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Startup Tour 2018 : les candidatures sont ouvertes

Les inscriptions pour le grand concours de start-ups organisé par FrenchFounders sont ouvertes jusqu’au 18 mai. Lancé en 2017, le Startup Tour est destiné aux start-ups françaises partant à la conquête de l’Amérique, quel que soit le côté de l’Atlantique où elles sont installées.
Nouveauté cette année, le concours est également ouvert aux start-ups américaines souhaitant s’implanter en France. Les meilleures start-ups seront sélectionnées lors de compétitions locales organisées à New York, Miami, Los Angeles, San Francisco, Montréal et Paris. Une grande finale aura lieu en septembre à New York.

Les vainqueurs français et américains du Startup Tour 2018 remporteront un “package” qui permettra d’accompagner leur développement aux Etats-Unis ou en France (chèques, service d’experts).
Pour s’inscrire, les candidats doivent remplir au moins deux des critères suivants:

  • développer un projet lié à une nouvelle technologie, un nouveau service ou une application innovante d’une technologie existante.
  • disposer d’une “démonstration de faisabilité” (proof of concept), un prototype ou une validation scientifique.
  • disposer d’une équipe composée d’au moins deux équivalents temps plein.
  • démontrer que le projet aura un impact significatif sur l’industrie ciblée ou sur la société ou l’environnement en général.
  • être en phase de croissance.

D’autres critères s’appliquent aux startups françaises:

  • Au moins un des fondateurs doit être francophone.
  • La start-up doit être implantée, ou avoir comme objectif de s’implanter dans la ville des Etats-Unis où elle se présente (voir les villes en encadré).
  • La start-up doit avoir levé un minimum de 500 000 dollars en capital ou générer un minimum de 500 000 dollars de revenu.

Pour les start-ups américaines:

  • Au moins un des fondateurs doit être anglophone.
  • La start-up doit avoir pour projet de s’installer en France dans le futur proche.
  • La start-up doit avoir levé un minimum de 500 000 dollars en capital ou générer un minimum de 500 000 dollars de revenu.

Startup Tour est organisé avec le soutien de l’ensemble de l’écosystème entrepreneurial francophone aux Etats-Unis dont les quatre communautés French Tech Hubs aux US, l’Association des Anciens des Grandes Ecoles de France aux Etats-Unis, Business France, et des sponsors comme BNP Paribas, Creadev, et Consensys.

À Washington, Emmanuel Macron courtise les patrons américains

De la diplomatie, mais aussi du business. Emmanuel Macron a profité de sa visite d’Etat à Washington pour rencontrer, mardi 24 avril, une trentaine de grands patrons américains.
L’échange, qui a eu lieu en marge d’un déjeuner au Département d’Etat à l’invitation de Mike Pence, a rassemblé des poids lourds de différents secteurs, comme Jamie Dimon (PDG de JP Morgan Chase), Stephen Hayes (PDG d’United Technologies) ou encore le patron du fonds d’investissement Kohlberg Kravis Roberts & Co Henry Kravis. Le PDG français de Best Buy, Hubert Joly, membre de la délégation présidentielle, était également de la partie.
La société de logiciels de gestion de clientèle Salesforce, présente à la rencontre, a annoncé le matin même un investissement de 2,2 milliards de dollars sur cinq ans pour renforcer sa présence en France. L’Elysée a également indiqué qu’un “grand partenariat” entre une entreprise française dans le domaine de l’IT et un “grand groupe du numérique américain” sera annoncé mercredi 25 avril.
Devant ce parterre de décideurs, qui représentent 7 à 10 milliards de revenus et 40 à 50.000 emplois en France selon les estimations de l’Elysée, le président français a rappelé les réformes du marché de l’emploi entreprises par le gouvernement et réaffirmé que “France is back” (“La France est de retour”). Ce message est martelé par le président et ses soutiens depuis janvier et le forum économique mondial de Davos.

