Le printemps vient tout juste d’arriver et, pourtant, il faut déjà penser à planifier les vacances d’été. Si vous cherchez des activités pour occuper vos enfants, voici quelques « summer camps » francophones en Floride.
Association des Petits Écoliers de Miami
Les reporters en herbe se feront une joie de prendre part au camp d’été organisé du 11 au 22 juin à Weston par l’Association des Petits Écoliers de Miami (APEM) sur le thème du journalisme. Deux semaines durant lesquelles les enfants de 4 à 10 ans pourront découvrir les métiers de rédacteur, photographe ou encore animateur radio grâce à des activités variées en français. $250 la semaine ou $225 pour toute inscription avant le 30 avril. Plus d’informations ici
Camp Lingua
Enrichir son vocabulaire tout en s’amusant, c’est ce que propose Camp Lingua qui organise à Miami et dans la région un « summer camp » en quatre sessions, du 11 juin au 3 août, pour les enfants de 4 à 10 ans. L’occasion pour les jeunes campeurs d’en apprendre davantage sur l’histoire et la culture française grâce à des ateliers artistiques et différentes activités sportives. $275 la semaine ou $259 pour toute inscription avant le 31 mai. Plus d’informations ici
NotJustMath Tutoring Center
Si vous souhaitez réconcilier vos enfants avec Thalès, Pythagore et leurs théorèmes, NotJustMath Tutoring Center propose des camps d’été consacrés aux mathématiques. L’établissement de North Miami, qui offre durant l’année scolaire des cours de soutien en français, laisse ses portes ouvertes pendant les vacances afin que chaque élève puisse reprendre le chemin de l’école sans aucune inquiétude. $39 l’heure de soutien. Plus d’informations ici
Le Petit Prince
« Vive les vacances ! », c’est le thème du camp d’été mis en place du 4 juin au 27 juillet par l’école internationale française Le Petit Prince de Coconut Creek, près de Boca Raton. L’établissement scolaire propose aux jeunes participants, âgés de 4 à 12 ans, des ateliers de lecture, des activités aquatiques, de la danse et du théâtre, sans oublier des moments de détente. $300 la semaine. Plus d’informations ici
Miami Kiteboarding
Les plus aventureux qui souhaitent s’initier à différents sports nautiques comme le kitesurf, le stand up paddle, le kayak ou encore le wakeboard pourront participer aux « summer camps » en français proposés par Miami Kiteboarding. Les cours, destinés aux enfants de 8 à 14 ans, se dérouleront du 11 juin au 10 août, de 10am à 4pm, sur la plage de Crandon Park à Key Biscayne. $295 la semaine ou $225 pour toute inscription avant le 15 avril. Plus d’informations ici
Paris Saint-Germain Academy Florida
Pour les amateurs de football, la Paris Saint-Germain Academy Florida organise, du 11 juin au 17 août, six stages d’une semaine permettant aux plus jeunes de s’entraîner comme de vrais professionnels. Les entraînements, qui se feront par groupe d’âge, se destinent aux enfants de 7 à 12 ans et se dérouleront sur différents terrains de Miami et de Palm Beach. $340 la semaine. Plus d’informations ici
Été 2018 : guide des « summer camps » francophones en Floride
Jean-Luc Godard, star de l'American Cinematheque en avril
Les Etats-Unis sont fascinés par Jean-Luc Godard, et lui ont déjà prouvé en lui remettant un Oscar d’honneur pour l’ensemble de sa carrière, le 23 novembre 2010. Il est à nouveau mis sous les projecteurs pour la sortie du film “Godard mon amour” (“Le redoutable”) de Michel Hazanavicius.
Sorti en 2017 en France (et le 20 avril 2018 aux États-Unis), ce film sera projeté en avant-première le lundi 16 avril à l’Aero Theatre de Los Angeles en présence du réalisateur de “The Artist”, qui répondra aux questions du public. Ce film est une adaptation de l’autobiographie d’Anne Wiazemsky, centrée sur le mariage de l’actrice (jouée par Stacy Martin) avec le plus suisse des cinéastes français Jean-Luc Godard (interprété par Louis Garrel). Le film se déroule dans le Paris de 1967, quand les amoureux tournent ensemble “La Chinoise”. Mais l’accueil du film à sa sortie déclenche chez Jean-Luc une remise en question profonde, qui va être amplifiée par Mai 68.
