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Gaithersburg Middle School dans le Maryland (école publique à programme bilingue)

Cette école du Montgomery County propose un programme d’immersion dit “partiel”: littérature et “social studies” sont en français tandis que les autres matières restent en anglais.
Mais Gaithersburg Middle School met en avant ses résultats au “Grand concours”, un test organisé chaque année par l’association américaine des professeurs de français. Ses élèves reçoivent souvent des médailles d’or à la fois au niveau du Maryland et dans le classement fédéral.
L’école propose de nombreux programmes après l’école (horticulture, zumba, club informatique) et un voyage annuel en France pour les élèves de 6th ou 7th grade avec un établissement partenaire situé à Malakoff, en proche banlieue parisienne.

Ecole Franco-Américaine de Norfolk en Virginie (école publique à programme bilingue)

Cette école, unique en son genre, a été créée pour accueillir notamment des enfants de militaires français expatriés au sein du commandement de l’OTAN installé à Norfolk, a ouvert ses portes en 2011.
L’établissement est intégré dans un établissement public américain mais les élèves du programme franco-américain suivent des cours dispensés à part par des professeurs français détachés de l’Education nationale, notamment en langue, histoire-géographie et mathématiques. Les élèves préparent à la fois les examens français et américains.
Les dossiers d’inscription peuvent être déposés à partir du 1er avril.

Central High School dans le Maryland (école publique à programme bilingue)

La joie d’apprendre le français“: c’est ce que promet Central High School dans son slogan. Il s’agit du seul lycée de Prince George’s County à proposer d’une part un programme d’immersion en français et à adhérer d’autre part au réseau “International Baccalaureate” qui promeut un enseignement d’excellence avec des écoles certifiées partout dans le monde.
Cet établissement met en avant l’utilisation d’outils liés aux nouvelles technologies comme les podcasts ou la vidéo-conférence avec des écoles en France. En plus du français, les élèves peuvent apprendre l’espagnol et le japonais.

Wellwood International School dans le Maryland (école publique à programme bilingue)

Difficile de faire plus international : Wellwood International School accueille des élèves de plus de 30 nationalités différentes.
Le programme d’immersion en français est “partiel” et permet aux enfants d’étudier plusieurs heures par jour en français. La scolarité est organisée autour de six thématiques qui transcendent les matières classiques : “qui sommes-nous, où sommes-nous, comment nous exprimons-nous, comment le monde fonctionne-t-il, comment nous organisons-nous et partager la planète“.
Cette école participe au programme “Green school” avec par exemple une éducation au recyclage et la création d’un “jardin à papillons”.

Silver Spring International Middle School (école publique à programme bilingue)

A la Silver Spring International Middle School, “le monde entier est réuni dans une école“.
Cette école publique du Montgomery County accueille quelque 900 élèves dont une partie d’entre eux seulement suivent le programme d’immersion en français, dans la continuité de l’enseignement proposé au niveau élémentaire à la Sligo Creek Elementary School située à deux pas.
Au cœur de cette école, une cour arborée a été transformée en “salle de classe en plein air”. Parmi les programmes après l’école proposés aux “Jaguars” : un magazine-école, un ensemble de jazz ou encore un club baptisé “girl factor” réservé aux jeunes filles.

Maryvale Elementary School (école publique à programme bilingue)

Cette école est la “cousine” de Sligo Creek pour les enfants vivant dans toute la partie nord du Montgomery County. Un service de bus est d’ailleurs mis en place pour les transporter chaque jour.
Entre le Kindergarten et le 3rd grade, les élèves n’utilisent que le français en classe puis l’anglais est introduit à toutes petites doses. L’immersion est donc complète à l’exception de l’enseignement des matières artistiques et de l’éducation physique.
Après la classe, l’école offre un club d’écriture, pour aider les élèves à progresser en utilisant notamment les nouvelles technologies, et un “Club des Champions de la Lecture”.

Alliance française (école après l'école)

Quand on parle “d’enseignement du français”, on pense souvent “Alliance française”, cette institution à but non-lucratif qui s’est fixée comme objectif de promouvoir la langue de Molière auprès d’un public étranger. Installée dans une belle maison du quartier de Kalorama, l’Alliance française de Washington accueille en priorité des enfants américains ou des enfants francophones mais installés sur le long terme aux Etats-Unis et dont les parents souhaitent transmettre quelques bases en français, résume Sarah Diligenti, directrice de l’établissement.
L’année à l’Alliance française est divisée en plusieurs sessions (automne, hiver et printemps) et la durée des classes s’adapte à l’âge des enfants : 1 heure hebdomadaire jusqu’à 5 ans, 1,5 heure entre 5 et 12 ans et 2 heures pour les plus grands.
Surtout, le contenu des cours varie en fonction du profil des enfants. Ainsi la classe “Zoom” (6-8 ans) est destinée aux jeunes lecteurs alors que le groupe “club @dos” propose d’apprendre le français en s’appuyant sur les centres d’intérêt des adolescents.