Une lecture originale de "Rhinocéros" d'Ionesco à Hauser & Wirth

A l’occasion de l’exposition “The Leaps of Aesop” de Geta Brătescu, la troupe de Los Angeles The Actors’ Gang proposera une lecture mise en scène de la pièce d’Eugène Ionesco, “Rhinocéros”, le mercredi 2 mai à Hauser & Wirth.
Cette performance donne vie au tableau “Ionesco – The Clown” (1971), un portrait du légendaire dramaturge roumano-français, que l’artiste Geta Bratescu a orné d’un nez de clown rouge, rendant justice à cette figure emblématique du théâtre de l’absurde.
Dans cette pièce, écrite en 1958, les habitants d’une ville se transforment tous petit à petit en rhinocéros. “Rhinocéros” s’impose comme une métaphore de la montée des totalitarismes et du fascisme. Très populaire, cette pièce a été jouée aux Etats-Unis à de nombreuses reprises. Elle avait fait l’objet d’une tournée américaine en 2002, avec le Théâtre de la Ville de Paris.

Une nouvelle école française voit le jour en Floride

Après avoir fondé en 2002 l’École Française du Maine, le Français Willy Lebihan et sa femme Elizabeth, installés depuis près de trente ans dans cet État du Nord-Est des États-Unis, renouvellent l’expérience en Floride. Leur nouvelle école, The French American School of Tampa Bay, située à St Petersburg sur la côte Ouest floridienne, ouvrira ses portes début septembre.
« Nous ne pouvions pas faire que du bateau et profiter du soleil en Floride, il fallait aussi que nous agissions en faveur de l’enseignement français », plaisante le Breton Willy Lebihan qui, passant ses vacances depuis près de vingt ans à St Petersburg, a longtemps déploré la pénurie de l’offre scolaire dans cette région. « Les seules écoles françaises se situaient à Miami et Boca Raton sur la côte Est et à Atlanta en Géorgie, mais rien n’existait entre les deux aires urbaines ».
Ainsi, l’idée d’installer son nouvel établissement français dans la région de Tampa Bay, qui compte près de trois millions d’habitants, est apparue comme une évidence pour le cinquantenaire, père de trois enfants, qui accorde une importance particulière au bilinguisme. « C’est un moyen de cultiver l’ouverture d’esprit et cela permet notamment de pouvoir décrocher des postes clés dans de grandes entreprises, indique Willy Lebihan. Il est par ailleurs difficile pour les parents d’éduquer leurs enfants le soir à la maison, et certaines choses ne s’apprennent qu’à l’école, d’où la nécessité d’en ouvrir une ».
Estimés à près de deux millions de dollars, les travaux de construction de l’école française de Tampa Bay, qui reposent sur un financement bancaire privé, se poursuivront durant tout l’été. Dès la rentrée prochaine, l’établissement, qui disposera de sept classes bilingues, allant de la petite section de maternelle à la terminale, pourra accueillir près d’une centaine d’élèves. « Si la demande est plus importante, nous serons également en mesure d’y répondre, ajoute Willy Lebihan. Nous disposons en effet d’un grand terrain tout autour de l’école sur lequel nous pourrons installer des salles de classe modulaires préfabriquées si besoin ».
Reproduisant son modèle d’établissement scolaire qui a déjà fait ses preuves dans le Maine, Willy Lebihan souhaite installer deux directeurs à la tête de cette nouvelle école : l’un Français et l’autre Américain. « Les différences culturelles étant importantes entre la France et les États-Unis, nous voulons prendre le meilleur des deux mondes pour que les élèves puissent s’adapter tout autant aux systèmes scolaires américains que français et que leur éducation franco-américaine soit réussie ».
Les inscriptions à The French American School of Tampa Bay sont d’ores et déjà ouvertes et la cérémonie d’inauguration officielle de l’établissement aura lieu le mercredi 23 mai à 5pm.

