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J'ouvre ma boulangerie à New York : épisode 5 – la fin

French Morning a suivi semaine après semaine le parcours de Noellie Hug, 35 ans, qui a décidé d’ouvrir une boulangerie en plein coeur de New York.
Après cinq mois de hauts et de bas, l’Alsacienne touche enfin au but. Dans ce cinquième et dernier épisode, elle et son équipe préparent leurs dernières recettes avant le jour J. Mais l’ouverture se passera-t-elle comme prévu ?
Pour rendre visite à Noellie et tester ses produits: Alsace Bakery, 213 W 40th St.
Retrouvez tous les épisodes de “J’ouvre ma boulangerie à New York”.

Sa grand-mère a survécu aux camps. Cette jeune Française en a fait un docu

Elle était la traductrice forcée du docteur Josef Mengele. Cet officier allemand, surnommé “Ange de la mort”, réalisa diverses expérimentations médicales meurtrières sur de nombreux détenus des camps. Aujourd’hui, Maryla Michalowski-Dyamant est le personnage principal du documentaire “NANA”. Il sera présenté à partir du vendredi 13 avril au Cinema Village.
Dans ce documentaire, l’histoire de cette rescapée des camps de la mort de Ravensbrück, Malchow et Auschwitz, est racontée par sa fille, Alice Michalowski, et sa petite-fille, Serena Dykman. Cette dernière, une Française de New York âgée de 26 ans, est aussi la réalisatrice du documentaire. Les deux femmes se sont rendues dans les endroits marquants de la vie de Maryla Michalowski-Dyamant, à la rencontre des personnages qui l’ont connue. Il en ressort un témoignage poignant sur cette rescapée qui a consacré sa vie d’après-guerre à parler publiquement de son sort aux jeunes, afin que l’horreur de l’Holocauste ne soit jamais oubliée ou répétée.
A travers ce projet, Serena Dykman veut relancer le combat de sa grand-mère, qu’elle a toujours surnommé “Nana”. « J’ai perdu ma grand-mère quand j’avais 11 ans et je savais qu’elle était rescapée des camps. Mais avant cet âge-là, on ne comprend pas vraiment ce que ça veut dire. Puis elle est décédée et, pendant une dizaine d’années, je n’y ai plus du tout pensé ».
Elevée entre Paris, Londres, Bruxelles et New York, Serena Dykman voyageait depuis quelques années avec le mémoire que sa grand-mère a écrit à la fin de sa vie. N’ayant jamais eu le courage de l’ouvrir, c’est après avoir été témoin des attaques terroristes au Musée Juif à Bruxelles et présente à Paris le jour des attentats contre Charlie Hebdo qu’elle décide de le lire. « Ces attaques m’ont touché personnellement car elles ont pris place dans les villes où j’ai grandi, se souvient-elle. J’ai lu le mémoire et j’étais très fâchée parce que j’avais tout à coup tellement de questions à poser à ma grand-mère mais que je ne le pouvais plus. J’étais fâchée parce qu’elle avait fait un travail tellement remarquable et elle n’était plus là pour le faire ».
Réalisatrice, productrice, scénariste, Serena Dykman s’est installée à New York en 2010. Ses deux parents, cinéastes aussi, lui ont transmis la passion et l’amour du 7ème art. Adolescente, elle s’inscrit à des cours de théâtre. Mais une formation à Londres va l’orienter vers le cinéma. Elle part étudier à la Tisch School de NYU.
Sa grand-mère était une activiste contre l’intolérance, le racisme et l’antisémitisme, mais dotée aussi d’un grand sens de l’humour, selon elle. « La majorité des survivants ne sont plus là pour faire ce travail et, dans quelques années, il n’y en aura plus du tout. Je me suis donc sentie investie d’une mission ». À la fin de son dernier semestre à NYU, la jeune cinéaste décide de commencer le tournage de “NANA”. Elle a reçu plus d’une centaine de témoignages de la part d’institutions et d’individus ayant connu sa grand-mère. « J’ai pu découvrir ma grand-mère quatorze ans après son décès grâce à ces archives vidéo ».
La cinéaste espère grâce à son film toucher un public jeune. “Mon but depuis le début est de l’amener aux nouvelles générations, dans les écoles, dans le circuit de l’éducation, qu’il soit utilisé comme outil pédagogique. Je serais heureuse qu’il soit vu par des gens entre 12 et 120 ans, et en dehors de la communauté juive”.

