“Le corps est comme une vieille voiture. Si on ne prend pas soin de lui, il ne fonctionne plus.” A 50 ans, Sophie Chiche en paraît dix de moins. Et elle le doit à un projet de vie qui s’est concrétisé par la création de Shape House en 2013, une maison de sudation. Fin décembre, elle a ouvert son quatrième local à West Hollywood (après Larchmont, Santa Monica, Pasadena).
Comment Shape House fonctionne-t-il ? Après s’être hydratés et avoir revêtu une tenue en coton, les clients sont placés sur un lit et recouverts d’une couverture chauffante pendant une heure. Exposé à une température élevée, le corps va s’auto-réguler et transpirer massivement. “Cela permet de “détoxiner” notre corps de manière naturelle. Le nombre de calories perdues est équivalent à un footing, sans construire de muscle“, explique Sophie Chiche.
Chaque mois, 5.000 personnes fréquentent Shape House pour perdre du poids, arrêter de fumer, améliorer l’élasticité de leur peau ou encore les aider à dormir.
L’une des plus fidèles clientes de Sophie Chiche n’est autre que la chanteuse Selena Gomez. Elle a fait la promotion de cette sudation qui annihile les effets de sa maladie auto-immune (lupus) à la télévision. “Mais je n’aide pas les gens de manière médicale, juste à se sentir mieux“, précise Sophie Chiche.
Tombée amoureuse de Los Angeles à 17 ans, la Parisienne, ancienne pigiste bien-être, à passé un diplôme en psychologie avant de travailler au développement international de la boîte de conseil de son mari.
Mais tout n’est pas rose pour Sophie Chiche. “J’avais fait le tour de la balance, je faisais plus de 145 kg. Je mangeais chaque fois que j’étais triste, raconte-t-elle. Je me suis retrouvée la tête dans le frigo en pleine nuit et je me suis dit que ça suffisait. C’était il y a douze ans.” La Française décide alors de se reprendre en main, et perd 80 kilos en une dizaine d’années en changeant ses habitudes alimentaires.
Ne pouvant pas faire d’exercice à cause de sa carrure, elle trouve alors la solution de transpirer. Elle arrive à l’idée de Shape House et ouvre sa première maison à Larchmont il y a quatre ans grâce à des fonds personnels.
Responsable d’une cinquantaine d’employés aujourd’hui, elle a été rejointe par plusieurs investisseurs. Sophie Chiche prévoit d’ouvrir un local à New York en 2018. “Beaucoup de gens croient au projet. Une de mes clientes veut investir. Je veux avoir des Shape House dans tous les environnements urbains“, avance-t-elle. Avant cela, elle compte poursuivre l’essor de Shape House en Californie, et en ouvrir quatre autres en 2017 : un dans la Valley, San Francisco, San Diego et Orange County.
Elle veut aussi publier un livre autobiographique : “J’ai trouvé des moyens plein de bon sens pour mincir, j’ai envie de les partager.“
Avec Shape House, Sophie Chiche fait suer les Américains
5 activités gratuites à faire en août à Miami
Découvrir une exposition sur le Mexique au Frost Art Museum
Le Frost Art Museum dédie une exposition intitulée “Becoming Mexico” aux clichés du mexicain Manuel Carrillo (1906-1989). Avec une précision presque anthropologique, le photographe a, tout au long de sa carrière, focalisé son travail sur les rituels, pratiques locales et activités quotidiennes de son pays en hommage à la culture indigène. Jusqu’au 17 septembre. Frost Art Museum, 10975 SW 17th St. Du mardi au samedi de 10am à 5pm et le dimanche de 12am à 5pm. Plus d’infos ici.
Apprendre à méditer
Énergie, créativité, calme et inspiration : la méditation confère plus d’un bénéfice. Stefan Ravalli, professeur et écrivain, propose des séances gratuites où il prodiguera conseils et techniques. Jeudi 24 août de 6.30 pm à 7pm, The Medicine Room, 7420 SW 130th St. Plus d’infos ici et au 503.709.6802.
