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5 choses à faire pendant le week-end de Thanksgiving à San Francisco

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Si la dinde de Thanskgiving ou le shopping effréné de Black Friday ne sont pas votre tasse de thé, pas de panique: le long week-end réserve bien d’autres activités, pour s’aérer le corps et l’esprit. Voici notre sélection.

On enterre le Summer of Love

Les illuminations commémorant les 50 ans du Summer of Love animeront la façade du Conservatoire des fleurs une dernière fois le dimanche 26 novembre. Depuis le 21 juin, fleurs et spirales psychédéliques du spectacle “Photosynthesis” s’allument dès la nuit tombée, en plein coeur du Golden Gate Park, pour célébrer le Flower Power. Elles devaient s’éteindre le 21 octobre, mais le succès rencontré par ces illuminations a permis leur prolongation jusqu’à Thanksgiving. Dimanche 26 novembre, de 9pm à 12am. 100 John F Kennedy Dr, San Francisco, CA 94118.

A la découverte des Redwoods

40 parcs californiens offrent l’entrée gratuite aux amoureux de la nature qui veulent se promener au milieu des séquoias géants. Organisée par la Save the Redwoods League, cette journée en pleine nature vise à sensibiliser les visiteurs à la préservation des forêts qui ont été décimées à la fin du XIXe siècle, le bois étant utilisé pour bâtir les villes nées de la ruée vers l’or. Les places sont limitées, et certains parcs affichent déjà complets, mais c’est une bonne occasion pour en découvrir des plus confidentiels. Vendredi 24 novembre. Site.

On se met dans l’ambiance de Noël

Au Fairmount Hotel, la maison en pain d’épices qui orne le hall de l’hôtel pendant les fêtes sera visible à partir du samedi 25 novembre. Plus de 7 mètres de haut sur 10 de large, 10 250 briques en pain d’épice, et 750 kilos de bonbons seront nécessaires pour construire cette maison victorienne de 7 mètres de haut sur 10 de large. Attention, on ne se régale qu’avec les yeux! A partir du samedi 25 novembre, 950 Mason Street, San Francisco, CA 94108. Site

Aussi, l’illumination du sapin d’Union Square aura lieu le vendredi 24 novembre à 6:30pm.

On glisse

Pour la plus grande joie des enfants, une piste de luge sera, cette année encore, installée devant la mission de San Rafael, et 40 tonnes de neige acheminées spécialement pour l’occasion. On pourra y glisser sur les luges fournies par la ville, de 12pm à 4:30pm, et de 6pm à 8pm, après la parade du Père Noël. Vendredi 24 novembre. A street, San Rafael, CA 94915. Site

On se croit sur Broadway

La comédie musicale “Aladdin”, produite à Broadway, prend ses quartiers d’hiver à San Francisco. Adaptée du film produit par Disney, elle transporte les spectateurs dans un Orient où les gamins des rues deviennent des princes grâce un tapis volant et un génie sorti d’une lampe. Le rôle principal est tenu par Adam Jacobs, originaire d’Half Moon Bay, et qui le jouait déjà dans la production originale à Broadway. Les 24, 25 et 26 novembre. Orpheum Theatre, 1192 Market St., San Francisco, CA 94102. Billets

5 choses à faire pendant le long week-end de Thanksgiving à New York

Penser avec Rodin au Brooklyn Museum

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photo: Justin Van Soest

L’exposition “Rodin at the Brooklyn Museum: The Body in Bronze” ouvre le 17 novembre dans le célèbre musée de Brooklyn, juste à temps pour apporter une pincée de culture dans ce monde de dindes. Cent ans après la mort du maître, le Brooklyn Museum montrera 58 de ses sculptures de bronze jusqu’au 22 avril.

Shopping au marché de Noël d’Union Square

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La fin d’année est fatigante. La dinde à peine avalée, il faut déjà penser aux cadeaux. Plusieurs marchés de Noël seront ouverts pendant le long week-end de Thanksgiving. Allez faire du patin à glace et boire du chocolat chaud à Bryant Park ou faire vos courses à Union Square, dont le “Holiday Market” ouvre le 16 novembre. Bijoux, peintures, photos, jouets: vous y trouverez plein de bonnes idées pour tous les prix.

Marche digestive à Storm King

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On sait: on met souvent Storm King dans nos bons plans. Mais si vous aimez vous défouler et vous cultiver en même temps, c’est l’endroit idéal. Le grand parc truffé d’objets et d’installations artistiques au nord de New York sera fermé le jour de Thanksgiving. Mais pas le reste du long week-end. Profitez-en pour apprécier l’installation “Outlooks: Heather Hart”, un toit posée sur la pelouse qui donne la sensation d’une maison immergée dans l’herbe. Celle-ci sera visible jusqu’au 26 novembre.

