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XL Airways veut ouvrir des lignes low cost entre New York et la province française

Laurent Magnin, PDG de la compagnie aérienne low cost XL Airways, veut créer de nouvelles liaisons entre New York et les grandes villes de province françaises. Il en a fait l’annonce, mardi, lors d’une conférence de presse à New York.
Les grandes villes comme Bordeaux, Toulouse, Lyon et Nantes deviennent de plus en plus attractives. Les New-Yorkais veulent découvrir d’autres parties de France. Il connaissent Paris. Ils veulent voir autre chose“, estime-t-il.
XL Airways a connu un développement important ces dernières années, en étendant son offre de vols long-courriers à bas prix pour inclure Miami, Los Angeles et San Francisco en plus de New York, première ville desservie par la compagnie il y a sept ans. L’entreprise de Laurent Magnin a également fusionné, en décembre 2016, avec La Compagnie, qui propose des vols business low cost entre Paris et New York.
Côte américain, il envisage aussi d’ajouter Chicago à la liste des villes desservies par XL aux Etats-Unis, mais pas tout de suite. “C’est toujours dans nos plans, a-t-il dit, mais Chicago est un peu en dehors de la zone de réflexion des touristes français“.
Tel Aviv-NY 
Laurent Magnin a également profité de son passage à New York pour annoncer l’ouverture l’an prochain, entre “avril et octobre“, d’une liaison New York-Tel Aviv avec escale à Paris. La création de cette nouvelle liaison a été inspirée par le succès du Paris-Miami auprès de la communauté juive. “La communauté juive représente 50% des passagers sur cette ligne, a-t-il glissé. Le marché est incroyable. On pourra rester deux jours à Paris et continuer vers New York sur un autre vol“. Des lignes similaires entre Tel Aviv et Miami, Los Angeles et San Francisco seront aussi lancées.

Emmanuel Macron aux Français de New York: "Revenez !"

N’en déplaise aux pique-assiettes, il n’y avait ni petits fours ni boissons à la rencontre d’Emmanuel et Brigitte Macron avec la communauté française de New York, mardi. En revanche, le couple présidentiel s’est livré à long un bain de foule dans les allées bondées du 92Y, empli de groupies.

On pouvait entendre des “bravo“, “merci“, “bon courage” alors que le président se prêtait au jeu des selfies avec ses fans et que Brigitte Macron était occupée à papoter avec un de ses anciens élèves. “Pour la première fois, j’entends un président qui me parle“, a commenté une Française en le voyant.

En tant qu’Américain, nous n’avons pas un chef d’Etat qui me paraît très sain. Pour moi, Macron est mon président“, s’exclame Victor, un Franco-américain de 17 ans venu avec des camarades du Lycée français.

Miné par une popularité en berne en France, le président était en terrain conquis parmi les Français de New York, auxquels il avait rendu visite pendant la campagne pour lever des fonds notamment. Dans la circonscription consulaire, qui regroupe aussi le New Jersey, le Connecticut et les Bermudes, il a recueilli 52% des voix au premier tour de la présidentielle et près de 95 au second.

Pendant son discours,  le nouveau locataire de l’Elysée a repris les thèmes de sa campagne et de son intervention quelques heures plus tôt devant l’Assemblée générale de l’ONU. Devant les 900 invités triés sur le volet, et une collection de ministres et d’anciens ministres, il a plaidé pour “la réinvention” de l’Europe, rappelé “le rôle particulier de la France” pour “inventer une nouvelle grammaire” des relations internationales et énuméré les “transformations” qu’il veut mettre en œuvre dans les domaines de l’emploi et de l’éducation. Il a fait rire son auditoire involontairement quand il a indiqué vouloir mettre fin à “l’état de droit” en novembre en France en voulant parler de l’état d’urgence.

Même s’il n’a pas abordé les problématiques qui touchent les Français de l’étranger comme le vote par internet pour les élections législatives ou la question controversée de fiscalité, il a fait allusion aux inquiétudes suscitées cet été par les coupes budgétaires affectant le Quai d’Orsay et les bourses scolaires notamment. “J’ai confirmé l’ensemble des crédits pour l’année 2018 pour que les écoles et l’ensemble de notre rayonnement éducatif et culturel non seulement soit maintenu mais puisse encore avoir une ambition renforcée. C’est la bataille conjointe de deux des ministres qui sont face à moi”, a-t-il dit en faisant allusion au ministre des affaires étrangères Jean-Yves le Drian et celui de l’éducation Jean-Michel Blanquer.