Découvrir l’histoire de Miami en famille
Il fut un temps où Miami portait le nom de Fort Dallas, dite « la ville fantôme ». Chaque deuxième samedi du mois, le History Miami Museum ouvre ses portes gratuitement aux familles pour découvrir l’Histoire de la ville au fil de chasses au trésor, activités artisanales et récits. Prochaine journée “Mystères de l’Histoire” le samedi 12 août de 10 am à 5 pm. Activités de 12pm à 4pm. History Miami Museum. 101 Wet Flagler Street. Réservations et infos ici.
Se balader au Miami Flea
Nous voilà à la moitié de l’année 2017. À cette occasion, The Miami Flea organise un grand marché en plein air où art, mode et mobilier vintage sont de mise. En marge de l’évènement, plusieurs restaurants de la ville vous seront présentés. Le 20 août de 4pm à 8pm. A+E district. 1445 North Miami Avenue. Toutes les infos ici.
Faire une excursion historique à vélo
Le Coconut Grove Business District vous propose de découvrir les sites légendaire de Miami au cours d’une excursion à vélo. Un guide vous racontera notamment les histoires captivantes du quartier verdoyant du Barnacle, ancien repaire hippie des années 60 qui a conservé son esprit bohème. À noter que les vélos ne sont pas fournis. Prochaine excursion le samedi 19 août de 9.30 am à 12am. 3500 Pan American Drive, Coconut Grove. Réservations ici et plus d’infos ici.
« Trafic » de Jacques Tati projeté au Metrograph
On l’appelle le « mal aimé ». « Trafic », le film de Jacques Tati sorti en 1971, a longtemps été boudé du public et de la critique avant d’être reconnu pour son audace et la qualité de ses gags. Les 12 et 13 août, celui-ci sera projeté en 35 mm au Metrograph, en français sous-titré anglais.
De Paris à Amsterdam, Monsieur Hulot, graphiste dans la société automobile française du nom d’Altra, voyage à bord d’une cylindrée qui se transforme rapidement en une maison roulante. Entre carambolages, embouteillages et chutes absurdes, Jacques Tati embarque le spectateur dans un « road movie » tout à fait insensé.
La Pastis Box de Ricard va vous faire passer un bon été
(Article partenaire) Le 14-Juillet est passé mais cela ne veut pas dire qu’il faut se priver des bonnes choses. Ricard l’a bien compris.
La marque française a lancé une box spéciale “Bastille Day” pour 35 dollars. Elle est disponible à la vente sur son site.
La boîte vintage contient une bouteille de 750 ml, des verres de collection, un bec-verseur et une recette de cocktails. Prévoyez 7 à 10 jours pour la recevoir. Livrable dans les Etats suivants:AZ, CA, CO, CT, DC, FL, IL, MD, MA, MI, MN, NE, NV, NJ, NY, SC, TX, WA, WI. À consommer avec modération.
Commander la Ricard Pastis Box
—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
5 bons plans pour faire sa gym gratuitement à Washington cet été
Faire de la gym, c’est bien. Mais faire de la gym sans dépenser une fortune pour adhérer à une salle de sport hors prix, c’est encore mieux. Voici une sélection de bons plans pour faire de l’exercice gratuitement à Washington cet été.
The November Project
Le November Project est un mouvement de fitness national qui se lève à l’aube pour une séance de gym collective. Leur slogan ? « Just Show Up » (pointez-vous !). Le groupe se retrouve les lundis matin à 6:30 am au coin nord-est du parc de Meridien Hill, les mercredis à 5:25 am et 6:20 am en bas des escaliers du Lincoln Memorial et les vendredis dans un lieu qui change chaque semaine. Il faut consulter leur page Facebook ou leur compte Instagram, qui contient de magnifiques photos de lever de soleil d’ailleurs, pour savoir où précisément.