Une toile au Metrograph

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Quitte à “comater”, autant le faire devant un bon film. Et quitte à voir un bon film, autant le faire dans un bon cinéma. Le cinéma indépendant du Lower East Side Metrograph sera ouvert pendant le long week-end de Thanksgiving. Parmi les films à l’affiche, “les Incorruptibles”, de Brian de Palma, vous replongera dans la traque d’Al Capone (joué dans ce chef d’oeuvre par Robert de Niro) par Eliot Ness (Kevin Costner) et le policier Jimmy Malone (Sean Connery).

Cocktail à Dear Irving

Dear Irving Instagram
Dear Irving Instagram

Le long week-end de Thanksgiving, New York se vide. C’est l’occasion de profiter des endroits qui sont pris d’assaut en temps normal. Le bar à cocktails des créateurs du très populaire speakeasy Raines Law Room, Dear Irving (55 Irving Place), fait partie de ces lieux-là. Inspiré du film “Midnight in Paris” de Woody Allen, il offre aux clients quatre ambiances correspondant à des périodes historiques différentes. On aime particulièrement le salon Gertrude Stein. Situé en haut de marches, Dear Irving se veut discret, presque caché. Impossible de voir à l’intérieur depuis la rue. Les cocktails sont à 16 dollars, les plats entre 10 et 17 dollars. Idéal pour un “date”.

Le Comité Officiel de San Francisco fait peau neuve

Le Comité Officiel qui regroupe 75 associations de langue ou de culture française de la Baie de San Francisco fait peau neuve. Le bureau a été entièrement renouvelé le 14 novembre dernier. « Une première depuis des dizaines d’années », souligne le nouveau président Georges Vieux qui succède à Charles Segalas. Chloé Soroquère et Gilbert Sonet sont nommés à la vice-présidence, et Sina Tabesh, à la trésorerie et au secrétariat.
Le Comité Officiel a vocation à réunir les associations pour organiser le banquet et la fête populaire ouverte de Bastille Day, explique Georges Vieux qui affiche sa volonté de « faire revivre l’histoire » de la structure créée en 1880.
Son premier président était un certain Raphaël Weil, fondateur du grand magasin “The White House”. La toute première célébration s’est tenue le 14 juillet 1880 au Woodwards Garden à San Francisco. En 1897, le maire de l’époque, James D. Phelan, prononçait ces quelques mots : « San Francisco est l’une des villes les plus cosmopolites du monde. Et dès le début, la population française a contribué à son développement ».
Pendant des décennies, Bastille Day a attiré les foules mais l’enthousiasme s’est un peu perdu avec le temps. « La dernière fête du 14 juillet ouverte au public date d’avant les années 80. En 2017, nous avons fait renaître l’événement grâce à un soutien très fort du consulat. Nous avons dépassé les 2000 personnes sur l’ensemble de la journée », salue le nouveau président qui espère doubler la fréquentation l’an prochain, notamment en attirant plus d’exposants dans le domaine culinaire. « À un Irlandais, on parle de la Saint Patrick, à un Italien de Columbus Day. Alors quand on voit un Français, on doit penser Bastille Day ! »

La 36ème édition de « La Soirée » à San Francisco en photos

Bouchées apéritives, charcuterie, fromages, saumon fumé, le tout accompagné de vins blancs, rouges, rosés et pétillants, avec des macarons et des crèmes desserts…. Près de 800 convives ont pu ravir leurs papilles à l’occasion de la 36eme édition de La Soirée de la Chambre de commerce franco-américaine de San Francisco (FACCSF), vendredi 17 novembre.
Cette année, le rendez-vous annuel des francophones de la Baie, était baptisé “The Gastronomy and Wine Show”, en soutien aux régions viticoles de Napa et Sonoma touchées par de terribles incendies, début octobre.
La FACCSF annoncera dans les prochains jours le montant des fonds récoltés, dont la moitié sera reversée aux fondations : Napa Valley Community Disaster Relief Fund et the Sonoma County Resilience Fund.
Un dîner VIP a été concocté par cinq chefs renommés de la Baie : Stephen Bouillez, Gerald Hirigoyen, Roland Passot, Pascal Rigo et Nick Ronan. Et un concours d’oenologie a récompensé quatre jeunes talents.