My French Classes (école après l'école)

My French Classes, c’est un “petit voyage en France chaque semaine“, résume Rudi Matuschek, l’un des responsables de cette école qui attire des enfants venus de toute la région de Washington. Une particularité dans son calendrier : tous les cours ont lieu le samedi matin ou le samedi après-midi, à raison de 3 heures.
Avec sa quarantaine de cours différents, My French Classes s’adapte à plusieurs profils : “un enfant qui a le même niveau scolaire que ses cousins vivant en France et qui, grâce aux cours, sera capable de reprendre une scolarité en France“, “un élève qui parle français mais veut progresser en lecture et en écriture“, “un enfant qui vient d’une famille francophone mais pour qui le français est resté en arrière plan, il doit donc apprendre à s’exprimer et régler des problèmes de prononciation” et “les débutants qui découvrent le français“.
Dans cette école du samedi, 70% des enseignants sont français, certifiés ou agrégés, les autres 30% venant de la francophonie (Québec, Sénégal ou Québec par exemple). Cette diversité permet “de suivre le fil rouge de l’Education nationale et en même temps de prendre le meilleur des pédagogies“, défend Rudi Matuschek. Chaque classe accueille une quinzaine d’élèves, un juste milieu “pour retrouver une vraie ambiance de classe tout en gardant assez de temps individuel avec le professeur“. Après les 3 heures d’étude, il est possible de rester 2 heures supplémentaires pour faire du sport ou des activités artistiques, toujours en français. Les inscriptions débutent en avril et les classes peuvent se remplir rapidement.

Un tournoi de pétanque entre francophones à San Francisco

Vous êtes plus habile aux boules que Boule et Bill ? Le groupe Francophones de San Francisco organise son 26ème tournoi de pétanque le dimanche 20 août à 1pm sur les terrains de bocce du parc Justin Herman Plaza sur Steuart Street.
Le tournoi, qui se déroule presque tous les mois depuis 2014, se fait en équipe de deux. Un coéquipier peut être trouvé pour les joueurs qui s’inscriront seuls. La participation est gratuite et une tombola est prévue après la finale. Nul besoin de venir avec des boules, mais ceux qui en ont sont priés de les apporter. Tous les niveaux sont acceptés.

Nobody Is Perfect, le restaurant qui ne rentre pas dans des cases

Jamais deux sans trois. Après avoir transformé l’ancien restaurant Casimir en un bistro français, Pardon My French, puis s’être lancés dans la cuisine marocaine avec Chouchou, Mario Carta et Antonin Brune relèvent un nouveau défi. Les deux restaurateurs français associés s’attaquent désormais aux classiques italiens dans leur troisième établissement dans East Village: Nobody is Perfect, ouvert en mai.
Pour le co-fondateur Mario Carta, d’origine italienne – “sarde, très exactement” -, consacrer un nouvel établissement à la cuisine italienne sonnait “comme une évidence“.
Dans une salle aux murs en pierre où s’alignent des tables sobrement décorées, une cuisine ouverte dévoile un four à bois où sont préparées des pizzas classiques et inédites, comme celles au caviar et à la truffe. L’aile droite du restaurant, elle, est aménagée en salon avec canapé et bibliothèque fournie d’objet anciens, entre vinyles et téléphone des Sixties. « Si l’on devait trouver un point commun à nos établissements, ce serait sûrement cette atmosphère conviviale, cette petite touche française qu’on mêle au « trendy » new-yorkais », résume Mario Carta.
Des spaghettis carbonara servies directement à table dans une meule de pecorino (un fromage italien au lait de brebis), bolognaises et escalopes de veau milanaises: si de nombreuses spécialités italiennes sont proposées, les restaurateurs s’autorisent à jongler avec d’autres types de cuisine. Le menu comporte par exemple des entrées au guacamole, des croque-monsieurs, ou encore leur plat “star”, le poulet rôti – biologique et issu d’Upstate New York – servi entier avec un plat de frites.
Des entraves à la tradition italienne que les restaurateurs assument pleinement. “C’est d’ailleurs comme ça que le nom du restaurant nous est venu, sourit Mario Carta. Personne n’est parfait !” 

Le Français Vincent Bezecourt monte en grade chez les New York Red Bulls

Un Français de plus chez les New York Red Bulls. Après deux bonnes saisons avec la réserve en United Soccer League (USL), sorte de troisième division américaine, le milieu de 24 ans Vincent Bezecourt a signé avec l’équipe première. Il a 19 matches, six buts et huit passes décisives au compteur en 2017.
Une promotion qui ne passe pas inaperçue car, contrairement à l’Europe, piocher des joueurs en équipe réserve est moins courant aux Etats-Unis. En 2014, le natif d’Aire-sur-l’Adour dans les Landes part aux Etats Unis pour finir ses études. Il passe de Villenave d’Ornon, dans la région bordelaise, où il évoluait comme joueur, à l’université St Francis, à Brooklyn. Il joue deux ans dans l’équipe universitaire avant de rejoindre les Red Bulls en 2016.
Pour sa première saison, il fait forte impression avec un total de 18 matches, 6 buts et deux passes décisives. Avec cette sélection en équipe première, le numéro 88 rejoint donc les Français Aurélien Collin et Damien Perrinelle.

Gagnez des places pour le festival des musiques séfarades de New York

Plongez dans l’univers musical séfarade. Lancé par le Français David Serero, le festival des musiques séfarades américaines de New York prend ses quartiers au Center for Jewish History du 24 au 28 août.
Plusieurs artistes monteront sur scène pour l’occasion, dont les Français Gérard Edery et Françoise Atlan dès le début du festival, le jeudi 24 août. Le premier, guitariste et chanteur renommé sur la scène musicale séfarade, a joué au Lincoln Center et au Carnegie Hall notamment. La seconde a été remarquée par la critique pour ses chants en arabe, hébreu, espagnol et ladino, la langue séfarade. Le “baryton crooner” David Serero, qui a foulé les scènes du monde entier avec ses shows d’opéra, d’humour et de classiques internationaux, présentera une soirée “A Sephardi in Opera!” en clôture du festival, mettant en avant l’influence séfarade dans l’opéra et les musiques du monde, le tout parsemé de touches d’humour.
Les organisateurs du festival offrent 20 paires de tickets aux lecteurs de French Morning pour le spectacle de David Serero le 28 août (8:45pm). Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous:
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