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Gagnez des places pour voir Christophe Maé à New York

Depuis 10 ans, il fait tourner les têtes en France – avec 4 millions d’albums vendus. Christophe Maé -Christophe Martichon de son vrai nom-, s’est décidé à faire craquer les Américains avec “On s’attache”. Il sera au Gramercy Theater le jeudi 3 mai dans le cadre de sa nouvelle tournée.
Live Nation fait gagner des paires de tickets aux lecteurs de French Morning. Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
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Le Groupe Canal+ part à la conquête des États-Unis

Le géant de l’audiovisuel français Canal+ fait ses débuts à la télévision américaine. Depuis près d’un mois, les téléspectateurs des États-Unis peuvent avoir accès aux programmes de Canal+ International et CNews, deux chaînes payantes françaises, distribuées sur le territoire américain par la filiale Thema America, basée à Miami.
« C’est un vieux serpent de mer qui, après avoir connu de nombreux reports, se concrétise enfin », se réjouit Patrick Rivet, 43 ans, directeur de Thema America. Le Parisien, installé depuis plus de deux ans à Miami, est aux manettes du développement du Groupe Canal+ sur le territoire américain, un projet resté pendant plus d’une quinzaine d’années dans les cartons. « Nous avons dû avancer pas à pas, raconte-t-il. Il ne suffit pas de créer une chaîne de télévision puis de s’en aller, il faut s’en occuper au quotidien et pour cela nous devions trouver un distributeur local ».
Ainsi, en 2016, le Groupe Canal+, via sa filiale Thema, rachète une société spécialisée dans la distribution de contenus basée en Floride. C’est la naissance de Thema America, première pierre à l’édifice de cet ambitieux projet. Puis, la stratégie commerciale s’est rapidement mise en place, se focalisant notamment sur une étude de marché approfondie. Et pour Patrick Rivet, le constat est sans appel. « Aux États-Unis, la plupart des communautés disposent d’une diversité de programmes diffusés dans leur langue depuis de nombreuses années, alors que les Français, eux, devaient jusqu’à présent se contenter d’une seule chaîne de télévision française ».
Afin de faire évoluer l’offre de diffusion, le Groupe Canal+ a élaboré la programmation de sa chaîne généraliste Canal+ International autour d’émissions de divertissement, de films, de séries et de magazines sportifs. « Nous proposons un contenu exclusif, entièrement réalisé en France, qui n’a jamais été diffusé sur le territoire américain », insiste le directeur de Thema America.
La chaîne d’information CNews, quant à elle, permet aux téléspectateurs aux États-Unis de suivre en direct toute l’actualité française. « Certains sujets importants aux yeux des Français, comme le décès de Johnny Hallyday par exemple, ne font pas la Une de CNN, souligne Patrick Rivet. Dorénavant, les téléspectateurs pourront suivre les événements majeurs tels qu’il se déroulent en France. C’est aussi un bon moyen de garder le contact avec son pays natal ».
Actuellement, Canal+ International et CNEWS sont disponibles dans les 22 millions de foyers raccordés à DirecTV, à condition de s’abonner, bien sûr. « Nous espérons étendre l’offre à d’autres opérateurs nationaux et ainsi couvrir l’intégralité du territoire américain d’ici deux ans », précise Patrick Rivet. Il annonce par ailleurs le lancement dans les prochains mois d’une troisième chaîne de télévision française sur le territoire américain : Studio Canal qui sera entièrement dédiée au cinéma français avec un catalogue de plus de 5.000 films.