Cette sortie est l’occasion pour l’American Cinematheque, auquel appartient l’Aero, de re-diffuser des classiques du réalisateur de la Nouvelle Vague. Seront ainsi projetés (avec sous-titres en anglais) “La chinoise” (mercredi 18 avril à 7:30pm), “Breathless”/”Band of outsiders”, (“A bout de souffle”/”Bande à part”, samedi 21 avril à 7:30pm), “Weekend”/”Vivre sa vie” (vendredi 27 avril, 7:30pm), et “Goodbye to language” (“Adieu au langage”, jeudi 26 avril à 7:30pm). Ce dernier, sorti en 2014, est le plus gros succès de Jean-Luc Godard outre-Atlantique en trente ans.
Exposer dans les musées: une conférence à Miami
Quelles sont les perspectives pour exposer son travail dans un musée ? Le thème du prochain petit-déjeuner du réseau French Arts Associates intéressera plus d’un artiste à Miami. Pour répondre à cette question, l’association a invité mardi 17 avril Jill Deupi, directrice beaux arts et curatrice en chef au Lowe Art Museum.
Avant de rejoindre l’institution de Miami, cette spécialiste de l’art européen du XVIIIème siècle a travaillé pour des musées réputés comme le Royal Academy of Arts à Londres, l’Art Institute of Chicago et la National Gallery of Art à Washington, D.C.
L’inscription au petit-déjeuner inclut une entrée au musée.
La Holberton School lève 8,2 millions de dollars pour agrandir son campus
La Holberton School va-t-elle devenir la plus grande école américaine d’ingénierie informatique ? L’établissement fondé par les Français Sylvain Kalache et Julien Barbier, a ouvert ses portes en 2016 à San Francisco avec une promotion de 30 étudiants. Deux ans plus tard, l’école qui propose un cursus de deux ans basé sur le travail en équipe et l’apprentissage par projets, a formé plus de 200 élèves et vient d’annoncer une nouvelle levée de fonds de 8,2 millions de dollars auprès de Daphni, Trinity Venture et Omidyar Network.
Grâce à ce nouveau tour de table, l’objectif immédiat de l’école est de « grossir la taille des promotions », précise Sylvain Kalache, co-créateur de la Holberton School et ancien ingénieur de LinkedIn, dans un e-mail à French Morning. « Nous pouvions former 100 étudiants par an dans nos locaux précédents [avant de déménager en février dernier, ndlr], nous allons atteindre 500 par an très prochainement », assure-t-il.
Mieux encore pour l’ambitieuse Holberton School : « Le bâtiment dans lequel nous venons d’emménager peut nous permettre de grossir et de former jusqu’à 1.000 étudiants par an », projette l’entrepreneur de 29 ans. Un volume qui ferait de la Holberton School la plus grande structure de formation dans son domaine aux Etats-Unis.
Comme l’école 42 de Xavier Niel, la Holberton School n’a ni professeur, ni salle de classe. Au cours de leur formation gratuite, moyennant 17% de leurs premiers salaires pendant trois ans, les étudiants issus de tous milieux et avec ou sans expérience dans l’informatique, sont confrontés à des tests, comme la création d’un virus, le clonage de Twitter ou encore la conception d’un moteur de recherche, qu’ils doivent résoudre seuls ou en équipes pour repartir avec leur certificat de formation estampillé « Holberton School ».
Un nom qui semble déjà offrir des débouchés à ses disciples, dont certains ont été embauchés dans des structures comme Apple, Dropbox, Tesla ou encore la Nasa, assure l’école.
A terme, les co-fondateurs rêvent même d’accueillir « des dizaines de milliers d’étudiants » et de faire de la Holberton School « une école qui n’est pas que pour les adultes et pas que sur l’informatique », imagine Sylvain Kalache. Dans un premier temps, l’établissement organisera une journée de portes ouvertes le 26 avril pour préparer les prochaines promotions.
"Je ne suis pas un homme facile": le premier film français commandé par Netflix
Damien (Vincent Elbaz) est un jeune quadra à qui tout réussi et dont le succès auprès des femmes n’est plus à démontrer. Mais il est aussi un macho aux méthodes de drague plus que pesantes et à la vision des femmes archaïque. Après un violent coup sur la tête, le macho invétéré se retrouve propulsé dans un autre monde. Une société matriarcale où les femmes ont le pouvoir.
« Je ne suis pas un homme facile », une comédie romantique signée Eléonore Pourriat, est la première commande de Netflix pour un film français. Elle fera sa sortie le 13 avril dans 190 pays.
Le géant américain avait découvert la réalisatrice il y a quelques années, après le succès international de son court-métrage « Majorité opprimée », avec 9 millions de vues. « Dans la foulée du buzz, Netflix m’a contactée en me proposant de développer un projet. Je leur ai d’abord proposé de décliner « Majorité opprimée » en série mais ils préféraient un long métrage », explique Eléonore Pourriat, qui vit à New York. Le genre de la comédie romantique s’est ensuite rapidement imposé.
