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"The Aramaic in Me !"

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The Aramaic in Me! (par Tabetha Kiraz, 11th Grade à Rutgers Preparatory School)

The dictionary definition of a bilingual is a person who speaks two languages fluently. But being a bilingual is not simply that. It is letting language become a part of who you are. Many people are required to study a second language in high school, say Spanish or French, but very frequently drop it after completing the requirement. I could go on trying to convince you that I am a bilingual because I have taken French for three years. But this is not my story… I am Tabetha Kiraz… a speaker of Aramaic, one of the most ancient languages now in danger of extinction.

When I was little, I spoke four languages never mixing them together: Arabic with my grandma, Turkish with my mom, Aramaic with my dad, and English outside the house. But when my grandma passed, I no longer had anyone to speak Arabic with.  And when I started school, the teacher was concerned that I would fall behind with four languages. My mom complied and stopped talking to me in Turkish. I lost that language too. But my dad was stubborn. He would not give up on Aramaic. He believed that, as an endangered language, it deserved to be preserved. Thus, I was reshaped from a quadralingual into a bilingual.

Aramaic, once a world language for centuries, has a few hundred thousand speakers today scattered worldwide because of genocide, chaos and wars. But for me, Aramaic is about my family history, about who I am.  I remember that when I was a child, my dad taught me and another girl from our cultural background, who would become my best friend, private lessons in Aramaic. My favorite part was when we talked about the history of the language. This kindled in me a passion for history which I may pursue as a major.

People who grew up speaking Aramaic are either dead or scattered. This began with a genocide in Ottoman Turkey during WWI. Subsequent wars, as the most recent ones in Iraq and Syria, drove away Aramaic speakers. They had to abandon everything to escape war as my family did. My grandparents and parents lived through many wars. On my dad’s side, no father and child were born in the same country for five generations! The only thing there is to hang onto is the language: Aramaic and its history as it was once spoken by Jesus. For this reason, Aramaic has shaped my view of the world. I can now see how language connects people to their history and the hope for a better future.

Knowing Aramaic, and once Arabic and Turkish, has showed me the value of tiny communities and to appreciate belonging to one. It may seem that I have lost Arabic and Turkish, but I know that they are somewhere in me, in my internal being. I am currently working hard relearning both Arabic and Turkish, and am hopeful that I can go back to being a quadralingual.

Heureux comme un investisseur français à Detroit

(Article Partenaire) Detroit renaît de ses cendres. Hôtels branchés, restaurants à la mode et boutiques pour hipsters fleurissent. La presse internationale s’extasie. Mais il y a une histoire méconnue: comment Detroit est devenue une aubaine pour des centaines d’investisseurs français.
A l’origine de cette drôle de ruée tricolore vers l’immobilier de Detroit, on trouve Antoine Gendre. Ce Français, ancien banquier, reconverti en promoteur immobilier en Floride d’abord, avant d’arriver à Detroit, est devenu un des spécialistes d’un produit financier qui garantit des rendements à 10 ou 11%.
Le principe est simple: Antoine Gendre, via sa société Ameristar, achète des maisons, les rénove puis les revend à des investisseurs, en se chargeant de la gestion locative. C’est là qu’est le “secret”: les locataires bénéficient tous des aides fédérales au logement, connue ici sous le nom de “Section 8”. “C’est assez proche du système de la CAF en France, explique Antoine Gendre. Le gouvernement nous paie directement (tout ou partie du loyer selon les cas), ce qui permet de bénéficier de revenus garantis”.
Parce qu’il est Français, Antoine Gendre s’est adressé principalement à des investisseurs français, habitant aux Etats-Unis, en France ou ailleurs. En un an et demi, il a déjà acheté et revendu plus de 1000 maisons à Detroit et prévoit “d’en acheter et rénover 50 par mois en 2017”.
Les maisons sont revendues aux investisseurs entre 45 et 60.000 euros. “La plupart en achète un lot, l’investissement moyen est de 3 à 400.000 dollars, mais ça peut être beaucoup plus. J’ai un client qui nous a acheté 65 maisons”.
Venu étudier en Floride, avant d’y rester travailler chez Bank of America, Antoine Gendre s’est converti à l’immobilier à l’occasion de la crise de 2008. “J’ai vu l’opportunité: les prix de vente s’effondraient, alors que les loyers restaient stables. En outre, à l’époque, l’euro fort rendait les choses encore plus intéressantes pour les Français”. Petit à petit, sans aucun marketing, il développe son entreprise et gère quelque 400 maisons. Mais le marché est reparti à la hausse en Floride et il est beaucoup plus difficile de trouver des produits intéressants. Antoine Gendre s’est donc tourné vers la capitale américaine de l’automobile. Malgré l’amélioration du climat économique de ces dernières années, l’inventaire immobilier disponible est encore immense, garantissant de belles opportunités.
Antoine Gendre et ses investisseurs français ne sont évidemment pas les seuls à avoir découvert l’aubaine. Depuis plusieurs années, Detroit attire des investisseurs du monde entier. Et, inévitablement, quelques escrocs et une litanie d’investisseurs spoliés. “D’où l’importance de la gestion du bien, après l’achat”, souligne le patron d’Ameristar, qui en a justement fait sa spécialité: “on s’occupe de tout, y-compris trouver un locataire et assurer le suivi mois après mois”. Le choix des maisons individuelles plutôt que de “condos” permet aussi de limiter le risque, tout en améliorant le rendement, en éliminant les charges de co-propriétés souvent très élevées.
L’entreprise d’Antoine Gendre compte désormais une trentaine d’employés. Et des centaines de clients heureux: “honnêtement, dit-il, c’est le produit idéal, un investissement qui produit un revenu significatif dès le premier mois!”. Et pour répandre la bonne parole, il en a même fait un livre: Cash Flow From Day 1, publié aux Etats-Unis. Parce qu’il n’y a pas de raison que seuls les Français profitent de l’aubaine.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Participez à la lutte contre les "fake news" au consulat de France à New York

