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Le phénomène Møme débarque à Los Angeles

Son tube électro-pop «Aloha» a fait danser les foules à l’été 2016, plaçant Jeremy Souillart alias “Møme” au rang des artistes les plus prometteurs de sa génération. Le Niçois de 27 ans se produira le jeudi 17 août à Couture à Hollywood.
Le jeune producteur de musique électronique prolixe est un véritable globe-trotter qui se nourrit de French Touch et de “Chillwave” australienne (un mélange de pop, de musique électronique et de «sound design»).
Après avoir joué à l’Olympia et enchaîné les festivals en France et en Europe, ce musicien, DJ et producteur présentera son nouvel album “Panorama” au public californien. Cet opus a été composé dans un van transformé en mini studio lors d’un road-trip en Australie.

Portes ouvertes à l'Ecole Internationale de New York

(Article Partenaire) L’Ecole Internationale de New York n’est plus tout à fait la “petite dernière” des écoles françaises de Manhattan. Elle va bientôt fêter ses dix ans et vient de changer de propriétaires.

C’est le moment où jamais de découvrir l’établissement qui organise 10 sessions de portes-ouvertes dans les semaines à venir. L’occasion de rencontrer le directeur et fondateur de l’école, Yves Rivaud, ainsi que les enseignants et de découvrir la philosophie qui anime l’école, fondée sur la fusion de la rigueur académique à la française et de l’ouverture à l’américaine! “Mais ce n’est pas juste un symbiose, précise Yves Rivaud, c’est une création unique et subtileavec des programmes approfondis, des enseignants qualifiés et sélectionnés par nos soins. Notre école est un partenariat, entre élèves, parents, enseignants et administrateurs”.

Forte de 32 nationalités, la communauté des élèves affiche une rare diversité qui fait l’identité de l’école et est renforcée par une myriade d’activités périscolaires. Les élèves du collège participent à des activités de “community service” qui leur permettent d’agir de façon constructive et de s’ouvrir sur le monde en dehors de leur vie quotidienne.

Intéressé? L’équipe de l’EINY vous accueille l’espace d’une heure pendant les portes ouvertes. Au programme, une présentation de l’équipe, visite des locaux et questions/réponses. Une inscription est nécessaire sur le site de l’établissement, par téléphone 646-410-2238 ou par mail [email protected]. Si les dates ne conviennent pas, il est possible de contacter la directrice des admissions, Mireille Desalm pour organiser une visite individuelle.

Portes ouvertes:

Mercredi 20 septembre

Mercredi 4 octobre et 25 octobre

Mercredi 8 novembre et 29 novembre

Jeudi 7 décembre

Mercredi 10 janvier

Jeudi 25 janvier

Mercredi 14 février

Mercredi 14 mars

Immobilier: acheter dans le Westchester, une valeur sûre (au fil de l'eau)

(Article partenaire) Dire que France Tucker connaît la “Sound Shore” comme sa poche n’est pas une exagération. Cette agente immobilière franco-américaine a grandi dans cette zone au nord de New York, qui comprend les villes de New Rochelle, Mamaroneck et Larchmont, y est installée depuis que ses parents français expatriés y ont emménagé, en 1966. Et elle y est restée. “Nous avons des racines ici“, explique la native de Toulon.
Aujourd’hui, en tant que “broker” depuis trente ans au sein de l’agence Houlihan Lawrence, leader sur le marché local, France Tucker aide les expatriés de France comme de Hong Kong, à trouver leur bonheur dans ces villes du littoral. Acheter une maison à Larchmont et Mamaroneck est, dit-elle, un investissement particulièrement sûr. “Ce sont des villes qui ont toujours tenu le coup malgré les récessions. Il n’y a jamais vraiment de mauvais moment pour acheter. C’est une zone tranquille, accessible. New Rochelle, pour sa part, est en train de se développer grâce à son maire. Pelham, au nord du Bronx, est aussi une zone sympa“.
Larchmont comme Mamaroneck attirent de nombreuses familles françaises et francophones, issues de la finance, de la médecine et du management essentiellement, précise-t-elle. La raison: la présence dans ces deux villes de l’école bilingue French American School of New York (FASNY), établissement privé homologué qui enregistre 100% de réussite au baccalauréat. Mais ce n’est pas la seule raison. La région propose de nombreuses activités sportives (voile, tennis, football) pour enfants, profitant de son bord de mer qui évoque la Bretagne, selon l’agente. “C’est un paradis pour enfants, s’exclame France Tucker, mère de quatre enfants. Il y a tout ce que vous pouvez imaginer“.
Les adultes qui apprécient l’air du large peuvent profiter du Larchmont Yacht Club, un club privé fondé en 1880 où se retrouvent les passionnés de voile. Cinémas, théâtres, musées: les amateurs de culture ont également le choix. Les cinéphiles francophiles se retrouvent par exemple à l’Emelin Theater à Mamaroneck pour les French Movie Nights, des projections mensuelles de films français. Et “Manhattan ne se trouve qu’à une demi-heure de Larchmont” en voiture ou en train via MetroNorth, rappelle France Tucker. “Ces endroits resteront attractifs sur le plan immobilier. Quand on achète une maison, on peut rêver autrement qu’en étant simplement locataire“.
Contacter France Tucker ici

