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      "Je ne suis pas un salaud" projeté à l'Alliance française de San Francisco

      • Actualité
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      Grégoire Chapron
      -
      22 août 2017
      0
      "Je ne suis pas un salaud" projeté à l'Alliance française de San Francisco

      Une nomination pour le César du meilleur acteur, un Valois du meilleur acteur au festival du film francophone d’Angoulême: Nicolas Duvauchelle, l’acteur principal de “Je ne suis pas un salaud“, n’est pas passé inaperçu. Le quatrième long-métrage d’Emmanuel Finkiel sera projeté le mardi 5 septembre à l’Alliance Française de San Francisco à 7pm.
      Moitié drame-moitié thriller, le film suit Eddy, un chômeur immature séparé de Karine (Mélanie Thierry). Un soir, il est sévèrement tabassé et finit à l’hôpital. Il désigne à tort Ahmed comme étant l’un de ses agresseurs. Il s’enlise alors dans le mensonge et tente de reconstruire sa vie auprès de Karine et son fils Noam alors que les amis d’Ahmed, convaincus de son innocence, lui demandent de rétablir la vérité.
      Le film sera projeté en français avec des sous-titres anglais.

      Alexandre Cormont, un "love coach" pas comme dans les films

      • Actualité
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      Grégoire Chapron
      -
      22 août 2017
      0
      Alexandre Cormont, un "love coach" pas comme dans les films

      (Article partenaire) “C’est un bon film“. Le parallèle entre “Hitch”, comédie romantique américaine où Will Smith joue le rôle d’un love coach, et l’univers d’Alexandre Cormont est tentant.
      Le Français de Miami est un “professionnel des relations amoureuses“. Blessé lors d’un mondial de basket à 19 ans, cet ancien sportif s’est reconverti dans le “love coaching” grâce à une formation en coaching et de PNL (Programmation Neuro Linguistique).
      Il lance un site éponyme en 2007 (version américaine ici) où il prodigue des conseils dans quatre domaines à travers des articles et des webinars: “la confiance en soi”, “comment séduire”, “vie de couple” et “récupérer son ex”. « L’épanouissement personnel est lié à la situation amoureuse, dit-il pour résumer sa philosophie. Je sauve des familles, pas l’égo d’un client blessé ».
      Il assure également des séances de coaching reposant sur l’écoute, un plan d’action personnalisé, des objectifs et un suivi réactif. Sa méthode tient davantage du développement personnel que des solutions miracles. « Si je sens une demande malsaine ou que ce n’est pas de mon ressort, j’envoie le client vers quelqu’un d’autre, explique le coach. On se donne des objectifs atteignables. Je suis conseiller, pas magicien ».
      Basé à Miami pour « son environnement, ses possibilités et le melting pot de la Magic City », il s’est entouré de sept autres coaches. Leur clientèle est franco-américaine et essentiellement féminine. À présent, le Français veut développer ses services auprès d’une clientèle italienne, portugaise et espagnole.
      Contacter Alexandre Cormont:
      Le site d’Alexandre Cormont en anglais
      Le site en français
      Page facebook: Alexandre.Cormont.Love.Coach
      YouTube: moncoachtv
      Contact: [email protected]

      —————-

      Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

      Eyespot: un Français vous aide à faire votre shopping à Washington

      • Actualité
      • Business
      • Shopping
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      Fannie Rascle
      -
      22 août 2017
      0
      Eyespot: un Français vous aide à faire votre shopping à Washington

      Partons d’un cas pratique : vous avez besoin d’une robe pour affronter l’été (et du sac qui va avec, et des chaussures assorties). Vous pouvez, au choix, faire le tour de toutes les boutiques de Washington. Ou passer des heures sur internet à la recherche de la perle rare.

      Dans les deux cas, vous risquez de perdre du temps et de finir bredouille. Alors que la tenue de vos rêves vous attend peut-être dans une boutique juste au coin de la rue… C’est cette « frustration » qui a motivé Anthony Allard, ingénieur de formation, à lancer Eyespot, une application de shopping à Washington.