C’est une “Conférence 934” un peu spéciale qui va se dérouler mardi 14 novembre au consulat de France à New York.
Plutôt qu’une conférence traditionnelle, le consulat proposera au public de s’impliquer. Objectif: réfléchir à des moyens novateurs de lutter contre les “fake news”, ces fausses informations qui ont pullulé lors de la présidentielle américaine.
Pendant cette conférence collaborative, les participants seront invités à une séance de brainstorming organisée par Stormz, un service spécialisé dans l’optimisation de sessions de travail en groupe. Un jury, composé notamment de la consule Anne-Claire Legendre, évaluera les propositions. French Morning est partenaire de l’événement et filmera la session.
 

"Taking Shape" : Edgar Degas le sculpteur s'expose à Pasadena

Retrouver une exposition d’Edgar Degas au Norton Simon Museum à Los Angeles n’a rien d’étonnant. «Le musée l’admire», affirme l’assistante curatrice, Emily Talbot. Dans l’exposition permanente, le visiteur peut notamment admirer de nombreuses peintures du naturaliste et impressionniste français. «Une de nos plus larges collections est celle d’Edgar Degas.»
Du vendredi 10 novembre au lundi 9 avril, le musée de Pasadena présente une autre facette de l’artiste, avec l’exposition « Taking Shape : Degas as Sculptor ». Elle explore la nature instinctive de la pratique artistique de Degas via la sculpture. Un aspect méconnu de son travail.
A la mort de l’artiste, en 1917, 150 sculptures en cire ou en terre ont été retrouvées dans son atelier. Ses héritiers avaient alors décidé de couler en bronze 74 de ses meilleures oeuvres entre 1919 et 1921, afin de les reproduire en série. Le mécène du musée de Los Angeles, Norton Simon, a acquis 72 des modèles originaux en bronze.

L'assistante curatrice Emily Talbot met en exergue les affinités entre les peintures et les sculptures de l'artiste.
L’assistante curatrice Emily Talbot met en exergue les affinités entre les peintures et les sculptures de l’artiste.

Une partie du sous-sol du musée a été entièrement ré-aménagée pour mettre en lumière ces oeuvres auxquelles s’ajoutent des sculptures en bronze issues d’autres collections (102 sculptures au total). «Edgar Degas les considérait comme des ‘essais’, des oeuvres à part entière», raconte l’assistante curatrice, qui a scénographié de manière chronologique cette exposition en l’honneur du centenaire de la mort d’Edgar Degas.

