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PSG à Miami, Clásico: le programme des événements en dehors du stade

Fan de foot à Miami, vous allez être servis en cette fin juillet. Et si vous êtes fan du PSG, vous allez être au septième ciel.
Outre le match de l’équipe parisienne contre la Juventus le 26 juillet au Hard Rock Stadium dans le cadre de l’International Champions Cup (et contre Tottenham le 22 à Orlando), plusieurs opportunités de rencontres avec les joueurs seront offertes aux supporters à Miami, où les hommes d’Unaï Emery ont établi leur camp de base avec l’aide de la PSG Academy Miami.
Le jeudi 20 juillet, les joueurs participeront à une vente aux enchères à la Fabien Castanier Gallery à Wynwood (82 NE 26th St Suite 111). Cette soirée est sur invitation uniquement. Les oeuvres de plusieurs artistes de rue, dont le Français de Houston Sébastien Boileau (Mr.D), seront exposées à cette occasion. Les fonds récoltés pendant l’enchère silencieuse (qui se déroule jusqu’au 29 juillet) iront aux activités caritatives du club.
Dans la foulée, les joueurs participeront à l’ouverture d’une boutique éphémère à Wynwell (20 NE 27th Street) qui vendra des produits estampillés PSG. Des produits de l’équipe attendent aussi les fans jusqu’au dimanche 30 juillet à l’Alchemist Concept Store à Miami Beach (1111 Lincoln Road).
Pour le match contre l’AS Roma (8pm) ce 19 juillet, les supporters parisiens peuvent se retrouver au Monty’s Raw Bar à Coconut Grove (2550 S Bayshore Dr). Le samedi 22, le visionnage du match contre Tottenham est prévu à Wynwell de 8pm à 10pm.
Le 20 juillet, une rencontre avec les joueurs sera organisée au Nike Town de Lincoln Road (4:30 pm-5:45 pm). Une deuxième rencontre aura lieu le dimanche 23 juillet de 2pm à 4pm au Mandarin Oriental Hotel. Le vendredi 21, les fans pourront également assister à un entrainement aux Barry Soccer Fields (115 NE 2nd Ave) de 6 à 8pm. Pas d’entrée après 6pm. Le lundi 24 juillet, une autre séance sera ouverte au public de 10am à 12pm au même endroit.
Et comme si cela ne suffisait pas, le Clásico, entre Barcelone et le Real Madrid, aura lieu le samedi 29 juillet (8:30pm) au Hard Rock Stadium. Si vous n’avez pas pu obtenir de tickets (vous n’êtes pas les seuls), vous pourrez vous mettre dans l’ambiance du match les 28 et 29 juillet à « Casa Clásico » à Bayfront Park (10am-11pm). Concerts, jeux, cadeaux, beer garden et rencontres avec des légendes des deux clubs animeront ces deux jours de fête dédiée. C’est aussi l’endroit officiel de la projection du match.

French Connection Staffing, du recrutement sur-mesure avec une touche française

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(Article partenaire) Français installé aux Etats-Unis, Wilfried Jorand a lancé “French Connection Staffing”, agence d’intérim et de recrutement, qui mise sur un service adapté aux besoins de chaque entreprise.

Si en France les agences d’intérim sont souvent utilisées pour contourner la rigidité du marché de l’emploi, aux Etats-Unis, leur rôle n’en est pas moins important. Au contraire, au pays de la flexibilité totale, ces “staffing agencies” permettent de mettre les entreprises en relation avec les personnes qu’il leur faut, au bon moment.

Ce besoin, Wilfried Jorand, fondateur de l’agence d’intérim French Connection Staffing le connaît bien, pour avoir longtemps travaillé dans le secteur de l’emploi. Avant d’arriver aux États-Unis, le frenchie était en effet responsable d’une entreprise prestataire de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) en France pendant près de dix ans. Plusieurs postes à responsabilité chez des leaders mondiaux de l’intérim plus tard, le voilà à la tête de sa propre boîte, fort de ses expériences dans les deux pays.

Le bilinguisme, compétence essentielle dans une économie mondialisée

Son agence “full service” cherche d’ailleurs à voir au-delà des frontières américaines, et intègre la mondialisation des marchés actuels devenue essentielle au développement des entreprises. Ainsi, tout un département de French Connection Staffing est dédié aux recrues bilingues.

