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Projection de "Looking for the Perfect Landscape" d'Etienne de France à LA

“Looking for the Perfect Landscape” combine documentaire et fiction, archéologie et philosophie. Résultat de plusieurs mois d’investigation artistique dans le désert de Mojave par Etienne de France, en résidence à France Los Angeles Exchange (FLAX), ce film de 40 minutes sera présenté en avant-première mondiale à l’Echo Park Film Center le dimanche 5 novembre à 5 pm. Il sera suivi par une session questions/réponses avec la directrice de programme et conservatrice française à FLAX, Anna Milone.
Réalisé en partenariat avec le Autry Museum of the American West, ce film suit Jamahke, un jeune artiste Mojave, qui travaille pour le Colorado River Indian Tribe Museum à Parker, en Arizona. Cet esprit créatif perpétue un patrimoine en apprenant les chants d’oiseaux traditionnels. Un jour, Jamahke est embauché par une société de production cinématographique pour rechercher des paysages pour un long-métrage, qui se déroule dans le territoire aborigène de ses aïeux. Un voyage dans le désert qui s’annonce spirituel.
Premier film diffusé sur le site d’East of Borneo, une publication collaborative d’art en ligne, “Looking for the perfect Landscape” sera également projeté à Paris en 2018.

Lancement du mouvement "M1717" de Benoît Hamon à New York

On ne va pas sonner aux portes ou distribuer des tracts. On a autre chose à faire“. “On“, pour Louise Dodet, c’est l’antenne new-yorkaise du Mouvement du 1er Juillet (“M1717” ou “M17”), dont elle fait partie des fondateurs.
Lancé en France par l’ancien candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon, le mouvement est en train de se structurer dans le monde entier. À New York, un premier meeting public aura lieu le vendredi 27 octobre. “L’idée, c’est de se dire bonjour“, résume Louise Dodet.
Cette Française et les deux autres co-fondateurs, Cédric Boismain et Jean-Pierre Roussarie, se sont rencontrés au sein du groupe new-yorkais du Parti Socialiste pendant la campagne présidentielle. “J’étais sympathisante communiste, proche de l’UNEF à la fac, reconnaît-elle. Quand Hamon est sorti des primaires, je me suis dit qu’il y avait quelque chose dans ce qu’il disait et la manière dont il le disait. Il avait la parité en lui. Des aspects du programme, sur le travail, l’écologie, m’ont plu aussi“, raconte cette ancienne chargée de diffusion dans le milieu culturel.
Benoît Hamon n’a recueilli que 6,36% des voix au soir du premier tour de la présidentielle, mais le trio décide de se mobiliser quand l’ancien ministre créé son mouvement, destiné à refonder la gauche française. “Hors campagne, le temps est plus long. On est dans la réflexion longue, la mise en place d’idées. On a le temps de farfouiller dans le revenu universel et d’autres sujets“, poursuit-elle.
Au-delà de la rencontre inaugurale du 27 octobre, le groupe entend mettre en place des “soirées thématiques” en présence de “sociologues, de philosophes, de Français issus du milieu universitaire“, ainsi que des “petites rencontres” entre sympathisants.
Il veut aussi relayer des initiatives américaines pertinentes dans le débat français et “travailler à faire des ponts avec les forces de gauche” dans le pays, en particulier DSA (Democratic Socialists of America). Cette organisation socialiste proche de Bernie Sanders fait l’objet d’un fort regain d’intérêt depuis la présidentielle de 2016. “Il y a plein de bulles progressistes ici. Les Etats-Unis, ce n’est pas uniquement le pays de Trump“.
 