TriFit à Farragut Park
Si vous n’êtes pas si matinal que ça, le Golden Triangle Business Improvement District offre des cours de fitness gratuits trois soirs par semaine, de 5:30 à 6:30pm jusqu’au 28 septembre. Les mardis, c’est CorePower Yoga à Farragut Park, les mercredis c’est Freedom Barre sur la place de 2100 M Street et les jeudis, c’est pilates de nouveau à Farragut Park. Il est recommandé de s’inscrire à l’avance via Eventbrite et d’amener son propre tapis de yoga aussi.
« Get Moving » avec le Capitol Riverfront
Jusqu’au 31 août, le Capitol Riverfront organise une série de cours de fitness gratuits quasiment tous les jours de la semaine à Yards Park ou Canal Park, sponsorisés par différentes salles de gym du quartier. Il y aura notamment des boot camps et du jazzercise présenté par Balance Gym, du conditionnement avec Orange Theory Fitness Navy Yards et du yoga avec VIDA Fitness, qui a aussi une salle de sport à Navy Yards. L’agenda complet se trouve sur le site internet du Capitol Riverfront.
Les clubs de course
Plusieurs boutiques de sport de Washington opèrent des clubs de jogging. Pacers Running organise des courses “sociales” le matin et en soirée à chacun de leur cinq sites dans la région et des courses longues le week-end.
Idem pour les boutiques Lululemon : à Clarendon Boulevard, on court les lundis à 6 :30 pm et à Bethesda Row, c’est le mercredi soir à 6 :30 pm. REI a aussi un club de course qui se retrouve à la boutique principale de NoMa les mardis à 6:30 pm.
Et il n’y pas que les boutiques de sports qui organisent des “runs”. Le restaurant Shake Shack, par exemple, vous encourage à faire un peu d’exercice avec son programme “Shack Track & Field,” tous les deuxièmes mardis du mois. Il y a trois itinéraires différents mais les courses commencent toutes à 7:00pm et finissent au Shake Shack de Dupont Circle avec, bonus, une boisson offerte.
Quant au Glen Market à Dupont Circle, leur Run Club se retrouve un lundi sur deux.
Foot: les clubs de supporters à New York pour suivre la Ligue 1
C’est parti pour une nouvelle saison de foot. Pour vivre la Ligue 1 avec d’autres supporters, vous n’aurez pas l’embarras du choix. Seuls l’OL, le PSG et l’OM ont des “fan clubs” à New York. Pour le moment.
Les Gones NYC
Lancé en 2015 par l’Américain Justin Tessier, le groupe se rejoint au bar Legends (6 West 33rd Street), antre des footeux de tous les pays. Jusqu’à 50 personnes sont venues assister aux matches de l’Olympique lyonnais. Du fait de son jeune âge, le groupe n’a pas encore organisé de voyage pour voir l’équipe jouer en France, même si le groupe OL USA, regroupement de supporters au niveau national, s’est rendu à Lyon-Nice en mai 2017. Le groupe est en cours de discussion avec l’OL pour officialiser leur relation et faire bénéficier à ses membres d’avantages. Page facebook.
PSG Club New York
Créé le 1er février 2006, le groupe se réunit également au Legends et rassemble 50 à 75 personnes. Les fans peuvent devenir membres en achetant une carte à 20 dollars la saison. Elle apporte 5% de réduction sur les produits du club et 10% de réduction au bar. L’association organise des voyages en France et aux Etats-Unis pour voir l’équipe, et a participé à des entraînements quand les joueurs sont venus à New York. Site
OM New York
Fondé en 2003 par Xavier Thibaud et présidé depuis 2013 par Thierry Julliard, le groupe phocéen se retrouve au Smithfield Hall (138 West 25th St). Un noyau dur de 20 personnes assiste aux matches de l’Olympique de Marseille. Site
David Moquay, un Français dans les courses de drones en Arizona
Un appareil traverse un labyrinthe lumineux, tutoyant les 100km/h. Nous ne sommes pas dans “Tron”, mais dans une course de drones, une discipline qui se démocratise et dont le Français David Moquay a fait son beurre.
Il dirige une société basée en Arizona, FPV LighTrax, conceptrice de ces courses d’un genre nouveau. “Je veux offrir un événement visuel avec du rythme et des jeux de lumière, une vraie expérience visuelle pour les pilotes comme pour les spectateurs. Pour moi, c’est comme une pièce de théâtre.”
