leaders affichent une relation de travail complice, franche. Macron a-t-il vraiment capitalisé sur cette relation quand on voit qu’il n’a pas été en mesure de faire changer d’avis son homologue sur beaucoup de sujets qui lui sont chers ?
Donald Trump met l’accent sur l’amitié et la loyauté. Dans ce domaine, Macron a du capital aux yeux du président américain car il s’est démené pour tendre la main à Trump alors que d’autres, comme Merkel, lui ont tourné le dos. De tous les leaders européens, Macron est le plus écouté par le président américain. Ce dernier a aussi tendance à être influencé par la dernière personne à laquelle il parle. Il est concevable que Macron puisse faire la différence.
J’espère que Macron lui parlera de l’Europe. Le président Trump ne comprend pas l’expérience européenne, son histoire après la guerre… Il a fait des commentaires dans le passé décrivant l’Union européenne (UE) comme un complot de l’Allemagne pour miner l’économie américaine. J’espère que le président français pourra faire comprendre l’importance de l’Europe comme partenaire, comme garant de la paix et moteur de croissance économique. C’est peut-être impossible car l’idée d’Union Européenne pourrait bien être incompatible avec les idées nationalistes de Donald Trump. Mais cela me dérange que le locataire actuel de la Maison-Blanche affiche de l’hostilité ou de l’indifférence envers le Vieux Continent, et a soutenu “Brexit”. En parler devrait être d’autant plus prioritaire pour Macron qu’il veut relancer l’Europe.
Propos recueillis par Alexis Buisson
Au District, les beaux jours s'annoncent gourmands
(Article Partenaire) Pour fêter l’arrivée des beaux jours, les chefs du District ont concocté des menus de saison au bon goût des terroirs français.
Cela commence au restaurant Beaubourg, la brasserie française du District. Le menu d’été met à l’honneur les produits de la mer (salade de poulpe, sardines, saumon, loup de mer grillé, tartare de thon…) Et si vous avez envie d’un peu plus audacieux, nous vous recommandons les différents plateaux de fruits de mer proposés.
Les plus gourmands pourront aussi profiter du bar à vins et du bar à fromages et charcuterie. Mais la grande nouveauté de la saison est le lancement du bar à macarons et la création de la zone “Café Gourmand”. Les nouveaux macarons sont fabriqués par Thierry Atlan, qui fait partie des 19 Meilleurs Ouvriers de France-Chocolatiers. Il est le seul de sa discipline à vivre à l’étranger. Retrouvez tous les menus sur le site du District.
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Gagnez des places pour un Cyrano nouvelle version à New York
Artiste touche-à-tout qui chante de l’opéra, joue dans des films et fait de la comédie, David Serero monte une “adaptation jazzy” de Cyrano de Bergerac, la célèbre pièce d’Edmond Rostand, au Center for Jewish History.
Les organisateurs offrent des tickets gratuits aux lecteurs de French Morning pour la performance du dimanche 22 avril à 7pm, soirée de clôture de la série de shows produite par le baryton, qui a notamment collaboré avec Jermaine Jackson. Participez au tirage au sort en rentrant votre nom dans le formulaire ci-dessous.
2018 est l’année parfaite pour jouer Cyrano puisqu’il s’agit du 150ème anniversaire du dramaturge Edmond Rostand et le centième anniversaire de sa mort.
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Petit guide des bonnes manières pour les Français à New York
Vous venez d’arriver à New York en vacances ou pour vivre ? Quelle que soit la raison de votre présence ici, ce n’est pas une raison pour se laisser aller et nourrir un peu plus les préjugés peu flatteurs sur les Français. Voici un petit guide des bonnes manières.
Ne blaguez pas avec les forces de l’ordre
N’insultez personne en français (ni en anglais d’ailleurs). Il y a forcément un francophone autour du vous
Ne piquez pas le taxi de quelqu’un
Ne vous arrêtez pas en plein milieu du trottoir pour prendre une photo
Ne vous aventurez pas à marcher à contre-courant dans la rue au risque de perdre la vie
Dans le subway, mettez vous sur le côté droit de l’escalator. À New York, il y a des files express et locales, même sur les escaliers mécaniques…
Ne doublez pas dans la file d’attente. Les New-Yorkais adorent faire la queue pour tout et rien, mais ils n’aiment pas la triche…
N’oubliez pas le pourboire au restaurant (enfin, de le laisser au serveur)
Ne fumez pas dans les parcs
À Dallas, j'achète ou je loue ?
(Article partenaire) Vous projetez de vous installer à Dallas ? Sachez que vous arriveriez dans l’un des marchés immobiliers les plus dynamiques des Etats-Unis. Selon le Bureau du recensement, plus de 100.000 personnes se sont installées dans la Metroplex ces dernières années.