Deux journalistes chantent Brassens au Lycée Rochambeau

Nous voilà rassurés à French Morning: le journalisme mène à tout. Deux correspondants français à Washington vont faire leurs premiers pas de musiciens, vendredi 17 novembre, au Lycée Rochambeau à Bethesda.
Philippe Gassot, ancien présentateur sur Antenne 2 et correspondant pour plusieurs médias francophones à Washington, et son confrère Jean-Bernard Cadier (BFM TV) vont jouer et chanter du Georges Brassens dans la bibliothèque de l’école. De quoi permettre aux fans de se lâcher sur “Le Gorille” ou “Les copains d’abord”. Le concert sera suivi d’une réception pour permettre au public de se remettre de ses émotions.

5 conseils pour optimiser vos retraites françaises quand vous vivez à l'étranger

(Article partenaire) Vous avez travaillé et cotisé en France, et peut-être dans d’autres pays. Puis, vous vous êtes installé aux USA. Le temps a passé, et vous avez tendance à oublier vos retraites françaises. Vous passez peut-être à côté d’opportunités. Les conseils de Novelvy Retraite.

CONSEIL N°1 : Posez-vous la question de l’affiliation volontaire à la CFE régime vieillesse ou à d’autres régimes français selon votre statut et votre situation.

Vous cotisez aux USA, pays qui a signé une convention de sécurité sociale avec la France. Les trimestres cotisés aux USA seront donc retenus par la sécurité sociale française dans le calcul de votre durée de carrière (paramètre qui intervient dans le calcul de vos retraites).

Attention au non cumul des conventions ! Si vous avez déjà bénéficié de la convention européenne ou d’une autre convention bilatérale, vous ne bénéficierez que d’une convention, celle qui vous apportera le plus grand nombre de trimestres ! Dans ce cas-là, il faut se poser la question d’une affiliation à la CFE (Caisse des Français de l’étranger) qui vous permettra entre autres de continuer à accumuler des trimestres pris en compte dans votre durée de carrière. 

Et même si vous bénéficiez de vos trimestres cotisés aux USA pour le calcul de votre durée de carrière au travers de la convention bilatérale, vous augmenterez vos droits de retraite dans le régime de la sécurité sociale française en cotisant à la CFE. Et le rendement de cet investissement (1 740 € par trimestre) vous paraîtra souvent suffisant pour justifier d’une affiliation.

CONSEIL N°2 : Ne négligez pas la retraite française de votre conjoint

Votre conjoint vous a suivi à l’étranger et il n’a pas encore retrouvé de job. Là encore, la cotisation volontaire à la CFE est à étudier. Au titre du statut de chargé de famille (éducation d’au moins un enfant à charge de moins de 20 ans) et en justifiant d’avoir relevé d’un régime français d’assurance maladie pendant au moins 5 ans, votre conjoint pourra s’affilier à la CFE (cotisation ici de 870 € par trimestre) et continuer ainsi à cotiser pour sa retraite et à accumuler 4 trimestres par an.

CONSEIL N°3 : N’attendez pas forcément d’arrêter vos activités professionnelles aux USA pour vous poser la question de la date d’obtention de vos retraites françaises.

En France, l’âge d’ouverture des droits à la retraite est aujourd’hui de 62 ans.

Même si vous continuez à travailler aux USA, vous avez le droit de demander votre retraite française dès le 1er jour du mois qui suit votre date anniversaire.

Le fait de continuer à travailler et à cotiser localement ne vous empêche nullement de le faire.

Il y a toutefois lieu de définir pour vous la date optimum de liquidation de vos droits dans les régimes français en fonction de votre situation.

CONSEIL N°4 : Définissez dans votre cas la date optimum de liquidation de vos droits de retraite dans les régimes français.

A partir de 62 ans et avant 67 ans, la durée de carrière retenue par la sécurité sociale française rentre en compte pour le calcul d’un éventuel abattement sur vos retraites (durée de carrière requise de 166 trimestres pour éviter l’abattement pour une personne née en 1956).