Avant de tomber dans l’univers du drone, le Français faisait des photos et vidéos de saut en parachute et de base jumping. C’est en regardant une vidéo de course de drones réalisée par des Français (“Star Wars Crash Station”) en septembre 2014 que l’homme de 47 ans a un déclic. Rapidement, cet autodidacte se prend au jeu, achète des pièces et s’amuse à construire des drones à partir de pièces électroniques pour avion télécommandé.
Peu à peu, cette passion contamine ses amis. David Moquay organise alors des courses nocturnes dans son jardin à Paradise Valley, créant des parcours avec des faisceaux lumineux enroulés de plastique. Ses terrains de 100 mètres de long s’améliorent “grâce aux vastes horizons qu’offre l’Arizona“.
L’engrenage est lancé. En mai 2015, il participe à sa première nocturne en Arizona où il aide les organisateurs, avant de tester une compétition diurne à Sacramento l’été suivant. “Je me suis rendu compte que je préférais les courses nocturnes et les jeux de lumière. Et surtout que je n’étais pas un assez bon pilote mais que j’avais du potentiel dans la création de terrains“, confie ce propriétaire d’une dizaine de drones.
Jusqu’à 4,3 millions de vues
Stimulé par son cursus artistique et son expérience dans les effets spéciaux, David Moquay commence à concevoir de plus en plus de parcours, diffusant le rendu sur Internet. Il arrive ainsi à convaincre le groupe XDC2, organisateur de courses, pour lequel il crée un parcours sur trois étages. Leur vidéo récolte plus de 4,3 millions de vues.
Depuis la création de sa société FPV FighTrax en décembre 2015 avec son associé Kyle Hales, David Moquay a notamment conçu une course pour la marque DRL à Detroit, une course qualificative dans un entrepôt à Burbank (Los Angeles), ou encore une dans le Domaine du Planet (Var, France). “J’ai conçu six gros événements et six de tailles plus modestes“, résume cet expatrié de longue date. Il organise aussi la “Phoenix Cup” depuis deux ans.
Pour créer ses parcours, le Français s’inspire de ses films-références que sont “Star Wars”, “Tron” ou “Star Trek”. Une “pâte” qui a déjà été copiée par d’autres pays, aux dépens du Français.
David Moquay ambitionne de développer sa société. Il se lance notamment dans la fabrication de mini-drones, réalisés à partir de jouets sur lesquels sont greffées des caméras, pour les courses “indoor”. Et il compte aller plus loin : “je veux organiser un tour sur plusieurs villes comme Phoenix, San Diego, Los Angeles, San Francisco, en 2018. Il s’étalerait sur plusieurs jours dans des lieux clos. Ce serait comme les “24 heures du Mans”, avec des équipes qui rechargent et réparent les drones en cas d’incident. Cela offrirait un spectacle de plusieurs heures“.
Lara Fabian chantera à Washington en février 2018
Lara Fabian posera ses valises au Warner Theatre le 5 février 2018 dans le cadre de sa nouvelle tournée internationale “Camouflage”, qui l’amènera dans plusieurs villes américaines. Les tickets sont en vente depuis le 4 août.
Pendant ce tour de chant, elle fera la promotion de “Camouflage”, un album qui fait la part belle au répertoire anglophone de la star francophone multilingue. Co-écrit par Lara Fabian, Sharon Vaughn et Moh Denebi (également producteur), il comporte douze chansons. Le 4 août marquera aussi la sortie de son nouveau single “Growing wings”.
Le phénomène Møme débarque à Los Angeles
Son tube électro-pop «Aloha» a fait danser les foules à l’été 2016, plaçant Jeremy Souillart alias “Møme” au rang des artistes les plus prometteurs de sa génération. Le Niçois de 27 ans se produira le jeudi 17 août à Couture à Hollywood.