Revenez, irriguez, échangez. Venez conquérir ! La terre de conquête aujourd’hui est la France. L’esprit de conquête y souffle à nouveau, a-t-il lancé au public, composé notamment d’entrepreneurs. Et pour celles et ceux qui veulent rester là (…), nous serons à vos côtés pour que vous soyez fiers de votre pays et pour que vos enfants soient ici bien éduqués”.

Sa politique peut convaincre les Français de participer à cette transformation, mais de rentrer en France, je le doute. On a nos familles ici, nos habitudes, nos métiers“, affirme Richard Ortoli, conseiller consulaire et président du conseil d’administration de la New York French American Charter School à Harlem. Par contre, s’impliquer davantage ? Certainement !

Kybele entre dans la danse au Theatre Raymond Kabbaz

La compagnie de danse Kybele, basée à Los Angeles, entrera dans la danse au Theatre Raymond Kabbaz le jeudi 5 octobre à 8 pm. Dirigée et fondée en 2003 par la directrice artistique et chorégraphe Seda Aybay, cette formation mêle danse contemporaine et culture turque, multipliant les ponts entre les genres et les influences.
Les créations de Seda Aybay prennent racine dans son histoire, de son éducation en Turquie à son parcours professionnel dans les ballets français et la Royal Academy of Dance de Londres. Depuis la création de sa compagnie, la chorégraphe a produit une vingtaine d’oeuvres originales.
Durant cette soirée au Théâtre Raymond Kabbaz, Kybele présentera trois spectacles : “Sonsuz”, inspiré du poème de Marc Olivier (“When Death Comes”); “Noir” qui fait écho au cinéma noir des années 40 et à ses anti-héroïnes; suivi de “Kina” qui met en scène la pression islamique subie par les femmes en Turquie.

Sylvie Boisel, une chanteuse globe-trotteuse à Las Vegas

Emportée par la foule, par le répertoire de la chanson française, par les destinations… La vie de la chanteuse Sylvie Boisel est un tourbillon. A peine majeure, la Toulousaine a quitté sa région natale pour se lancer sur la scène parisienne avant de vivre sa passion en Australie et aux Etats-Unis. Basée à Vegas, elle se produira avec Sandy Kastel au Baobab Theatre le samedi 30 septembre, pour le spectacle “Woman in the Mirror”.
La chanteuse a fait évoluer son répertoire au gré de ses voyages. A Paris, elle se passionne pour la chanson humoristique. Mais rapidement lassée par la capitale, elle décide de s’aventurer en Australie pour quelques mois. Elle y reste finalement 8 ans. “Il a fallu que je m’adapte au répertoire. Ils aiment beaucoup Edith Piaf, j’ai travaillé sur un nouveau spectacle”, se remémore-t-elle. Durant ces années, elle se mue en interprète de la chanson française et fait une performance lors de la première du film “La Môme” à Sydney. Elle se met également au jazz, s’inspirant d’artistes comme Ella Fitzgerald.
La chante-trotteuse a la bougeotte et décide alors de regarder de l’autre côté de l’océan, les Etats-Unis étant un rêve d’adolescente, matérialisé par Janis Joplin et Woodstock. Après New York, elle émigre vers une région plus chaude qui lui ressemble davantage en novembre 2016: le Nevada. “Pour une “show girl” comme moi, Las Vegas était beaucoup mieux”, avoue la mezzo-soprano, se comparant volontiers à l’Albatros de Baudelaire :“quand je suis sur scène, je suis vraiment à la maison.”
S’étant lancée dans l’écriture avec une première chanson “C’est ça l’amour”, elle ambitionne de co-écrire des textes avec la chanteuse galonnée, Sandy Kastel, une habituée de Vegas. “J’ai également un projet d’album avec un groupe de jazz à Madrid”, assure celle qui a déjà enregistré un premier album (“Amour”), écoulé à 1.200 exemplaires. La Française veut voir la vie en rose aux Etats-Unis.