Selon votre situation, la date optimum de liquidation de vos droits pourra varier :

  • Votre entreprise cotise pour vous dans les régimes français, vous avez alors le plus souvent intérêt à décaler la date d’obtention de vos retraites tant que des cotisations sont versées.
  • Vous ne cotisez plus dans les régimes français. Il faut alors vérifier si vous justifierez ou non de la durée de carrière requise pour être éligible à une retraite à taux plein. Si ce n’est pas le cas, un rachat des trimestres manquants pourra être envisagé si cela constitue un investissement rentable. Sinon, il ne faut pas forcément attendre pour justifier du taux plein, vos retraites seront calculées avec un abattement, mais vous les percevrez plus tôt et donc plus longtemps.
  • Vous cotisez vous-même à titre volontaire à la CFE. Un rachat des trimestres restant à obtenir pour justifier du taux plein sera analysé pour anticiper la date du taux plein et percevoir plus rapidement vos retraites.
  • Vous avez commencé à travailler jeune (avant 20 ans) et justifiez du nombre de trimestres requis pour obtenir vos retraites à taux plein avant 62 ans. Vous remplissez alors peut-être les conditions de départ dit « en carrière longue » qui vous permet de demander vos retraites entre 60 et 62 ans, il faut alors vérifier.

CONSEIL N°5 : Obtenez le droit à bénéficier de l’assurance maladie française en demandant vos retraites françaises.

Lorsque vous percevrez une retraite d’un régime de retraite de base français, vous pourrez bénéficier de l’assurance maladie française et obtenir une carte vitale.

Ce paramètre pourra rentrer en compte sur le choix de la date à laquelle vous demanderez vos retraites françaises.

Même une très faible retraite vous permettra de bénéficier de l’assurance maladie.

Il est donc vivement conseillé, avant de prendre des décisions, de disposer d’une étude personnalisée prenant en compte pour chaque situation tous les facteurs à considérer et qui permet de prendre ensuite des décisions en toute connaissance de cause.

Une approche individualisée en fonction des parcours et des objectifs, un interlocuteur dédié tout au long de la mission, la délégation totale de l’ensemble des démarches auprès des organismes, nos services sont particulièrement adaptés aux besoins spécifiques des expatriés.

Depuis plus de 30 ans, Novelvy Retraite réalise des missions pour des expatriés dans plus de 40 pays et en particulier en Amérique du Nord.

Vous pourrez avoir plus d’informations et les détails de nos services sur le site www.novelvyexpat.com


Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Deux chefs unissent leurs forces à Racines les 7 et 8 novembre

Un chef talentueux derrière les fourneaux, c’est bien. Deux chefs, n’en parlons pas. C’est pourtant ce qui vous attend au restaurant Racines les 7 et 8 novembre.
Le chef de Racines Frédéric Duca a invité son ami du restaurant parisien L’Assiette David Rathgeber pour concocter un menu conçu comme une “célébration” de la cuisine française. Rien que ça. David Rathgeber a été formé à l’école Ducasse, passant par les cuisines des Lyonnais et de Benoît notamment, où il obtient une étoile au Michelin en 2006. Il a ouvert son propre établissement en 2008.
Avec Frédéric Duca, ils officieront dans la cuisine ouverte de Racines pour préparer un menu composé d’oeufs cocotte, de pieuvre grillée, de pigeon ramier et bien d’autres petits délices. Réservations auprès du restaurant.

Un petit guide pour un grand week-end à New York

Mettez-vous New York dans la poche. Littéralement. Un grand week-end New York 2018écrit par l’auteure du blog à succès My Secret New York, Anne-Elisabeth Caillet, vient de sortir aux éditions Hachette, juste à temps pour les vacances de la Toussaint.
Ce guide de poche compte 221 pages de bonnes adresses classées par quartier. Des lieux à visiter bien sûr, mais aussi des restaurants et des boutiques. Le tout saupoudré de quelques conseils pratiques pour se repérer ou réserver un spectacle par exemple. Les touristes apprécieront tout particulièrement la liste d’hôtels par quartier et le lexique, très utile pour éviter de sécher au moment de demander l’addition ou de dévaliser les boutiques.
Beaucoup d’adresses citées dans le guide sont connues des New-Yorkais. Toutefois, les locaux pourront trouver leur compte aussi, en particulier dans les adresses de restaurants. Une sélection très riche allant du steakhouse au bagel cafe en passant aux bons burgers. Un plan détachable est inclus dans le livre.