« La majorité des modèles originaux -en cire- sont conservés à la National Gallery of Art de Washington »
, précise Emily Talbot, en se déplaçant entre les petites sculptures de danseuses et de chevaux qui parsèment la pièce. Chaque pièce atteste de l’intérêt de l’artiste pour le «mouvement des corps», pour les formes et le détail du geste. Le visiteur pourra notamment s’arrêter sur plusieurs variantes d’une même pose, celle de la danseuse qui se rechausse ou de la femme qui prend son bain.
Les danseuses, sujet de prédilection du Français.
Les danseuses, sujet de prédilection du Français.

«Nous proposons un prisme de lecture de l’exposition qui montre les affinités entre les sculptures et les peintures ou dessins de l’artiste (issus de la collection du musée). Ces oeuvres se répondent, se sont influencées et inspirées”.
Du vivant de l’artiste, l’ensemble est resté inconnu du public, à l’exception de la controversée «Danseuse de 14 ans» («Little dancer, aged fourteen»), qu’Edgar Degas présenta lors de l’exposition impressionniste de 1881. Elle avait alors choqué par sa physionomie imparfaite et l’utilisation de cheveux humains. Le bronze de cette œuvre, rare représentation féminine habillée, trône dans l’une des salles.
"Little Dancer, Aged Fourteen" a été créée entre 1978 et 1981.
“Little Dancer, Aged Fourteen” a été créée entre 1878 et 1881.

«Beaucoup pensaient que ces sculptures étaient hideuses. Pour Edgar Degas, elles constituaient un exercice d’échauffement, quelque chose de personnel.» Le visiteur remarquera notamment que certaines d’entre elles sont restées inachevées, les visages n’étant pas travaillés. Au travers de “Taking Shape”, le visiteur est invité à une véritable introspection dans l’esprit d’Edgar Degas.

Pourquoi y a-t-il peu de volets aux Etats-Unis ?

Regardez autour de vous. Dans les grandes villes américaines, les volets ne sont pas courants. Et quand il y en a, ils ont surtout une valeur esthétique. D’ailleurs, ils ne sont pas toujours de la même taille que les fenêtres.
« Tandis que certains pays du nord de l’Europe, comme les Pays-Bas, se passent volontiers de volets, d’autres pays les affectionnent. C’est le cas de la France et des pays méridionaux. Aux États-Unis, on peut voir de faux volets plaqués sur la façade de maisons préfabriquées, tels des éléments de décor », peut-on lire dans l’ouvrage Fenêtres du Monde de Dominique et Jean-Philippe Lenclos.
Pourquoi cette différence ? Un élément de réponse se trouve dans le style de fenêtre que l’on trouve dans les grandes villes américaines. Nombre d’habitations ont des fenêtres de style guillotine. Ces fenêtres exportées par les colons anglais au XVIIIème siècle sont très populaires car elle favorisent la circulation de l’air, mais se prêtent difficilement à l’installation de volets.
Nicolas Sauzier, architecte d’intérieur à San Francisco, rappelle que les volets ont une fonction d’isolant thermique. « Dans les pays méditerranéens où il fait chaud, les persiennes servent à isoler de la chaleur ». Le climat plutôt doux de la côte Ouest ne justifie pas la présence systématique de volets. « Au contraire, sur la côte Est où l’hiver est rude, les volets permettent de protéger du froid. C’est le cas pour les maisons d’époque. Mais sur les nouvelles constructions, il y a les technologies de double-vitrage », explique l’architecte d’intérieur. Dans le sud, où le climat est chaud, les volets sont plus courants et sont mêmes surnommées “plantation shutters”.
Aussi, les maisons victoriennes de New York ou encore San Francisco, « avec leurs bow-windows aux avancées carrées », n’ont pas des façades qui permettent l’installation de persiennes.
Le designer de maison apporte une dernière raison à cette carence de volets. « Dans l’architecture américaine, les fenêtres sont alignées sur la façade extérieure, ce qui ne laisse pas de place à la pose d’un volet. Le renfoncement de la fenêtre se trouve à l’intérieur de la pièce. » Il en revient donc au bon vouloir des propriétaires d’ajouter des stores ou des rideaux occultants.

3 conseils pour réussir la transmission de vos biens immobiliers

(Article partenaire) Le testament et les droits de succession importants qui en découlent ne sont pas une fatalité. Anticiper la transmission de vos biens immobiliers maximise les chances de protéger vos enfants et votre patrimoine. Les conseils de My expat.