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
 

Permis américain, Brooklyn-Sur-Seine: tour des blogs d'expats français aux US

Entre joies et déboires, réflexions et conseils, ces blogueurs installés dans divers coins des États-Unis ont décidé de partager leurs aventures d’expatriés sur la toile. Voici une sélection d’articles récemment parus.
1 – Un panda à Boston : Ces choses du quotidien qui nous rappellent qu’on est aux US
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Parfois, les auteurs de ce blog – deux Français installés à Boston – oublient tout simplement qu’il vivent aux États-Unis. Et puis, lorsqu’ils paient leur stationnement, tentent de retirer le pommeau de douche fixé au mur, surprennent un employé du supermarché à ranger leurs courses, ces petits détails qui font la particularité des États-Unis se rappellent à eux. Ils les partagent avec leurs lecteurs. À lire ici.
2 – Laura Moonzi à LA : Ce que j’ai appris en vivant à LA
4 ans à LA
Après quatre ans d’expatriation à Los Angeles, l’heure du bilan est venue pour Laura Moonzi. L’occasion pour la blogueuse de briser les stéréotypes de la ville des anges. Ainsi peut-on lire que “oui, on peut attraper des coups de soleil à LA en janvier, oui, la voiture est une extension de soi, non, sortir à LA ne coûte pas toujours si cher et non, tout le monde ne se précipite pas à la plage à la sortie du bureau.” À lire ici.
3 – Beyond the Bridge : Bienvenue à Brooklyn-Sur-Seine
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Jennifer Menard, expatriée à New York, vient de rentrer à Paris pour les vacances. D’emblée, quelque chose la frappe : les X et XIème arrondissements de la capitale semblent subir une véritable “brooklynisation”. Près du Canal Saint-Martin, les cocktails “made-in Brooklyn” volent la vedette des “jambon-beurre”, le street art envahit peu à peu les rues et les cheese-burgers du Bedford Diner dans le Marais attirent les foules. Analyse du phénomène à lire ici.
4 – Food et caetera : (Re)passer son permis à New York
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L’auteure de ce blog, une Suissesse expatriée à New York depuis deux ans, s’apprête à passer son permis de conduire américain. A l’issue de l’épreuve clôturant la “pre-licensing class” (une session de cinq heures de sensibilisation au code de la route suivie d’un test), la blogueuse note les règles surprenantes qui existent en matière de conduite dans le pays de l’oncle Sam : ici, la police peut demander au conducteur de sautiller sur une jambe pour contrôler son alcoolémie, les mains doivent être croisées sur le volant quand la position inverse est préconisée en Suisse (et en France) et enfreindre le code de la route vous fait gagner des points car, aux États-Unis, il s’agit de points d’inaptitude. À lire ici.
5 – Paris – San Francisco : Muir Woods, de la nature à 20 minutes de San Francisco
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Entre ses “conseils d’expats”, “Chris”, Parisienne installée à San Francisco, fait le récit de ses excursions. Le mois dernier, la jeune femme a visité Muir Woods, une forêt de séquoias géants située à vingt minutes de San Francisco. Conseils pratiques et aperçu des points de vues offerts par cette balade : “Paris – San Francisco” vous donnera probablement de bonnes idées. À lire ici.