Eric-Emmanuel Schmitt va jouer "Mr Ibrahim et les fleurs du Coran" au Théâtre Raymond Kabbaz

C’est la tête d’affiche printanière du théâtre du lycée français. En collaboration avec l’Alliance Française de Los Angeles et le Consulat de Belgique, la pièce “Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran” du comédien-dramaturge et écrivain-philosophe Eric-Emmanuel Schmitt sera jouée sur les planches du Théâtre Raymond Kabbaz, le 6 mai.
Cette pièce a parcouru le monde, et a été interprétée dans treize pays, ainsi qu’étudiée dans les collèges et lycées. A Los Angeles, l’histoire est interprétée par son propre auteur, le célèbre romancier franco-belge Éric-Emmanuel Schmitt, seul en scène pour une émouvante adaptation de son roman.
L’histoire se déroule dans les années 60 à Paris, où Moïse, un garçon juif de 13 ans devient l’ami du vieil épicier arabe de la rue bleue pour échapper à une famille sans amour. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim n’est pas arabe, la rue bleue n’est pas bleue et la vie ordinaire peut-être pas si ordinaire…
Au fur et à mesure que cette intrigue se dévoile, cette performance ironique et douce-amère révèle le caractère impromptu des leçons les plus essentielles de la vie.

Devant les Français de Washington, Macron se la joue Kennedy

Emmanuel Macron est en retard sur son programme – près d’une heure et demie. Heureusement, son épouse Brigitte vient calmer les Français de Washington, qui ont fait la queue pendant des heures pour venir entendre le président. “Restez, ça vaut le coup“, a-t-elle lâché avec un sourire.
Une trentaine de minutes plus tard, le président monte sur l’estrade sous les applaudissements du millier de supporters. “Quand on se demande si les Français ont de l’énergie… Eh bien, la réponse est là!
Après un crochet par le cimetière d’Arlington, où il s’est recueilli sur la tombe du soldat inconnu, et avant le traditionnel dîner d’Etat en compagnie de Donald Trump et de sa femme, le locataire de l’Elysée avait rendez-vous, mardi 24 avril, avec les Français de la capitale fédérale à l’ambassade de France.
N’hésitant pas à faire sienne la citation de Kennedy “ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour votre pays“, le président français a appelé les Français de l’étranger à se mobiliser pour faire rayonner la France. “Je compte sur vous pour m’aider, a-t-il dit. Les citoyens sont habitués à attendre que le gouvernement agisse (…) Mais j’ai besoin de vous, et que vous portiez les valeurs françaises“. Des jeunes, des entrepreneurs, des familles sont venus écouter son message. “La France a une longue histoire avec les Etats-Unis, grâce aussi aux expatriés“, qui font perdurer le lien entre les deux pays.
Pour Arnaud Trouvé, professeur dans une école d’ingénieurs, “les Français de l’étranger ne se désinvestissent pas, au contraire, ce sont des ambassadeurs. De faire appel à cela, c’est une bonne carte. Cela trouve un écho chez nous. Il y a un contraste entre le style Macron et le style Trump. Quelle que soit l’opinion qu’on a de Trump, les Américains voient la différence et elle joue pour le moment en faveur de la France. Les Américains se disent: on n’a pas de Macron”.
Ce discours à la Kennedy, c’est une dynamique. Il y a une équipe jeune, nouvelle qui pousse tout cela. On ne peut plus faire de la politique comme avant, souligne Franck Bondrille, conseiller consulaire de Miami, membre du parti Les Républicains (LR). On sent que ça bouge. Les Américains connaissent M. Macron alors que ce n’était pas le cas de nos présidents précédents“.
Balayant différents sujets internationaux évoqués plus tôt dans la journée avec son homologue américain (Syrie, Iran…), le président a abordé le thème de l’éducation, cher aux Français expatriés, en particulier aux nombreux professeurs de la langue de Molière dans la salle. “Nous voulons développer les écoles et les lycées français“, a-t-il promis. “Nous souhaitons stabiliser, simplifier le financement, donner plus de flexibilité“, a-t-il dit, espérant voir un “engagement du français plus fort“. Une phrase qui a plu à Chantal Cassan, une professeure de français qui vit aux Etats-Unis depuis plus de 30 ans.
Il faut vraiment faire un effort pour encourager les Américains à apprendre le français“, souligne-t-elle. “Leur donner envie de venir en France“. Pour elle, il faut montrer que cette langue peut être “pratique“, et pas seulement “pour visiter Paris avec son amoureux“.