« De plus en plus d’entreprises ont besoin de personnels bilingues de tous niveaux, pour communiquer de façon professionnelle avec leurs interlocuteurs, c’est-à-dire en utilisant les termes spécifiques à chaque secteur” explique le chef d’entreprise. Dans la mode par exemple, on ne s’exprimera pas forcément avec les mêmes mots que dans l’import-export ou la finance, d’où des besoins de compétences très précises et adaptées à chaque situation.

Pas question de limiter ce bilinguisme à l’anglais et au français. French Connection Staffing vous met aussi en relation avec des employés maniant aisément l’espagnol, le russe, le japonais ou encore le coréen.

Un processus de sélection strict

Mais être bilingue ne fait pas tout. Encore faut-il coller à l’esprit de l’entreprise. C’est pourquoi l’agence opère une sélection rigoureuse de ses candidats, pour ne proposer aux clients que ceux qui se démarquent par leur savoir-faire et leurs capacités d’adaptation et de travail en équipe. Wilfried Jorand a développé ses propres méthodes de recrutement, qu’il allie à une fine analyse des besoins de chaque entreprise.

Toutes nos recrues sont des professionnels que nous avons rencontrés en face-à-face. Nous vérifions leurs précédents, leurs autorisations de travail aux États-Unis, leurs références professionnelles et scolaires”, promet Wilfried Jorand. Un processus complété si nécessaire par des bilans de compétences et tests de personnalité, prenant en compte des qualités telles que l’intelligence sociale, primordiale pour s’intégrer au sein d’une équipe.

Cette dimension, souvent oubliée des autres agences, fait la force de French Connection Staffing. Un vrai credo pour Wilfried Jorand, qui a vite compris lors de son passage au sein de multinationales que les agences de recrutement devaient désormais opter pour une approche plus humaine, apporter un service plus personnalisé et plus de proximité, pour offrir une meilleure prestation tant aux fameux “Fortune 500” qu’aux start-ups qui démarrent.

Une prise en charge de A à Z

Pour faciliter encore un peu plus la vie de ses clients, French Connection Staffing s’occupe aussi des formalités administratives, souvent complexes aux Etats-Unis. “Ici, les lois patronales, salariales et sociales qui régissent les avantages sociaux, médicaux et les retraites (“payroll & benefits”) sont extrêmement complexes et coûteuses pour les employeurs. Nous couvrons toutes ces procédures, des indemnisations aux documents d’imposition et de chômage. Le salaire des employés, les charges sociales et patronales, on s’occupe de tous ces paiements !”, garantit le fondateur de l’agence. Non seulement on fait l’économie d’un service de Ressources humaines, mais on évite aussi de se casser la tête sur des lois qu’on ne connaît pas en débarquant aux States.

Ce service de qualité, cette proximité et cette réactivité ont permis à l’agence de se créer une belle clientèle sur la côte Est dans divers secteurs, en seulement quelques mois : cabinets médicaux, experts-comptables, société d’import-export, centres d’appels, transitaires, usines d’assemblage lui font déjà confiance. De quoi assurer un bel avenir à French Connection Staffing !

Pour contacter Wilfried Jorand Tel (212) 381-8040

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Pour visiter New York, suivez Hillary Clinton

Si vous cherchez un guide pour découvrir New York, on a la personne idéale: Hillary Clinton. Depuis sa défaite, la candidate malheureuse a été repérée à plusieurs reprises dans la ville. Voici cinq endroits où elle a été vue et qui n’attendent que vous. On vous prévient: la Trump Tower n’en fait pas partie.