Le date new-yorkais de Tom: "Elle m'accueille avec une coupelle remplie de cocaïne"

*Les prénoms des personnes présentées ont été modifiés pour préserver leur anonymat
Journaliste français de 28 ans, Tom a rencontré Divya sur Happn en juin 2016. Séduit par la simplicité de la jeune femme, il ne s’attendait pas à côtoyer la jeunesse dorée new-yorkaise.
Le premier contact :
Habitué de Tinder, je me suis inscrit sur Happn sans conviction en mai 2016, intéressé par le fonctionnement par géolocalisation et le fait que ce soit une appli française. J’ai rapidement “matché” avec deux ou trois filles, dont une certaine Divya, Indienne de 25 ans qui travaillait elle aussi dans le Flatiron District. Elle me dit qu’une de ses meilleures amies est Française et qu’elle est en ce moment à New York. Pas convaincu par mon niveau d’anglais et un peu stressé, je lui propose une rencontre à quatre, elle ramenant sa copine et moi un ami. L’idée lui plait.
Le premier date :
Je leur donne rendez-vous dans un bar belge du quartier un vendredi autour de 8pm. Mon pote et moi commandons une première bière en les attendant… Puis une deuxième. Il est presque 9pm quand elles finissent enfin par arriver, sans s’excuser. La colère dissipée, je me rends compte que les filles sont intéressantes, simples et souriantes. On passe un bon moment. Elles nous expliquent qu’elles partent le lendemain en week-end à Montréal mais qu’elles seraient ravies de nous revoir la semaine d’après. Divya est aussi jolie que sur les photos mais impossible de savoir si l’attraction est réciproque. Nous les accompagnons fumer une cigarette devant le bar et nous nous disons au revoir.
La suite :
J’échange quelques messages avec Divya pendant son séjour canadien, lui demandant notamment de me ramener un souvenir sur le ton de la plaisanterie. Elle répond à chaque fois du tac-au-tac et relance la discussion. J’ai l’impression que l’intérêt est mutuel. Rentrée à New York, elle m’invite à une soirée chez elle le vendredi suivant.
Arrivé le jour-J devant un building gigantesque aux abords de Central Park, je pense d’abord m’être trompé d’adresse. Un portier avec des gants et un chapeau m’oriente vers la réception. Une deuxième personne toute aussi courtoise me demande le nom de la personne que je viens voir, avant de m’accompagner vers un ascenseur en marbre et d’appuyer sur le bouton du 86ème étage.
Je me rappellerai longtemps du moment où Divya m’a ouvert sa porte. Je découvre un appartement luxueux tout en baies vitrées avec une vue imprenable. J’ai l’impression de dominer la ville. Au milieu de la pièce, plusieurs types sont assis autour d’une table basse où trône une coupelle remplie de cocaine. “Fais toi un rail” me conseille-t-elle, avant de me dire que c’est son anniversaire.
Si je n’ai pas de cadeau pour elle, elle en a un pour moi, des verres à shot à l’effigie de Montréal. Adorable. J’essaye de me fondre dans l’ambiance, je fais la rencontre de ses amis tous plus excentriques les uns que les autres. La drogue est omniprésente, sur fond de musique électro. On me propose successivement de l’ecstasy et de la kétamine, que j’essaye pour la première fois. Le mélange est explosif, je me sens rapidement très mal et m’éclipse discrètement aux toilettes pour vomir. Revenu dans la pièce principale, il est l’heure d’offrir les cadeaux. Divya reçoit des bijoux en or, des vêtements de marque et deux sacs Louis Vuitton envoyés d’Inde par ses parents qu’elle sortira à peine de leur emballage. Je profite des minutes suivantes pour me rapprocher d’elle et l’embrasser pour la première fois. Nous finirons la soirée à cinq dans son lit king-size, contemplant le soleil se lever sur la skyline de Midtown.
Je m’arrange pour que les rendez-vous suivants finissent chez Divya, encore subjugué par l’appartement. Malgré sa sincérité, son côté enfant gâtée commence à m’agacer. Mes cadeaux ne lui font ni chaud ni froid, le personnel de l’immeuble doit être à ses ordres quand il s’agit de réparer une climatisation défaillante à 2h du matin ou de lui livrer à manger. Et quand elle décide d’organiser une nouvelle soirée, elle fait privatiser le rooftop d’un hôtel à Chelsea. Divya n’est jamais non plus partante pour mes propositions de soirées cinéma ou bar à vins improvisées. Ses semaines sont réglées entre travail et “workout”. Yoga à 6am, cours de vélo à 7pm, et dodo à 10pm. Ou 10:30pm quand on a la chance de faire l’amour, mais le sexe est à l’image de son rythme de vie, prévisible et ennuyeux. On se connait depuis un mois, mais j’ai l’impression d’être en couple avec elle depuis vingt ans. Le week-end est en revanche le moment pour elle et ses amis de relâcher la pression, avec un mot d’ordre: “no limit”. Je me souviens notamment des brunches du dimanche matin au restaurant à base de cocaïne et d’alcool. “Too much” pour moi.
Je commence à réaliser que mon histoire avec Divya n’aboutira à rien. Nous sommes trop différents et toute cette opulence me rend mal à l’aise. J’en deviens cupide. Je lui propose un dernier rendez-vous et lui explique mon ressenti. Elle prend les choses avec intelligence et nous nous séparons en bons termes.
Bilan :
Avec le recul, je crois que j’ai été plus fasciné par son train de vie et son environnement que par elle. Le contexte a joué, je venais d’arriver à New York, complètement excité et sous l’emprise de cette ville. Mes amis en rajoutaient une couche: “marie-toi avec elle!“. Bref, j’ai été content de redescendre sur terre et fier d’avoir pris une décision en accord avec mes valeurs. C’est ce qui me guide depuis.
Le dating à New York :
Fasciné par les app de rencontres au début, je passe mon temps à les supprimer et à les réinstaller aujourd’hui. Romantique dans l’âme, j’ai longtemps cru au coup de foudre qui n’est jamais arrivé. Je ne l’attends plus vraiment. Je ne suis pas triste pour autant mais en réflexion sereine sur le couple. Peut-on vivre à deux toute sa vie? Est-ce que j’en ai envie? Au fond de moi j’y crois toujours, et tant pis si mon conte de fées doit ressembler à un truc du genre : “ils se rencontrèrent sur Tinder et eurent beaucoup d’enfants“.