(Credit : Octamedia)
De gauche a droite, les quatre laureats du concours d’oenologie : Edward Kronfli, Karan Makhija, Sara Pile et Mark Takita. (Credit : Octamedia)

Quarante stands de dégustation ont investi les trois étages de The Village, sur Market Street, en plein centre de San Francisco. Sur les étals, on pouvait déguster les gougères et les tartelettes des Cook’ettes, la sélection de charcuterie de Fabrique Délices ou encore les bouchées et verrines sucrées d’Et Voilà!
(Credit : Octamedia)
Clarice Gaubil (à gauche) et Delphine Magnier. (Credit : Octamedia)

Sebastien Espinasse de Fabrique Delices. (Credit : Octamedia)
Sebastien Espinasse de Fabrique Delices. (Credit : Octamedia)

(Credit : Octamedia)
Marion Guillaumin (à gauche) et Morgane Noël, fondatrices du service de catering Et Voilà! (Credit : Octamedia)

Plus de photos:

Carla Bruni chante en 2018 à San Francisco

Carla Bruni passera par San Francisco pour promouvoir son nouvel album.
La chanteuse se produira le vendredi 23 février 2018 au Bay Area Cabaret. Son album, “French Touch“, rassemble des classiques du rock anglo-saxon dans une version propre à l’ancien mannequin.
On découvre ainsi un étonnant “Highway to Hell” d’AC/DC façon bossa-nova, ou encore “Perfect Day” de Lou Reed. C’est le 5e album de Carla Bruni depuis ses débuts dans la chanson en 1997.


 

Le date new-yorkais de Nolan : "J'ai piraté Tinder pour avoir 200 matches par jour"

*Les prénoms des personnes présentées ont été modifiés pour préserver leur anonymat
Petit génie de l’informatique passé par l’Ecole Centrale de Lille, Nolan débarque à New York en mai 2014. Fatigué par des “dates” non concluants, ce Français de 24 ans finit par pirater Tinder pour rencontrer plus de filles. Trois ans plus tard, le stratagème a t-il porté ses fruits ?
Le premier contact :
C’est mon prof qui m’a parlé en premier de Tinder. C’était un mec d’origine anglaise qui se servait beaucoup de l’application dans son pays. Le problème c’est qu’à Lens, ça marchait pas fort. Quand je suis arrivé à New York pour un stage de dix mois, j’étais en chaleur !
Je ne connaissais personne mais je m’étais mis en tête de parler à des Américaines. J’ai fait mes premiers “dates“, c’était merdique. Je savais pas comment ça marchait et faisais n’importe quoi… Vu que j’ai étudié pas mal les maths, je me suis dit : sois t’es bon et ça va marcher, soit t’es nul et il va te falloir beaucoup plus de tentatives. Il me fallait donc trouver un moyen de “liker” beaucoup plus de filles sans y passer trop de temps. En faisant des recherches, j’ai trouvé TinderBot, un robot capable de “swiper” à droite tous les profils automatiquement et en illimité. Je l’ai paramétré sur mon téléphone, ça “likait 30 à 40 000 profils de filles par jour et me permettait d’obtenir plus de 200 “matches.
Pour maximiser mes chances, j’ai poussé le truc encore plus loin en créant plusieurs comptes Tinder, avec des comptes Facebook différents, des photos et des descriptions différentes. Grâce à ça, je pouvais atteindre un autre panel de filles qui ne m’avait pas “liké” au premier abord. J’avais également créé un script pour écrire aux filles automatiquement. Si elles ne m’avaient pas envoyé de message dans les 24 heures, le robot envoyait un message automatique de prise de contact que j’avais personnalisé.
Mettre en place l’application m’a pris mal de temps, mais ça a fini par rouler ! Tellement que j’ai été dépassé par le truc. Mon téléphone explosait, j’ai fait plus de 30 “dates” entre mai et juin. C’était cool car j’ai rencontré tous les profils et groupes éthniques.
Le premier date : 
Parmi toutes ces filles, j’ai rencontré Alisha un soir de mi-juin. C’était une Phillipino-américaine de 20 ans. Je l’ai tout de suite trouvé mignonne et ce qui m’a plu, c’est qu’elle était ouverte au fait que je sois différent, d’avoir un accent, que je dise des choses bizarres. Je l’ai trouvée patiente et vraiment intéressée par ce que j’étais.
La suite :
J’ai commencé à la voir régulièrement ainsi qu’une autre fille, puis j’ai décidé de ne voir plus qu’elle à partir de début août. J’étais pas pour autant près à me mettre en couple, je voulais un truc sans prise de tête. Le problème c’est qu’elle était en stage à New York et devait rentrer en Floride début septembre. Alors quand elle est partie, j’ai relancé la machine Tinder à 100%.
Très vite, j’ai commencé à comparer mes dates avec Alisha, en constatant que je ne trouvais aucune fille intéressante. Je discutais encore régulièrement avec elle sur l’application. Début octobre, elle propose de m’offrir des billets d’avion et de la rejoindre pour quelques jours à Gainesville en Floride. Là-bas, elle me dit qu’elle aimerait une relation sérieuse. Je lui réponds que je suis pas encore prêt mais on se met d’accord pour arrêter Tinder tous les deux. J’en profite pour lui expliquer l’histoire du robot. Ce fut un non-événement. Elle m’a juste dit que j’étais bizarre (rires).
Elle viendra ensuite me voir deux fois à New York en octobre et en janvier, avant mon retour en France en février pour ma dernière année d’école.
De retour à Lille, on débute une relation sérieuse à distance. On s’appelle souvent, je viens la voir aux Etats-Unis, elle vient en France, jusqu’à ce que je revienne à New York avec un visa de travail en poche en février 2016. Six mois plus tard, c’est elle qui me rejoint en emménageant à New Brunswick dans le New Jersey.
On a évoqué l’idée d’habiter ensemble à ce moment-là, mais ça passait mal auprès de ses parents qui ne me connaissaient pas, même après deux ans de relation… J’ai fini par les rencontrer en juin, au mariage de la grande soeur d’Alisha. Là-bas, je me suis rendu compte à quel point sa famille était richissime et un peu dans la frime, ce qui expliquait pas mal de traits de caractère d’Alisha.
Bilan :
Notre différence de classe se sent. Même si avec le temps, on apprend à mieux se connaître et à s’appréhender. Je suis invité à tous les événements familiaux et j’ai également présenté Alisha à mes parents, qui se sont même mis à l’anglais. Quelles sont les prochaines étapes ? Vivre ensemble ? On verra. Pour l’instant, chacun campe sur ses positions. Alisha rêve d’habiter à New York, moi j’ai déjà donné. Vivre dans un placard m’a rendu misérable, je n’y retournerai pas. J’ai l’impression qu’on arrive à un moment charnière dans la relation.
Le dating à New York :
Si c’était à refaire, je referais pareil. J’ai gagné du temps grâce au piratage de l’application, et puis les filles ne le sauront jamais. Par contre, avec le recul, je serais différent pendant les dates. J’irais moins négligé, et surtout, je payerais de temps en temps l’addition (rires).