Il faut qu'on vous raconte la soirée de Gérard Depardieu au FIAF

My mom is dead with a diarrhée. Humanity is like that, like a diarrhée“. C’est un Gérard Depardieu misanthrope et pas vraiment bilingue qui est apparu sur la scène du FIAF, lundi, à l’occasion de la présentation de son autobiographie Innocent, sortie en 2015 en France et récemment traduite en anglais.
Une foule d’Américains, de Français et de Russes avaient fait le déplacement, impatients d’écouter “le plus grand acteur français au monde”, comme l’a rappelé en introduction la directrice du French Institute Alliance Française Marie-Monique Steckel.
Interrogé successivement sur les grands thèmes de son livre comme la politique, l’amour, l’amitié et la religion, Gérard Depardieu a fait du Gérard Depardieu en ne respectant qu’un fil conducteur, le sien. “Je me complais dans mes défauts. Parfois je bois trop, parfois je mange trop, je pisse même dans les avions. Pardonnez-moi mais je ne le fais pas exprès, j’ai choisi d’être vivant”. Une authenticité que l’acteur nomme innocence, la “pureté de ce que doit être l’être humain. L’innocent, c’est l’opposé de l’imbécile“.
Aussi touchant que grotesque parfois, Gérard Depardieu n’a pas souhaité s’étaler sur la politique, se contentant de déclarer sa flamme à Valérie Pécresse, présidente LR de la région Ile-de-France, une femme selon lui “courageuse et sexy, qui change des moches qu’on a en politique“. Le thème de la mort auquel il a souvent été confronté dans sa vie a, en revanche, plus inspiré l’acteur de 68 ans. “A mon âge, j’en ai vu beaucoup partir. Mon fils me manque, j’aurais aimé faire plus (…) On dit que je parle avec les morts. Je sens que certains sont encore vivants à travers moi, comme Guillaume.”
Gérard Depardieu a conclu la discussion en affirmant vivre aujourd’hui “partout dans le monde” et “sans avoir besoin de rien”. “Je n’ai jamais de bagages, porte souvent le même jeans et pas de sous-vêtements. Mais chose rare, je ne sens pas!”. Edité chez Contra Mundum Press, le livre Innocent sera disponible aux Etats-Unis le 1er novembre.

Ava remporte le Startup Tour

Le Startup Tour, co-organisé par French Morning et French Founders, a son vainqueur. A l’issue des pitches des huit finalistes, Ava a remporté le 1er prix, un package d’une valeur de 100.000 dollars pour faciliter son développement aux Etats-Unis. La start-up basée à San Francisco développe une intelligence artificielle qui sous-titre en temps réel une conversation, dans le but d’aider les personnes sourdes ou malentendantes.

Start Up Tour 2017
Start Up Tour 2017

C’est beaucoup de joie et beaucoup d’honneur. On va essayer d’être à la hauteur“, a remercié le PDG, Thibault Duchemin, l’un des trois fondateurs. “J’aimerais que dans 10 ans on puisse parvenir à une accessibilité totale, 24/24 pour 400 millions de personnes malentendantes“, reconnaît le Français, qui a grandi avec des parents et une sœur malentendants. “Cette start-up mêle performance économique, technologique et humanité, avec une utilité sociale dans le quotidien, soulignait en aparté Mounir Mahjoubi, le Secrétaire d’Etat au numérique venu présider la cérémonie. Une façon de voir la technologie à la française, c’est ce mix entre performance et utilité“.
Co-organisé par French Morning et FrenchFounders, le Startup Tour est une compétition internationale organisée entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Les huit finalistes ont été sélectionnés au terme de compétitions locales organisées à Montréal, Paris et dans plusieurs villes américaines.
Start Up Tour 2017
Start Up Tour 2017

Pour sa part, Diabnext a remporté le prix de l’Association françaises des Grandes Ecoles aux Etats-Unis. Ses outils connectés pour simplifier le quotidien des diabétiques ont convaincu le jury. “Ce prix nous donne une reconnaissance sur la validité et l’intérêt de notre solution pour les investisseurs“, a déclaré Laurent Nicolas, general manager et co-fondateur de Diabnext. L’application permet d’estimer les glucides ingérés à partir d’une photo et permet également de suivre automatiquement les injections d’insuline. La start-up, en pleine croissance rêve d’équiper un jour les 135 millions de diabétiques dans le monde possédant des smartphones.
Start Up Tour 2017
Start Up Tour 2017