Le French Studio (école après l'école)

Cette école est implantée à une heure de route à l’ouest de Washington, dans le comté de Fauquier en Virginie. Pour transmettre la langue française de façon vivante aux enfants, cet établissement a choisi de recréer des situations vécues dans la “vraie vie” ou d’instaurer des jeux de rôle.
Les cours ont lieu tous les lundis ou les mercredis soir, à raison d’une heure par semaine. Tous les enseignants ont le français pour langue maternelle. Il est possible de s’inscrire tout au long de l’année avec trois sessions organisées : automne, hiver et printemps.

Dora Kennedy French Immersion School (école publique à programme bilingue)

C’est une école où je voudrais mettre mes propres enfants !“. Parfait Awono, le directeur de l’école Dora Kennedy, a trouvé un argument qui parle à chaque parent pour louer le travail fait dans son établissement. Autrefois baptisé Robert Goddard, cette école a pris le nom en 2015 de Dora Kennedy, l’enseignante qui a été la première à superviser l’enseignement des langues étrangères dans le Prince George’s County dans les années 60, une fervente avocate des programmes en immersion justement.
Dora Kennedy accueille les enfants du Kindergarden au 8th grade. “Notre objectif est d’avoir des élèves parfaitement capables de s’exprimer en français, c’est-à-dire de parler, de lire et d’écrire“, résume Parfait Awono. En Kindergarten, l’anglais n’est utilisé qu’en début d’année, pour assurer la transition vers des journées 100% en français. L’anglais est ensuite réintroduit à partir du 2nd grade, à raison d’une heure par jour. Le russe est la troisième langue vivante obligatoire.
L’équipe de Dora Kennedy met en avant surtout la rigueur et la qualité de son enseignement. “Nous sommes une école où les exigences académiques sont très élevées. A l’examen américain l’année dernière, nos élèves du programme immersion en français ont réussi à 100% le test d’anglais et à 87% le test en mathématiques”, détaille encore Parfait Awono.
Autre reconnaissance : cette école a été retenue en 2014 comme “National Blue Ribbon school”, un programme du ministère de l’éducation américain qui valorise l’excellence académique en insistant sur la chance offerte à tous les enfants de réussir. Dora Kennedy a aussi reçu le “LabelFrancÉducation”, une distinction du ministère français des Affaires étrangères accordée “aux établissements scolaires étrangers qui dispensent, hors de France et dans le cadre de leur propre enseignement national, un enseignement bilingue francophone d’excellence”. “Nos enfants passent le DELF (Diplôme d’études en langue française) qui est reconnu par le gouvernement français et nous nous faisons un devoir de les faire réussir”, ajoute Parfait Awono.
Dans cette école, la mixité sociale n’est pas très importante, les élèves venant de toute la partie nord du Prince George’s County. Mais les professeurs offrent une vraie ouverture sur le monde. Les enseignants de français viennent de l’Hexagone, d’Afrique francophone ou encore d’Haïti.
Dans les programmes après l’école, c’est le sport principalement qui est mis en avant. Mais en se baladant dans l’école, on peut aussi entendre le groupe “les Petites Voix” répéter le mardi matin, l’orchestre s’exercer le lundi après-midi ou le club de DJ se réunir pour les élèves de 4th, 5th et 6th grade.