C’est la première fois que j’entends un président parler à la communauté française en faisant un discours de politique. Jusqu’à présent, on avait des discours réduits sur les problèmes de la communauté. Il a agi comme notre président, pas quelqu’un qui nous rencontrait“, explique Martine, retraitée du Fonds Monétaire International (FMI) qui a assisté à des discours de François Hollande et Jacques Chirac.
“Je crois qu’il a amélioré la réputation des Français. Il est jeune, dynamique, a des idées. Les Américains aiment ça“, analyse Herman Cohen, ambassadeur des Etats-Unis en Gambie sous Jimmy Carter.

La salle applaudit à pleines mains. Dans son discours, le chef de l’Etat explique vouloir une France “forte, admirée, enviée, attractive“. Il reprend le slogan de Donald Trump, insistant sur le “Make the France great again” mais ne l’entendant pas dans le même sens que son homologue. “Notre nation pourra être grande en rendant la mondialisation plus juste“, tout en “pacifiant le commerce” car “le nationalisme, c’est la guerre“. Allusion non-feinte aux menaces de barrières tarifaires brandies par Donald Trump.
“Il a vraiment la pêche. Ca fait plaisir de voir un président jeune, qui parle anglais, avec un discours clair, souligne Jean-Marie Slove, président d’Alena Systems, une société de la high-tech. Ce Français qui vit depuis 25 ans aux Etats-Unis avoue ne pas avoir été pro-Macron “au début“. Mais il est en train de changer d’avis. “Pendant toutes ces années, je me disais que je ne rentrerai jamais en France. Mais quand je vois le pays se revigorer comme ça, je me dis que j’y retournerai peut-être“.
Avec Alexis Buisson

Les Gipsy Kings vont enflammer la Californie

Les guitares de flamenco et les puissants chants espagnols des Gipsy Kings feront voyager les Angelinos dans le sud de la France. Accompagné de Nicolas Reyes et Tonino Baliardo lors de leur tournée américaine, le groupe gitan familial jouera les chansons préférées des fans de longue date, ainsi que de nouvelles chansons tirées du dernier opus intitulé,“Evidence” au City National Grove d’Anaheim (au sud de Los Angeles), le 21 mai.
Offrant un mélange brûlant de flamenco, de rumba, de salsa et de pop qui s’est vendu à 20 millions d’exemplaires, les créateurs de succès tels que “Bamboléo” et “Djobi Djoba” continuent de toucher aussi bien la France que les Etats Unis.
Unissant les familles Reyes et Baliardo, le groupe a su casser les frontières : on a notamment entendu leur musique dans le nouveau film d’animation “Sing” ainsi que dans “The Big Lebowski” et “Toy Story 3”.

Matinée portes ouvertes à l’Ecole Franco-Américaine de la Silicon Valley

(Article Partenaire) Vous êtes parents d’un enfant âgé de 2 ou 3 ans ? L’Ecole Franco-Américaine de la Silicon Valley a le plaisir de vous inviter en famille pour une matinée dédiée à la découverte de sa maternelle le samedi 12 mai, à partir de 10h sur son campus de Sunnyvale.

Ce jour-là, les enfants auront l’occasion de s’amuser, de rencontrer d’autres enfants, et de se divertir à travers des ateliers ludiques et artistiques.

“C’est toujours une matinée très conviviale‘’, indique Pierre-Ludovic Perrot, le directeur de l’école, “elle permet à nos futures familles de découvrir nos locaux et d’interagir avec nos enseignants et les parents de l’école.”

Pendant ce temps-là, les enfants sont invités à participer à des jeux, des ateliers créatifs et à écouter des histoires en français et en anglais. Ils se dépensent également en prenant part à des activités d’extérieur.