Faire une donation

C’est certainement la solution juridique la plus simple à mettre en place. Depuis 2012, chaque enfant profite d’un abattement de 200.000 € (100.000 € par parent), renouvelable tous les quinze ans. Ainsi, lorsque deux parents donnent une maison d’une valeur de 400.000 € à deux enfants, l’administration fiscale ne leur réclamera aucun droit de mutation. Une économie non négligeable. Sur un patrimoine immobilier important, l’avantage est réel à condition de s’y prendre suffisamment à l’avance pour transférer le patrimoine par étapes.

Seule difficulté avec la donation : au moment du décès des donateurs, lorsque le notaire vérifie si la part obligatoire de chacun des héritiers a bien été respectée, les biens transmis sont réévalués.

La donation-partage peut alors s’avérer un choix plus judicieux. Réalisée chez le notaire, l’acte de donation prévoit en un acte unique le partage avec l’ensemble des héritiers. Il apporte les mêmes avantages fiscaux, mais au moment de la succession les biens ne sont pas réévalués. La valeur des biens est figée au jour de la donation. Cette solution, jugée moins imprévisible, est privilégiée dès lors qu’il y a plusieurs enfants.

Vous pouvez également donner un bien en conservant son usufruit. En tant qu’usufruitier, vous pouvez occuper et louer le bien. Les enfants, nus-propriétaires, en assument l’entretien et le bien ne pourra pas être vendu sans leur accord. Au décès des donateurs, les enfants deviennent propriétaires à part entière, sans frais de succession.

Créer une société civile immobilière (SCI)

De nombreux notaires recommandent la SCI pour transmettre un bien immobilier à ses enfants. Elle convient bien aux ménages possédant un patrimoine conséquent. Les biens transférés sont dématérialisés au sein de la SCI en parts de société. Des parts souvent plus faciles à partager qu’une maison. Transmises aux enfants via une donation, elles sont éligibles aux mêmes avantages fiscaux que ceux vus précédemment et peuvent donc être transmises gratuitement, dans la limite des abattements légaux.

Cet article pourrait vous intéresser : SCI ou indivision ? Comment être propriétaires à plusieurs ?

Contrairement aux donations, qui supposent une gestion en indivision si le bien est partagé entre plusieurs enfants, dans une SCI, un associé ne peut pas déclencher seul la vente du bien. Le patrimoine familial est ainsi mieux protégé et en cas de conflit, l’associé mécontent pourra simplement se séparer de ses parts.

Attention, comptez entre 1.500 € et 2.000 € pour créer une SCI, frais d’acte notarié compris.

Acheter au nom de son/ses enfant(s)

Enfin, vous pouvez choisir d’acheter directement un bien au nom de vos enfants dans le but de leur transmettre. S’ils sont mineurs, ils deviendront propriétaires à leur majorité. Ils devront alors prendre en charge la gestion du bien, notamment s’ils décident de le mettre en location. Cette option n’est donc pas à prendre à la légère car c’est une responsabilité importante qui est transmise en même temps que le bien. L’intervention du juge des tutelles peut d’ailleurs s’avérer nécessaire dans certains cas afin d’éviter que cette transmission ne mette en danger la situation financière de l’enfant à sa majorité.

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Sel Rrose: des cocktails, des huîtres et un peu de Marcel Duchamp

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@Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent chaque semaine leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning
Sel Rrose (1 Delancey Street)

Repéré par @heydavina du collectif @pathport , on vous présente cette semaine Sel Rrose. Rrose Sélavy n’était pas seulement le pseudonyme de Marcel Duchamp: il se déguisait en femme pour pouvoir lui donner un visage et une forme. Rrose Sélavy est à la fois une œuvre et à l’origine d’oeuvres. C’est en hommage à ce personnage que Kristin Vincent, déjà propriétaire de deux bars dans le Lower East Side (Home Sweet Home et Fig 19), a choisi d’appeler son troisième lieu “Sel Rrose”. Déjà à la carte du Fig 19, le cocktail “Rose Sélavy” était prémonitoire. Sel Rrose, c’est un bar à huîtres et cocktails sur Delancey Street, juste à côté de la station Bowery sur la ligne J. A l’intérieur, on retrouve l’élégance du Paris d’après guerre, mais le grand mur en pierre délavé et criblé de trous (la pièce instagrammable de ce lieu) nous ramène bien à New York, dans le Lower East Side arty. On appréciera d’y trouver un vrai bar à huîtres, parfait pour l’happy hour qui a lieu tout au long de la semaine entre 16h et 19h. A la carte également, des plats type tapas à partager et quelques classiques français comme le boeuf bourguignon et le steak tartare. Les must-have de Davina: les huîtres et les frites à la truffe. Côté cocktails, elle recommande le “Lavender Piscine” et le “Spring & Delancey”. #pathport #instagrammemoiny . . . . . . . . #what_i_saw_in_nyc #igersnyc #newyork_instagram #travelerinnewyork #interiorwarrior #theweekoninstagram #inspiremyinstagram #lifeandthyme #seemycity #livelittlethings #allwhatsbeautiful #thesincerestoryteller #iamatraveler #gglocalgems #dametraveler #searchwandercollect #thatsdarling #doyoutravel #abmtravelbug #chasinglight #exploretocreate #thelifestylecollective #allshots_ #cafevibes #coffeeshopvibes #caffeinecouture #coffeefliicks