A la fin de leur scolarité, après le 8th grade, les élèves de Dora Kennedy ont la possibilité de continuer le programme d’immersion en français en allant à Central High School, à une vingtaine de minutes de là, toujours à l’est de Washington. Mais avant cela, tous auront normalement la chance de participer à un voyage d’étude à l’étranger : les élèves de 4th grade partent au Québec, ceux de 6th grade à Montréal et les 8th grade en France.
APERCU
LES PLUS : Haut niveau d’exigence académique, reconnaissance du « LabelFrancÉducation », voyages scolaires au Canada et en France
LES MOINS : Peu d’enfants natifs francophones, peu de mixité sociale, éloignement par rapport au centre de Washington
INSCRIPTIONS
Dora Kennedy est l’école “cousine” de Maya Angelou et accueille tous les enfants vivant dans la partie nord du Prince George’s County. En théorie, il suffit de répondre à ce critère géographique et d’avoir 5 ans pour participer à la loterie qui permet l’admission. En pratique, 100 élèves sont acceptés chaque année en Kindergarten et la demande est très forte. “Il est bien souvent difficile d’obtenir une place même si vous êtes si la liste d’attente“, reconnaît le directeur.

Lara Fabian en concert à New York en 2018

Lara Fabian pose ses valises au Beacon Theater le 7 février 2018 dans le cadre de sa nouvelle tournée internationale “Camouflage”, qui l’amènera dans plusieurs villes américaines. Les tickets sont disponibles.
Pendant ce tour de chant, elle fera la promotion de “Camouflage”, un album qui fait la part belle au répertoire anglophone de la star francophone multilingue. Co-écrit par Lara Fabian, Sharon Vaughn et Moh Denebi (également producteur), il comporte douze chansons en anglais. Son nouveau single “Growing Wings” est disponible depuis le 4 août.

Où voir des films en plein air à New York ?

Les cinéphiles sont gâtés toute l’année à New York, mais particulièrement en été quand les festivals de film en plein air fleurissent. Petit tour d’horizon.
Films on the Green
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Honneur au cinéma français pour commencer cette sélection. Ce festival annuel qui fête sa 10ème édition se déroule jusqu’au jeudi 7 septembre dans différents parcs de la ville. Cette année, ce sont des stars du 7ème Art qui ont assuré la sélection. Il faudra d’ailleurs attendre le 7 septembre pour la prochaine projection. « L’enfant sauvage » de François Truffaut, sélectionné par le réalisateur James Ivory, sera montré à Columbia University à 7:30 pm. Site
Rooftop Films
rooftop films
On va bien boire un verre (ou deux) sur les toits de New York, alors pourquoi ne pas y voir un film. C’est le concept de Rooftop Films. Le festival estival donne rendez-vous aux amateurs de films indépendants dans des lieux insolites, en dehors des sentiers battus: des rooftops certes, mais aussi des cours et des bâtiments industriels. Site
SummerScreen
summer screen
C’est l’un des évènements les plus populaires de Brooklyn et cela fait douze ans que cela dure. Ce festival gratuit dédié à la projection de films cultes se tient à McCarren Park (Williamsburg). Musique avant projection, food trucks et snacks sont à la disposition des visiteurs. Le cultissime “Beetlejuice”, choix du public, sera projeté le 9 août en clôture du festival. Site
Socrates Sculptures Park 
socrate sculpture park
Jusqu’au 23 août, les cinéphiles du monde entier se retrouvent dans ce parc de Long Island City pour voir des films issus des quatre coins du monde. Le festival a pour objectif de célébrer la diversité de population de Queens. Il le fait en cuisine aussi en proposant des plats issus du pays d’où vient le film projeté. Site 
Hudson River Flicks

