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Oscar ou César ? Michel Hazanavicius dans #SixInTheCity

À l’occasion de sa venue en Floride au Miami Film Festival, le cinéaste français Michel Hazanavicius s’est prêté au jeu du #SixInTheCity.
Le réalisateur, qui a déjà signé de grands succès du cinéma, comme « OSS 117 » ou « The Artist » primé cinq fois aux Oscars, présentait son dernier long-métrage, « Le Redoutable », un biopic sur Jean-Luc Godard avec Louis Garrel et Bérénice Bejo.
D’autres stars françaises fouleront également le tapis rouge du Miami Film Festival qui se déroule jusqu’au 18 mars dans plusieurs cinémas de la ville. Près de 150 films, en provenance d’une cinquantaine de pays, figurent au programme de cette 35ème édition, dont huit productions françaises.

Un hommage en musique à Johnny au Standard East Village

Johnny Hallyday aurait certainement allumé le feu au Standard East Village s’il avait pu. C’est ce qui va se passer le mardi 27 mars dans le penthouse du fameux hôtel.
Six chanteurs se partageront la scène, accompagnés d’un groupe de musique, pour rendre hommage en musique à l’Elvis français. La soirée est organisée dans le cadre de l’Annie O. Music Series, lancée par Annie Ohayon, agente de plusieurs stars de la chanson.
Le programme va faire chavirer les fans de Johnny: “Ma Gueule”, “La Musique que j’aime”, “Tennessee”, “Noir c’est noir” ou encore “Marie” seront joués pendant l’événement qui se déroulera de 7 à 9pm. RSVP: [email protected] 

La Fondation Judd à New York, c'est du grand art

Donald Judd est un artiste plasticien touche-à-tout, icône des 70’s.
Ultra célèbre pour ses sculptures minimalismes, ce philosophe de formation, collectionneur passionné d’architecture, s’est distingué par ses critiques d’art et ses écrits visionnaires.
Il laisse un héritage artistique immense que ses enfants, Rainer et Flavin (en hommage à Dan Flavin son complice) s’attachent désormais à promouvoir au sein de la Judd Foundation, entre New York et Marfa au Texas.
La fondation trône à l’angle de Spring & Mercer Street dans un impressionnant “cast iron building”, acquis en 1968 par Judd (pour 50.000$, imaginez la culbute) dans le but d’y installer son atelier et sa famille.
Cette ancienne manufacture de textile sur cinq niveaux, conçue en 1870 par Nicolas Whyte, est une pièce maîtresse du quartier.
Récemment rénové en respectant les volontés et le style de vie ascétique de l’artiste, le bâtiment est un joyau architectural, doté d’une collection d’art contemporain à couper le souffle. La déco est composée d’oeuvres de Frank Stella, Ad Reinhardt, Alvar Aalto, David Novros, Lary Bell, Dan Flavin, John Chamberlain ou encore récemment Yayoi Kusama, exposées en toute simplicité.
La visite guidée en tout petit comité offre une immersion dans l’intimité de Judd, au travers de ses oeuvres, de ses engagements et de ses nombreuses collaborations!
On peut même prendre des cours de dessin dans son studio, un mercredi par mois. Quoi de mieux pour trouver l’inspiration que de s’asseoir à même le sol, sur ce plancher d’époque foulé encore aujourd’hui par les plus grands !

Et sinon ?

Comment? Vous ne connaissez pas encore The Selects Gallery? Pour vous faire pardonner, foncez admirer leurs tirages de photos de mode, en grands et très grands formats au show-room de Ligne Roset, 155 Wooster Street.  À 2 pas. Jusqu’au 25 avril.

Un petit creux ?

Échappez-vous de SoHo et filez déjeuner ou dîner au St Tropez Wine Bar dans le Village. L’attention donnée aux plats provençaux nous donne des frissons de joie! Un bon verre de rosé et hop, voilà l’été!