La comédienne et réalisatrice n’a pas attendu l’affaire Weinstein et les mouvements #MeToo ou #BalanceTonPorc pour travailler sur le thème du sexisme ordinaire. « C’est quelque chose qu’on ne voit pas, ou qu’on ne voit plus parce qu’on l’a trop intégré, selon elle. Mais je suis très heureuse que le film arrive dans cet élan, qu’il en fasse partie. On vit une période spéciale et les choses ne seront plus jamais les mêmes ».
Pour faire rire et réfléchir, Eléonore Pourriat a choisi l’inversion des mondes et des situations. « C’est finalement assez classique mais très efficace. On le trouve dans le cinéma et le théâtre, déjà chez Marivaux et Shakespeare ». Le personnage principal, catapulté dans un monde où il est considéré parfois comme un objet sexuel, va devoir décoder cette nouvelle société pour séduire la femme (Marie-Sophie Ferdane), toute puissante, dont il est tombé amoureux. « Dès qu’on inverse des positions, c’est parlant, c’est jubilatoire et ça permet de parler en même temps des dysfonctionnements de notre société ».
Tourner un film pour une plateforme comme Netflix n’est pas si différent, explique Eléonore Pourriat: « Je l’ai réalisé comme un film de cinéma. La seule chose qui change un peu, c’est que l’on sait d’emblée que le film sera vu partout dans le monde donc, inconsciemment, j’ai dû me dire que les références à la culture française devaient être comprises un peu partout ».
Le film français a été tourné en France avec des comédiens français, ce qui fait la fierté de la réalisatrice qui a multiplié les aller-retours entre Paris et New York, ses deux villes de coeur. Arrivée à Brooklyn il y a quatre ans avec ses enfants et son réalisateur et écrivain de mari, Benoit Cohen, elle a des projets plein la tête. « Notre dernier film ensemble « Tu seras un homme » a reçu des dizaines de prix aux Etats-Unis et ça nous a permis de rencontrer beaucoup de monde ici: producteurs, agents, managers. On est venu pour changer d’horizon mais on a aussi envie de développer des projets américains ».
Béa Johnson, une Française en mission « zéro déchet » aux Etats-Unis
Figure de proue du mouvement zéro déchet, la Française Béa Johnson sera en tournée aux Etats-Unis pour une série de conférences. Elle sera le 17 avril à l’University of the District of Columbia à Washington.
Le discours de cette mère de famille californienne désormais conférencière dans le monde entier pour prêcher le zéro déchet est bien rodé et s’articule autour de cinq règles (détaillées dans son livre, Zero Waste Home, traduit en 22 langues).
« Tout d’abord, il faut refuser : dire non à l’échantillon gratuit, aux pailles…explique Béa Johnson dans un accent provençal. Ensuite, il faut réduire : se désencombrer des biens matériels qu’on peut remettre sur le marché au profit d’autrui. Il faut aussi réutiliser : remplacer le jetable par une alternative réutilisable qui existe pour tout, même pour les préservatifs et les tampons hygiéniques ! Et enfin, avec les déchets qu’on ne peut pas éviter, il faut recycler et composter. »
En suivant ces règles, la famille Johnson parvient aujourd’hui à produire si peu de déchets que leur poubelle annuelle tient dans un bocal d’un quart de litre ! Un exploit accompli avec deux adolescents à la maison…
Mais au-delà des règles, c’est un mode de vie que la Française tente de promouvoir. Un mode de vie qui peut sembler bien éloigné du rêve américain souvent synonyme de maison de banlieue, de grosse voiture et de caddies bien remplis, bref de société de consommation.
Pas vraiment des hippies
A priori, rien ne prédisposait les Johnson – un peu rapidement qualifiés de hippies par certains – à devenir la famille modèle du mouvement zéro déchet. Mais en 2006, un déménagement dans un logement plus petit les force à mettre la plupart de leurs affaires au placard et va changer la donne.
« En ne gardant que le nécessaire, on s’est aperçu que le reste n’était que du superflu », raconte Béa Johnson. Après avoir « désencombré » son foyer, le couple commence à revoir son mode de consommation : « ça a été une prise de conscience progressive qui nous a amené à découvrir un mode de vie plus simple, moins matérialiste ».
Cette simplicité implique néanmoins une certaine organisation pour gérer le quotidien, en particulier l’alimentation, grande source de déchets. Acheter dans les magasins en vrac est bien sûr un passage obligé, mais cela ne suffit pas, il faut aussi venir avec ses bocaux. Pour ce qui est du ménage, exit l’aspirateur et les essuie-tout à usage unique, pour un retour au balai et aux torchons découpés dans de vieux tissus. La règle étant de réduire, les garde-robes sont aussi minimalistes. Bref, ce sont tous les aspects de la vie qui sont affectés.