by Carol Lee
by Carol Lee

Ce festival vous donne rendez-vous deux fois par semaine au bord de l’Hudson: le mercredi (Big Hit Wednesdays) pour la projection d’un blockbuster (“La La Land” et “Logan” sont prévus les 9 et 16 août), et le vendredi (Family Fridays) pour un film familial (“Fantastic Beasts and Where to Find Them” et “Karate Kid” vous attendent les 11 et 18 août). Les lieux sont également différents. Le mercredi, c’est à Pier 63 à Chelsea Piers et le vendredi à Pier 45 au bout de West 10th Street. Le popcorn est gratuit dans les deux cas.
Autres séries en plein air:

Le "Dîner en blanc" de retour à Dallas

C’est officiel, Le “Dîner en blanc” revient à Dallas pour sa troisième édition, le vendredi 6 octobre. Les inscriptions sur la liste d’attente sont ouvertes.
Cet évènement insolite rassemble plusieurs milliers de convives pour un pique-nique géant autour des arts culinaires et décoratifs. Comme le veut la tradition, l’emplacement est tenu secret et ne sera dévoilé que deux heures avant le début des festivités.
Le code vestimentaire est incontournable : les convives devront se parer de leur plus belle tenue blanche. Les accessoires et décorations de tables aussi doivent être blancs comme neige. Les invités devront venir équipés d’une table pliante, de deux chaises blanches, de nappes, couverts et plats. Côté boissons, seuls les vins et champagnes sont autorisés.

À New York, "Le Dîner en blanc" 2017 aura lieu le 22 août

Si le lieu sera tenu secret jusqu’à la dernière minute, la date, elle, vient d’être dévoilée: “Le Dîner en blanc” revient à New York le mardi 22 août pour sa septième édition. Les inscriptions se font en plusieurs phases à partir du lundi 7 août: la première concerne les invités de l’édition 2016, la seconde les personnes recommandées par les inscrits de la première phase, et la troisième phase concerne les personnes inscrites sur la liste d’attente.
Ce légendaire pique-nique géant réunit plus de 5.000 convives. La règle est inchangée : chacun devra venir vêtu de blanc de la tête aux pieds pour assister à cette soirée magique où danse et divertissements sont prévus. Les inscrits doivent également venir munis de leur propre pique-nique, argenterie et porcelaine fine, ainsi que des chaises et tables blanches. Une fois attablés, les participants agiteront leur serviette de lin blanc pour marquer le début des festivités. Ils sont invités à venir déguisés.
Vingt-quatre points de rendez-vous ont été établis à travers la ville, où des guides escorteront des groupes d’une centaine de personnes vers le lieu secret de l’évènement. L’an dernier, 45.000 personnes étaient sur la liste d’attente.

Jamie McCourt choisie par Trump pour être ambassadeur des Etats-Unis en France

Elle était pressentie pour représenter les Etats-Unis en Belgique. Cela sera plutôt la France.
La Maison-Blanche a annoncé, mercredi 2 août, avoir nommé Jamie McCourt au poste d’ambassadeur des Etats-Unis en France et à Monaco après l’avoir sélectionnée pour Bruxelles. La nomination doit encore être approuvée par le Sénat.
Son nom n’est pas inconnu des Français. Elle est l’ex-épouse de Frank McCourt, ancien co-propriétaire de l’équipe de baseball des LA Dodgers qui a récemment racheté l’Olympique de Marseille.
Diplômée de la Sorbonne, Jamie McCourt, 63 ans, est avocate et femme d’affaires. Elle était co-propriétaire des Dodgers avec son mari jusqu’à leur séparation. Elle a été nommée PDG du club en 2009, devenant la femme la mieux placée dans le monde de la Major League Baseball (MLB), selon la biographie mise en ligne sur le site de sa société, Jamie Enterprises. Lancée en 2009, ce fonds d’investissement soutient des start-ups issues de la tech, des projets immobiliers et des entreprises de biotech. Elle a notamment placé ses billes dans l’entreprise de partage de voitures ZipCar au démarrage de la société. Jamie McCourt a étudié et vécu à Aix-en-Provence.
Selon le Los Angeles Times, Jamie McCourt a donné 400.000 dollars à la campagne de Donald Trump. La pratique de nommer des donateurs à des postes de représentation diplomatique est répandue aux Etats-Unis.