Les "World Series" n'ont rien de mondial, alors pourquoi les appeler ainsi ?

De longues heures à contempler les joueurs chiquer du tabac sous leurs casquettes, en attendant le home run providentiel sur un vaste terrain soigneusement tondu… Qu’est-ce qu’il y a de plus américain que le baseball ? Mardi 24 octobre se jouera le premier des sept matches du tournoi final, les “World Series”, qui sacre chaque année l’équipe championne de la Ligue majeure de baseball depuis 1903.
Ces rencontres opposent les vainqueurs des deux grandes ligues d’Amérique du Nord : la Ligue nationale et la Ligue américaine. En somme, ces « World Series » n’ont absolument rien de mondial. Pourquoi ont-elles hérité de ce nom trompeur ? C’est la question bête de la semaine.
Il faut retourner dans les années 1880 pour comprendre l’origine de ce nom, explique Mitchell J. Nathanson, professeur spécialiste du baseball dans la culture américaine à l’Université Villanova.
A cette époque, deux grandes ligues indépendantes se disputaient le titre de champion des Etats-Unis : la Ligue nationale (toujours d’actualité) et l’Association américaine. « Un jour, quelqu’un a lancé l’idée : et si le champion de l’Association américaine jouait contre le champion de la Ligue nationale ? Chacune de ces ligues prétendait que son vainqueur était le champion des Etats-Unis. Le vainqueur des séries qui les opposeraient serait donc forcément le champion du monde », raconte l’expert.
Mais comment cette appellation s’est-elle perpétuée ? « Si vous rechercher les World Series sur google, vous trouverez qu’il y a un rapport avec le journal New York World, qui aurait sponsorisé les premiers matches. C’est faux ! », avertit Mitchell J. Nathanson. C’est à Albert Spalding, ancien lanceur de la Ligue nationale, que le nom de “World Series” doit son succès. Toujours vers la fin du XIXe siècle, Albert Spalding prend sa retraite et créé une entreprise d’équipement de baseball. Pour promouvoir son sport, il fonde The Spalding Guide et organise une tournée mondiale en 1888 avec deux équipes de stars américaines pour initier des pays étrangers, dont la France, au baseball.
« Ils ont vraiment encouragé l’utilisation du terme ‘World Series’ pour placer le baseball à un niveau international, même s’il ne l’était pas. Avec son entreprise, Albert Spalding avait aussi bien sûr un intérêt économique à créer l’idée qu’il y avait un championnat international, développe le professeur. C’était un nom qui traduisait une ambition plus que la réalité ».
Après les “World Championship Games” et “World Championship Series”, le nom de “World Series” devient officiel en 1931. Il n’a pas été remis en cause depuis, même après la création du “World Baseball Classic” en 2006, un véritable championnat international cette fois, dont la France fait partie.