      L’idée: mettre en commun sur l’app les trouvailles des uns et des autres pour donner envie d’aller directement les acheter en boutique. Chaque utilisateur peut regarder les dernières pépites dégotées par la communauté. Ou dégainer son propre téléphone pour photographier et partager ses propres coups de cœur. Une photo léchée façon Instagram, une petite description du produit pour donner envie et surtout l’adresse du magasin où le retrouver : vous êtes équipé-e-s pour une séance shopping ciblée.

      « Si quelqu’un veut aller faire du shopping dans Georgetown le samedi après-midi, explique Anthony Allard, il peut passer quelques instants dans son salon à regarder sur l’app ce qui est disponible avant de se lancer à l’aventure ». Et décider, d’un coup d’oeil sur la carte proposée dans l’app, qu’il vaut mieux prendre la direction de CityCenter ou de Tysons Corner.

      Sur Eyespot, à la différence des pages « mode » d’un magazine, les prix ne sont pas indiqués. Mais toutes les marques et boutiques peuvent y figurer. « On veut que l’accès à cette app soit aussi facile pour Gap que pour un petit magasin qui n’a pas forcément les moyens technologiques d’avoir un site internet », détaille Anthony Allard. L’app ne cible que Washington pour l’instant.

      Voilà près de quinze ans qu’Anthony Allard est installé aux Etats-Unis, sur la Côte Est toujours, dans la capitale fédérale notamment. Comment en est-il venu à se passionner pour le shopping ? « C’est quelque chose de très différent par rapport à ce que j’ai fait historiquement », reconnaît-il dans un sourire. Avant de confier que c’est aussi une belle aventure à deux : « je travaille sur ce projet avec ma partenaire, ma ‘girlfriend’, Karna qui est Américaine. Mener ce projet ensemble, quand les choses sont un peu difficiles, ça permet de prendre un peu de perspective, de s’entraider ». L’aventure Eyespot n’en est encore qu’à ses débuts, la communauté d’utilisateurs est en train de grossir. Pour la rentabilité du projet, « on verra ça dans un deuxième temps ».

      5 associations à rejoindre pour protéger l'environnement à New York

      • Au quotidien
      • Vivre ici
      Margaux Deuley
      -
      22 août 2017
      0
      5 associations à rejoindre pour protéger l'environnement à New York

      Eagle Street Rooftop Farm

      Eagle Rooftop Farm
      Eagle Street Rooftop Farm, créée en 1995, est une ferme de légumes verts cultivés au troisième étage de l’entrepôt Broadway Stages de Greenpoint, à Brooklyn, soit un toit d’une superficie de 1800m². Outre l’entretien de cet espace, une équipe de bénévoles propose des programmes éducatifs et des ateliers destinés aux enfants et aux adultes. Les thématiques abordées sont multiples : cultiver ses propres produits à New York, cuisiner de façon locale, le compostage urbain ou encore l’apiculture. 44 Eagle St, Brooklyn. Toutes les infos ici.

      Million Trees NYC

      Million Trees NYC
      Créée en 2007, cette association à but non lucratif est parrainée par le New York City Department of Parks & Recreation et le New York Restoration Project. À l’époque, son objectif était la plantation et l’entretien d’un million d’arbres supplémentaires à l’horizon 2017. Après avoir réussi son pari, Million Trees NYC poursuit ses actions. Les bénévoles participent à diverses activités liées à la nature, comme le nettoyage du marais salé du Rockaway Community Park. L’association vous permet de réaliser vos propres projets tant qu’ils sont en lien avec la préservation de la nature. Plus d’infos ici.

      Harlem Grown

      Audubon
      Parce que les habitudes saines et responsables doivent se prendre dès le plus jeune âge, Harlem Grown, organisation indépendante à but non lucratif, dispense des ateliers sur l’agriculture urbaine et le développement durable pour les plus jeunes. Des camps d’été sont également proposés au sein de la ferme urbaine de l’association, où les pensionnaires apprennent à cultiver et récolter des légumes et approfondissent leurs connaissances de la nature au travers d’excursions et d’expériences scientifiques. 127 West 127 Street, bureau n° 201, à Harlem. Plus d’infos ici et devenez bénévole ici. 