Et de quatre pour Choc O Pain

Ça commence à être une grosse machine”, reconnaît Clémence Danko. La Française derrière les très populaires boulangeries-cafés Choc O Pain est assise dans l’arrière-salle de son quatrième magasin, qui a ouvert en février dans le Tea Building, une résidence de luxe à Hoboken.
C’est le quatrième Choc O Pain ouvert par l’entrepreneuse, et le deuxième dans cette ville du New Jersey en plein essor depuis quelques années. Les deux autres se trouvent à Jersey City Heights et Jersey City. Au total, sa mini-chaine emploie plus de soixante personnes.
Cette quatrième adresse est arrivée sur son radar il y a un an, au moment de l’ouverture du troisième site. En février, une résidente du Tea Building l’a approchée pour lui faire part du départ de Ganache, un café logé au rez-de-chaussée de la résidence située dans le nord de la ville. “Je pensais qu’elle était un agent immobilier, alors qu’elle ne l’était pas, sourit Clémence Danko. Je lui ai demandé le prix, la superficie et comment le visiter. Elle ne s’est pas démontée et m’a dit qu’elle allait se renseigner“.
Cette ouverture est une nouvelle étape dans la carrière improbable de Clémence Danko dans la boulangerie. Issue d’une famille de “bons vivants“, elle ne parvient pas à trouver de travail dans le marketing agro-alimentaire à sa sortie d’école de commerce. Elle rejoint Novartis, le géant de la pharmaceutique, où elle s’occupe de logistique. Au cours de ses sept ans dans l’univers de la pharma, elle rencontre son mari, qu’elle suit dans son expatriation aux Etats-Unis. “J’ai commencé à réfléchir: what’s next ? Je savais que je voulais quelque chose de différent. Il m’a dit: tu as toujours voulu lancer ton affaire. Pourquoi pas maintenant ?
Non satisfaite de l’offre de boulangeries à Hoboken, où ils sont installés, elle prend des cours de management à l’école culinaire ICE (Institute of Culinary Education), de confection du pain à FCI (maintenant International Culinary Center), et travaille derrière le comptoir au Pain Quotidien. “J’avais tout à apprendre, je ne savais pas ce qu’était un latte ou un cappuccino“. Elle ouvre son premier Choc O Pain en 2011.
Son quatrième est relativement spacieux. Il est doté d’une salle principale lumineuse avec une trentaine de places assises. Une salle plus petite avec une grande table et des jeux pour enfants la jouxte. La boulangerie, située dans l’entrée, sert les grands classiques qui ont fait la réputation de Choc O Pain, lauréat du prix du public aux concours de la meilleure baguette et du meilleur croissant de French Morning en 2016 et 2018 respectivement. Les croissants et pains au chocolat faits sur place côtoient des kouign-amann, des chouquettes, des pains et d’autres petits délices. Des sandwiches à la demande sont aussi en vente – une manière de “booster le déjeuner“.
J’ai mes oreilles ouvertes pour la cinquième boulangerie”, prévient Clémence Danko. Mais il est toujours hors de question pour elle de traverser l’Hudson pour tenter sa chance. “New York reste unique. Il y a beaucoup de passage. C’est intense, trop intense pour moi. Ici, tous mes magasins sont à cinq minutes l’un de l’autre. On est dans une zone très dense en terme de population. Et il y a moins de compétition qu’à New York. Les loyers sont moins chers, dit-elle. Je suis bien ici“.

Risque de contamination à la rougeole à l'aéroport Newark

Si vous étiez à Newark lundi 12 mars, vous êtes peut-être repartis avec la rougeole.
Selon le Département de la Santé de l’Etat du New Jersey, où se trouve l’aéroport international, un enfant voyageant de Bruxelles et arrivé à l’aéroport (terminal B) ce jour-là était porteur de ce virus très contagieux. Il a ensuite pris un avion pour Memphis (Tennessee) depuis le Terminal C. Selon les autorités, toute personne présente à l’aéroport ce lundi-là entre 12:45pm et 9pm pourrait être contaminée. Les symptômes – fièvre violente, toux, yeux rouges et humides, nez qui coule, irritations de la peau – peuvent se déclarer tardivement, jusqu’au 2 avril. Un autre cas de rougeole avait été confirmé à Newark en janvier.
Si les symptômes apparaissent, les autorités recommandent de contacter un médecin avant d’aller dans une salle d’urgence. Les patients pourront bénéficier d’une prise en charge spécifique.
La rougeole ne présente pas de danger pour les individus vaccinés à double-reprise. Les personnes qui ne l’ont été qu’une seule fois ou pas du tout sont à risque de contamination. Le virus peut être mortel.
Un autre cas a été détecté à l’aéroport de Detroit, ont indiqué les autorités sanitaires du Michigan mercredi 14 mars. Les passagers présents dans le terminal nord l’après-midi du 6 mars ont pu être exposés.