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Gad Elmaleh lance sa série en anglais sur Netflix

Gad Elmaleh a dit qu’il voulait réussir en anglais aux Etats-Unis. Il vient de franchir une nouvelle étape. Le comique français va co-écrire et tourner dans sa propre série en anglais, “Huge in France”. Elle sortira sur Netflix, dans le monde entier, à une date encore inconnue.
Ce show de huit épisodes de trente minutes sera inspiré de la vie de Gad Elmaleh. Dans la série, il joue un comique célèbre qui s’installe aux Etats-Unis pour reprendre contact avec son fils mannequin de 16 ans. Il doit gérer l’adolescent sans profiter des avantages de la célébrité car personne aux Etats-Unis ne sait qui il est.
Ce n’est pas la première fois que Gad Elmaleh travaille avec Netflix. Son standup en anglais, “Gad Gone Wild”, est disponible sur le site de streaming depuis janvier. Netflix diffusera aussi un nouveau spectacle de stand up en anglais l’an prochain. Pour “Huge in France”, il s’est allié pour l’écriture et la production à Jarrad Paul et Andy Mogel (“The D-Train”, “The Grinder”). Gad Elmaleh est actuellement en tournée au Canada et jouera à New Haven et New York en novembre.

Une séance de dédicaces avec Jane Birkin à New York

C’est le moment que les fans de Jane Birkin attendent depuis trop long. L’actrice et chanteuse franco-britannique, muse de Serge Gainsbourg, participera à une séance de dédicaces samedi 18 novembre à 2pm au Barnes & Noble de Fifth Avenue.
La star viendra signer “Birkin / Gainsbourg: le symphonique”, son treizième album studio comportant des oeuvres de Serge Gainsbourg. L’opus mélange des chansons écrites pour Jane Birkin et des morceaux figurant déjà dans des albums précédents ou chantés dans des concerts. Les CD (ou vinyles) seront disponibles dès 9am au magasin. Les dédicaces prendront place au rayon musique.
Pour continuer dans la magie Gainsbourg / Birkin, la chanteuse se produira le 1er février 2018 au Carnegie Hall avec le Wordless Music Orchestra.