      PortSide New York

      Portside New York
      “L’espace bleu” de New York doit être utilisé de façon responsable. Telle est la raison d’être de PortSide New York, une organisation à but non lucratif qui dispense un programme d’éducation maritime. Des actions sont également menées au siège de l’association, le navire pétrolier retraité du nom de Mary A. Whalen, qui est également un musée et un laboratoire d’idées pour préserver les parcs du littoral. Après l’Ouragan Sandy, l’association avait mené une opération de nettoyage qui lui a valu le prix de la Maison- Blanche. Les bénévoles assurent notamment des travaux de préservation à bord du bateau, dispensent des cours d’éducation à l’environnement et organisent des évènements. PO Box 195 Red Hook Station, Brooklyn. Toutes les infos ici.

      Time’s Up

      Time's up New York
      Fondée il y a 25 ans, cette organisation est dirigée par des bénévoles souhaitant favoriser l’utilisation du vélo à New York. À l’aide d’ateliers tels que la réparation de vélos et l’organisation d’évènements conviviaux comme le Street Art Bike Ride, une randonnée à vélo dans Brooklyn, Time’s Up veut faire grandir la population de cyclistes et laisser la voiture au parking. 99 S 6th St. Pour plus d’infos et devenir bénévole, c’est ici. 

      L'International Ballet Festival revient à Miami

      • Agenda
      • Concerts/Spectacles
      • Culture
      Margaux Deuley
      -
      21 août 2017
      0
      L'International Ballet Festival revient à Miami

      Avec ses 100 danseurs issus de 20 compagnies, sa série de films ou encore ses expositions d’art et ateliers, International Ballet Festival se pose comme l’évènement de danse le plus important de Floride. Sa 22e édition aura lieu à Miami entre le 26 août et le 17 septembre.
      Dans ce festival qui se déroule en deux phases, la première partie sera consacrée à la danse contemporaine.
      Le 2 septembre à 8 pm, les compagnies Atlanta Professional Dance, Misiones Argentina et Cuban Classical Ballet of Miami présenteront leurs danses traditionnelles au Colony Theatre de Miami Beach.
      Le 8 septembre à 11 am, la B’Compagnie venue de France et la Cape Town Contemporary Ballet Company d’Afrique du Sud, mélangeront les styles de danse et de musique en passant de Bach aux sonorités jazz au Lehman Theatre de Miami. L’entrée est gratuite pour les étudiants. Le 9 septembre à 8 pm, un second spectacle sera présenté par ces compagnies, cette fois-ci sur la scène du Lightbox Theater de Wynwood, où elles seront rejointes par le New York Ballet Inc et Grace Arts Florida.
      La deuxième partie du festival sera ensuite dédiée aux ballets classiques, mettant à l’honneur une dizaine de prestigieuses compagnies issues des quatre coins du monde dont le Ballet de l’Opéra national de Paris, le Ballet Teatro Alla Scala d’Italie ou encore la Compañìa Nacional de Danza du Mexique. La première représentation aura lieu le 14 septembre à 8 pm au Union City Performing Art Center, dans le New Jersey.
      La seconde aura lieu le 16 septembre à 8 pm au Fillmore Miami Beach at the Jackie Gleason Theatre, où le prix “A Life for Dance Lifetime Achievement Award” sera décerné au chorégraphe de l’une des compagnies.
      Pour la clôture du festival, le rendez-vous est donné au Dade County Auditorium de Miami, le 17 septembre à 5 pm.

      "À nos amours" au ciné-club de l'Alliance française de Washington

      • Actualité
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      • Culture
      Grégoire Chapron
      -
      21 août 2017
      0
      "À nos amours" au ciné-club de l'Alliance française de Washington

      Le Ciné-Club de l’Alliance française de Washington DC fait sa rentrée. En partenariat avec Les Cahiers du Cinéma, l’organisation présentera “À nos Amours” de Maurice Pialat le mercredi 13 septembre à 7pm après un “happy hour” qui commencera à 6:30pm. Le correspondant du magazine aux Etats-Unis, Nicholas Elliot, présentera le film, qui sera en français sous-titré anglais.
      Sorti en 1983, le film narre l’adolescence de Suzanne (Sandrine Bonnaire), 16 ans. Amoureuse de Luc, elle ne laisse pas de place à ses sentiments, s’adonnant aux plaisirs sexuels avec tous, sauf lui. La protagoniste profite de ses nombreuses relations pour fuir l’agressivité de ses parents. Lorsqu’ils divorcent, la violence devient quotidienne et Suzanne doit réagir.
      L’oeuvre fut récompensée de deux César (meilleur film et meilleur jeune espoir féminin pour Sandrine Bonnaire).