Le jeune producteur de musique électronique prolixe est un véritable globe-trotter qui se nourrit de French Touch et de “Chillwave” australienne (un mélange de pop, de musique électronique et de «sound design»).
Après avoir joué à l’Olympia et enchaîné les festivals en France et en Europe, ce musicien, DJ et producteur présentera son nouvel album “Panorama” au public californien. Cet opus a été composé dans un van transformé en mini studio lors d’un road-trip en Australie.
Portes ouvertes à l'Ecole Internationale de New York
(Article Partenaire) L’Ecole Internationale de New York n’est plus tout à fait la “petite dernière” des écoles françaises de Manhattan. Elle va bientôt fêter ses dix ans et vient de changer de propriétaires.
C’est le moment où jamais de découvrir l’établissement qui organise 10 sessions de portes-ouvertes dans les semaines à venir. L’occasion de rencontrer le directeur et fondateur de l’école, Yves Rivaud, ainsi que les enseignants et de découvrir la philosophie qui anime l’école, fondée sur la fusion de la rigueur académique à la française et de l’ouverture à l’américaine! “Mais ce n’est pas juste un symbiose, précise Yves Rivaud, c’est une création unique et subtile, avec des programmes approfondis, des enseignants qualifiés et sélectionnés par nos soins. Notre école est un partenariat, entre élèves, parents, enseignants et administrateurs”.
Forte de 32 nationalités, la communauté des élèves affiche une rare diversité qui fait l’identité de l’école et est renforcée par une myriade d’activités périscolaires. Les élèves du collège participent à des activités de “community service” qui leur permettent d’agir de façon constructive et de s’ouvrir sur le monde en dehors de leur vie quotidienne.
Intéressé? L’équipe de l’EINY vous accueille l’espace d’une heure pendant les portes ouvertes. Au programme, une présentation de l’équipe, visite des locaux et questions/réponses. Une inscription est nécessaire sur le site de l’établissement, par téléphone 646-410-2238 ou par mail [email protected]. Si les dates ne conviennent pas, il est possible de contacter la directrice des admissions, Mireille Desalm pour organiser une visite individuelle.
Portes ouvertes:
Mercredi 20 septembre
Mercredi 4 octobre et 25 octobre
Mercredi 8 novembre et 29 novembre
Jeudi 7 décembre
Mercredi 10 janvier
Jeudi 25 janvier
Mercredi 14 février
Mercredi 14 mars
Immobilier: acheter dans le Westchester, une valeur sûre (au fil de l'eau)
(Article partenaire) Dire que France Tucker connaît la “Sound Shore” comme sa poche n’est pas une exagération. Cette agente immobilière franco-américaine a grandi dans cette zone au nord de New York, qui comprend les villes de New Rochelle, Mamaroneck et Larchmont, y est installée depuis que ses parents français expatriés y ont emménagé, en 1966. Et elle y est restée. “Nous avons des racines ici“, explique la native de Toulon.
Aujourd’hui, en tant que “broker” depuis trente ans au sein de l’agence Houlihan Lawrence, leader sur le marché local, France Tucker aide les expatriés de France comme de Hong Kong, à trouver leur bonheur dans ces villes du littoral. Acheter une maison à Larchmont et Mamaroneck est, dit-elle, un investissement particulièrement sûr. “Ce sont des villes qui ont toujours tenu le coup malgré les récessions. Il n’y a jamais vraiment de mauvais moment pour acheter. C’est une zone tranquille, accessible. New Rochelle, pour sa part, est en train de se développer grâce à son maire. Pelham, au nord du Bronx, est aussi une zone sympa“.
Larchmont comme Mamaroneck attirent de nombreuses familles françaises et francophones, issues de la finance, de la médecine et du management essentiellement, précise-t-elle. La raison: la présence dans ces deux villes de l’école bilingue French American School of New York (FASNY), établissement privé homologué qui enregistre 100% de réussite au baccalauréat. Mais ce n’est pas la seule raison. La région propose de nombreuses activités sportives (voile, tennis, football) pour enfants, profitant de son bord de mer qui évoque la Bretagne, selon l’agente. “C’est un paradis pour enfants, s’exclame France Tucker, mère de quatre enfants. Il y a tout ce que vous pouvez imaginer“.