Enfin, le prix du public est revenu à la start-up parisienne CybelAngel, représentée par son PDG Erwan Keraudy. CybelAngel détecte les problèmes liés à la cybersécurité dans les entreprises et a réussi au cours de son pitch à effrayer le jury et la salle avec les risques de fuites de documents confidentiels, avant de les rassurer avec ses solutions, déjà utilisées par des grands groupes.
Les huit start-ups qu’on a vues aujourd’hui sur scène étaient vraiment les champions des champions, a salué Mounir Mahjoubi, qui a toutefois regretté l’absence de femmes parmi les finalistes.
Outre les vainqueurs du Startup Tour, cinq autres finalistes ont suscité l’intérêt du jury de professionnels et de la salle: Invivox, (formation de médecins en bloc auprès des experts de chaque domaine), OWLMO (plateforme numérique permettant à des coachs ou des consultants d’interagir facilement et en toute sécurité avec leurs clients), Dr. Banner (une plateforme digitale qui permet aux marques de lancer des campagnes hyper-ciblées et multi-locales, sur desktop et mobile), Washos (application de lavage de voitures à domicile) et Dubdub (réalisation de vidéos professionnelles depuis un smartphone).
 

Trump veut s'inspirer du défilé du 14-Juillet pour Washington

On le sait: Donald Trump a passé un très bon moment au défilé du 14-Juillet sur les Champs-Elysées. Tellement bon qu’il envisage de lancer un défilé semblable sur Pennsylvania Avenue.
Il l’a réaffirmé aux côté d’Emmanuel Macron, lundi, avant un meeting entre les deux hommes dans le cadre de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations-Unies. “Nous pensons à avoir une grande parade le 4-Juillet sur Pennsylvania Avenue pour montrer notre force militaire“, Donald Trump a-t-il dit à Emmanuel Macron, jugeant que ce défilé “était incroyable pour la France, l’esprit de la France“. Il lui a tout de même demandé la permission pour pouvoir monter cette initiative, déclenchant un rire du président français et de la délégation.
Même si Donald Trump dit que la 14-Juillet l’a inspiré, il semblerait qu’il ait eu l’idée bien avant. En janvier, quelques jours avant son entrée en fonction, il a déclaré au Washington Post “nous montrerons le peuple que nous construisons notre armée, nous allons montrer notre armée. Cette armée pourrait descendre Pennsylvania Avenue“.
 

Washington, capitale du théâtre pour deux semaines

Il y avait la Restaurant Week, voici à présent la TheaterWeek. Washington accueille la Semaine du théâtre du mardi 19 septembre au dimanche 1er octobre. Objectif de l’opération: rendre le théâtre accessible à tous.
Vingt-cinq pièces à prix réduits sont au programme dans plusieurs salles de la ville. La sélection se veut éclectique. On trouve aussi bien la comédie musicale à succès In the Heights jouée à l’Olney Theater Center que la pièce d’Arthur Miller Death of a Salesman, considérée comme l’une des meilleurs oeuvres du XXème siècle, et La Flûte enchantée de Mozart.
Le prix des pièces s’échelonne dans l’ensemble de 15 à 35 dollars.
 

Immobilier: vendre son bien depuis l'étranger

(Article partenaire) Au regard des avantages qu’offrent la dématérialisation et le contexte économique qui plaide en faveur des vendeurs, toutes les conditions sont réunies pour se pencher sur la question de la vente depuis l’étranger pour les expatriés.

L’année 2017 a de grandes chances de marquer un nouveau record de vente. En mai, le nombre de transactions réalisées au cours des douze derniers mois a atteint un niveau historique de 907.000. Ce montant dépasse nettement le volume cumulé un an plus tôt (824.000 en mai 2016).

Les vendeurs en position idéale

Comme l’indiquent les notaires de France dans leur dernière note de conjoncture : “les vendeurs ont la main” sur le marché ! Il n’y pas de pénurie de biens, mais ceux-ci se vendent particulièrement vite. Les ventes se font donc généralement sans négociation, ce qui permet de tirer les prix vers le haut.

A Bordeaux et à Lyon, les prix ont augmenté respectivement de 15,5 % et 2,2 %. A Paris, la tendance est identique. La capitale enregistre une progression des prix de 5,5 % sur la même période. Rien ne semble donc pouvoir freiner le dynamisme du marché parisien. En effet, le nombre de ventes de logements anciens progresse à un rythme toujours plus rapide. Il a augmenté de 38% en Ile-de-France lorsque l’on compare les 1ers trimestres 2016 et 2017.