      Lara Fabian chante à Pasadena en 2018

      • Actualité
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      • Culture
      Grégoire Chapron
      -
      21 août 2017
      0
      Lara Fabian chante à Pasadena en 2018

      Lara Fabian pose ses valises au Pasadena Civic le dimanche 11 février 2018 dans le cadre de sa nouvelle tournée internationale “Camouflage”, qui l’amènera dans plusieurs villes américaines. Les tickets sont disponibles.
      Pendant ce tour de chant, elle fera la promotion de “Camouflage”, un album qui fait la part belle au répertoire anglophone de la star francophone multilingue. Co-écrit par Lara Fabian, Sharon Vaughn et Moh Denebi (également producteur), il comporte douze chansons en anglais. Son nouveau single “Growing Wings” est disponible depuis le 4 août.
       

      "Pars vite et reviens tard" en streaming sur TV5 Monde Cinema on Demand

      • Actualité
      • Cinéma
      • Culture
      FM
      -
      21 août 2017
      0
      "Pars vite et reviens tard" en streaming sur TV5 Monde Cinema on Demand

      Le thriller “Pars vite et reviens tard”, avec José Garcia, sera disponible dès le vendredi 25 août sur TV5 Monde Cinema on Demand, le service de streaming de la chaîne francophone TV5 Monde.
      Le pitch: le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg (José Garcia) enquête sur des inscriptions mystérieuses qui font leur apparition dans tout Paris, annonciatrices d’un malheur à venir. Celui-ci frappe la capitale le jour où l’on découvre le corps d’une personne qui semble avoir succombé à la peste. Le commissaire se lance à la recherche du criminel avant qu’il ne frappe encore.
      Pour voir toute la programmation de TV5 Monde Cinema on Demand, rendez-vous sur le site.

      Mon "A-1", ce visa de rêve

      • Immigration
      • Vivre ici
      Alexis Buisson
      -
      21 août 2017
      0
      Mon "A-1", ce visa de rêve

