Montez sur le podium. Le réseau d’entrepreneurs français FrenchFounders s’intéresse à la fashiontech lors d’un apéro business le 27 mars dans un lieu qui sera communiqué aux participants.
Nicolas Reynaud, directeur du Fashion Lab du groupe Mulliez, et Gary Suid, le directeur des opérations et des magasins pour la marque Isabel Marant, parleront des efforts d’auto-réinvention du secteur de la mode.
Les non-membres de FrenchFounders doivent faire une demande de participation pour assister à l’événement.
Un "Business and Drinks" très "fashiontech" à Los Angeles
French in Motion, l'asso de networking de l’audiovisuel, arrive à D.C.
Après New York il y a deux ans, French in Motion s’attaque aujourd’hui à D.C. Bien implantée dans la Grosse Pomme avec une centaine d’adhérents et – entre autres – un partenariat avec l’Independent Film Week, l’association francophone de networking des professionnels de l’audiovisuel (réalisateurs, diffuseurs, scénaristes…) et du cinéma ouvre une antenne dans la capitale fédérale.
« On veut être un lieu d’échanges pour les professionnels francophones de la région et avec les professionnels en France qui auraient besoin d’aide et de mises en contact, explique Laetitia Giansily-Doyle, en charge de French in Motion à D.C. et elle-même représentante aux USA du catalogue de Terranoa, une société de distribution de documentaires. Au niveau de la fiction, DC n’est bien sûr pas au même plan que New York, mais pour ce qui est du documentaire, il y a beaucoup de choses à faire ici, d’autant plus qu’il y a énormément de chaînes de télé ».
Encore balbutiante, cette nouvelle non-profit washingtonienne n’a pour l’instant qu’une quinzaine de membres, mais a déjà noué contact avec Filmfest DC, le Festival du film de l’environnement et le DC Independent Film Festival afin de devenir partenaire.
« Le but est par la suite d’organiser des panels de discussion, de travailler avec les services culturels de l’ambassade, d’y faire des projections, de lancer des formations… », avance Laetitia Giansily-Doyle.
Le groupe Google de French in Motion
Egalité hommes-femmes: une projection-discussion à Washington
“Equité des sexes: sommes-nous nous en train de reculer ?” Le titre de la projection-discussion qui aura lieu le jeudi 15 mars à la Maison française de l’Ambassade de France peut surprendre alors que le débat autour de l’égalité entre les sexes est particulièrement vivace aux Etats-Unis.
Gerardo Porteny, président de la Young Minds for Gender Equality Foundation, et Frédérique Bedos, fondatrice de l’association Le Projet Imagine, participeront à la discussion animée par une journaliste du Washington Post. La conversation sera précédée par la projection de “Women and Men”, le film de Frédérique Bedos sur l’évolution des rapports hommes-femmes.
Gratuit.
Suivez le Top 14 de rugby sur TV5 Monde USA
Les amateurs de rugby ne seront pas orphelins. Après la fin du Tournoi des Six Nations (allez les Bleus!) le 17 mars, TV5 Monde USA commencera la diffusion du Top 14, le championnat de France de rugby.
Les festivités sportives commenceront le 24 mars dès 9:40am (EDT) avec un petit La Rochelle-Bordeaux Bègles au stade Marcel Deflandre. Les retransmissions auront lieu tous les samedis. TV5 Monde USA diffusera aussi les matches de la phase finale. Clermont-Ferrand est le champion en titre. Retrouvez le bilan de la journée de championnat les dimanche à 7:15pm EDT (4:15pm PDT) dans “Jour de Rugby”.
"La Mélodie" vient caresser les oreilles d'Harlem
La comédie dramatique « La Mélodie » de Rachid Hami, avec Kad Merad en tête d’affiche, sera projetée dans le cadre de la série Uptown Flicks au Maysles le jeudi 15 mars à 7 pm. Une rencontre avec le producteur Rachid Hami et un cocktail suivront le film.
Le synopsis : Simon, un brillant violoniste de 50 ans est choisi pour enseigner le violon à des élèves de 6e dans un collège parisien. Son arrivée est marquée par un début difficile à cause de ses méthodes d’enseignement très strictes et des collégiens turbulents. Mais Arnold, un enfant à la timidité maladive, est émerveillé par l’instrument, ses mélodies et sa gestuelle. Motivé par le talent de son jeune disciple, le professeur n’a plus qu’un objectif en tête : faire jouer les enfants à la Philharmonie de Paris.