Les adultes qui apprécient l’air du large peuvent profiter du Larchmont Yacht Club, un club privé fondé en 1880 où se retrouvent les passionnés de voile. Cinémas, théâtres, musées: les amateurs de culture ont également le choix. Les cinéphiles francophiles se retrouvent par exemple à l’Emelin Theater à Mamaroneck pour les French Movie Nights, des projections mensuelles de films français. Et “Manhattan ne se trouve qu’à une demi-heure de Larchmont” en voiture ou en train via MetroNorth, rappelle France Tucker. “Ces endroits resteront attractifs sur le plan immobilier. Quand on achète une maison, on peut rêver autrement qu’en étant simplement locataire“.
Contacter France Tucker ici
——————————————————–
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Permis américain, Brooklyn-Sur-Seine: tour des blogs d'expats français aux US
Entre joies et déboires, réflexions et conseils, ces blogueurs installés dans divers coins des États-Unis ont décidé de partager leurs aventures d’expatriés sur la toile. Voici une sélection d’articles récemment parus.
1 – Un panda à Boston : Ces choses du quotidien qui nous rappellent qu’on est aux US
Parfois, les auteurs de ce blog – deux Français installés à Boston – oublient tout simplement qu’il vivent aux États-Unis. Et puis, lorsqu’ils paient leur stationnement, tentent de retirer le pommeau de douche fixé au mur, surprennent un employé du supermarché à ranger leurs courses, ces petits détails qui font la particularité des États-Unis se rappellent à eux. Ils les partagent avec leurs lecteurs. À lire ici.
2 – Laura Moonzi à LA : Ce que j’ai appris en vivant à LA
Après quatre ans d’expatriation à Los Angeles, l’heure du bilan est venue pour Laura Moonzi. L’occasion pour la blogueuse de briser les stéréotypes de la ville des anges. Ainsi peut-on lire que “oui, on peut attraper des coups de soleil à LA en janvier, oui, la voiture est une extension de soi, non, sortir à LA ne coûte pas toujours si cher et non, tout le monde ne se précipite pas à la plage à la sortie du bureau.” À lire ici.
3 – Beyond the Bridge : Bienvenue à Brooklyn-Sur-Seine
Jennifer Menard, expatriée à New York, vient de rentrer à Paris pour les vacances. D’emblée, quelque chose la frappe : les X et XIème arrondissements de la capitale semblent subir une véritable “brooklynisation”. Près du Canal Saint-Martin, les cocktails “made-in Brooklyn” volent la vedette des “jambon-beurre”, le street art envahit peu à peu les rues et les cheese-burgers du Bedford Diner dans le Marais attirent les foules. Analyse du phénomène à lire ici.
4 – Food et caetera : (Re)passer son permis à New York
L’auteure de ce blog, une Suissesse expatriée à New York depuis deux ans, s’apprête à passer son permis de conduire américain. A l’issue de l’épreuve clôturant la “pre-licensing class” (une session de cinq heures de sensibilisation au code de la route suivie d’un test), la blogueuse note les règles surprenantes qui existent en matière de conduite dans le pays de l’oncle Sam : ici, la police peut demander au conducteur de sautiller sur une jambe pour contrôler son alcoolémie, les mains doivent être croisées sur le volant quand la position inverse est préconisée en Suisse (et en France) et enfreindre le code de la route vous fait gagner des points car, aux États-Unis, il s’agit de points d’inaptitude. À lire ici.
5 – Paris – San Francisco : Muir Woods, de la nature à 20 minutes de San Francisco
Entre ses “conseils d’expats”, “Chris”, Parisienne installée à San Francisco, fait le récit de ses excursions. Le mois dernier, la jeune femme a visité Muir Woods, une forêt de séquoias géants située à vingt minutes de San Francisco. Conseils pratiques et aperçu des points de vues offerts par cette balade : “Paris – San Francisco” vous donnera probablement de bonnes idées. À lire ici.