      Quel est le point commun entre Emmanuel Macron et Yann Bizeul ? Ils utilisent tous les deux un A-1 pour venir aux Etats-Unis. Mais plus pour très longtemps. Car après quatre ans dans l’informatique à New York, le Rennais rentre en France. “C’est le grand retour“, s’exclame-t-il, assis dans un café sur Park Avenue fin juillet.
      Yann Bizeul a passé trois ans sous A-1, le visa accordé aux diplomates et à certains fonctionnaires en mission à l’étranger, ainsi qu’à leurs conjoints. Il a obtenu le sien à travers son épouse, employée au consulat de France à New York. Les chefs d’Etat et de gouvernement, les ministres, les ambassadeurs, les consuls et les représentants des délégations de l’Union européenne (UE) et de l’Union africaine (UA) font également partie des personnes éligibles. “Obtenir le visa est très simple. Le gouvernement l’a pris en charge. Ils nous ont donné le passeport et voilà!“.
      Le A-1 ressemble au visa que tout le monde aimerait avoir. Le traditionnel entretien au consulat des Etats-Unis en France, qui génère bien des angoisses, n’est pas requis – même si un officier consulaire peut en décider autrement. Les pièces à fournir, listées sur le site du Bureau des affaires consulaires américain, sont assez basiques. Le gouvernement doit fournir une “note diplomatique” précisant le statut du demandeur et la raison de son séjour aux Etats-Unis. Les titulaires de A-1 ne peuvent pas être poursuivis au titre de la loi américaine et leurs conjoints ont le droit de travailler. “Au total, la procédure a pris deux-trois mois“, se souvient Yann Bizeul.
      New York n’était pas le premier choix pour le couple. “Au moment de faire nos choix de postes, on a mis l’Australie, l’Europe de l’Est et une autre destination. On n’en a eu aucun“. Mais quand un poste s’est libéré à la régie du consulat de France à New York, ils se sont ravisés. “New York, y’a pire quand même. On a mis nos trois enfants dans l’avion et on est parti à l’aventure”.
      L’aventure était relativement confortable pour les Bizeul, loin des galères que rencontrent nombre de Français quand ils arrivent en ville. “On habitait sur la 5ème Avenue dans l’Upper East Side, près du consulat. Tout était pris en charge”. Pour Yann Bizeul, l’adaptation n’a pas été difficile, contrairement à d’autres conjoints d’expatriés. “J’étais dans une période de transition en France aussi. L’agence où je travaillais était sur le déclin. Je n’ai eu aucun problème à démissionner. À partir du moment où nous avons embrassé une nouvelle opportunité, je n’ai pas eu de mal à tout quitter“.
      Et surtout, en tant que conjoint, le visa A-1 l’autorise à travailler, ce qui n’est pas le cas de tous les visas. Avant même d’avoir trouvé un travail, il obtient la sacro-sainte EAD (Employment Authorization Document), l’autorisation de travail valable pour la durée du visa. Rapidement, il décroche, malgré son “anglais scolaire“, un poste dans la société qui l’emploie depuis quatre ans maintenant. Son statut, et son visa peu habituel, n’ont pas freiné le processus, dit-il, sauf au moment du “background check” effectué par l’entreprise. Celui-ci aurait été anormalement long. “Le statut diplomatique a peut-être joué dans la lenteur“.
      L’expatrié précise toutefois que peu de conjoints titulaires de A-1 autour de lui ont eu la même chance. “J’ai été le seul à trouver un travail. Ce n’est pas évident“.
      Est-ce le visa de rêve ? Bémol: il ne donne accès à la carte verte que sous certaines conditions. En effet, les demandeurs doivent renoncer à leurs privilèges et protections diplomatiques et se soumettre au fisc américain s’ils veulent prétendre au précieux sésame. Ils peuvent également faire une demande de carte verte spéciale mais uniquement dans de rares situations, comme l’impossibilité de rentrer dans leur pays d’origine.
      Aussi, le A-1 est valable pour la durée de la mission uniquement. Les Bizeul le savent bien. Quand la mission de son épouse n’a pas été renouvelée, Yann Bizeul a dû basculer sur un H-1B avec son entreprise pour permettre au couple de rester aux Etats-Unis. Après un an dans cette situation, ils ont décidé de rentrer en France pour se rapprocher de leur famille. “Il y a une forme de résignation, avoue-t-il. Mais on se dit qu’on a vécu une expérience fabuleuse. On a eu la chance de passer quatre ans dans une ville magnifique. Il y a des tas de gens qui ne cracheraient pas dessus. C’est un choix de revenir en France pour la famille. Nos parents sont encore jeunes et en forme. Il faut en profiter. On a la vie devant nous“.

      Pixopolitan, la photographie urbaine d'art à la conquête des Etats-Unis

      • Actualité
      • Business
      Maxime Aubin
      -
      20 août 2017
      0
      Pixopolitan, la photographie urbaine d'art à la conquête des Etats-Unis

      “De retour de deux ans d’études en Chine, je cherchais une belle photo de la skyline de Shanghai à encadrer chez moi. Mais je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas d’intermédiaire entre les galeries chères et l’offre très basique de magasins comme Ikea”. C’est de ce constat que Romain Barbet lance Pixopolitan en octobre 2012, avec l’objectif de démocratiser la photographie urbaine d’art.
      Accompagné par Paul-Henri Blaiset, les deux étudiants en école de commerce construisent une communauté de plusieurs milliers de photographes en quelques mois et proposent leur travail à la vente sur un site internet dédié. Un succès immédiat renforcé par la magie des réseaux sociaux. “Trois mois après le lancement, on a tweeté Valérie Damidot qui présentait à l’époque l’émission D&co sur M6, en lui proposant nos services. Dix jours plus tard, l’émission nous a appelé”, se souvient Romain Barbet. Les deux associés participeront à une dizaine d’émissions en 2013 et 2014, décorant ainsi les foyers français.