Inspiré de faits réels, “La Mélodie” est un mélange entre “Les Choristes” et “Entre les murs”. Un message d’espoir qui rappelle le pouvoir de la musique sur l’Homme, et notamment les enfants.
Roland Lescure: "Personne ne détient le rayonnement de la France"
“France is back”, Américains accidentels, fiscalité: le député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure a répondu aux questions de Maudits Français-French Morning lors de son déplacement à Montréal, fin février.
Ce retour en circonscription intervient huit mois après l’élection de Roland Lescure sous les couleurs d’En Marche !. Ce début de mandat a été marqué par plusieurs dossiers “chauds” pour les Français de l’étranger, en particulier la question de la fiscalité, qu’elle touche les non-résidents dans leur ensemble ou les “Américains accidentels” rattrapés par l’IRS après l’adoption de la loi bancaire FATCA.
Lili Chopra, cerveau de la programmation du FIAF, rejoint le LMCC
Après presque douze ans à la tête de la programmation culturelle du French Institute Alliance Française (FIAF), Lili Chopra quitte son poste. Elle rejoint le Lower Manhattan Cultural Council (LMCC) comme directrice exécutive chargée des programmes culturels, des bourses et services à partir de début avril.
Organisme de soutien aux artistes, le LMCC organise notamment le fameux River to River Festival, qui prend place tous les ans dans le sud de Manhattan et sur Governors Island. Il opère également un programme de résidence à Paris et plusieurs ateliers de formation professionnelle pour les artistes.
Outre la programmation, Lili Chopra sera notamment chargée de superviser la campagne de rénovation et d’agrandissement du centre d’arts du LMCC sur Governors Island, l’île au sud de Manhattan, qui doit tripler en taille pour abriter de nouveaux studios d’artistes et des espaces de création. “C’est ce soutien à 360 degrés de la création artistique qui m’a intéressée, explique Lili Chopra. Selon elle, elle rejoint le LMCC à un “moment charnière“, où les programmes de soutien à la création n’ont jamais été aussi nécessaires face aux difficultés financières que rencontrent beaucoup d’artistes locaux. “Quand on m’a proposé de rejoindre le LMCC, ça avait beaucoup de sens pour moi. C’était une manière de continuer mon travail de soutien au processus de création“, dit-elle.
Au FIAF, la Française avait notamment lancé plusieurs initiatives remarquées, comme le festival pluridisciplinaire Crossing the Line, qui a fêté ses 11 ans en 2017, ainsi que le festival pour enfants Tilt, qui se déroule jusqu’au 18 mars. “Je suis très heureuse et sereine. C’était une aventure extraordinaire au côté de Marie-Monique Steckel (présidente du FIAF, ndr). C’est une institution très différente aujourd’hui. Il y a une reconnaissance inouïe des programmes dans le paysage créatif et à l’international. Au-delà des programmes lancés, je suis fière d’avoir pu inculquer aux équipes les valeurs de soutien aux artistes“.
Applications de dating : j'ai testé Tinder et adoré Happn
(Article partenaire) J’étais de nouveau célibataire, trois ans après. Alors après avoir séché mes larmes de crocodile, j’ai pris mes cliques et mes claques et suis parti m’installer de l’autre côté de l’Atlantique. Une nouvelle vie d’expat’ à New York, “ville des célibataires”, où j’ai enchainé les dates avec plus ou moins de succès depuis un an.
De nouveau prêt à construire une relation sérieuse aujourd’hui, j’ai sauté le pas en téléchargeant Tinder et Happn, deux applications incontournables aux Etats-Unis. Bilan des courses ? J’ai testé Tinder et adoré Happn.
L’utilisation de l’application
En swipant à gauche et à droite sur Tinder, j’ai l’impression de tourner sans fin les pages d’un mauvais magazine. Ce mode de présentation des profils est aussi addictif que chronophage. Sur Happn à l’inverse, les profils sont présentés dans un fil d’actualité à la Facebook, ce qui offre une vue d’ensemble et permet de gagner du temps.
Du réel dans le virtuel
Dans la rue, en terrasse, au boulot, en soirée… Grâce à l’hyper-géolocalisation, Happn me permet de rencontrer des filles que j’ai croisées dans la vraie vie et que j’aimerais retrouver. Après avoir réglé les mêmes paramètres de recherche que Tinder (sexe et âge), Happn me propose une suite de profils avec des photos et des précisions comme “croisée deux fois”, “croisée pour la première fois il y a 25 minutes”. J’aime ce mode de fonctionnement qui raccroche à la réalité. J’aime me dire que j’ai peut-être croisé la femme de ma vie dans le métro ce matin ou dans la rue hier soir, plutôt que sur une application.