A Los Angeles, la Show Gallery croit en sa vibe

De son ancienne utilisation comme “lieu à penser et d’expérience/ salle de réunion”, le local du 1515 N Gardner street a conservé son esprit créatif. Depuis mi-février, cet espace accueille la Show Gallery, “un lieu inattendu” de 110 m2 destiné aux oeuvres d’artistes internationaux.
Pour donner une seconde vie à cet espace, les propriétaires, le Belge John Gheur et la chanteuse Américaine POE se sont associés à deux “amies d’amis”, l’Allemande Katharina Baron (pour les relations presse) et la Canadienne Margot Ross (à la direction artistique). “Il était important de retourner aux Beaux arts. La qualité et la narration se sont perdus”, déplore John Gheur, qui a fait carrière dans la musique et le design.
Tous les mois, ce collectif invite un artiste choisi “au coup de coeur” par Margot Ross, qui a dirigé une galerie (Pangée) à Montréal, multiplié les expériences à Paris et travaillé pour plusieurs institutions de Los Angeles.
Jusqu’au 12 mai, la galerie ouvre ses portes à “New Mountain”, la nouvelle exposition de Sonja Schenk. Basée à Los Angeles, cette artiste explore le futur paysager de Los Angeles, entre utopie et dystrophie, au travers de onze peintures et deux sculptures. Le lieu a, au préalable, été inauguré avec les oeuvres spirituelles de la Française Loan Chabanol, actrice, mannequin et artiste. Puis, Margot Ross a amené un artiste issu du cinéma, Corran Brownlee, dont les dessins au fusain ont séduit nombre de célébrités telles que Kirsten Dunst ou Keira Knightley.
“Nous voulons laisser les artistes évoluer sur place, qu’il s’en serve comme d’un studio”, défend John Gheur. Pour faire vivre les expositions, le trio ambitionne également d’organiser des “pop-up” événements, tels que des concerts, des dîners et des projections.
“Ce qui nous différencie, c’est la vibe du lieu”, assure Margot Ross. La galerie fait partie d’un ensemble, positionnée entre la boîte de graphisme Signature Creative et le studio d’enregistrement appartenant également à John Gheur, dans cet “ouest secret” de la ville. “Dans ce quartier, il y a une rencontre entre l’art, la mode, la musique, la poésie, le cinéma.”

"La Tortue rouge" vient charmer Austin

Austin se met à l’heure du cinéma français. La “New French Cinema Week”, présentée en partenariat avec UniFrance et le festival Premiers Plans d’Angers, reprend ses droits du 25 au 29 avril à l’AFS Cinema.
Pendant ce festival, les cinéphiles d’Austin sont invités à découvrir des cinéastes francophones pas ou peu distribués aux Etats-Unis. A l’affiche cette année: le très poétique “La Tortue Rouge” (dimanche 29 avril, 1pm). Ce film d’animation de 2016, réalisé par Michaël Dudok de Wit, raconte l’histoire sans aucun dialogue d’un naufragé sur une île déserte qui tombe amoureux d’une tortue transformée en femme. Une oeuvre magique, qui plaira aussi bien aux petits qu’aux grands enfants.
Le reste du programme:

  • “Petit Paysan” (mercredi 25 avril, 8pm): ce film multi-césarisé met en scène l’inquiétude d’un fermier confronté à l’apparition de la maladie de la vache folle dans son cheptel
  • “Montparnasse Bienvenüe” (jeudi 26 avril, 7pm): une comédie sur la fin d’une histoire amoureuse. Réalisée par Léonor Serraille et une équipe créative quasi-entièrement féminine. La compositrice sera présente.
  • “The Correspondence Project” (jeudi 26 avril, 9:30pm): projection et concert autour d’une initiative d’échange culturel entre des cinéastes et des musiciens d’Angers et Austin.
  • “Custody” (vendredi 27 avril, 7:30pm): distingué au festival du film de Venise, ce film de Xavier Legrand avec Léa Drucker évoque le combat d’un couple pour la garde de leur enfant.
  • New French Cinema Week Shorts (samedi 28 avril, 1pm): séries de films courts par des réalisateurs francophones.
  • “Chez nous” (samedi 28 avril, 4pm): le réalisateur Lucas Belvaux examine la montée du Front National.
  • “En attendant les hirondelles” (samedi 28 avril, 7pm): une ode à l’Algérie et ses paysages. Avec la participation du réalisateur Karim Moussaoui.
  • “La Tortue Rouge” (dimanche 29 avril, 1pm): voir ci-dessus
  • “Félicité” (dimanche 29 avril, 5pm): une chanteuse congolaise est prête à tout pour payer les factures médicales de son fils hospitalisé dans ce film d’Alain Gomis.