 Rao’s (Harlem)

Hillary Clinto et Fat Joe au Rao's de New York
Hillary Clinton et le rappeur Fat Joe au Rao’s de New York

Hillary Clinton y a fait une de ses premières apparitions après sa défaite. Ouvert depuis 1896, ce restaurant familial est une institution de Harlem. On oublierait presque que Rao’s est aujourd’hui une chaîne présente à Las Vegas et Los Angeles aussi. Cette bonne tablée, qui se distingue de ses voisines par sa façade rouge, sert une cuisine sud-italienne qui se veut authentique. On y accède en descendant quelques marches depuis la rue. Attention à la tête! Le plafond est bas. À Rao’s, l’attention est immédiatement captée par les photos accrochées aux mûrs dédicacées à l’intention de l’ancien propriétaire et acteur, Frank Pellegrino, star des Sopranos. Barack Obama, le joueur de base ball Ralph Branca, Sharon Stone, Pierce Brosnan et bien d’autres ont laissé une trace de leur passage. Si vous avez l’impression de reconnaître son intérieur boisé et ses banquettes rouges, c’est que vous les avez vues dans “Le Loup de Wall Street” avec Leonardo diCaprio. 455 E 114th St
Orso (Hell’s Kitchen)
orso bave
Toujours dans la restauration italienne mais cette fois-ci à Midtown Manhattan. L’ex-Première Dame est allée manger à Orso en février en compagnie de la comédienne Kate McKinnon, qui interprétait la candidate dans Saturday Night Live. Reconnu pour ses cocktails et sa carte de vins, ce restaurant composé de plusieurs salles en enfilade (avec une cuisine ouverte au fond) sert les grands classiques de la cuisine italienne, des pâtes à la pizza en passant par le risotto. C’est l’endroit parfait pour venir se restaurer après une pièce de théâtre sur Broadway. Côté prix, on est dans la fourchette haute. Comptez entre 15 et 17 dollars la pizza, 28 et 32 dollars pour les plats principaux. 322 W 46th St.

Bergdorf Goodman (Midtown)

La partie joaillerie de Bergdorf et Goodman (Femme)
La partie joaillerie de Bergdorf Goodman (Femme)

Hillary Clinton s’est fait couper les cheveux à Bergdorf Goodman quand elle était encore candidate – une coupe à 600 dollars qui a fait grincer le New York Post. Situé aux abords de Central Park, ce grand “department store”, où les fans de shopping pourrait bien perdre la tête, rassemble plusieurs marques de luxe comme Celine, Dior, Chanel, Tom Ford. Un paradis pour fashionista de huit étages dans lequel on perd ses repères et la notion du temps. 754 5th Ave
War Paint (Hell’s Kitchen)
war paint bon format
La démocrate était présente début avril pour la première de “War Paint” au Nederlander Theater, une salle mythique de Broadway. Cette comédie musicale est inspirée du livre éponyme de Lindy Woodhead et du documentaire “La Poudre et la Gloire” d’Ann Carol Grossman et Arnie Reisman. Elle raconte l’histoire des deux titans de la cosmétique Helena Rubinstein and Elizabeth Arden, lancées dans une compétition rude et effrénée. Nederlander Theater. 208 W. 41st Street.
Le Polo Bar (Midtown)
Polo Bar New York
Polo Bar New York

Situé à côté de la Trump Tower, ce restaurant est le reflet de son créateur: Ralph Lauren, avec lequel Hillary Clinton a dîné en décembre 2016. Lieu confortable et distingué, riche en cuir, bois, tableaux et objets équestres, on peut y déguster la nourriture qu’apprécie le créateur. Il faudra mettre le prix: 24 dollars pour un sandwich, 32 pour le poulet rôti ou 28 dollars pour la salade avocat-crabe. Tout aussi élégant, le bar propose cocktails, vins et spiritueux. Pour rentrer, mieux vaut avoir une réservation. Le site d’information spécialisé dans les restaurants Grub Street a écrit en 2015 un article salé sur la difficulté à entrer dans cette antre luxueuse sans avoir de réservation, même pour s’assoir au bar. 1 E 55th St.

Miami Spice 2017 commence le 1er août

C’est l’événement favori des foodies. Du mardi 1er août au samedi 30 septembre, Miami Spice permet aux gourmands de profiter de leur cuisine favorite à prix réduits.
Les restaurants participants proposent des menus prix fixes à 23 dollars pour le déjeuner et le brunch, et 39 pour le dîner. Pour en profiter, pas besoin d’inscription. Il faut juste se rendre sur la page de l’établissement afin de voir quels jours les offres sont disponibles. Les réservations sont fortement conseillées.
Treize restaurant français participent à l’opération cette année: Le bouchon Coconut Grove, La Riviera, Pascal’s On Ponce, Palme d’Or, Le Zoo, Pied à Terre, Brasserie Central, Bagatelle, BakeHouse Brasserie, La Cote, Db Bistro, Brava et Angélique Euro Café.
 