Les enfants adorent cet évènement et certains ont même du mal à partir !” complète Pierre-Ludovic Perrot. “Leur imagination lors des ateliers d’arts plastiques est vraiment surprenante et tous repartent à la maison avec leur propre création.”

Cette matinée est aussi une excellente occasion d’en apprendre plus sur le programme d’immersion bilingue offert par l’école. Celle-ci a en effet la particularité de proposer un modèle unique dans la Baie puisque les enseignements se font à 50% en français et à 50% en anglais, et ce dès l’âge de 2 ans et demi.

L’école, qui fête ses 25 ans cette année, est homologuée par le Ministère de l’Education Nationale et la California Association of Independent Schools.

Plus d’information sur www.fassv.org

Inscrivez-vous à la matinée portes ouvertes ici.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Sylvie Denis, la papesse française de la science-fiction, à San Francisco

Fans de science-fiction, c’est votre heure. La romancière française Sylvie Denis sera présente à San Francisco lors du Bay Area Book Festival pour une interview sur « l’Art de la Science-Fiction », le samedi 28 avril à 10:30 am.
L’interview sera menée par l’écrivaine américaine Marie Brennan qui interrogera Sylvie Denis sur son oeuvre et sur la science-fiction en général. Considérée comme une des références du genre en France, Sylvie Denis s’est souvent concentrée sur les nouvelles technologies et leur impact sur les sociétés. La romancière explorera également les thèmes du changement climatique et de la migration. Elle partagera aussi son expérience en tant que femme écrivaine.
Le Bay Area Book Festival  est un événement de deux jours avec des sessions littéraires présentant des auteurs internationaux, ainsi qu’une foire en plein air avec des centaines d’exposants.

«Otez-moi d'un doute» au Filmfest DC

Pour marquer sa soirée de clôture, le Filmfest DC  Washington met à l’honneur le film français « Ôtez-moi d’un doute », réalisé par Carine Tardieu, qui sera projeté le dimanche 29 avril à L’Ambassade de France de Washington.
La 32èmeédition du Festival de Film international de Washington a débuté le jeudi 19 avril. Plus de 80 films internationaux en provenance de 45 pays différents sont présentés, dont un bon nombre de films français.
«Ôtez-moi d’un doute » raconte l’histoire d’un démineur breton, Erwan joué par François Damiens, qui apprend un jour que son père n’est pas son père biologique. Malgré la tendresse et, l’amour qu’il éprouve pour l’homme qui l’a élevé, il décide de retrouver son père biologique : Joseph, un vieil homme, très attachant. Erwan apprend également l’existence de sa demi-sœur Anna, jouée par Cécile de France.
Le film sera en français avec sous-titres anglais

 

HEC lance son programme d'été Youth Leadership destiné aux lycéens

(Article partenaire) HEC Paris élargit sa population étudiante d’été, composée d’étudiants de niveau universitaire et de nouveaux diplômés, afin d’inclure des lycéens de 15 à 17 ans dans le cadre de la toute nouvelle HEC Paris Youth Leadership Initiative (Initiative Leadership Jeunes).

Du 22 au 28 Juillet prochain, le campus d’HEC Paris accueillera des lycéens talentueux venant du monde entier pour ce programme intensif en immersion. Des jeunes participants apprennent à devenir acteurs de leur vie, à s’épanouir via des travaux de groupe et des projets à fort impact.  Elyse Michaels-Berger, Directrice de la Youth Leadership Initiative, a déclaré, « les participants développent leurs compétences en communication et quittent le programme en étant mieux préparés et plus confiants dans leurs capacités à prendre de futures initiatives. »  

Le lancement de la Youth Leadership Initiative s’appuie sur le succès de la HEC Paris Summer School, fondée en 2014.  Depuis lors, l’offre a été élargie pour inclure plus de 10 programmes élaborés et enseignés par des professeurs d’HEC sur des domaines de pointe, allant de l’entrepreneuriat à l’énergie, la géopolitique, «le social business », la finance, le management dans le luxe et la mode, le marketing digital, entre autres. Comme tous les étudiants d’HEC Paris, les participants de la Summer School, qui représentent plus de 50 nationalités, s’affrontent en équipes sur des défis réels.