      En 2013, la jeune équipe boucle également une première levée de fonds auprès de plusieurs business angels français avant de s’ouvrir au marché des professionnels. “Nous avons signés plusieurs deals importants pour équiper des hôtels du groupe Accor et des enseignes prestigieuses telles que le Marriott hôtel”, explique fièrement l’entrepreneur de 30 ans. Un troisième associé basé à Marseille, Jérémie Chastel, rejoint Pixopolitan en 2016 pour répondre aux demandes de l’industrie hôtelière de la Côte d’Azur. 

      La promesse de Pixopolitan est résumée sur son site internet : “faire entrer n’importe quelle capitale du monde dans votre salon“. Pari tenu avec un choix de plus de 1.000 photos prises dans 305 villes du monde. Romain Barbet ajoute que “si aucune photo ne vous plait, nous mandatons nos photographes pour qu’ils prennent la photo que vous désirez dans la ville ou même la rue que vous désirez”.
      Près de cinq ans après son lancement, Pixopolitan réalise une nouvelle levée de fonds fin 2016 avec les Etats-Unis en ligne de mire. Romain Barbet, qui ne se décrit pas comme un artiste mais comme “quelqu’un qui aime s’occuper des clients amateurs d’art“, s’installe à New York en avril dernier.
      Avec son équipe de huit personnes, ils lancent une version américaine du site alignée sur les prix français, ainsi qu’un site à destination de leur clientèle professionnelle. Leur stratégie ? “Commencer par développer une clientèle de professionnels pour faire financer le B to C par le B to B (…) Nous lançons des campagnes massives d’e-mails. On recontacte ceux qui les ouvrent en proposant des rendez-vous. On prend ensuite des photos de leur bureau et leur proposons des simulations de décoration. Ça leur permet de se rendre compte du rendu final”, explique l’entrepreneur français.
      Conforté par l’implantation du laboratoire photographique français Picto aux Etats-Unis, Pixopolitan US fait imprimer toutes ses photos à New York. L’entreprise espère atteindre les 1,1 million d’euros de chiffre d’affaires d’ici la fin de l’année, dont 100.000 aux Etats-Unis.

      Couples Beyond Borders, un tumblr sur l'amour franco-américain

      • Actualité
      • Société
      Fanny Meneghin
      -
      19 août 2017
      0
      Couples Beyond Borders, un tumblr sur l'amour franco-américain

      Un blog qui parle d’amour, mais pas n’importe lequel: l’amour franco-américain. C’est ainsi que l’on pourrait définir Couples Beyond Borders, un tumblr sans prétention où l’on peut lire les témoignages de couples franco-américains.
      La rédactrice de ce blog, Charlotte Brelet von Sydow, est arrivée à New York en 2011 avec l’idée de n’y rester que neuf mois pour améliorer son anglais. Puis, elle rencontre son mari, un Français, et décide de rester. Inspirée par sa passion pour la photographie – elle a été l’assistante à New York d’Eliane Laffont, fondatrice de l’agence de photographie Gamma USA – et par ses amis, elle décide d’explorer les différences culturelles entre la France et les États-Unis, “et c’est assez naturellement que je me suis rendue à l’évidence : c’est dans les couples franco-américains qu’on peut le plus observer cette diversité”, confie-t-elle.
      Caroline et Jason, Sonia et Aaron, Tyler et Martin, Marie et Robert, tous se sont prêtés au jeu de l’entretien. Charlotte Brelet von Sydow leur a demandé comment ils se sont rencontrés, “s’il y a des différences culturelles qui les ont marquées de prime abord ou s’il y en a qui persistent encore aujourd’hui, explique-t-elle. C’est avec l’éducation des enfants que cette distance culturelle va se cristalliser, mais aussi l’humour, la religion, ou encore la sexualité. En France, nous sommes habitués à en parler, dans la majeure partie des cas ce n’est pas un tabou pour nous, mais ce n’est pas une évidence de l’autre côté de l’Atlantique”.