Charlie Hebdo rend visite aux anti-Trump

“Une douleur cuisante : la gauche sous Trump”. En octobre Charlie Hebdo publie en anglais quatre chapitres consacrés à la gauche américaine et à la résistance à Donald Trump. Des carnets sobres en noir blanc et rouille, accessibles en ligne.
On voulait faire quelque chose de spécial sur l’Amérique de Trump, explique Jacob Hamburger qui a écrit les textes. Après l’élection présidentielle, on s’est dit qu’il fallait vérifier comment la gauche américaine ressentait la défaite. Car avec Donald Trump au pouvoir, les principes d’égalité des chances, des sexes, les combats sociaux et raciaux également, ont été rabaissés”. 
Pendant deux mois, en juin et juillet derniers, Jacob Hamburger, américain originaire de Chicago, et Laurent Sourisseau, alias “Riss”, directeur de la publication, ont donc arpenté l’Est des Etats-Unis. Partis de New York, ils ont visité Washington, Philadelphie, mais aussi Lancaster en Pennsylvanie et des petites villes de Long Island ou du New Jersey.
Si Charlie a souvent été au centre de polémiques aux Etats-Unis, après les caricatures de Mahomet, ou plus récemment, après sa Une consacrée à l’ouragan Harvey, ces cahiers surprennent par leur sobriété. Les Américains qui connaissent le journal satirique et ouvertement irrévérencieux, ont d’abord été “surpris par cette version ‘light’, explique Jacob Hamburger. Mais ça nous a aussi permis d’être lus par des électeurs de Donald Trump qui ont réagi, qui étaient furieux et donc on a fait notre boulot: on a suscité le débat!
Le résultat est surprenant: pas de caricature choc, mais une Amérique croquée comme un documentaire. Des portraits, des interviews, des rencontres avec les électeurs ou anciens électeurs de gauche, pour comprendre pourquoi et comment Donald Trump a pu gagner la présidentielle. “Le but n’était pas de se moquer, explique Jacob Hamburger. C’est plus un récit de voyage. Bien sûr il y a toujours un ton Charlie Hebdo, des blagues, des dessins, mais pas comme les plus controversés du journal“.
Jacob Hamburger, qui collabore avec Charlie depuis l’attentat du 7 janvier 2015, qui a fait onze morts, avoue aussi avoir beaucoup appris de son pays en le redécouvrant avec “Riss” et des yeux d’étranger.
Ouvrier, patron de syndicat, activiste noir, immigré… Les portraits sont bien sentis, les situations pertinentes. Dans cet exercice de reportage “on the road”, Charlie Hebdo a gagné son pari.

"Instagramme-moi New York", c'est parti

Le guide papier est mort, vive Instagram. Pour trouver des bons plans à New York, vous avez deux possibilités: suivre religieusement French Morning ou passer votre temps sur Instagram.
Avec le boom de l’app de partage de photos, vous êtes de plus en plus nombreux à recourir à Instagram pour faire vos itinéraires touristiques. New York, l’une des villes les plus photographiées au monde, est un terreau particulièrement favorable pour ce nouveau phénomène. D’ailleurs, on ne compte plus le nombre de comptes dédiés à la Grosse Pomme.
Et il n’y pas de raison pour que la tendance s’arrête. Kodak a prédit que 79% des 1.3 billion (mille milliards) de photos qui seront prises dans le monde en 2017 le seront avec un téléphone portable.
Pathport (@pathport) fait partie des jeunes entreprises qui l’ont compris. Lancée par la Française Laurence Foucher, la start-up vend des carnets d’adresse photographiques (à télécharger sur pathport.store) à partir des plus belles découvertes d’un collectif d’instagrammeurs passionnés. Sur notre Instagram (@french.morning), French Morning vous fera régulièrement découvrir les meilleures trouvailles des membres du collectif. Nous commençons dès aujourd’hui avec une perle du quartier NoLiTa.
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De Maria New York
Spotté par Andrea Nuñez du collectif Pathport.

Spotte par @andreannu du collectif @pathport. Camille Becerra @camillebecerra fait partie de ces chefs très suivis sur instagram. C’est donc sans surprise que son nouveau restaurant @demarianyc, ouvert avec la Djette Grace Lee , a rejoint dès son ouverture en début d’année le clan des spots les plus « instagrammables » de New York. Après un passage chez @cafehenrie, autre lieu incontournable sur Instagram, on retrouve chez De Maria la cuisine de Camille très « healthy » et ses plats photogéniques servis dans une belle vaisselle en céramique. #instagrammemoiny #pathport . . . . . . . . #what_i_saw_in_nyc #igersnyc #newyork_instagram #theprettycities #theweekoninstagram #cettesemainesurinstagram #inspiremyinstagram #seemycity #slowliving #thesincerestoryteller #dametraveler #chasinglight #thelifestylecollective #exploretocreate #allshots_ #cafevibes #coffeeshopvibes #cafehopping #abmtravelbug #searchwandercollect

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Ouvert du matin au soir et situé en plein NoLiTa, on y croise blogueuses mode, photographes et trend-setters habitués du quartier.
Adresse: 19 Kenmare St
Le must-have d’Andrea: le “Nigella Seed – Potato Crisp” (oeuf poché curcuma, chorizo et ahi mayonnaise).