Elyse Michaels-Berger souligne que : « l’un de nos objectifs est que les étudiants apprennent autant de leurs pairs internationaux que de leurs professeurs ». Selon Esin Yunusoglu, étudiante à la Summer School en 2017, actuellement étudiante à l’Université de Princeton, cet objectif est facilement atteint. «L’accent sur la communication interculturelle et la compréhension avec nos camarades de classe internationaux a été l’un des points forts de mon expérience à HEC Paris. »

Dorian Dufour-Vorfeld, ancien participant néerlandais à la Summer School, et récemment admis au Master d’HEC Paris, offre son point de vue sur l’expérience estivale de HEC Paris: «Si je devais partager mon point de vue avec les futurs étudiants, je dirais que cela vous mettra au défi et vous équipera de différents outils pour votre avenir. Mais il se pourrait aussi que vous souhaitiez passer encore deux semaines, ou deux ans, dans les murs d’HEC. »

Pour plus d’informations sur les programmes d’HEC Paris Summer, rendez-vous sur http://www.hec.edu/summer-school ou contactez [email protected]. Tous les programmes Summer se déroulent en anglais sur le campus d’HEC Paris.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Dans « Brainious », Stéphanie Brillant décrypte le cerveau des enfants

« Quand votre enfant est anxieux, il suffit de changer la posture de son corps pour qu’il se comporte comme une nouille trop cuite. » C’est l’un des nombreux conseils que l’on retrouve dans le documentaire de Stéphanie Brillant, «Brainious» (“Le Cerveau des enfants”). Il sera projeté et accompagné d’un atelier le 27 avril à l’école Clairefontaine à Venice.
Il y a huit ans, la journaliste parisienne découvre The Whole-Brain Child, le best-seller du docteur Daniel J.Siegel. Un déclic se produit. « On passe les premières années de sa vie à se construire, les autres à se déconstruire », résume Stéphanie Brillant, fondatrice de la société de production Innertainment à Paris. Cette idée restée dans un coin de sa tête, elle décide d’aller plus loin et d’enquêter sur le sujet à son arrivée à Los Angeles il y a presque trois ans.
Le documentaire offre « tout ce qu’il est bon de savoir sur le cerveau des enfants et l’impact de l’environnement et des interactions avec le monde extérieur ». Les enfants qui roulent par terre et font une crise ? « Cela révèle leur incapacité cérébrale à rebasculer dans un autre état, à s’autoréguler. »
Financée par ses fonds personnels, Stéphanie Brillant a visité des écoles de pointe, comme celle de Dallas où le fonctionnement du cerveau est enseigné aux enfants dès l’âge de 3 ans, ou l’UCLA Lab School où les nouvelles technologies sont utilisées. Elle a complété ce travail de terrain par des entretiens avec des experts renommés dans différents domaines scientifiques. « En France, il n’y a pas la même matière. La Californie dispose d’importants laboratoires en neuro-sciences. »
Refusant d’offrir un discours dogmatique, Stéphanie Brillant, mère de deux enfants, y préfère un discours positif, « une philosophie de vie ». « Il faut s’atteler à ouvrir les capacités de chacun, et non les enterrer. Rien n’est irréversible. L’étude affirmant que les « enfants pauvres ont des cerveaux pauvres » a été démentie».
Au total, six mois de tournage, et plus de montage, ont été nécessaires (ainsi qu’un coach vocal afin de gommer son accent français pour la narration). En plus du documentaire, elle a créé un outil : un cahier d’activité, du « work-out pour les enfants » afin qu’ils puissent appliquer les principes dispensés dans « Brainious ». Le documentaire doit sortir à Paris le 23 mai.