La qualité contre la quantité
Un pote m’avait prévenu : “Tinder, c’est l’ubérisation du cul“. Il n’avait pas tort. Avec le swipe à gauche ou à droite de Tinder, j’ai vite tendance à liker des profils par dizaine, sans vraiment m’attarder sur les photos. J’engage ensuite des discussions à la pelle et me surprend à proposer des rencards le jour même à des filles que je ne connais même pas. Et le résultat du rendez-vous importe peu, car dès le lendemain, je passe à la suivante ! Happn a au contraire cette touche de romantisme à la française. Savoir que les filles présentes sur l’appli sont autour de moi me donne envie de m’attarder sur leur profil. La discussion qui suit est naturellement plus sérieuse, comme le premier rendez-vous.
Mes cinq premiers mois sur Happn m’ont permis de faire une belle rencontre. Abigail est une Américaine d’origine polonaise, et il se trouve qu’elle travaille dans le même bâtiment que moi ! Nous ne nous sommes vus que deux fois pour l’instant, mais qui sait ce que l’avenir nous réserve ?
Happn est disponible partout dans le monde, disponible en téléchargement gratuit sur Android et iOS.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Les parcs et jardins français poussent au Met
L’espace de quelques mois, le Metropolitan Museum se met au vert. Avec l’exposition “Public Parks, Private Gardens: Paris to Provence”, le musée new-yorkais invite les curieux à une balade bucolique dans les parcs et jardins français du XIXème siècle à travers des œuvres de cette époque. L’endroit recèle quelque 150 peintures, dessins, photographies ou encore gravures réalisés par des artistes qui trouvèrent dans ces espaces des lieux de détente et d’inspiration.
“C’est notre petit moment parisien au Met”, dit Susan Alyson Stein, spécialiste de la peinture européenne du dix-neuvième siècle et conservatrice de l’exposition qui ouvre ses portes le 12 mars. À l’entrée des lieux, une cour a été aménagée avec des plantes hautes, des bancs verts et une fontaine, recréant ainsi un square typique de la capitale française. À l’intérieur, les tableaux colorés de Claude Monet, Gustave Caillebotte, Camille Pissarro et Henri Matisse, entre autres, viennent rappeler aux visiteurs le plaisir simple d’un bouquet de fleurs et d’une étendue de pelouse.
Un plaisir que la France a fait sienne au XIXème siècle. À cette époque, l’intérêt de la population pour le jardinage s’est développé avec l’importation de plantes exotiques sur le territoire, comme en témoignent des sécateurs d’époque présentés entre deux peintures. Les idées révolutionnaires ont par ailleurs conduit les autorités à ouvrir les espaces naturels, autrefois réservés à l’aristocratie, au plus grand nombre. Les bois, comme ceux de Boulogne ou de Vincennes, en bordure de Paris, n’ont ainsi plus été les terrains de chasse des rois et ont été rendus accessibles à tout le monde, quelque soit le niveau social.
L’exposition documente ce bouleversement dans le mode de vie français. Alors que le printemps devrait bientôt faire bourgeonner Central Park, elle rend également hommage aux espaces verts qui ont inspiré la création de l’emblématique oasis de Manhattan, il y a plus d’un siècle. “Le Met se dresse dans Central Park, il était donc tout naturel pour nous de faire cette exposition”, commente Susan Alyson Stein.
Postulez au 10ème French American Entrepreneurship Award
Mis à jour avec la nouvelle date butoir pour le dépôt des candidatures
Dix ans que cela dure. Le concours franco-américain de start-ups French American Entrepreneurship Award est de retour. Les entrepreneurs intéressés ont jusqu’au 20 avril pour déposer leur dossier.
Comment ça marche ? Les candidats doivent parler couramment français et anglais, leur start-up doit avoir moins de trois ans, fournir un produit ou un service qui génère des revenus et cibler le marché américain. Quatre demi-finalistes seront désignés en mai et participeront à la grande finale du 25 juin à New York. Deux d’entre elles seront sacrées pendant la soirée. La jeune pousse arrivant en première place repartira avec un chèque de 10.000 dollars. Les deux premiers bénéficieront de séances de coaching pour aider leur développement américain.
L’an dernier, la compétition avait été remportée par Jean-Pierre Adechi, fondateur de l’app de transport Wheeli (qui a enregistré une vidéo avec quelques conseils pour postuler).