Faut-il acheter ou louer en s’installant à Dallas ? Pour Carmen Ana Reyes, agente immobilière au sein d’Avangard Real Estate Services, il n’y a pas de doute: acheter reste encore la meilleure option. Voici pourquoi, selon cette professionnelle avec 31 années d’expérience dans l’immobilier (dont quatre à Dallas) et qui a vécu en France.
Les prix des maisons augmentent constamment
Ils ont connu une hausse de 90% ces dix dernières années et 40% ces cinq dernières, selon l’experte, spécialisées sur Dallas, Plano, Mesquite, Arlington ou encore Frisco. Cette augmentation est liée aux opportunités professionnelles en plein essor à Dallas et qui attirent de nombreuses personnes, “alors que l’inventaire de logements disponibles est limité, explique-t-elle. Si un expatrié reste sept ans ou plus, l’immobilier est susceptible de s’apprécier, tandis que louer n’apporte aucun retour sur investissement“.
Les taux d’intérêt sont encore bas
“Il y a trois ans, le taux d’intérêt était de 3,8%. Maintenant le taux moyen est de 4,5%“, observe Carmen Ana Reyes. Une tendance liée à la demande croissante d’emprunts immobiliers. Malgré cette augmentation, ils restent à un niveau relativement bas. C’est donc le bon moment pour acheter.
De nouveaux logements se développent en banlieue
“Comme la Ville de Dallas avait prédit le boom démographique“, elle a accordé de nouvelles incitations économiques pour encourager la construction de nouvelles maisons. Résultat: “de nouvelles communautés sortent de terre” en banlieue de Dallas, note-t-elle, comme The Tribute at the Colony.
Plus avantageux d’acheter
Dans les conditions actuelles du marché, Carmen Ana Reyes estime que l’achat est plus avantageux sur le long terme que la location. Elle prend pour exemple l’achat d’une maison de 204 mètres carrés pour 240.000 dollars. Le remboursement du prêt hypothécaire pour ce type de bien atteindra “1.224 dollars par mois” en cas d’un emprunt sur trente ans avec des intérêts à 5%. “La location de ce même bien pourrait atteindre 2.200 dollars par mois au moins, indique-t-elle. Les loyers mensuels augmentent car les propriétaires de condos utilisent la pénurie de logements actuelle“.
Pour en savoir plus sur les opportunités immobilières à Dallas et sa région, contactez Carmen Ana Reyes:
e-mail: [email protected]
214 – 521-7699 (office)
214 – 521 -7740 ( fax )
214 – 842-7769 (mobile)
Site
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"Certains l'aiment chaud" projeté gratuitement à Miami
Passez votre soirée avec Jack Lemmon, Marilyn Monroe et Tony Curtis. Le classique des classiques “Certains l’aiment chaud” sera projeté le mercredi 18 avril dans le cadre des SoundScape Cinema Series.
Inspiré du film français “Fanfare d’amour”, cette comédie romantique de 1959 raconte les aventures d’un groupe de musiciens obligé de se travestir pour échapper à la mafia.
Les projections sont gratuites et ont lieu en extérieur sur l’ExoStage du New World Center. La programmation du mois de mai inclut “La La Land”, “Wizard of Oz” et “Victor/Victoria”.
Barcelone, Liverpool, et un "remake" Real-Juventus cet été aux US
Le Real Madrid et la Juventus, qui ont livré deux matches épiques en quart de finale de la Ligue des Champions les 3 et 11 avril dernier (victoire 4-3 du Real sur l’ensemble des deux matches), s’affronteront de nouveau le 4 août aux Etats-Unis (Landover, Maryland) dans le cadre de l’International Champions Cup.
La compétition, qui rassemble les meilleures équipes européennes, est organisée sur plusieurs continents. L’édition américaine débutera le 20 juillet par le match Manchester City-Borussia Dortmund à Chicago dans l’Illinois. Parmi les temps forts, un autre “remake” de quart de finale de Ligue des Champions avec Manchester City-Liverpool le 25 juillet au MetLife Stadium d’East Rutherford dans le New Jersey (quart de finale remporté par les reds de Liverpool 5-1 sur l’ensemble des deux matches).
Barcelone, l’AS Rome, Manchester United et le Bayern Munich font partie des autres têtes d’affiche du tournoi. Le Paris Saint-Germain jouera cette année ses matches entre l’Europe et Singapour.
Les places pour l’International Champions Cup seront mises à la vente le 1er mai. Des pré-ventes sont en revanche disponibles dès maintenant en s’enregistrant sur ce lien.
