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Fabrice Jaumont présente sa "révolution bilingue" à l'Alliance française de L.A.

Fabrice Jaumont a un rêve : démocratiser le bilinguisme dans l’enseignement public américain.
Pendant des années, l’attaché éducatif et linguistique aux Services culturels de l’Ambassade de France à New York a formé les parents, francophones et autres, à faire une “révolution bilingue” dans les écoles new-yorkaises. C’est cette expérience qu’il livre dans The Bilingual Revolution: The Future of Education is in Two Languages (TBR Books, en français et en anglais) qu’il présentera et dédicacera à l’Alliance française de Los Angeles, le jeudi 15 février.
Véritable manuel pratique et détaillé à l’usage des parents désireux de voir leurs enfants bénéficier d’une éducation «bilangue», le livre retrace les parcours, échecs et réussites de parents, français et autres, qui ont voulu ouvrir un programme bilingue dans leur école.

Elvis ou Johnny ? Lara Fabian dans #SixInTheCity

De passage à Miami pour le premier concert de sa tournée internationale « Camouflage World Tour », Lara Fabian s’est prêtée au jeu du #SixInTheCity.
La chanteuse belgo-canadienne, qui a fait son retour dans les bacs en octobre 2017, est venue présenter son treizième album studio « Camouflage » qui comporte douze chansons uniquement interprétées en anglais. Un répertoire qui n’est pas nouveau pour la chanteuse polyglotte qui a connu un véritable succès mondial avec « I Will Love Again » ou encore « Adagio ».
Lors de cette tournée aux accents électro-pop, l’artiste n’en oublie pas pour autant ses fans francophones en interprétant notamment son titre phare « Je t’aime » durant son tour de chant.
Après une escale New York, Washington (le 7 février), Chicago (le 9) et Los Angeles (le 11), la chanteuse quittera le territoire américain et poursuivra sa tournée internationale en Russie avant de rejoindre l’Europe occidentale pour un concert prévu notamment à Paris en juin.

Fêtez le Nouvel an chinois au SAAM à Washington

Que vous soyez nés sous le signe du singe ou du cochon, vous êtes tous invités à célébrer le Nouvel an chinois 2018 au Smithsonian American Art Museum (SAAM), au coeur de Chinatown, le samedi 10 février. Dans le calendrier chinois, cette année est celle du chien.

Au programme de ce rendez-vous gratuit : un grand nombre d’activités pour les enfants et de spectacles typiquement chinois, une chasse au trésor liée à l’art et des ateliers artistiques pour confectionner ses propres lanternes en papier. 

De plus, en partenariat avec plusieurs institutions chinoises, le musée d’art accueillera des artistes de Chengdu, ville située au centre-ouest de la Chine, au pied du plateau tibétain, pour des représentations artistiques avec des acrobaties et de la musique traditionnelle.

Pierre Comizzoli, le papa français des pandas de Washington

Les scientifiques français expatriés aux Etats-Unis ne sont pas tous installés dans la Silicon Valley ou sur le campus du MIT. Spécialisé dans la reproduction des espèces menacées, Pierre Comizzoli a, lui, posé ses valises au cœur de la capitale fédérale : au National Zoo de Washington.
Cet ancien vétérinaire parisien a étudié à Maisons-Alfort, avant de basculer dans l’épidémiologie au Tchad. “Je suis arrivé à Washington en post-doc après mon PhD au Museum d’histoire naturelle à Paris. J’étais au départ juste visiting scientist, mais je ne suis jamais reparti“, explique-t-il, assis dans son bureau en plein coeur du zoo.
Depuis une quinzaine d’années, ce père de deux enfants (six et huit ans), désormais Américain et résidant à Capitol Hill, veille à ce que les animaux aient une descendance malgré leur captivité. Chose plus difficile pour les pandas du zoo – il y en a trois, un bébé et ses deux parents – que pour d’autres pensionnaires. « Le panda a une période de reproduction très courte, de dix jours. Mais en plus, il peut y avoir incompatibilité d’humeur entre le mâle et la femelle, et si le courant ne passe pas entre eux, ils peuvent en arriver à se battre, explique Pierre Comizzoli. On n’a jamais été bien sûrs que le mâle savait ce qu’il fallait faire avec la femelle, confie-t-il. Donc au bout d’un moment elle s’impatiente et ils deviennent agressifs… »