"Macron a plus à gagner que Trump de cette visite d'Etat"

Emmanuel Macron arrive à Washington lundi 23 avril pour une visite d’Etat de trois jours, marquée par un discours devant le Congrès. C’est la première fois que Donald Trump accorde à un chef d’Etat ou de gouvernement les honneurs de cet événement très cérémonial, destiné à mettre en valeur l’amitié entre deux pays. Au-delà du symbole, quelles sont les implications politiques de ce déplacement ? L’analyse de Charles Kupchan, expert au Council on Foreign Relations (CFR) et professeur à Georgetown University.
French Morning: Quel intérêt Donald Trump trouve-t-il à inviter Emmanuel Macron en visite d’Etat ?
Charles Kupchan: Il voit en Emmanuel Macron son meilleur interlocuteur européen et lui rend la pareille de l’invitation du 14-Juillet en France. Les relations de Trump avec les leaders étrangers, notamment européens, sont assez mouvementées. Mais Macron s’est démené pour créer de bonnes relations avec lui, tout en restant ferme sur des sujets comme le nucléaire iranien ou l’Accord de Paris sur le climat. Il fait de son mieux, en étant conscient que tourner le dos à Donald Trump pourrait avoir des conséquences encore plus mauvaises.
Politiquement, cette visite peut aller dans les deux sens pour Macron. D’un côté, Trump n’est pas une personnalité populaire en France ou en Europe. Mais de l’autre, le président français a l’occasion de se montrer présidentiel. On lui accorde un honneur spécial. Même s’il sera critiqué, cela sera contrebalancé par la perspective de gains politiques dans son effort de rendre à la France un rôle plus visible et actif sur la scène internationale.
A-t-il plus à gagner que Trump de cette visite ?
Il a plus à gagner dans le sens où cette visite sera plus suivie en France qu’aux Etats-Unis. La plupart des Américains ne sauront pas qu’il est là et n’écouteront pas son discours au Congrès. Mais à l’inverse, les médias français la suivront de près. C’est aussi un moment crucial dans sa présidence. Macron essaie toujours de se prouver. Il est au milieu d’un combat avec les cheminots de la SNCF et d’autres syndicats. Cette visite peut l’aider à mettre un peu de vent dans ses voiles.
Du point de vue de Trump, il peut utiliser cette visite comme une manière de dire à ses critiques qu’il ne s’est pas mis à dos ses alliés et qu’il n’a pas isolé les Etats-Unis.
Doit-on s’attendre à ce qu’ils règlent leurs désaccords sur le maintien de l’accord sur le nucléaire iranien, le commerce ou l’environnement pendant cette visite ?
Aucun des sujets sur la table ne sera résolu. Macron a toujours dit qu’il allait continuer à travailler Trump sur la question du climat. Il l’évoquera certainement avec lui. Donald Trump est quelqu’un qui change d’avis. Il a exprimé récemment l’idée pour les Etats-Unis de rejoindre le TPP (Trans-Pacific Partnership, accord commercial avec les pays du pourtour du Pacifique) après y avoir été farouchement opposé. Mais je ne vois aucun signe de retour en arrière sur l’Accord de Paris.
La plus grande victoire pour Macron serait que Trump sorte de leur rendez-vous en disant: “Mon bon ami Emmanuel m’a convaincu de rester dans l’accord sur le nucléaire iranien”. C’est un sujet urgent car la deadline pour la certification approche à grands pas (le 12 mai, ndr). Je ne pense pas que cela se produira. Il aura plutôt tendance à prendre ses distances depuis que l’ultra-conservateur John Bolton l’a rejoint comme conseiller à la sécurité nationale. Mais voyons ce qui va se passer !
Les deux leaders affichent une relation de travail complice, franche. Macron a-t-il vraiment capitalisé sur cette relation quand on voit qu’il n’a pas été en mesure de faire changer d’avis son homologue sur beaucoup de sujets qui lui sont chers ?
Donald Trump met l’accent sur l’amitié et la loyauté. Dans ce domaine, Macron a du capital aux yeux du président américain car il s’est démené pour tendre la main à Trump alors que d’autres, comme Merkel, lui ont tourné le dos. De tous les leaders européens, Macron est le plus écouté par le président américain. Ce dernier a aussi tendance à être influencé par la dernière personne à laquelle il parle. Il est concevable que Macron puisse faire la différence.
J’espère que Macron lui parlera de l’Europe. Le président Trump ne comprend pas l’expérience européenne, son histoire après la guerre… Il a fait des commentaires dans le passé décrivant l’Union européenne (UE) comme un complot de l’Allemagne pour miner l’économie américaine. J’espère que le président français pourra faire comprendre l’importance de l’Europe comme partenaire, comme garant de la paix et moteur de croissance économique. C’est peut-être impossible car l’idée d’Union Européenne pourrait bien être incompatible avec les idées nationalistes de Donald Trump. Mais cela me dérange que le locataire actuel de la Maison-Blanche affiche de l’hostilité ou de l’indifférence envers le Vieux Continent, et a soutenu “Brexit”. En parler devrait être d’autant plus prioritaire pour Macron qu’il veut relancer l’Europe.
Propos recueillis par Alexis Buisson