 

Jimmy Fallon conseille aux Américains d'éviter Philippe Katerine

C’est une publicité dont Philippe Katerine aurait pu se passer. Lundi 17 juillet, un Jimmy Fallon hilare a fait découvrir le chanteur français à l’Amérique dans son Tonight Show lors d’une séquence de l’émission nommée “Do Not Play”. Cela veut dire exactement ce que cela veut dire: il s’agit de morceaux “à ne jamais écouter”. Après quelques titres américains, l’artiste français rejoint le glorieux palmarès avec sa chanson “Moustache”.
Mélange de paroles loufoques dans le pur style de Philippe Katerine (“vas-y, mets ta moustache”) et des propres éclats de rires du chanteur, la chanson, à peine lancée, déclenche un fou rire en plateau. (Séquence à partir de la 4e minute).
Selon LCI, le label du chanteur a été contacté par l’émission pour que Philippe Katerine apparaisse dans un futur Tonight Show. Le chanteur aurait accepté mais une date doit encore être trouvée.

Anna Milone, de la Nuit Blanche à la fondation FLAX à Los Angeles

“J’ai toujours eu du mal à rentrer dans une case”, lâche Anna Milone, entre deux souvenirs sur son riche cursus universitaire – licence en histoire de l’art/droit et master en gestion culturelle en Europe.
Derrière son allure frêle et son minois gracile, se cache une véritable tornade de 31 ans qui fourmille d’idées pour la fondation FLAX dont elle devenue la programmatrice. Depuis le début de l’année, vivant entre Los Angeles et Paris, la jeune femme a remplacé Martha Kirszenbaum, l’instigatrice de la résidence d’artiste de la fondation, Fahrenheit.
Au sein de cette fondation dont le but est de promouvoir les échanges artistiques entre la France et la Californie du Sud, sa mission est de sélectionner des artistes en rapport avec la France, et de développer des projets. Sans vouloir être irrévérencieuse, la Parisienne compte dynamiter les habitudes avec son approche trans-disciplinaire. “Je veux créer des collaborations avec des professionnels locaux et que les ponts entre les disciplines et les échanges deviennent permanents. Je ne veux pas d’un espace défini comme Fahrenheit pour les artistes français, mais je veux des artistes français dans tous les lieux de Los Angeles.” En bref, sortir les artistes des murs. Une volonté initiée avec l’artiste-chercheur Etienne de France, en résidence à FLAX, qui a pu collaborer avec l’Autry Museum et East of Borneo notamment.
Même tactique employée avec l’artiste Lola Gonzalez, qu’elle côtoie depuis ses débuts, et qui présentera une performance à Grand Park le dimanche 22 juillet. “J’ai voulu confronter Lola, qui offre une violence latente dans ses vidéos, avec le danseur de buto Oguri, créant la rencontre de divers esthétismes.” Cette Parisienne d’origine italienne a également invité en août le curateur indépendant Fabien Danesi pour imaginer une série d’événements trans-disciplinaires intitulée “Dialectique étoilée”.
De la Fondation Cartier au Secours populaire