La FACC Dallas parle intelligence artificielle

L’intelligence artificielle (IA) vous inquiète, passionne, fascine ? La prochaine conférence de la Chambre de commerce franco-américaine de Dallas est pour vous. L’organisme accueille Stéphane Mallard, spécialiste de l’IA au sein de sa structure Blu Age Corporation et “évangéliste du digital” auto-proclamé, le jeudi 19 avril pour une conférence nommée “AIdapt: disrupt or be disrupted”.

Il parlera de l’importance pour les entreprises de bousculer les traditions dans leur secteur en utilisant les technologies digitales, en particulier l’intelligence artificielle, et comment elle peuvent mettre en place des stratégies de “disruption”. La conférence est ouverte aux non-membres de la FACC.
 

Un an de prison pour l’historien français voleur d’archives

Antonin Dehays, dont French Morning avait fait le portrait l’an dernier, vient d’être condamné par un tribunal du Maryland à 364 jours de prison et 43.457 dollars de dommages-intérêts pour le vol de nombreux objets ayant appartenu à des vétérans américains de la Deuxième Guerre mondiale. La décision de justice a été publiée mercredi 11 avril.
Passionné par le Débarquement, cet historien de 33 ans installé en banlieue de Washington depuis 2012, avait demandé à consulter les Archives nationales du Maryland sur les pilotes tombés face aux nazis. Découvrant, nous expliquait-il, une véritable « caverne d’Ali Baba » historique, Antonin Dehays finit malheureusement par se comporter comme les 40 voleurs.
En mai dernier, deux semaines après son dernier passage, les archivistes qui lui avaient donné le sésame signalent la disparition de 30 plaques d’identité militaires de pilotes – les fameux dog tags. Après enquête, il s’avère qu’entre 2015 et 2017 l’historien a dérobé près de 300 de ces plaques et plus d’une centaine d’autres divers objets pour les revendre sur eBay.
Vénal mais tout de même passionné, il a par ailleurs offert un des dog tags volés à un musée de l’Etat de Virginie, en échange de la permission de s’asseoir dans le cockpit d’un Spitfire, le mythique avion de combat anglais de la Seconde Guerre mondiale.
Pour ce délit « flagrant et moralement répugnant » selon les mots du juge, Antonin Dehays – qui a plaidé coupable – écope donc d’un an de prison, de trois ans de liberté conditionnelle dont huit mois d’assignation à résidence et de 100 heures de travaux d’intérêt général. Il devra aussi débourser 43.457 dollars pour dédommager les acheteurs qu’il a floués sur eBay.

5 endroits en plein air pour profiter des beaux jours à New York

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City Vineyard (TriBeCa)

A post shared by City Vineyard (@cityvineyardnyc) on Feb 15, 2018 at 11:10am PST

Pour apprécier New York, vous pouvez prendre de la hauteur en allant sur un rooftop, mais vous pouvez aussi aller sur les rives tranquilles de l’Hudson, où plusieurs bars vous attendent sagement au fil de l’eau. On aime particulièrement City Vineyard, le restaurant-bar à vins de City Winery. Cette structure située sur Pier 26 dispose d’un restaurant fermé et d’une terrasse, où l’on vient faire le point sur la vie en regardant le soleil se coucher. Si vous arrivez tôt, allez à l’étage pour profiter du rooftop et apprécier les plats à partager et la sélection de vins qui fait la réputation de City Winery. 233 West St, New York. 646-677-8350. Site

Studio Square (Astoria)

Studio Square
Studio Square

Il y a beaucoup de biergartens à Queens, mais s’il fallait en choisir un, ça serait Studio Square. Ce grand bar, divisé en plusieurs espaces, dispose d’une grande cour avec de longues tables de pique-nique. Elles sont parfaites pour accueillir les groupes d’amis assoiffés et faire des rencontres. Vous croiserez parfois des groupes de musique assurant l’animation depuis la scène au fond de la cour. Le, ou plutôt les six bars sur place servent une belle sélection de bières américaines et internationales, ainsi que de la nourriture de bar classique. 35-33 36th Street, Long Island City. Site