BHL à la projection de "Peshmerga" à l'ONU

Bernard-Henri Lévy participera à la projection de son documentaire “Peshmerga” au siège des Nations Unies le mardi 28 novembre à 6:30pm. Inscription obligatoire en ligne.
Le journaliste-auteur-documentariste et son équipe ont suivi ces combattants kurdes pendant plusieurs mois en 2015 dans leur guerre contre les forces de l’Etat Islamique à la frontière irakienne. Le documentaire a été tourné à Kirkouk, Mossoul et dans le secteur du Sinjar près de la frontière syrienne. Il a fait l’objet d’une projection spéciale lors du festival de Cannes 2016.
Pour des raisons de sécurité, seuls les inscrits pourront entrer dans l’enceinte des Nations-Unies. Tous les participants devront être assis avant 6:15pm. La projection est organisée par les missions permanentes de la France et du Royaume-Uni.

Gala et remise de prix pour la French American Foundation à New York

La fin d’année est dense pour la French American Foundation. Le mardi 28 novembre, la FAF organise son grand gala annuel au Gotham Hall. Au cours du dîner, Sophie Bellon, présidente de Sodexo, et Jane D. Hartley, ancienne ambassadrice des Etats-Unis en France et à Monaco, seront distinguées, en présence notamment de la journaliste Christine Ockrent.
Le mercredi 29 novembre, l’organisation de promotion des relations franco-américaines récompensera des journalistes français et américains travaillant sur la thématique de l’immigration. Emmanuel Haddad recevra le “Prix Cercle des médias” pour son article “Terre de réfugiés” (Sept). L’Américain Seth Freed Wessler sera récompensé du “Prix du Journalisme d’Immigration” pour “This Man Will Almost Certainly Die” (The Nation). Ce prix est attribué tous les ans par la FAF.
La fondation saluera également le travail de Jacqueline Charles avec une mention spéciale du jury pour son article “New migration: Haitians carve a dangerous 7.000-mile path to the U.S” (Miami Herald/McClatchy Newspapers).
 