Bouchon à Beverly Hills, c'est fini

Le restaurant de Thomas Keller était une institution à Beverly Hills. Fin 2017, le complexe – comprenant un restaurant, un café et une boulangerie – fermera ses portes, mettant un terme à son partenariat avec la ville. C’est la première fois que Thomas Keller ferme un de ses restaurants depuis ses débuts avec The French Laundry, son restaurant étoilé de cuisine française à Yountville (Californie), créé en 1994.
“Nous n’avons pas été capables de trouver une solution avec notre propriétaire, la ville de Beverly Hills, pour répondre aux conditions défavorables qui ont impacté notre succès”, explique le chef Keller, dans un communiqué où il remercie ses équipes.
Thomas Keller ajoute qu’il n’a pas, selon lui, bénéficié de circonstances favorables pour exploiter le restaurant. Paolo Lucchesi, le spécialiste “food” du San Francisco Chronicle, évoque des raisons financières, le service de restauration étant déficitaire. Le journaliste l’explique notamment par la décentralisation des restaurants vers un Downtown en pleine mutation.
Ouvert en 2009, Bouchon avait notamment reçu la distinction de “Meilleure baguette de Los Angeles”, lors du concours de French Morning en 2016.

Mon enfant ne parle pas français à l'école: c'est grave docteur ?

Tous les parents n’ont pas la chance d’inscrire leur enfant dans un programme bilingue public ou dans un lycée français. L’école américaine, 100% anglophone, est parfois leur seule option. Voici cinq conseils pour que le rêve de l’enfant bilingue et biculturel ne se transforme pas en bataille acharnée pour faire survivre le français.

1. Leur enseigner le français, coûte que coûte

Des leçons avec un parent, un tuteur ou un professeur sont nécessaires pour maintenir les connaissances de bout d’chou. Les solutions sont plus ou moins exigeantes et coûteuses. Ceux qui veulent obtenir une attestation de passage dans la classe supérieure, ou au moins un relevé de notes à présenter dans une future école française, devront suivre un programme d’enseignement à distance basé sur celui de l’Éducation Nationale (CNED, Hattemer, Sainte-Anne, Legendre, etc).

Les autres pourront choisir une méthode parmi celles des différentes maisons d’édition de français langue maternelle ou de français langue étrangère : les manuels de la Librairie des Écoles, la méthode « Ratus et ses amis » des éditions Hatier, la méthode « Les Alphas » notamment pour les enfants “dys”, ou encore les collections de CLE International, éditeur spécialiste du français langue étrangère… Le blog Devenir Bilingue présente en détails les spécificités de toutes ces méthodes et partage de nombreux témoignages de parents expatriés.

2. Prendre un tuteur

Quelle que soit la méthode choisie, l’essentiel est d’établir un rythme régulier… et de s’y tenir! Un tuteur ou un prof sont nécessaires, sauf peut-être pour des ados autonomes et doués en français.
Les professeurs à domicile permettent d’adapter le cours au niveau de l’enfant et éventuellement de suivre une méthode choisie par les parents. Une annonce sur les réseaux sociaux ou dans une école franco-américaine peut faire l’affaire pour en trouver, mais les profs diplômés sont très demandés. Comprenez: les tarifs flambent. Se rassembler avec une autre famille permettra de réduire les coûts et de rendre le cours moins rébarbatif.