The Roof at Public Hotel (Lower East Side)

19222714_1373985805969842_4459717510911481052_oLe Public Hotel a ouvert l’an dernier avec l’ambition “d’offrir le luxe d’un cinq étoiles à prix modéré“, explique son propriétaire Ian Schrager. Niché au 18ème étage, son rooftop offre deux beaux espaces extérieurs décorés dans des tons clairs avec une vue imprenable sur Manhattan -chose plutôt rare dans le quartier. L’intérieur est plus “bling-bling” avec un bar couleur or, des tables en marbre et des néons bleus pour seul éclairage. Cocktails dans la moyenne des prix new-yorkais. Appelez avant d’y aller, l’endroit est souvent réservé pour des soirées privées. Public Hotel. 215 Chrystie Street. Site

Bricolage (Park Slope)

bricolageIl y a plusieurs raisons d’adorer ce gastropub vietnamien de Brooklyn: sa carte de plats raffinés et ses cocktails savoureux en sont une; son “backyard” coloré et bourré de plantes en est une autre. Commencez les hostilités en commandant les “rouleaux d’été” et enchainez sur l’agneau ou le porc. Les réservations sont conseillées car, malheureusement, beaucoup de locaux ont découvert cette bonne adresse avant vous. 162 Fifth Avenue, Brooklyn. Site

Fornino at Pier6

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Un endroit reposant pour admirer le coucher de soleil sur la Statue de la Liberté et  Lower Manhattan. Ce restaurant italien possède un espace intérieur et une terrasse, mais il vous faudra monter sur son rooftop pour profiter de la vue. La carte est à l’image de la décoration, simple mais réussie: pizzas à partir de 10$, bières à 8$. Les plus sportifs commenceront par une partie de beach-volley sur l’un des trois terrains environnants. Pier 6 Brooklyn Bridge Park. Site

Maxime Aubin et Alexis Buisson

La pâtisserie Bliss Délice carbure à Austin

Bonne nouvelle pour les gourmands. L’offre en pâtisseries françaises à Austin commence à sérieusement s’étoffer. C’est au tour de la Parisienne Séverine Nobis de lancer son activité Bliss Délice. Elle a lancé sa pâtisserie fin 2017, mais son histoire avec Austin est bien plus ancienne. « Je suis venue dès 1994 et j’ai eu un véritable coup de cœur pour la ville. Je lui trouve une odeur douce et sucrée »
Son installation ne s’est pas faite d’un seul coup. « Je laisse la vie m’offrir des opportunités, mais quand je les saisis, je ne lâche rien. C’est le mélange de mes origines malgaches et normandes. » Et il aura fallu que la chance s’en mêle et qu’ils gagnent leur carte verte à la loterie pour qu’elle, son mari (qui l’assiste dans les tâches administratives) et leurs deux enfants adolescents franchissent le pas.
A Austin depuis février 2017, cette ancienne directrice artistique dans une agence de publicité ne s’est véritablement lancée dans la pâtisserie qu’en 2009 «après mon deuxième enfant ». Elle qui a commencé à faire des desserts adolescente grâce à un livre de recettes offert par sa grand-mère « pour s’occuper et pour expérimenter » y trouve un moyen d’exprimer son sens du partage. Après un CAP, elle est formée par Cyril Gaidella, champion de France des desserts 2017, et Yann Brys, Meilleur Ouvrier de France pâtissier 2011, puis passe deux ans chez Dalloyau. Elle décide ensuite de monter des cours de pâtisserie pour les touristes de passage à Paris. « J’adore enseigner ».
Sa pâtisserie, elle la veut « simple, équilibrée, pas élitiste. Ce sont des desserts du quotidien. » Cette admiratrice du chef pâtissier Philippe Conticini tente de limiter le sucre dans ses productions : « tout est fait maison, sans colorant ni arôme artificiel. » Ses spécialités : le kouign amann revisité (avec moins de beurre et moins de sucre), le cannelé, la tarte à la framboise, la tarte au citron… Elle a aussi commencé à faire des desserts sans gluten.
Elle a commencé son activité dans un food truck, « mais on s’est rendu compte que ce n’était pas adapté à la vente de desserts ». Elle vend à présent à domicile (la carte est disponible sur son site web) et le samedi sur les marchés de la ville. Ses desserts sont aussi disponibles chez Paris In A Bite, Café Medici et Bento Picnic. Elle a également développé une activité de traiteur. « J’aimerais avoir plus de moyens car je commence à avoir du mal à répondre à la demande.» Elle admet profiter pleinement du changement d’Austin : « C’est bien pour nous car les goûts évoluent et s’affinent. Cela aurait été impossible d’ouvrir une pâtisserie française ici il y a 20 ans. »
Mais il reste encore du chemin. « C’est beaucoup d’éducation. Sans compter la difficulté d’approvisionnement. Je dois importer des ingrédients de France comme le chocolat, les purées de fruits, mais il faut savoir aussi adapter ses recettes. Cela correspond à ma philosophie. Les recettes doivent sans cesse évoluer pour s’améliorer. On essaie aussi d’offrir des produits aux normes de qualité françaises à des prix raisonnables