Ouverture de la patinoire The Ice à Houston

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The Ice, la patinoire de Discovery Green est ouverte pour la saison. Elle a ouvert ses portes le 18 novembre et sera accessible jusqu’au 21 janvier.
C’est donc le moment de chausser votre patins pour fouler la glace de la plus grande patinoire extérieure de la région. La glace a été confectionnée à partir de l’eau provenant du lac Kinder et tous les équipements utilisés ont recours à des énergies renouvelables. Pour briller sur la glace, il faudra débourser 14 dollars sur place et 17 dollars en ligne. Les lundis du 27 novembre au 18 décembre, et le 8 janvier, les patineurs pourront profiter des “Cheap Skate Nights” pour 8 dollars.
L’entrée comprend la location des patins.

"Elles", un nouveau réseau pour entrepreneuses francophones à New York

“Elles”, ce sont des entrepreneuses, francophones et new-yorkaises. Des femmes d’âges, milieux et d’univers professionnels variés (mode, le voyage, la psychologie, la pâtisserie…) qui se retrouvent une fois par mois autour d’un invité. Le prochain petit-déjeuner aura lieu le 28 novembre chez Maman à SoHo.
“Ces profils très variés donnent de la richesse. C’est la force de notre groupe. Tout le monde peut apporter des compétences et des contacts différents”, explique Charlotte Vinciguerra, co-fondatrice d'”Elles”. “Il y a parmi nous des personnes qui sont à New York depuis toujours, depuis dix ans ou d’autres qui viennent d’arriver“.
Au départ, “Elles” n’étaient que trois. Trois amies entrepreneuses installées à New York: Charlotte Vinciguerra de Merci Bisous, Laurence Foucher de Pathport (guides de voyage sur Instagram) et Marine Sélénée, coach en constellations familiales (études des traumatismes et des non-dits de génération en génération). “On s’est retrouvé pour parler de nos business respectifs, ce qui allait ou pas, et demander conseil sur certains points”, raconte Marine Sélénée. “Et puis, on s’est dit que si on avait des questions et besoin de parler, ça devait être le cas d’autres femmes dans la même situation que nous“. Chacune prend alors son carnet d’adresses et invite un contact à participer à leur prochaine rencontre. En juin dernier, autour d’un petit déjeuner et d’une quinzaine de participantes, “Elles” était créé.
Tous les mois, les entrepreneuses se retrouvent autour d’une personnalité (homme ou femme) pour aborder différents thèmes: la confiance en soi, les relations avec la presse, les business plan… La séance est également ponctuée d’un pitch d’une minute par intervenante.
Puis, chacune peut librement aborder un thème, poser une question, proposer une mise en relation. Ces réunions mensuelles ont aussi été à l’origine de partenariats entre des participantes. Une photographe s’est chargée des photoshoots pour la marque de sacs à main d’une camarade, une autre a géré le site et les médias sociaux, et le duo Laurence Foucher et Charlotte Vinciguerra a décidé de lancer un guide du “New York maman friendly”.
Si “Elles” s’est rapidement fait connaître par le bouche-à-oreille entre amies, le groupe cherche maintenant à élargir sa base pour “garder le dynamisme des débuts, renouveler les contacts et avoir un turn over à chaque petit déjeuner“, précise Charlotte Vinciguerra. “On veut conserver le côté artisanal, pour garantir une safe zone où chacune peut parler et travailler avec les autres, les yeux fermés. Ce qui est important c’est l’honnêteté et la bienveillance“.
Pour contacter “Elles” et faire une demande de membership, il faut remplir trois critères: être entrepreneuse ou avoir un projet en tête, être francophone et être une femme.”Il faut que les participantes jouent le jeu et partagent leurs connaissances et leurs contacts“, ajoute Laurence Foucher.

Yann Tiersen va transporter LA sur une île bretonne en juin

Eusa, le nom breton de l’île d’Ouessant. C’est ce petit morceau de terre au large de la Bretagne où vit le célèbre musicien Yann Tiersen. C’est aussi le nom de son neuvième album, qu’il viendra présenter le mercredi 20 juin 2018 au Theatre at Ace Hotel. Il devait initialement venir le 8 décembre.
Pour cet album, l’artiste connu pour la bande-son du film “Le fabuleux destin d’Amélie Poulain”, a intégré des sons de différents lieux sur l’île à des suites de piano. Son ambition: “créer une cartographie sonore de l’île” et transporter l’auditeur dans l’univers naturel et brut d’Ouessant. C’est le premier album de piano solo de Yann Tiersen qui s’est mis au breton l’an dernier.