"America": découvrir l'Amérique de Trump autrement

America, c’est une promesse: “L’Amérique comme vous ne l’avez jamais lue”, l’Amérique d’aujourd’hui, celle dont on parle peu, celle qui a voté Trump ou celle qui résiste, celle qui a abandonné tout espoir ou qui au contraire en a trop.
L’idée du “mook” (mix entre magazine et book), est née après la victoire surprise du candidat républicain le 8 novembre 2016. “Pendant toute la campagne, j’ai lu, vu et entendu dans la presse, des experts nous expliquer qu’Hillary Clinton allait gagner. Ces experts étaient bons pour certains, mais parfois auto-proclamés ou pas assez en contact avec la réalité du pays“, explique François Busnel, journaliste et co-fondateur d’America. Avec Eric Fottorino, ancien patron du Monde, le journaliste et critique littéraire décide de donner la parole à des auteurs pour raconter l’Amérique. “Les écrivains racontent cette Amérique en guerre, cette Amérique post-terrorisme qui passe de Bush à Obama pour finalement élire Trump“.
America est un magazine éphémère, qui s’arrêtera avec le mandat de Donald Trump. “Ce qui nous intéresse, c’est d’être les témoins d’un temps, de saisir une époque. Trump est fou, c’est un personnage de roman. On a envie d’être les mémorialistes de cette époque“. François Busnel, qui parle de son magazine avec passion, ne redoute pas la fin. Au contraire, connaître la date du dernier numéro est selon lui une très bonne chose: “On ne peut pas bâcler, chaque numéro doit être un feu d’artifice“.
Le projet des Français a été plébiscité par les plus grands auteurs, américains comme français. Toni Morrison, James Ellroy, Jim Harrison, Philippe Besson, Paul Auster ou encore Maylis de Kerangal. Chacun raconte à sa manière par une nouvelle ou un reportage, un bout d’Amérique. Dans le numéro 3, Philippe Besson raconte son road trip avec son compagnon de Chicago à la Nouvelle-Orléans, traversant des Etats où l’homophobie demeure importante. Un récit non-journalistique, écrit à la première personne, qui se lit comme un roman.
America, c’est en moyenne 200 pages de récits, d’enquêtes, de nouvelles, de photos. Un format long pour donner aux auteurs le temps de voyager, de rencontrer et de raconter. Outre les romanciers, des journalistes, grands connaisseurs des Etats-Unis comme Philippe Coste ou Sylvain Cypel, signent des reportages. “Aujourd’hui, les rédactions demandent aux journalistes de faire court, de simplifier leur pensée. Le résultat, c’est qu’on passe à côté de ce qui est complexe“, explique François Busnel, qui a donné trois semaines à Sylvain Cypel pour se balader dans la “Rust Belt”, à la rencontre des électeurs blancs et pauvres. “Il a frappé aux portes, dormi chez les gens“.
Le prochain numéro paraîtra en février et sera consacré à la violence aux Etats-Unis. Parmi les surprises, “Guns”, une nouvelle inédite de Stephen King, écrite exclusivement pour America, après la tuerie de Las Vegas en octobre dernier, et qui a profondément choqué l’auteur à succès de 70 ans.
Les trois premiers numéros d’America ont très bien fonctionné en France, ce qui a permis au magazine de s’auto-financer sans publicité. François Busnel et Éric Fottorino espèrent aujourd’hui publier une version en anglais à paraître aux Etats-Unis, pour faire connaître aux Américains ce regard d’auteurs locaux, mais aussi d’écrivains et de journalistes français, sur leur pays.

Daniel Auteuil et Catherine Deneuve sur les écrans de l'Austin Film Society

Deux titans du cinéma français sont attendus à Austin, en tout cas sur grand écran. “Ma saison préférée”, avec le tandem Daniel Auteuil et Catherine Deneuve, arrive à l’Austin Film Society pour deux projections, le jeudi 9 novembre et le samedi 11.
Dans ce film de 1993 signé André Téchiné, Emilie (Catherine Deneuve) se retrouve malgré elle à s’occuper de sa mère âgée, qui vient habiter chez elle. Cette dernière décide d’inviter Antoine, son fils, joué par Daniel Auteuil, à Noël. Il ne parle plus à sa soeur depuis trois ans et, inexorablement, les souvenirs reviennent au galop.
Projeté en VF avec des sous-titres en anglais.

Prenez vos places pour la "Fashion Party" de Skintie à San Francisco

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250 convives, carré VIP, fashion designers, Djs, artistes de “liquid latex” et de peinture sur corps ainsi que 27 mannequin(e)s déambulant dans un luxueux manoir de Pacific Heights avec piscine intérieure et jardin…
À l’occasion de la fashion party annuelle de Skintie le 18 novembre, qui célébrera le lancement de la deuxième collection prêt-à-porter de sa « très disruptive » cravate coupée, Christophe Schuhmann voit les choses en grand. « Chaque invité portera une cravate Skintie. Ca va être une soirée monstrueuse ! »
« Les Scorpions seront à l’honneur car c’est en novembre 2014 que j’ai eu l’idée de lancer Skintie et c’est aussi le mois de mon anniversaire », dévoile l’entrepreneur-créateur qui se réjouit de « l’incroyable effervescence » autour de cette soirée. 
La deuxième collection de cravates Skintie est composée de 24 modèles, 11 en soie et 13 en microfibre. La fashion party est également l’occasion de lancer “Skintie Couture”, une ligne d’impression personnalisée sur cravate.
Pour l’occasion, French Morning vous offre la possibilité de gagner 2×2 places, par tirage au sort. Pour participer, il vous suffit de remplir le formulaire ici:
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