DoubleOone, la start-up qui ouvre les portes des studios d'enregistrement

Cyril Guiraud et Boris Frochen, les deux co-fondateurs de DoubleOone, une start-up qui donne au public la possibilité d’assister à un enregistrement en studio, ont deux points communs : la musique et une expatriation à San Francisco il y a douze ans.
Cyril Guiraud était saxophoniste professionnel en Europe où il a tourné « avec Alpha Blondy (reggae), Eric Nolan (soul), Juan Rozoff (funk)… ». Il a décidé de traverser l’Atlantique pour « goûter aux joies de l’entrepreneuriat dans la Silicon Valley ». Boris Frochen, lui, pratique le violon depuis l’âge de 5 ans mais c’est son « profil de business development » qui l’a amené dans la Baie « pour bosser pour des start-up ».
Ce n’est qu’en juin 2016 que les chemins de ces deux mélomanes se croisent grâce « à un bon pote en commun ». Boris Frochen est alors responsable régional d’un opérateur de vente en ligne de voyages de luxe et Cyril Guiraud est directeur marketing de Flyr, une start-up de prédiction de prix des billets d’avion qu’il a co-fondée. Les deux Français sont tout de suite sur la même longueur d’onde. Ensemble, ils montent DoubleOone à l’été 2016 – « parce que Double0seven est déjà pris », s’amuse Boris Frochen. À l’automne, les deux entrepreneurs intègrent la première promotion de l’accélérateur The Refiners.
La start-up ne vend pas un produit ou une plateforme numérique, mais une expérience. « Le public se retrouve dans un studio d’enregistrement avec un casque sur la tête au milieu des instruments, des consoles de mixage et des câbles, c’est Star Treak…, décrit Cyril Guiraud. On fait entrer les gens dans un endroit où ils ne vont jamais avec une qualité sonore comme ils n’auront nulle part ailleurs ».
Les sessions d’enregistrement, qui ont déjà séduit près de 400 membres, se déroulent au Fantasy Studios de Berkeley ou au 25th Street Recording d’Oakland. Le prix d’une session live de 4 heures (25 personnes maximum) oscille entre 99 $ et 199 $. Il y a également un système d’adhésion, entre 49 $ et 159 $ par mois. « On loue les studios et on rémunère les artistes », souligne Cyril Guiraud qui précise que les séances sont aussi bien ouvertes aux groupes d’entreprises qu’aux fans du groupe de musique ou bien « à ceux qui veulent une idée date originale ».
Quant à la sélection des artistes : « Jazz, funk, soul, rock, electro, hip-hop… L’importance c’est la qualité, la capacité du groupe à raconter leur histoire », poursuit Cyril Guiraud. « On veut que les gens rencontrent les artistes au moment où ils sont le plus créatif afin de provoquer un échange et un partage d’émotions. Ce que ressent l’audience au moment de l’enregistrement rejaillit sur la musique produite, c’est une boucle vertueuse ».

DoubleOone fait office de label de musique et s’apprête à produire des contenus vidéo. « Studio Stories sera une série avec plusieurs épisodes où on va à la rencontre d’artistes locaux qui nous font découvrir leur culture, leur pays à travers sa musique », détaille Boris Frochen. Les deux passionnés imaginent filmer à 360°, un choix esthétique immersif afin, disent-ils, de « proposer un voyage dans le procédé créatif de l’artiste ».

À San Francisco, After Tomorrow fait dialoguer art, science et tech

« Dans un monde qui se caractérise par l’accélération du temps, l’innovation réinvente nos usages du quotidien. Aujourd’hui c’est déjà demain, l’urgence est donc de penser l’après-demain et de réfléchir au conséquence de ces innovations », raconte Juliette Donadieu, attachée culturelle du Consulat Général de France à San Francisco. En partant de ce constat, l’ensemble des services français de San Francisco lancent, ce mercredi 14 mars, la première saison d’After Tomorrow.
À travers des expositions, des conférences ou encore des résidences d’artistes, l’objectif est de « confronter les imaginaires artistiques, les recherches scientifiques avec la réalité technologique pour comprendre le monde d’après-demain », explique l’attachée culturelle. En préambule de cette programmation : une exposition organisée par la galerie re.riddle, à la Résidence de France du 14 mars au 31 août. Cinq artistes, dont l’artiste français Boris Labbé, y explorent les intersections entre art, science et technologie. After Tomorrow a également noué un partenariat avec le festival canadien dédié à la créativité numérique Mutek dont la première édition san franciscaine aura lieu du 3 au 6 mai prochain.
D’autres événements se voudront plus intimistes et auront pour but de « créer des liens entre les professionnels ». La résidence d’écrivains A Room with a View, accueillera fin avril, Sylvie Denis, célèbre écrivaine française de science fiction. « Elle passera cinq semaines à San Francisco pour écrire une nouvelle intitulée “San but, ni fin” qui traitera de l’impact des technologies sur le climat », détaille Juliette Donadieu. À l’occasion de la venue de l’auteure, des partenariats ont été scellés avec le Bay Area Book Festival (28 et 29 avril 2018) et l’université de Californie à Berkeley.
La saison d’After Tomorrow sera également l’occasion de « promouvoir l’innovation à la française qui se veut créative, ouverte, raisonnée et solidaire », poursuit Juliette Donadieu. Au-delà de l’approche transdisciplinaire, l’objectif est de « créer des points de dialogue et fédérer la communauté française et américaine sur toute la côte ouest, avec l’organisation d’évènements à San Francisco mais aussi à Portland et Seattle. »

Fusillade à Parkland: les élèves du Lycée Français de New York se mobilisent

Un mois après la tuerie de Parkland en Floride, le mouvement baptisé « National School WalkOut » encourageait les élèves à manifester à travers tous les Etats-Unis mercredi 14 mars.
Plus de 600 élèves du Lycée Français de New York ont répondu à cet appel en sortant de leur école à 10 heures pour manifester et rendre hommage aux victimes du massacre survenu dans le lycée floridien, où 17 personnes ont perdu la vie. Une initiative prise par trois lycéennes engagées: Tess Brogard, Lorenza Wolska de la Torre, et Blair Taller.
Fondatrices du groupe de discussion et d’action politique “Young Progressive Leaders”, les trois amies ont donné de la voix pour “une meilleure réglementation sur les armes“.