Les Français bons élèves
« C’est faisable partout et par tout le monde », assure pourtant la Californienne face aux sceptiques. Et d’insister : « nous vivons dans la société qui consomme le plus au monde, dans un comté où le nombre de déchet par habitant est très élevé et nous y sommes arrivés. »
Nul n’est prophète en son pays ? Dans le cas de Béa Johnson, l’adage ne vaut que pour le pays d’adoption, car la France, estime-t-elle, est « le hot-spot du zéro déchet ».
Même si le mouvement semble gagner du terrain aux Etats-Unis, où plusieurs villes et Etats envisagent de limiter ou d’interdire l’usage de pailles par exemple, il reste encore beaucoup de travail. « L’esprit de consommation est moins ancré chez les Français, et aux Etats-Unis, le zéro déchet met du temps à se développer, explique-t-elle. Plus largement, j’ai remarqué que cela se développe plus chez les francophones, en Belgique, au Canada et en Suisse par exemple, ce qui est peut-être dû à une appréciation pour les plaisirs simples, la bonne bouffe et la convivialité. »
Béatrice Martin fête Couperin au clavecin à Washington
350 ans, ça se fête. La virtuose française du clavecin Béatrice Martin jouera des morceaux de François Couperin à l’occasion de l’anniversaire du compositeur. Le programme comprend les “Barricades Mystérieuses”, composées en 1717 par le Français. Le concert aura lieu le mardi 24 avril au 28 Chairs à Washington.
Originaire d’Annecy, Béatrice Martin étudie le clavecin dès l’âge de 6 ans. Elle se forme auprès de grandes maîtres de cet instrument, comme Christiane Jaccottet au Conservatoire de Musique de Genève, Kenneth Gilbert et Christophe Rousset au Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Paris.
Elle a créé la classe de clavecin de l’École supérieure de Musique de Catalogne à Barcelone et est actuellement professeure invitée à la Juilliard School de New York.
"Piaf ! The Show" fait voir la vie en rose à Washington
Pas une, mais deux. “Piaf ! The Show” s’installe à la Maison française de l’Ambassade de France pour deux dates: les lundi 16 et mardi 17 avril.
Le musical, dans laquelle la chanteuse Anne Carrere occupe le rôle d’Edith Piaf, raconte la vie et l’oeuvre de la légende du XXème siècle. Inspiré du film “La vie en rose”, avec Marion Cotillard, “Piaf ! The Show” a été joué dans plusieurs dizaines de pays depuis sa création en 2015. Il s’appuie sur des images inédites du Paris d’Edith Piaf et, bien sûr, les chansons superbes qui ont fait la renommée de la légende.
Cherry Blossom à Washington: les plus belles photos sur Instagram
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¡ France – Spain ! mélange les arts à Houston
Une soirée qui mélange chant, guitare et peinture, avec un peu de rouge pour la route. La mezzo-soprano Anne-Lise Polchlopek et le guitariste Pierre Laniau unissent leurs talents artistiques avec la peintre française Agnès Bourely le temps d’une soirée très latine. ¡ France – Spain ! se tiendra le jeudi 19 avril dans l’atelier d’Agnès Bourely à Spring Street Studios.
La soirée de “concert-exposition” vise à apporter un peu d’Espagne et de France à Houston. Les deux musiciens joueront des morceaux classiques et contemporains signés Bernstein, Satie et même Pedro Almodovar. Une dégustation de vins est également prévue pour mettre tout le monde dans l’ambiance. Le tout au milieu des peintures abstraites d’Agnès Bourely.
Emmanuel Macron rencontrera les Français de Washington DC
Aussitôt mis en ligne, aussitôt partis. Il fallait être rapide pour prendre des tickets pour la réception avec Emmanuel et Brigitte Macron, prévue le mardi 24 avril à la Maison française de l’Ambassade de France. Les pré-inscriptions ont affiché complet en quelques heures, lundi 9 avril.
La réception s’inscrit dans le cadre du programme de la visite d’Etat du président français aux Etats-Unis, du 23 au 25 avril. C’est la première visite d’Etat d’un dirigeant étranger depuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir.
L’événement aura lieu à 4pm avant le grand dîner officiel prévu par la Maison-Blanche en présence de “dizaines” de VIP.
La veille, les Macron aura participé à un dîner à Mount Vernon, résidence du premier président des Etats-Unis George Washington. Ils seront en tête-à-tête avec les Trump, comme ils l’avaient fait à Paris en juillet dernier. Ils s’étaient alors donné rendez-vous au Jules Verne, restaurant étoilé de la Tour Eiffel.