Les bijoux noués d'Anna Dubessy au Museum of Arts and Design

Pour tous les accros aux choses qui brillent, le Museum of Arts and Design présentera LOOT: MAD About Jewelry, son exposition annuelle et marché mettant en vedette les créations de 35 artistes émergents et confirmés, du lundi 16 au samedi 21 avril. C’est la 18ème édition de ce rendez-vous qui vise à rappeler au grand public que la joaillerie est aussi une forme d’art.
L’artiste d’origine franco-espagnole Anna Dubessy, fondatrice en décembre 2016 de l’atelier ARTDENOUER, viendra présenter sa collection de “sculptures à porter”. Intitulée “Close Up”, cette collection est composée de pièces faisant la part belle aux noeuds sous toutes les formes. Chaque pièce est forgée par la Maison Maluro, orfèvre parisien. La collection est déjà référencée chez Colette (Paris) et Isetan (Tokyo).

House of Small Wonder voit les choses en petit à Brooklyn

@Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent chaque semaine leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning
House of Small Wonder (77 N 6th St, Brooklyn)

Passer la porte de House of Small Wonder au coeur de Williamsburg, à l’angle de North 6th et Wythe, c’est un peu comme se retrouver dans une petite cabane chic à Bali.
Au milieu de la petite salle: un arbre, une cheminée, et beaucoup de plantes. On y sert une cuisine simple, qui mixe les classiques du brunch (croissants et autres viennoiseries, croque madame, petits sandwiches, oeufs brouillés…) et de délicieux plats japonais (sashimi sur riz gluant, curry de légumes…).
A l’origine, le restaurant s’appelait Anytime, était ouvert 24h/24 et se spécialisait dans la livraison de plats rapides, cigarettes et bières pour les artistes et hipsters du quartier. Un an après l’ouverture du restaurant, le propriétaire Shaul Margulies a rencontré celle qui allait devenir sa femme: Motoko Watanbe, une chercheuse originaire de Tokyo.
Ensemble, ils ont voyagé régulièrement au Japon et Shaul Margulies a découvert l’ambiance intimiste des lieux et les saveurs incroyables de la nourriture japonaise. Malgré le succès de la formule Anytime, ils décident de tourner cette page et ouvrent en 2006 Zenkichi, un restaurant caché où ils servent les plats traditionnels japonais qu’ils avaient envie de retrouver à New York.
House of Small Wonder suivra en 2010 dans l’optique d’offrir une carte simple et accessible à l’heure du déjeuner. Depuis 2015, le couple s’est installé à Berlin où il a répliqué le concept !

Le must-have: le sashimi zuke don – disponible en quantité très limitée, il faut arriver tôt !

Lecture du conte bilingue "Oooh La La !" à Greenpoint

C’est l’histoire d’un lapin nommé “Lapin” qui s’égare sur le chemin de la coopérative de carottes. Caroline Perry, une Française qui habite à Greenpoint, organise la lecture de son conte Oooh La La! (Ed. Léontine) le samedi 14 avril à la Woops! Bakeshop dans le quartier du nord de Brooklyn.
L’histoire, dont les illustrations ont été assurées par Félicité Parisot, est en français et en anglais. C’est le premier ouvrage de Caroline Perry, qui est par ailleurs l’auteure de nouvelles. L’auteure profitera de la lecture pour dédicacer son livre, qui s’adresse au 2-4 ans.
 