Visitez Vaux-le-Vicomte en restant à Dallas

Ça sera moins cher que de prendre un billet d’avion pour la France. L’organisme French Affaires et le Dallas Institute of Humanities and Culture organisent, le jeudi 22 mars, une visite – à distance – du célèbre château français en compagnie du meilleur guide possible: Alexandre de Vogüe.
Fils des propriétaires de ce monument datant de la moitié du XVIIème siècle, il parlera de l’histoire de ce château construit sur un site acquis par le ministre des finances de Louis XIV Nicolas Fouquet. Sa beauté rendit le souverain tellement jaloux qu’il décida de transformer Versailles dans la bâtisse luxueuse que l’on connaît aujourd’hui. Alexandre de Vogüe parlera aussi du livre Un jour à Vaux-le-Vicomte, qu’il a co-écrit. Il participera aussi à une réception et un dîner organisés le mercredi 21 mars par l’antenne de la French Heritage Society à Dallas.

"J'ouvre ma boulangerie à New York": épisode 2

French Morning suit semaine après semaine le parcours de Noellie Hug, 35 ans, qui a décidé d’ouvrir une boulangerie en plein coeur de New York.
Dans ce deuxième épisode intitulé “Le consultant”, Noellie Hug et le contractor Pascal Wiscour Conter vont devoir s’expliquer et trouver un accord sur le montant du devis, qui dépassse de 30.000 dollars le budget initial, pour que les travaux puissent enfin démarrer. Noellie va faire la rencontre d’un consultant en boulangerie, Kamel Saci, qui a de mauvaises nouvelles pour elle.
Retrouvez tous les épisodes de “J’ouvre ma boulangerie à New York” ici.
 
Et pour recevoir une notification dès la sortie d’un nouvel épisode, laissez votre e-mail ici:
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À Carthage Must Be Destroyed, on mange et on ne prend pas de photos

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Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning

Carthage Must Be Destroyed (222 Bogart St, Brooklyn)

Repéré par Davina Tan du collectif Pathport

Situé dans un entrepôt à l’est du très branché Williamsburg à Brooklyn, ce restaurant est un véritable paradoxe. La vaisselle et les murs couleur “rose millennial”, les grandes tables en bois, l’ambiance industrielle baignée de lumière, les toasts à l’avocat au menu…

Carthage Must Be Destroyed est un pur produit instagramable. Et pourtant, les photos y sont strictement interdites. Du moins, les prises de photos jugées “excessives” des cuisines et de l’intérieur du restaurant – on est tout de même autorisé à prendre son assiette, considérée comme un “espace personnel”.

Cette règle plus ou moins respectée (pour preuve: les nombreux clichés du restaurant sur Instagram) divise: elle agace les influenceurs mais ravit une autre clientèle, fatiguée des photo-shoots d’instagrameurs dans les cafés à la mode. Ouvert par un couple d’Australiens, la nourriture est saine, bonne et bio. Ouvert tous les jours de 9am à 4pm, on y va pour le petit-déjeuner ou le déjeuner. En fin d’après-midi, on peut même y prendre des cours de yoga par “Like a prayer yoga”.

Le must-have: “summer on a toast”

Socially Relevant 2018: handicap, paix et tampons à New York

C’est un festival de cinéma dont vous ne sortirez pas indemnes. “SR Socially Relevant” pour les intimes, est de retour à New York du 16 au 22 mars. Le concept: diffuser des films militants, destinés à mettre en lumière des combats sociaux et sociétaux et offrir des solutions positives.
Le cru 2018 comporte des dizaines de films, longs et courts, et des documentaires sur des sujets variés comme le handicap, le vieillissement, les femmes, les communautés “durables”, le conflit au Moyen-Orient… Ils seront tous diffusés à Cinema Village.
L’ouverture du festival, le 16, sera marqué par la projection du film allemand “Lou Andreas-Salomé:The Audacity to be Free”, qui se plonge dans la vie de cette auteure rebelle du XIXème siècle. Trente-cinq pays seront représentés pendant le festival. La France sera présente à travers le documentaire choc «Tampon, notre ennemi intime». Diffusé l’an dernier sur France 5, il explore les dangers des composants des tampons.