Ce décloisonnement du monde artistique est le mode opératoire qui a fait sa force à Paris, où elle a notamment oeuvré en 2013 dans l’équipe de production de la Nuit Blanche. “C’était la première fois où je vivais la ville comme un terrain de jeu et d’expression pour les artistes”, raconte Anna Milone, qui a fait ses armes à la Fondation Cartier (Paris). 
Elle a également “complété sa boîte à outils” en se greffant à l’ouverture de la Monnaie de Paris. Durant un an et demi, en 2015, elle a eu carte blanche pour gérer son programme pédagogique. Elle découvre Los Angeles en 2011 comme stagiaire au service culturel du consulat de France. Cela sera “une révélation”. “Découvrir la création ici m’a rappelé pourquoi je faisais mon métier, cela m’a offert un autre point de vue sur l’art contemporain”, argue celle qui a été marquée “par la liberté, une approche de l’art très organique, proche d’une conception romantique, et la bienveillance des galeristes à L.A“. Elle attire l’attention d’Elisabeth Forney, la directrice de FLAX. De cette rencontre, naît une collaboration sur l’exposition “Lost in Los Angeles”, réalisée en partenariat avec le Palais de Tokyo.
La scène artistique californienne n’a pas épargné la curatrice ambitieuse. Elle s’est notamment inspirée d’une exposition vue à Santa Monica pour le projet des 70 ans du Secours populaire, “son bébé“. Dans “Recto-verso”, exposée à la fondation Louis Vuitton en 2015, elle a rassemblé 225 oeuvres créées par des artistes confirmés (comme Jeff Koons et Pierre Soulage) et débutants, proposées aux collectionneurs de manière anonyme et à un tarif unique.
Malgré son retour durant quelques années à Paris, elle a continué à cultiver des liens avec Los Angeles, dialoguant perpétuellement avec FLAX et collaborant sur Fahrenheit. “Je suis fascinée par la conception de communauté qui est célébrée aux Etats-Unis, alors qu’elle fait peur en France“. L’identité, comme les différences, sont au coeur de sa recherche de programmation à FLAX, pour laquelle elle dispose d’une entière liberté jusqu’en 2019. Et elle compte bien en abuser pour amener les artistes de Los Angeles à Paris.

"Série noire" au Cinefamily à Los Angeles

La séquence d’ouverture parle d’elle-même. L’acteur Patrick Dewaere erre seul sur un terrain vague, passant par plusieurs émotions. Considéré comme l’un des films les plus noirs du cinéma français, “Série noire”, réalisé en 1979 par Alain Corneau, sera projeté en version restaurée au format 35 mm au Cinefamily à Los Angeles, le dimanche 23 juillet à 5pm.
Adapté d’un roman de l’Américain Jim Thompson, ce long-métrage évolue dans un univers maussade. Le réalisateur français a transposé l’intrigue de l’Amérique des prolétaires à la banlieue parisienne sous la neige. Le film suit Franck Poupard (Patrick Dewaere), dit “Poupée”, un représentant de commerce imprévisible. Il a une femme (Myriam Boyer) qu’il n’arrive pas à aimer, et un pavillon aseptisé. Lors d’un porte-à-porte laborieux, il fait la rencontre de Mona, une jeune fille à la beauté triste et intrigante (Marie Trintignant). Rêvant d’aventures, ils vont employer les moyens les plus expéditifs pour arriver à leur fin, les plongeant dans des situations dangereuses.
 

Assurance santé: Obamacare, Trumpcare et les expatriés

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(Article partenaire) La loi sur la santé américaine, autrement appelée Patient Protection Care Act (PPACA) ou Obamacare a été promulguée après de nombreux rebondissements aux USA en mars 2010 pour une application au 1er janvier 2014.

Depuis cette date, tous les résidents américains, quelle que soit leur nationalité, doivent être assurés par une assurance homologuée par le gouvernement américain et conforme à certains critères. A défaut, une pénalité fiscale est appliquée. Le but de cette loi était que la couverture santé soit améliorée et plus abordable pour tous les américains. Cependant, cette réforme n’a jamais fait l’unanimité, et les récentes élections ont amené au pouvoir un gouvernement qui a fait de l’abrogation de la loi un objectif prioritaire. Le point avec l’assureur pour expatriés Azurexpat.

Le point sur l’Obamacare

Pour le moment, les tentatives de remplacement du système ont échoué. Obamacare reste donc en place. Cela signifie que tous les résidents américains, y compris les expatriés, doivent être couverts par une assurance santé « ACA compliant », respectant des critères de « Minimum Essential Coverage » (MEC). On retrouve parmi ces nombreux critères d’homologation plusieurs avancées significatives comme la prise en charge de la maternité et des soins au nouveau né, les services ambulatoires, la prévention, les services pédiatriques, les hospitalisations… Ces soins doivent pouvoir être pris en charge par l’assureur sans limite de montant. Une des évolutions majeure est également la prise en charge des assurés d’une même classe d’âge au même tarif quel que soit leur historique médical. Ainsi, les assureurs n’ont plus la possibilité de refuser la souscription d’une personne malade ou sous traitement.