Mei Xiang lors d'une insémination artificielle (Mehgan Murphy/Smithsonian’s National Zoo)
Mei Xiang lors d’une insémination artificielle (Mehgan Murphy/Smithsonian’s National Zoo)

Les deux ursidés passent donc la période de reproduction séparés. Celle-ci s’avère au final plus intense pour les scientifiques que pour les animaux. « On ne veut pas manquer la fenêtre d’opportunité de dix jours alors, pour être sûr d’avoir un bébé, on les sépare et on a recours à l’insémination artificielle. »
Si la méthode n’est pas la plus simple, elle a malgré tout fait ses preuves. Tout en faisant chambre à part, Tian Tian (le mâle) et Mei Xiang (la femelle) ont, en 17 ans de vie commune, donné naissance à six petits. Trois ont survécu : Tai Shan est né en 2005, sa petite sœur Bao Bao en 2013 et le dernier, Bei Bei, il y a deux ans.
« Diplomatie du panda »
Malgré ces heureux événements, le zoo de D.C. n’a pas la garde des enfants puisque c’est la Chine qui est propriétaire de tous les pandas en captivité du monde. Ces derniers sont en effet prêtés dans le cadre de la « diplomatie du panda » de l’empire du Milieu, et leur descendance est retournée à la Chine après quelques années. Tout comme ses aînés, Bei Bei devrait donc bientôt prendre un aller simple vers le pays de ses ancêtres.
« Le deal, c’est que les pandas sont en location, on paye pour les avoir, mais on est aussi censés créer des programmes de recherche autour d’eux, sur la reproduction, la génétique, la médecine vétérinaire… », explique Pierre Comizzoli. Un travail scientifique à l’échelle mondiale qui paye puisque la Chine parvient désormais à réintroduire dans la nature des pandas nés en captivité. De plus, grâce aux politiques de protection, le panda n’est plus considéré comme une « espèce en danger » depuis 2016.
Quant à Tian Tian et Mei Xiang, leurs années à D.C. semblent comptées. « Ils arrivent dans leur vingtaine donc ça va être bientôt la fin au niveau de la reproduction », estime le scientifique français. Probablement remplacés dans quelques années, il ne leur reste plus beaucoup d’essais pour faire un petit quatrième. 2018, année de la réussite ?

Un docu sur les Harlem Hellfighters, héros noirs de la Grande Guerre, à Washington

C’est l’histoire des soldats afro-américains engagés aux côtés des militaires français dans la Première guerre mondiale. “Men of Bronze” raconte l’épopée des “Harlem Hellfighters”, ces hommes issus du 369ème régiment d’infanterie.
Le documentaire de 1977, qui sera montré le 9 février à la Maison française, s’appuie sur des photographies, des interviews de vétérans et des images d’archives provenant des Archives nationales françaises et américaines. Une discussion rassemblant des experts en jazz et une réception suivront la projection.
Gratuit mais RSVP obligatoire.

Le consulat de France à New York voit rose pour la Saint-Valentin

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Trouverez-vous l’amour au consulat de France ? Pour la Saint-Valentin, le consulat organise une soirée “A Pink Evening in the Pink Salon”, le mardi 13 février. Elle est ouverte aux couples et aux personnes à la recherche de l’âme soeur.
Le consulat promet une soirée “pétillante et douce“, arrosée au champagne rosé Pommery et aux chocolats de la Maison du chocolat, avec les décorations de Flowers & Creation. Plusieurs marques françaises présenteront leurs produits pendant l’événement, comme le parfumeur Sous Le Manteau (SLM) qui proposera un test pour déterminer quel est votre élixir d’amour, et le joailler Marbella qui fera gagner quelques-uns de ses bijoux de peau.