Le programme complet des rencontres:
Chicago (Illinois)
Manchester City-Borussia Dortmund : 20 juillet
Charlotte (Caroline du Nord)
Liverpool-Borussia Dortmund : 22 juillet
East Rutherford (New Jersey)
Manchester City-Liverpool : 25 juillet
Pasadena (Californie)
AC Milan-Manchester United : 25 juillet
San Diego (Californie)
Roma-Tottenham : 25 juillet
Pittsburgh (Pennsylvanie)
Borussia Dortmund-Benfica : 25 juillet
Philadelphie (Pennsylvanie)
Juventus-Bayern Munich : 25 juillet
Ann Arbor (Michigan)
Manchester United-Liverpool : 28 juillet
Miami (Floride)
Bayern Munich-Manchester City : 28 juillet
Pasadena (Californie)
Barcelona-Tottenham : 28 juillet
Harrison (New Jersey)
Benfica-Juventus : 28 juillet
Miami (Floride)
Manchester United-Real Madrid : 31 juillet
Minneapolis (Minnesota)
AC Milan-Tottenham : 31 juillet
Arlington (Texas)
Barcelona-Roma : 31 juillet
Landover (Maryland)
Real Madrid-Juventus : 4 août
Santa Clara (Californie)
AC Milan-Barcelona : 4 août
East Rutherford (New Jersey)
Real Madrid-Roma : 7 août
Un mini-golf éphémère prend ses quartiers à Little Tokyo
C’est le moment de pratiquer votre swing. Durant deux week-ends, les samedi 21 et dimanche 22, et les samedi 28 et dimanche 29 avril (de 11am à 4pm), une piste de neuf trous va élire domicile devant le Japanese American Cultural & Community Center, dans le quartier de Little Tokyo à Los Angeles. Les Angelinos pourront s’adonner à leur passion pour le mini-golf, un des sports favoris des Américains.
Ce n’est pas n’importe quel parcours, puisque chaque trou est une oeuvre d’art conçue par un artiste local. Ils se sont inspirés du passé, présent et de l’avenir du quartier qui célèbre ses 134 ans. Les visiteurs pourront se livrer à une partie spontanée ou participer au tournoi le lundi 23 avril (100 $ pour une équipe de quatre).
French Bee, le petit dernier des low cost transatlantiques débarque à San Francisco
(Article partenaire) L’airbus A350 tout juste sorti de l’usine vient de recevoir sa belle livrée toute bleue; tout est prêt pour le vol inaugural du 11 mai. French Bee rejoint le peloton des compagnies “low cost” long courrier en lançant des vols Paris-San Francisco et San Francisco-Tahiti.
Une aventure américaine qui marque une nouvelle étape pour le groupe Dubreuil, propriétaire de French Bee. Basée en Vendée, l’entreprise 100% familiale dirigée par Jean-Paul Dubreuil, dont les activités vont des concessions automobiles à l’hôtellerie en passant par les panneaux solaires entre autres, affirme son ambition dans l’aérien. Aux côtés d’Air Caraïbes, l’autre compagnie aérienne du groupe, qui dessert les Antilles depuis 15 ans, French Bee (ex-French Blue) a été lancée il y a moins de deux ans avec un vol Paris-Punta Cana (République Dominicaine).
French Bee est la première compagnie aérienne française low cost long courrier. French bee dessert l’île de la Réunion depuis le 17 juin dernier, avec 7 vols quotidien à destination de “l’île intense”. French bee a séduit 18% des passagers entre la Réunion et la Métropole française.
La flotte de la compagnie, composée de trois gros porteurs airbus neufs (deux A 350 et un A 330), poursuit sa croissance et son développement vers San Francisco, la plus française des villes américaines, et la Polynésie française et ses lagons de rêve à partir du mois de mai.
Dirigée par Marc Rochet, un professionnel chevronné, qui lança notamment L’Avion, une compagnie low-cost tout business, French Bee est résolument sur le créneau des vols au meilleur prix. “Nous appliquons un modèle smart cost en décomposant le produit aérien, en permettant à ceux qui ne veulent que le siège de n’acheter que le siège et aux autres d’acheter les services et privilèges séparément. Tout est combinable, on voyage à la carte en fonction de ses moyens et besoins”, précise Sophie Hocquez, responsable marketing de French Bee.
Résultat, des prix de départ très attractifs : à partir de 189 dollars l’aller-simple pour un San Francisco-Orly en “basique”; à partir de 330 dollars pour San Francisco-Papeete. Les prix montent un peu en catégorie “Smart”, qui comprend un bagage en soute et un plateau repas (à partir de 239 dollars sur SFO-Paris). La catégorie Eco-premium offre notamment des sièges plus spacieux, et plus de flexibilité pour changer ou annuler ses billets. Les prix commencent là à 962 dollars en aller-simple.
Grâce à l’avion tout neuf, le confort n’est pas sacrifié. Les 411 sièges (375 en éco et 35 en Eco-premium) sont en cuir, fabriqués par un des fournisseurs des plus grandes compagnies mondiales. Toutes les places sont équipées d’écrans, disponibles gratuitement. “Mais le confort, c’est aussi de pouvoir décoller et atterrir à Paris depuis Orly, aéroport à taille humaine, facile d’accès depuis le centre de la capitale”, note Sophie Hocquez.
Dès le 11 mai, la petite abeille française desservira Paris-San Francisco puis San Francisco-Papeete trois fois par semaine. C’est le moment de réserver!
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