Au District, les beaux jours s'annoncent gourmands

(Article Partenaire) Pour fêter l’arrivée des beaux jours, les chefs du District ont concocté des menus de saison au bon goût des terroirs français.
Cela commence au restaurant Beaubourg, la brasserie française du District. Le menu d’été met à l’honneur les produits de la mer (salade de poulpe, sardines, saumon, loup de mer grillé, tartare de thon…) Et si vous avez envie d’un peu plus audacieux, nous vous recommandons les différents plateaux de fruits de mer proposés.
Les plus gourmands pourront aussi profiter du bar à vins et du bar à fromages et charcuterie. Mais la grande nouveauté de la saison est le lancement du bar à macarons et la création de la zone “Café Gourmand”. Les nouveaux macarons sont fabriqués par Thierry Atlan, qui fait partie des 19 Meilleurs Ouvriers de France-Chocolatiers. Il est le seul de sa discipline à vivre à l’étranger. Retrouvez tous les menus sur le site du District.


Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Gagnez des places pour un Cyrano nouvelle version à New York

Artiste touche-à-tout qui chante de l’opéra, joue dans des films et fait de la comédie, David Serero monte une adaptation jazzy” de Cyrano de Bergerac, la célèbre pièce d’Edmond Rostand, au Center for Jewish History.
Les organisateurs offrent des tickets gratuits aux lecteurs de French Morning pour la performance du dimanche 22 avril à 7pm, soirée de clôture de la série de shows produite par le baryton, qui a notamment collaboré avec Jermaine Jackson. Participez au tirage au sort en rentrant votre nom dans le formulaire ci-dessous.
2018 est l’année parfaite pour jouer Cyrano puisqu’il s’agit du 150ème anniversaire du dramaturge Edmond Rostand et le centième anniversaire de sa mort.
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Petit guide des bonnes manières pour les Français à New York

Vous venez d’arriver à New York en vacances ou pour vivre ? Quelle que soit la raison de votre présence ici, ce n’est pas une raison pour se laisser aller et nourrir un peu plus les préjugés peu flatteurs sur les Français. Voici un petit guide des bonnes manières.
Ne blaguez pas avec les forces de l’ordre 
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N’insultez personne en français (ni en anglais d’ailleurs). Il y a forcément un francophone autour du vous

Ne piquez pas le taxi de quelqu’un

Ne vous arrêtez pas en plein milieu du trottoir pour prendre une photo
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Ne vous aventurez pas à marcher à contre-courant dans la rue au risque de perdre la vie
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Dans le subway, mettez vous sur le côté droit de l’escalator. À New York, il y a des files express et locales, même sur les escaliers mécaniques…
Ne doublez pas dans la file d’attente. Les New-Yorkais adorent faire la queue pour tout et rien, mais ils n’aiment pas la triche…

N’oubliez pas le pourboire au restaurant (enfin, de le laisser au serveur)
Ne fumez pas dans les parcs
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À Dallas, j'achète ou je loue ?

(Article partenaire) Vous projetez de vous installer à Dallas ? Sachez que vous  arriveriez dans l’un des marchés immobiliers les plus dynamiques des Etats-Unis. Selon le Bureau du recensement, plus de 100.000 personnes se sont installées dans la Metroplex ces dernières années.

Faut-il acheter ou louer en s’installant à Dallas ? Pour Carmen Ana Reyes, agente immobilière au sein d’Avangard Real Estate Services, il n’y a pas de doute: acheter reste encore la meilleure option. Voici pourquoi, selon cette professionnelle avec 31 années d’expérience dans l’immobilier (dont quatre à Dallas) et qui a vécu en France.

Les prix des maisons augmentent constamment

Ils ont connu une hausse de 90% ces dix dernières années et 40% ces cinq dernières, selon l’experte, spécialisées sur Dallas, Plano, Mesquite, Arlington ou encore Frisco. Cette augmentation est liée aux opportunités professionnelles en plein essor à Dallas et qui attirent de nombreuses personnes, “alors que l’inventaire de logements disponibles est limité, explique-t-elle. Si un expatrié reste sept ans ou plus, l’immobilier est susceptible de s’apprécier, tandis que louer n’apporte aucun retour sur investissement“.