Pitchez votre start-up devant des VCs américains à New York

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C’est parti ! Le réseau d’entrepreneurs français FrenchFounders a lancé son appel à candidatures pour son 5ème “Start-ups to VCs” le 11 avril à New York.
Le principe: au moins dix start-ups à la recherche de financements en série A ou au-delà, sélectionnées par des PDG francophones, viendront pitcher en privé leur projet devant un parterre d’une trentaine de VCs français et américains. Trois des jeunes pousses sélectionnées se présenteront aussi lors d’une session ouverte au public, après une conférence d’une demi-heure sur la levée de fonds aux Etats-Unis.
Les candidatures doivent être déposées avant le 26 février. Pour postuler, un des fondateurs ou dirigeants doit être francophone et la start-up doit être en développement aux Etats-Unis. Côté VCs, l’édition de l’an dernier avait rassemblé des représentants de Canaan, Rubicon, Wells Fargo, Octopus et Flatiron Investors.
 
 

5 rooftops pour boire un coup au chaud à New York

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The Westlight

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Les afterworkers de Williamsburg ne seront pas déçus cet hiver. La fête continue à Westlight, le rooftop du désormais célèbre William Vale. Bien installés sur les fauteuils ou banquettes de son espace couvert, vous pourrez admirer une vue quasi-panoramique sur Manhattan, Brooklyn et Long Island City. Le rooftop se site au 22ème étage. Le menu est composé de snacks améliorés (et pas donnés) et de très bons cocktails entre 10 et 25 dollars. Le burger à 18 dollars est assez bon, de même que le hummus à la betterave. Westlight, William Vale. 111 N. 12th St. Site
 

Mr Purple

Crédit photo : pilotmadeleine.de
Crédit photo : pilotmadeleine.de

Dans ce rooftop situé au quinzième étage de l’hôtel Indigo dans le Lower East Side, les serveurs vous accueillent en chemise de bûcheron dans un décor fait de peaux de bêtes et de têtes de cerfs suspendues au mur. Sombre et très sonore, l’ensemble ressemble pourtant plus à une boite de nuit qu’à un chalet de montagne. Mais l’avantage de Mr Purple réside dans sa hauteur sous plafond et ses grandes vitres, offrant un panorama plaisant sur le One World Trade Center et l’Empire State Building, le tout à l’abris du froid. Privilégiez une visite en semaine pour avoir une place assise. Les prix sont dans la moyenne new-yorkaise : entre 12 et 15$ le verre de vin, 16$ le cocktail et 7$ la bière pression. Mr Purple, Hotel Indigo, 180 Orchard Street. Site

Penthouse808

penthouse

À French Morning, on aime bien vous donner des plans qui sortent des sentiers battus. Penthouse808, au Ravel Hotel, en fait partie. Situé près de l’East River à Long Island City (Queens), ce rooftop fait office de bar et restaurant, avec un grand espace couvert qui permet d’admirer la vue sur la skyline et le pont Queensboro bien au chaud. L’espace bar n’est pas très grand, mais le restaurant, tout autour, est plus spacieux. Ici, la carte est asiatique. On vous conseille la bouillabaisse de noix de coco-curry ou de vous laisser tenter par l’un des “rolls”. Les réservations sont conseillées, surtout le week-end où tout le quartier s’y retrouve. Penthouse808. Ravel Hotel. 8-08 Queens Plaza South. Long Island City. Site

Kimoto Rooftop

16422803_1643506375957658_2252361110422432016_oNiché au 24ème étage de l’hôtel Aloft dans le quartier de Downtown Brooklyn, Kimoto Rooftop offre une alternative reposante à l’agitation de Manhattan. L’hiver, on profite de sa terrasse chauffée et couverte qui offre une vue dégagée sur la Statue de la liberté et le Barclays Center. Côté table, la cuisine américano-asiatique de Kimoto Rooftop vaut le détour. On vous conseille le burger au boeuf de Kobe (16$). Les amateurs de bières apprécieront également le large choix de bières artisanales japonaises, laotiennes, chinoises, singapouriennes et taïwanaises (8$ en moyenne). Kimoto Rooftop, Hotel Aloft New York Brooklyn, 216 Duffield St, site.