      Avec cette expérience, l’auteure espère briser quelques clichés. “Je veux questionner les images et les éventuels stéréotypes sur chaque pays”, dit-elle. Mais loin de vouloir mener une étude sociologique, Charlotte Brelet von Sydow souhaite surtout présenter des couples qui l’ont attendri : “je veux mettre un peu de gaieté et de fraîcheur. Avec ce blog, je me suis découvert un goût pour l’écriture et je continue à m’amuser en photographie”.
      Depuis mars, elle publie tous les lundis un nouveau portrait en français ou en anglais. Elle est rentrée en France pour quelques mois, mais n’arrête pas pour autant d’alimenter son blog. Elle est d’ailleurs à la recherche de couples franco-américains résidant en France. De quoi, pourquoi pas, nourrir un livre.

      La pêche à New York: mode d'emploi

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      Céline Bruneau
      -
      18 août 2017
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      La pêche à New York: mode d'emploi

      Au cours de vos balades à New York, vous avez peut être croisé des pêcheurs à la ligne, au bord de l’East River ou d’un lac de Central Park, en vous demandant ce qu’ils pouvaient bien pêcher, si les poissons étaient comestibles et si, pourquoi pas, vous pourriez vous aussi taquiner un peu le goujon à la fraîche? French Morning répond à vos questions.
      Quels sont les meilleurs coins de pêche?
      Manhattan compte un nombre de “spots” de pêche insoupçonné. Chaque pier s’y prête plus ou moins. Mais certains coins ont aussi le mérite d’offrir une vue époustouflante ou une tranquillité surnaturelle.
      Pour la vue sur la baie de New York et la Statue de la Liberté, on vous conseille le Pier A de Battery Park, idéal à l’aube ou au coucher du soleil. Pour le côté décalé, Central Park est l’endroit rêvé. Préférez un horaire matinal à moins que vous ne vouliez apparaître sur toutes les photos de touristes.
      A Brooklyn, rien de mieux que les Piers 2 à 6 du Brooklyn Bridge Park face à Manhattan. Derrière les terrains de sport, personne ne viendra vous déranger et vous serez (presque) seul face à l’East River. Prospect Park Lake fera de son côté le bonheur des amateurs de calme et d’eau douce. Pour une ambiance plus tranquille, descendez plus au sud, à Bay Ridge pour prendre place sur la jetée qui se trouve dans le prolongement de Bay Ridge Avenue.
      Peut-on manger le produit de sa pêche?
      poisson
      Mauvaise nouvelle pour les amateurs de poissons, la pêche à New York est plus un loisir qu’un moyen de remplir son estomac.
      En eau douce (océan, East River et Hudson River), la réglementation oblige les pêcheurs à relâcher les poissons. Sitôt attrapés, vous devrez donc rendre leur liberté aux carpes, perches (notamment à Prospect Park), crapets-arlequins et crapets-soleil.
      En eau de mer, la consommation est autorisée mais avec quelques mises en garde. Certes, les eaux new-yorkaises n’ont jamais été aussi propres mais la consommation est tout de même très réglementée. Raison invoquée par le département de la Santé de l’Etat de New York: des doses élevées de dioxynes, de PCB (polychlorobiphényles) et de cadmium.
      Pour les enfants de moins de 15 ans et les femmes de moins de 50 ans, consommer du poisson pêché à New York est déconseillé. Pour les autres, le département de la santé suggère de ne pas dépasser quatre repas par mois. Si vous faites partie de cette catégorie, vous pouvez faire chauffer le barbecue pour déguster des filets de limande, du bar, du “sea robin”. En revanche, évitez l’anguille qui se nourrit du sang des autres poissons et qui est donc particulièrement polluée.
      Faut-il un permis de pêche? 
      Pour la pêche en eau de mer, il n’y a pas besoin d’avoir de permis mais il faut malgré tout s’inscrire au Recreational Marine Fishing Registry. L’inscription est gratuite et valable un an.
      Pour la pêche en eau douce (à Central park, Prospect Park, Clove Lake à Staten Island), il vous faudra un permis. La licence annuelle est fixée à 25 $ et il existe également des cartes à la journée ou à la semaine. Plus d’infos ici.
      Aller plus loin… 
      Il existe à New York de vrais fans de pêche, vous les retrouverez notamment au sein du Brooklyn Fishing Club.
      Des bateaux comme le Capitol Princess proposent des excursions en mer aux amateurs de pêche sportive.
       
       
       

       
       
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