L'Alliance française de Pasadena explore les lois de l'univers

(Agenda partenaire) L’Alliance française de Pasadena accueille une conférence très spatiale. L’American Institute for Levinassian Studies organise jeudi 19 avril une conférence sur la réalité alternative qu’offre l’univers, où les règles de physiques traditionnelles sont remises en question par des concepts comme la physique quantique et la matière noire.
Chercheur en physique fondamentale et en cosmologie à CalTech, Sean Carroll viendra présenter les questions physiques et les mystères que soulève l’étude du cosmos. Ce spécialiste du cosmos a rédigé plusieurs ouvrages sur l’univers. Son plus récent est The Big Picture: On the Origins of Life, Meaning, and the Universe Itself.
RSVP avant le 16 avril: [email protected] or [email protected]. Un cocktail suivra la présentation.


Note à nos lecteurs: les agendas partenaires ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning, mais un texte écrit par ou sur commande d’un annonceur
 

6 camps d'été francophones à Los Angeles

L’été est loin, mais il faut déjà y penser, surtout si vous comptez mettre vos enfants en camps d’été. Comme chaque année, French Morning dresse sa liste des “summer camps” francophones à Los Angeles. Les inscriptions sont ouvertes. N’attendez pas!
Lycée Français de Los Angeles
summer camp lycee francais
Le cadre fait rêver : un immense jardin équipé d’une piscine et d’un terrain de basket. Le camp d’été du Lycée Français sera ouvert du lundi 18 juin au vendredi 27 juillet. Au cours des six semaines, les enfants (de 4 à 14 ans) multiplieront les activités en français telles que le théâtre, le yoga, les activités manuelles, l’informatique, le foot, les excursions à la plage ou au musée. Ils seront répartis en deux groupes : les Chipmunks pour les enfants en Kindergarten, et les Barracudas (de 6 à 14 ans). Pour être accepté, il faudra présenter le dernier bulletin scolaire avec une lettre de recommandation. Prix : 425 $/ semaine (excepté celle du 4 juillet, de 4 jours à 375 $). Lycée Français de Los Angeles, 3055 Overland avenue, Los Angeles. Plus d’infos sur le site du Lycée Français.
Le Petit Gan de Sophie
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Le camp d’été du Petit Gan, qui prend ses quartiers du lundi 2 juillet au vendredi 17 août, s’articule autour d’activités artistiques, sportives, de cours de cuisine et de “ploufs” dans la piscine. De 18 mois à 9 ans, les bambins sont répartis en groupes d’âge et suivent un enseignement ludique en français et hébreu. Les enfants (inscrits à cette préschool ou non) seront accueillis sur les campus de Beverly Hills et de Los Angeles. Summer Camp de 9 am à 3pm (avec des heures de garderie). Prix : de 1.400 (à L.A) à 1.900 dollars (à Beverly) le mois ; et à partir de 1.150 $ le mi-temps. Le Petit Gan de Sophie, 177 Robertson Blvd, Beverly Hills; ainsi qu’au 1071 S. Fairfax Ave. à Los Angeles. Plus de renseignements sur le site ou par email à [email protected]