The Lodge By STK

IMG_3516On vient moins à The Lodge pour sa vue que pour son atmosphère chaleureuse. Situé au quatrième étage de l’hôtel STK Meatpacking, dans le quartier du même nom, ce rooftop fait -comme Mr Purple- dans les tons montagnards. Mais l’endroit est plus petit et plus cosy avec son bois omniprésent et son éclairage tamisé. Si la fondue et la raclette ne sont malheureusement pas au menu, The Lodge propose d’appétissantes pièces de boeuf, comme le Sirloin (faux-filet) ou le Dry-Aged Delmonico (entrecôte maturée). Comptez entre 37$ et 67$ le plat. Vous préférez y aller pour un afterwork ? Optez pour un verre de merlot californien (14$). The Lodge by STK, STK Downtown, 26 Little West 12th St. Site

Le chocolatier Thierry Atlan lance sa propre marque

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(Article Partenaire) Installé depuis quatre ans à New York, Thierry Atlan fait partie des 19 Meilleurs Ouvriers de France – Chocolatiers au monde et est le seul de sa catégorie à vivre à l’étranger. Après plus de 10 ans en tant que consultant international, il écrit maintenant une nouvelle page de sa carrière à New York où il a lancé sa marque éponyme. Préparez vos papilles, vous allez déguster!
L’art du chocolat
Depuis sa découverte, le chocolat est considéré comme une confiserie noble. Que ce soit dans les barres, les bonbons ou les boissons, il est apprécié par beaucoup pour son goût et sa qualité. Mais la fabrication du chocolat est un processus long et complexe qui nécessite des années d’expérience. Pour Thierry Atlan, fabriquer du chocolat, c’est utiliser des produits d’une qualité exceptionnelle et être capable de créer la combinaison parfaite entre les saveurs d’une ganache ou d’un praliné et le chocolat. “Du cacao aux truffes, chaque ingrédient utilisé dans la confection de nos chocolats est rigoureusement sélectionné”, explique-t-il.
Le savoir-faire et la passion de Thierry Atlan l’ont toujours poussé à réinventer ses collections de chocolats en recherchant la meilleure qualité. Il y a 35 ans, il est entré dans la chocolaterie de Mr. Charpot à Troyes, où il a fait son apprentissage, et est tombé amoureux de la matière. Pour lui, travailler le chocolat, c’est partager ses passions du goût et de la maîtrise.
chocolat
Histoire d’une transmission
En 1990, Thierry Atlan commence à travailler pour la prestigieuse Maison Lenôtre en tant que chocolatier. Avec l’aide de l’école et au travers de ses rencontres, il devient Meilleur Ouvrier de France en 1997, et premier MOF chocolatier de Lenôtre. Après avoir reçu son titre prestigieux, le Français devient directeur du département recherche et développement pour le chocolat et professeur à l’Ecole Lenôtre. Il quitte cette dernière en 2000 et commence à travailler pour Disneyland Paris en tant que chef chocolatier de tous les hôtels du parc.
En 2003, il fonde son entreprise de consulting et travaille avec plus de 100 entreprises à travers le monde sur une période de 10 ans. Au fil du temps, il a appris à s’adapter aux goûts culturels et aux ingrédients des différents pays dans lesquels il a travaillé. Mais il a gardé une mission en ligne de mire: éduquer le public sur la qualité du chocolat à la française. “Parce que le chocolat est associé au plaisir, les émotions apportées par chaque bouchée sont un aspect important de la confection de nos chocolats. Chaque recette a été élaborée avec le temps pour trouver l’équilibre parfait entre goût et texture.” 
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Sugar and Plumm
Thierry Atlan est aujourd’hui vice-président de Sugar and Plumm, grossiste haut-de-gamme créé par Lamia Jacobs. C’est une équipe de chefs pâtissiers et chocolatiers pourvoyeurs de tout ce qui est délicieux et gourmand! C’est le choix des meilleurs ingrédients pour une qualité incomparable. Sous Sugar and Plumm, Thierry Atlan a lancé sa propre marque de chocolat de luxe alliant savoir-faire français et goûts américains.