Les taux d’intérêt sont encore bas

Il y a trois ans, le taux d’intérêt était de 3,8%. Maintenant le taux moyen est de 4,5%“, observe Carmen Ana Reyes. Une tendance liée à la demande croissante d’emprunts immobiliers. Malgré cette augmentation, ils restent à un niveau relativement bas. C’est donc le bon moment pour acheter.

De nouveaux logements se développent en banlieue

Comme la Ville de Dallas avait prédit le boom démographique“, elle a accordé de nouvelles incitations économiques pour encourager la construction de nouvelles maisons. Résultat: “de nouvelles communautés sortent de terre” en banlieue de Dallas, note-t-elle, comme The Tribute at the Colony.

Plus avantageux d’acheter

Dans les conditions actuelles du marché, Carmen Ana Reyes estime que l’achat est plus avantageux sur le long terme que la location. Elle prend pour exemple l’achat d’une maison de 204 mètres carrés pour 240.000 dollars. Le remboursement du prêt hypothécaire pour ce type de bien atteindra “1.224 dollars par mois” en cas d’un emprunt sur trente ans avec des intérêts à 5%. “La location de ce même bien pourrait atteindre 2.200 dollars par mois au moins, indique-t-elle. Les loyers mensuels augmentent car les propriétaires de condos utilisent la pénurie de logements actuelle“.
Pour en savoir plus sur les opportunités immobilières à Dallas et sa région, contactez Carmen Ana Reyes:
e-mail: [email protected]
214 – 521-7699 (office)

214 – 521 -7740 ( fax )
214 – 842-7769 (mobile)
Site


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"Certains l'aiment chaud" projeté gratuitement à Miami

Passez votre soirée avec Jack Lemmon, Marilyn Monroe et Tony Curtis. Le classique des classiques “Certains l’aiment chaud” sera projeté le mercredi 18 avril dans le cadre des SoundScape Cinema Series.
Inspiré du film français “Fanfare d’amour”, cette comédie romantique de 1959 raconte les aventures d’un groupe de musiciens obligé de se travestir pour échapper à la mafia.
Les projections sont gratuites et ont lieu en extérieur sur l’ExoStage du New World Center. La programmation du mois de mai inclut “La La Land”, “Wizard of Oz” et “Victor/Victoria”.

Barcelone, Liverpool, et un "remake" Real-Juventus cet été aux US

Le Real Madrid et la Juventus, qui ont livré deux matches épiques en quart de finale de la Ligue des Champions les 3 et 11 avril dernier (victoire 4-3 du Real sur l’ensemble des deux matches), s’affronteront de nouveau le 4 août aux Etats-Unis (Landover, Maryland) dans le cadre de l’International Champions Cup.
La compétition, qui rassemble les meilleures équipes européennes, est organisée sur plusieurs continents. L’édition américaine débutera le 20 juillet par le match Manchester City-Borussia Dortmund à Chicago dans l’Illinois. Parmi les temps forts, un autre “remake” de quart de finale de Ligue des Champions avec Manchester City-Liverpool le 25 juillet au MetLife Stadium d’East Rutherford dans le New Jersey (quart de finale remporté par les reds de Liverpool 5-1 sur l’ensemble des deux matches).
Barcelone, l’AS Rome, Manchester United et le Bayern Munich font partie des autres têtes d’affiche du tournoi. Le Paris Saint-Germain jouera cette année ses matches entre l’Europe et Singapour.
Les places pour l’International Champions Cup seront mises à la vente le 1er mai. Des pré-ventes sont en revanche disponibles dès maintenant en s’enregistrant sur ce lien.
Le programme complet des rencontres:
Chicago (Illinois)
Manchester City-Borussia Dortmund : 20 juillet
Charlotte (Caroline du Nord)
Liverpool-Borussia Dortmund : 22 juillet
East Rutherford (New Jersey)
Manchester City-Liverpool : 25 juillet
Pasadena (Californie)
AC Milan-Manchester United : 25 juillet
San Diego (Californie) 
Roma-Tottenham : 25 juillet
Pittsburgh (Pennsylvanie)
Borussia Dortmund-Benfica : 25 juillet
Philadelphie (Pennsylvanie)
Juventus-Bayern Munich  : 25 juillet
Ann Arbor (Michigan)
Manchester United-Liverpool : 28 juillet
Miami (Floride)
Bayern Munich-Manchester City : 28 juillet
Pasadena (Californie)
Barcelona-Tottenham : 28 juillet
Harrison (New Jersey)
Benfica-Juventus : 28 juillet
Miami (Floride)
Manchester United-Real Madrid : 31 juillet
Minneapolis (Minnesota)
AC Milan-Tottenham : 31 juillet
Arlington (Texas)
Barcelona-Roma : 31 juillet
Landover (Maryland)
Real Madrid-Juventus : 4 août
Santa Clara (Californie)
AC Milan-Barcelona : 4 août
East Rutherford (New Jersey)
Real Madrid-Roma : 7 août