Gare toutefois aux cours en groupe. S’ils ont l’avantage d’être plus motivants pour les enfants, ils sont en général peu personnalisés et n’offrent pas la possibilité de choisir un programme homologué comme celui du CNED. En outre, dans un groupe avec des francophones non-natifs, le petit bilingue peut progresser plus lentement.

3. Prendre des cours à distance

Option intéressante pour les parents désirant des cours particuliers ou en petits groupes: prendre un professeur à distance. Les cours de langue étrangère par skype explosent depuis quelques années et des professionnels comme VivaLing commencent à proposer des cours de français langue maternelle via internet. Beaucoup moins coûteux que le prof à domicile, ces tuteurs à distance apportent aussi plus de flexibilité dans la durée et la fréquence des leçons. Et le binôme ou le trio peut se constituer avec des enfants qui sont à des milliers de kilomètres! 

Attention d’ailleurs à la multitude de plateformes de mise en relation de parents et de professeurs car elles n’offrent pas toutes une qualité de services équivalente. Un témoignage plus détaillé sur le site Devenir Bilingue illustre les critères à prendre en compte pour choisir un prof à distance.
4. Non au franglais à la maison

Sauf si une troisième langue est pratiquée dans le foyer, il est indispensable d’obliger les enfants à faire l’effort de parler en français avec leurs parents (et non pas en franglais!). Lire et écrire de manière très régulière les aidera considérablement à conserver un bon niveau ou à l’acquérir.

Pour ne pas les décourager, mieux vaut adapter les livres à leur niveau réel plutôt qu’à celui de leur niveau scolaire. Et bien sûr, rendre ludique les séances de lecture et d’écriture ! On peut rédiger un blog avec eux pour leur faire raconter leur vie aux US à leurs proches, organiser des challenges de lecture en famille ou proposer aux grands-parents de les abonner à un magazine qu’ils seront contents de recevoir en expatriation. Pour conserver le français sans que ce soit une épreuve de force, le groupe Facebook Expatriés francophones, transmettons notre langue et notre culture fournit plein d’astuces de parents, d’idées de livres, de recommandations sur des méthodes d’apprentissage, etc.

5. Apporter une “French touch” au quotidien 

Fêtes, traditions, musées, événements, actualités, etc… tout ce qui ajoute une « French touch » au quotidien des enfants expatriés est bon à prendre! Quelques idées en vrac: regarder le journal de 20h en famille, leur apprendre à faire des crêpes à la Chandeleur, les aider à faire un exposé sur leur région d’origine, ou encore raconter pendant le dîner la vie d’un personnage important en s’appuyant sur des livres de l’histoire de France et de l’histoire des arts de la Librairie des écoles. 

A Carroll Gardens, des condos de luxe avec vue sur Manhattan

(Article Partenaire) Le design est européen (“scandinave” précisément) et la clientèle risque de l’être tout autant. A Carroll Gardens, quartier de Brooklyn prisé des Français, l’arrivée sur le marché de 17 appartements fait le buzz, tant les opportunités d’achat sont rares.  

Le 145 President est sorti de terre récemment et les premiers appartements pourront être occupés à partir d’août 2018, principalement par des familles: 16 des 17 appartements ont trois ou quatre chambres. Huit d’entre eux bénéficieront d’une terrasse privée ou d’un balcon. A l’intérieur, le style est résolument épuré avec parquets en chêne clair et marbres clairs dans les cuisines.
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Au royaume des brownstones, le 145 President apporte les services habituellement réservés aux grandes résidences de Manhattan: fitness center, concierge virtuel, et bibliothèque pour les résidents.

Sur le toit, la grande terrasse de 150 mètres carrés offre une vue dégagée à la fois sur Brooklyn et Manhattan. Au rez-de-chaussée, le garage affiche 14 places, disponibles à l’achat.
Les appartements de 3 chambres sont en vente à partir de 2,365 millions de dollars; les 4 chambres à partir de 3,095 millions.
Les ventes sont assurées par Stribling Marketing Associates. Voir ici pour plus d’informations.