Les vendeurs sont aujourd’hui dans une situation idéale. Ils sont assurés de pouvoir bénéficier d’un bon prix pour leur bien et de le vendre rapidement ! D’autant que pour eux l’horizon s’annonce dégagé. Les taux d’intérêts continuent de rester à un niveau très peu élevé, dopant de fait la demande.

Des démarches facilitées par la dématérialisation

La voie vers le tout-numérique est belle et bien entamée : l’ensemble des étapes de la vente d’un bien à distance peut être réalisé à distance. Sur les sites d’annonces immobilières, les offres de logement bénéficient d’une large couverture. Les Français ont adopté le réflexe puisqu’ils sont 90 % à se connecter pour réaliser leur recherche immobilière.

La dématérialisation des actes juridiques s’avère encore plus intéressante, notamment pour expatriés. La loi autorise en France la signature électronique, que cela soit pour le compromis de vente ou l’acte de vente. Aujourd’hui plus de 25 % des actes de vente signés chez le notaire sont entièrement dématérialisés. Après des échanges par voie électronique, acheteurs et vendeurs n’ont plus qu’à signer sur une tablette chez le notaire. Sans oublier la possibilité offerte au vendeur de se faire représenter, grâce à la procuration.

My expat, la solution simple et gratuite

Spécialiste de l’immobilier pour les expatriés depuis sept ans, My expat propose un service gratuit de mise en relation entre vendeurs et investisseurs. Grâce à sa plateforme, les échanges mais également des étapes capitales comme la signature des actes juridiques peuvent se faire entièrement par voie dématérialisée, et ainsi favoriser un délai de vente raccourci.

Pour les expatriés qui souhaitent vendre leur bien, My expat propose de qualifier les acheteurs les plus sérieux en vérifiant au préalable l’aspect financier de leur dossier. Et cela dans plusieurs plus grandes villes françaises : Paris, Lyon et Bordeaux. Accompagné par un expert de l’immobilier, il ne reste plus qu’une chose à faire pour l’expatrié : prendre les décisions ! Et cela, sans avoir forcément la contrainte de se déplacer.

Vous avez un bien à vendre ?

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Nouvelle interdiction du foie gras en Californie: c’est "complètement fou"

Une fois n’est pas coutume. Autorisé en 2015 après trois ans d’interdiction, le foie gras sera bientôt à nouveau banni des assiettes californiennes. Trois juges de la Cour d’appel de Pasadena ont décidé, vendredi 15 septembre, de remettre au goût du jour l’interdiction du foie gras (Senate Bill 1520) votée en 2004 et promulguée en 2012.
Tant que l’ensemble des recours n’est pas épuisé, ce mets de luxe peut rester au menu du Golden State. Si le “foie gras ban” entre en vigueur, les restaurants récalcitrants risqueront 1.000 dollars d’amende. En attendant, la pilule a du mal à passer du côté des toqués et des producteurs qui ont quatorze jours pour contester cette décision.
« C’est comme un parent qui confisque un jouet », réagit auprès de Reuters Phillip Frankland Lee, l’ex-candidat de la saison 13 du Top Chef américain et propriétaire du Scratch Bar & Kitchen à Los Angeles, en ajoutant que le foie gras va « manquer aux clients ». C’est aussi l’avis de Sylvain Dessagne, chef du restaurant français Garçon, à San Francisco. « Que ça soit poêlé ou en torchon, c’est un plat incontournable de notre carte, avec le confit de canard et le coq au vin. Sur un service de 80 couverts, près de 15 % des clients prennent du foie gras en entrée ».
Dans le Los Angeles Times, le chef Eric Greenspan, autre figure de la télé-réalité culinaire aux USA, s’adresse, lui, aux détracteurs du foie gras : « N’en mangez pas si vous ne voulez pas, mais n’empêchez pas ceux qui veulent le faire. Si vous voulez vraiment parler de cruauté, interdisez les fusils d’assaut avant le foie gras ». Dans le site Grubstreet, il qualifie le foie gras ban de « complètement fou ».
15.000 dollars de perte par jour
Le torchon brûle entre les producteurs de foie gras et les associations de défense des animaux. Pour Marcus Henley, vice-président du Hudson Valley Foie Gras, les juges font « une erreur ». « Cette interdiction a toujours été inconstitutionnelle et incorrecte dans ses fondements. Nous ne lâcherons rien », a-t-il déclaré à Reuters. En 2012, l’entreprise avait déclaré, par la voix de son avocat, que cette prohibition lui faisait perdre « au moins 15.000 dollars par jour ».
Les associations de défense des animaux – qui assimilent le gavage d’oies à de la torture – exultent. Dans un post de blog le People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) a indiqué faire « sauter les bouchons de champagne ».
Patrick Thillard est également favorable à cette interdiction mais seulement si elle s’applique au foie gras issu d’un gavage industriel. À Bask, son restaurant de San Francisco, le co-gérant sert, depuis plusieurs années, « un foie gras bio ». « Nous l’importons du Canada. Les oies sont en liberté et gavées de manière naturelle ». Une alternative à la prohibition pour que « ce produit de marque de la gastronomie française » reste dans les assiettes californiennes.