“Summer Camp by the Sea” à l’Ecole Clairefontaine
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Si vous cherchez de la flexibilité, le camp de l’école Clairefontaine, à Venice Beach, est fait pour vous. Il aura lieu du lundi 9 juillet au vendredi 17 août, et peut-être suivi une semaine, un mois ou sur toute la période, par les enfants de 2 à 7 ans (qu’ils soient élèves de l’école ou pas). Les journées s’organiseront autour d’activités artistiques (théâtre,  broderie, chant) mais aussi du jardinage, des excursions à la plage et sport. Le tout en totale immersion en français. Summer Camp by the Sea, de 8 am à 6 pm (repas bio dispensés). Prix : de 305 $ pour trois demi-journées par semaine à 609 $ par semaine. Ecole Clairefontaine, 352 Westminster Ave, Venice. Informations et inscriptions ici.
Alliance Française de Los Angeles
L’association propose un summer camp nouvelle formule cette année. Du lundi 18 juin au vendredi 27 juillet, les enfants et adolescents (de 6 à 16 ans) pourront développer leurs compétences en français. Le programme est divisé en différents niveaux de langue. Ce camp version 2018 propose des camps d’été « à la carte », sur deux différents sites : journées entières à Culver City West Park (de 8:30 à 4 pm) composées de deux heures de classes de français le matin puis d’activités ludiques et créatives (cuisine, théâtre, arts, sport…) ; ou les matinées seulement (9 am à 1 pm) sur le site de l’Alliance Française avec des classes de français, ainsi que des activités d’expression et de mise en pratique. Prix : de 380 $ à 420 $ par semaine à Culver West Park, et de 250 à 280 $ à l’Alliance Française. Alliance Française, 10390 Santa Monica Boulevard, Los Angeles. Plus d’informations auprès de [email protected] ou sur le site.
Summer 4 fun à Richland Elementary
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Du lundi 25 juin au vendredi 3 août, l’école Richland (de 8: 30 am à 5 pm) se transforme en camp d’été. Sur le campus à l’ouest de la ville, les enfants entre 5 et 12 ans sont invités à exprimer leur créativité en français, au travers d’activités créatives, de jardinage, d’écriture… Chaque semaine sera rythmée par un thème : les magiciens, la francophonie, la cuisine, les minéraux ou la semaine des super-héros. Prix : de 75 $ la journée à 325 $ par semaine. Richland Elementary School,11562 Richland Ave, Los Angeles. Plus d’informations sur le site ou par e-mail via [email protected].
Deux camps au Lycée International de Los Angeles
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Cette année, le Lycée International de Los Angeles voit les choses en grand avec deux campus, accueillant deux niveaux (les enfants de 2 à 4 ans, et de la grande section au CM2). L’école du Soleil (campus de Los Feliz) aura lieu du lundi 18 juin au vendredi 20 juillet. Des sorties sont prévues le mercredi. Plus dans l’ouest, le OC French Summer Camp accueillera les enfants du lundi 18 juin au vendredi 27 juillet. Les six semaines de camps seront marquées par des thématiques comme l’Afrique, les contes de fées ou le monde des mers, au travers d’activités pédagogiques (découverte des mathématiques, musique, arts plastiques…) et en plein air. Ecole du Soleil, 4155 Russell Ave, Los Angeles. Prix : 95 $ par jour, 260 $ pour 3 jours par semaine (235 $ si inscription avant le 1er mai) et 375 $ par semaine (350 $ si inscription avant le 1er mai). OC French Summer Camp, 1838 N Shaffer St, Orange. Prix : 299 $ par semaine. Plus d’informations sur le site.

Le Museum of Selfies s'installe (temporairement) à Los Angeles

On n’arrête pas le progrès. La fièvre de l’autoportrait, ou “selfie”, a désormais son musée à Los Angeles. Créé par les concepteurs de jeux d’évasion Tommy Honton et Tair Mamedov, The Museum of Selfies est ouvert à Glendale jusqu’au 31 mai.
Dans ce musée 3.0, les visiteurs pourront explorer l’histoire de l’autoportrait depuis 40.000 ans à travers l’art, l’histoire, la technologie et la culture. Ils admireront notamment des statues imitant le célèbre “David” de Michel-Ange avec un smartphone rose à la main, une perche à selfie géante (un record) et le célèbre autoportrait du singe pris avec l’appareil du photographe David Slater.
Et, à l’instar de Happy Place ou du Museum of Ice Cream, le lieu sert surtout à se tirer le portrait sur des fonds originaux pour inonder votre Instagram. Beaucoup de visiteurs se sont laissés tenter par la salle de miroirs intitulée “You And Me Together”, par le trône de perches à selfies, la reproduction d’une vue aérienne de Los Angeles ou encore celle de la “Chambre à Arles” de l’artiste Vincent Van Gogh.
S’il conquit le public, ce musée pourrait s’exporter à travers les Etats-Unis. Pour cela, il faudra qu’il récolte un certain nombre de “likes”.