Christophe Maé aux Etats-Unis: "J'ai besoin de m'aérer la tronche"

J’avais envie de repartir à zero, de jouer dans des petits clubs, de reconstruire quelque chose pour me changer les idées“. En France, Christophe Maé joue devant des dizaines de milliers de personnes et n’a pas de mal à vendre des albums. Mais aux Etats-Unis, où le chanteur entame le 25 avril une tournée pour la première fois de sa carrière (dates ci-contre), cela sera une autre paire de manches.
Loin des Zénith, qu’il remplit à ras bord, le Français se produira ici dans des salles plutôt intimistes. Et ce n’est pas pour lui déplaire. “Je viens des petits bars. Je veux retrouver l’ambiance des salles plus petites. C’est un retour aux sources que je ne peux pas faire en France“.
À 42 ans, et avec cinq albums commercialisés au compteur, la star reste bien consciente de ses racines. Révélé dans la comédie musicale “Le Roi Soleil”, il n’oublie pas qu’il aurait pu épouser une carrière très différente: pâtissier dans l’établissement des ses parents à Carpentras, sa ville natale. Son frère a repris l’affaire et le musicien, titulaire d’un CAP pâtisserie, y “repasse souvent“. Il n’a pas oublié non plus que son épouse Nadège, avec laquelle il a deux garçons, l’aidait “à porter les enceintes” à ses débuts pas si lointain dans la musique, bien avant qu’il n’imagine “On s’attache” et les récompenses.
Si Christophe Maé cartonne en France, il assure que sa “culture musicale” vient des Etats-Unis. “J’ai fait des piano bars pendant dix ans. Je jouais beaucoup de variété internationale: Tracy Chapman, James Brown, Ben Harper… J’ai même commencé à écrire des textes en anglais“, se souvient-il. En 2016, il a joué “Don’t look twice” avec Harper dans le cadre d’une émission de la radio Europe 1. “Comme pour Tracy Chapman, j’aime le côte organique de Ben Harper. Chez James Brown, c’est le groove et le talent de mélodiste“. Mais c’est Stevie Wonder qu’il cite volontiers comme l’une de ses plus grandes influences. “J’ai découvert un de ses albums à l’âge de 14 ans, quand j’étais atteint de polyarthrite. Il m’a donné envie de faire de l’harmonica. Je rêvais de devenir harmoniciste“.
Quand on lui a proposé il y a un an de faire une tournée aux Etats-Unis, “franchement, je n’ai pas hésité“. “C’est arrivé au bon moment. Mes enfants sont devenus des petits gars. J’ai besoin de m’aérer la tronche, d’aller voir d’autres musiciens, un autre public. Toutes les étoiles se sont alignées“, dit-il.
Pendant ce voyage, le chanteur entend faire plus que simplement présenter son nouvel album, “L’Attrape-Rêves”, qui lui a valu une nomination aux Victoires de la musique 2017: il veut “se nourrir“. Il en profitera pour assister pour la première fois au festival de musique Coachella et écouter des musiciens locaux pendant ses escales. “Ma conception de la musique, c’est le voyage. Je me nourris des musiques“.
C’est un virage. J’ai envie de prendre le temps, de ne pas tomber dans la spirale de me remettre en studio et repartir en tournée, avoue-t-il. La France est magnifique. J’ai eu un accueil magique et si je pouvais signer un contrat pour que ça dure à vie, je le ferai. Mais j’ai aussi envie de prendre le temps de vivre autre chose et de retrouver une sensation de liberté“.
“Marcel”, morceau issu de “L’Attrape-Rêves”, dédié à l’un de ses fils