Le Dîner en blanc revient le 14 octobre à Los Angeles

Ce n’est pas le trafic anxiogène de Los Angeles qui va faire fléchir les organisateurs du Dîner en blanc. Le lieu restera secret jusqu’à la veille des festivités, qui se dérouleront le samedi 14 octobre. L’an passé, les convives s’étaient rassemblés devant le Music Center, à Downtown.
Les inscriptions se font en plusieurs phases à partir du lundi 18 septembre: la première concerne les invités de l’édition 2016, la seconde les personnes recommandées par les inscrits de la première phase et la troisième phase concerne les personnes inscrites sur la liste d’attente.
Ce pique-nique immaculé réunit 2.500 convives priés de respecter la règle fondamentale: se vêtir de blanc de la tête aux pieds, déguisés ou non.
De nombreux points de rendez-vous ont été établis à travers la ville, où des guides escorteront des groupes d’une centaine de personnes vers le lieu secret de l’évènement.
Les inscrits ne doivent pas arriver les mains vides. Ils devront apporter leur propre pique-nique, argenterie et porcelaine fine, ainsi que des chaises et tables blanches. Une fois attablés, les participants agiteront leur serviette de lin blanc pour marquer le début des festivités, mêlant danse et divertissements.

Philips Harbor, un petit paradis immobilier près de New York

(Article partenaire) Envie de vivre loin de l’agitation de la ville ? Pourquoi ne pas tenter votre chance plus au nord ? Située en face d’Harbor Island Park à Mamaroneck, dans la banlieue new-yorkaise de Westchester, se trouve un petit paradis résidentiel. A 40 kilomètres de Manhattan, Philips Harbor est le seul complexe de condominiums de luxe offrant une vue imprenable sur Mamaroneck Harbor et le Long Island Sound.
Mamaroneck est connue pour ses nombreuses plages, restaurants, ainsi que sa communauté internationale bien établie. Les résidents ont facilement accès au train Metro North ainsi qu’à l’Interstate-95. La gare est à quatre blocks de Philips Harbor, et Grand Central à 36 minutes en train. On peut même rejoindre le collège-lycée de la French American School of NY (FASNY), l’école franco-américaine du Westchester, à pied ou à vélo pour les plus sportifs.
Philips Harbor est un ensemble de sept luxueuses maisons de ville résidentielles nichées sur le littoral. Les habitations possèdent toutes une finition haut de gamme. Chaque résidence à son ascenseur privé, mais aussi des armoires, placards et portes d’inspiration italienne, ainsi que de superbes comptoirs en pierre. Les habitations sont dotées des équipements de réfrigération dernier-cri de la marque Sub-Zero, d’appareils d’électroménagers Viking et possèdent un plancher en chêne blanc européen. Les suites principales incluent des grandes douches à vapeur, des baignoires indépendantes, un mobilier italien personnalisé et un chauffage rayonnant au sol. Chaque résidence bénéficie également de grandes fenêtres, d’une terrasse spacieuse et d’un garage pour deux voitures, plus une place de parking extérieure.
A Philips Harbor, la porte d’accès de Mamaroneck Harbor, nous avons créée un groupe unique et exceptionnel de maisons de villes qui utilisent parfaitement la vue sur le Long Island Sound avec le meilleur du design contemporain: plafonds hauts, grandes fenêtres, un espace ouvert et la finition la plus fine”, explique Michael Rosen, le promoteur de Philips Harbor.
Le centre de vente sur place est ouvert sur rendez-vous. Appelez dès aujourd’hui pour en savoir plus sur ce lieu de résidence exceptionnel.
105 Delancey Avenue, Mamaroneck, NY, (914) 600-7080. Visitez www.philipsharbor.com pour en savoir plus.
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