Happy Mother's Day! #chocolatebag #mothersday #edibleart

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Legolas Exchange: Frédéric Montagnon s'aventure dans les crypto-monnaies

Fiabilité aléatoire, frais de transaction onéreux et risque de hacking: les plateformes d’échange de crypto-monnaies ont parfois mauvaise réputation. Et les monnaies virtuelles type bitcoin sont également citées dans des affaires de blanchiment. “Malgré tout, ce qui se passe est très intéressant et ce serait dommage de passer à côté. Ces monnaies virtuelles sont en train de révolutionner le monde de l’information et du software tel qu’on le connaît“, résume Frédéric Montagnon, entrepreneur installé à New York.
Avec son associé, Ouziel Slama, le Français vient de fonder Legolas Exchange, une plateforme d’échange transparente entre crypto-monnaies. “On veut apporter de la confiance dans ce marché où les investisseurs traditionnels n’entrent pas, trop effrayés ou trop hésitants pour des raisons de transparence“. Legolas, dont le nom est inspiré d’un personnage du Seigneur des Anneaux, utilise la technologie “blockchain” de transmission de données sans contrôle extérieur pour garantir le prix à l’acheteur et au vendeur de crypto-monnaies, avec une transparence totale sur la marge.
Legolas a déjà levé l’équivalent de 25 millions de dollars (soit 3.504 Bitcoins au 5 février 2018) lors d’une vente publique et deux privées. La vente publique a atteint son plafond en moins de neuf heures, récoltant près de 18 millions de dollars (2.000 BTC) et rassemblant près de 10.000 personnes dans 130 pays différents. Cette levée de fonds servira à agrandir l’équipe d’une trentaine de personnes, basée entre New York et la France. Une autre partie de la levée sera consacrée à la monnaie créée par Legolas, le LGO.
Pour nous, il y a une double opportunité, reconnaît Frédéric Montagnon, co-fondateur de la plateforme de blogging OverBlog et d’autres start-ups à succès. La première est de se positionner sur ce créneau avec un angle qui n’existe pas aujourd’hui. La deuxième est de travailler avec des investisseurs qui, pour le moment, n’osaient pas rentrer pour des questions d’opacité. C’est un nouveau marché qu’on ouvre“.
 

"Libérez Weinstein": Saturday Night Live se paie Deneuve et Bardot

Catherine Deneuve et Brigitte Bardot (ou plutôt les comédiennes Kate McKinnon et Cecily Strong) étaient dans l’émission Saturday Night Live pour expliquer ce qu’elles reprochent à #MeToo.
En janvier, les deux actrices françaises ont fait partie des 100 signataires d’une tribune dans Le Monde critiquant le mouvement anti-harcèlement sexuel, provoquant de nombreuses réactions d’indignation aux Etats-Unis où ce mouvement a vu le jour.
Kate McKinnon et Cecily Strong s’en sont donné à coeur joie en imitant les deux actrices avec un bel accent français. “Pourquoi une femme a-t-elle des seins ? Pour permettre aux hommes de les prendre et les tirer, dit la fausse Brigitte Bardot jouée par Kate McKinnon. Les armoires ont une poignée. Les femmes ont deux poignées“.

Gagnez des places pour chanter avec Carla Bruni à New York

Après Jane Birkin et Lara Fabian, un autre grand nom de la chanson française vient rendre visite aux New-Yorkais. Carla Bruni jouera à Town Hall le vendredi 16 février. French Morning et BureauExport New York vous proposent de gagner deux paires de tickets pour ce spectacle, pendant lequel l’ex Première Dame chantera son nouvel album “French Touch” de classiques du rock re-visités.
Pour participer au tirage au sort, il faut remplir le formulaire ci-dessous:
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