Lors de la déclaration d’impôts, un formulaire adressé par l’assureur justifiant de l’homologation du contrat doit être joint. Il s’agit du formulaire 1095-B. En cas de défaut d’assurance, une shared responsibility fee (pénalité) est alors appliquée pour chaque mois passé sans assurance ou avec une assurance non-conforme. Celle-ci peut prendre deux formes en fonction des revenus :

  1. 2,5 % du revenu annuel taxable
  2. 695 $ par adulte et 347.5 $ par enfant avec un maximum de 2.085 $ par an et par foyer

C’est bien sûr le calcul le plus fort qui sera retenu.

L’incertitude autour de Trumpcare 

Avec l’arrivée de Donald Trump au poste de président, les batailles politiques ont commencé pour concrétiser la promesse de campagne du « repeal and replace ». Même si plusieurs projets ont échoué pour le moment, la philosophie reste la même. Le fond du projet est de supprimer l’obligation d’assurance, perçue par les républicains comme une atteinte à la liberté.

D’autre part, il est prévu de diminuer la pression fiscale en coupant dans les budgets de Medicaid et des aides à la souscription destinées aux plus modeste. La dernière mouture du texte, abandonnée au sénat, comportait plusieurs dispositions fortes, comme la non-obligation pour les entreprises de couvrir leurs employés et la fin de la prise en charge illimitée pour les soins essentiels (MEC). De plus, le principe de la tarification en fonction des pre-existing conditions reprenait cours. En effet, avec l’Obamacare, tous les assurés de la même tranche d’âge bénéficiaient du même tarif, quel que soit leur état de santé ou historique médical.

Cependant, le président ne baisse pas les bras et fait le constat que, devant cet échec à réformer la loi existante, il faut tout simplement supprimer l’Obamacare, et créer une nouvelle réforme du système de santé à partir de zéro. Ceci pourrait faire table rase des avancées réalisées par Obama et laisser le secteur de la santé livré à lui-même pendant plusieurs mois, voire années, en attendant une nouvelle loi.

Quel impact pour les expatriés ?

Après une période de flou pour savoir si l’Obamacare était applicable aux expatriés ou pas, et pour savoir si son plan d’assurance santé international était compliant, nous entrons à nouveau dans une période d’incertitude.

Jusqu’à présent, on considère que l’Obamacare est toujours d’actualité, avec une obligation d’être assuré avec un plan ACA compliant. Ce qui veut dire que la pénalité reste applicable également. Des solutions existent permettant aux expatriés de se mettre en conformité et de bénéficier de prises en charges étendues.

Cependant, certains regrettaient leur plan santé international, souvent plus simple à gérer et à utiliser. En effet, les plans internationaux permettent des prises en charge sans franchise (deductible) et sans obligation de se faire soigner dans un réseau partenaire pour obtenir un meilleur remboursement. Si l’Obamacare était tout simplement supprimée, ces contrats pourraient refaire leur entrée. Les expatriés auront donc à nouveau la liberté de choisir leur plan santé.

Pour plus d’informations ou pour une étude gratuite, contactez Azurexpat au +1 917 267 7766+33 1 84 17 80 77 ou par mail [email protected]

Site d’Azurexpat

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le duo Amadou & Mariam fait danser Washington

En pleine tournée internationale, le duo malien Amadou & Mariam fait une halte à Washington le jeudi 20 juillet, où ils donneront un concert au 9:30 Club.
Fidèles à ses racines, le couple, connu pour son album “Dimanche à Bamako” produit par Manu Chao, a l’étonnante faculté de la musique malienne à d’autres genres, comme l’Afrobeat-Funk, très présent dans leur nouvel album, “la Confusion”. Avec son répertoire de chansons en anglais, français ou malien, le duo parvient à faire tomber les barrières culturelles. Les deux artistes partageront la scène avec le groupe Redline Graffiti, issu de D.C.

6 festivals pour profiter de l'été autour de San Francisco

L’été arrive et amène avec lui son lot de festivals en tout genre. Puisque les chaleurs estivales sont synonymes de brume à San Francisco, c’est l’occasion ou jamais de s’échapper de la ville. Blues, Reggae, Electro… le choix est vaste ! Alors pour vous aider, on vous a sélectionné six festivals nord-californiens.
Fountain Blues Festival

(Credit : Fountain Blues Festival)
(Credit : Fountain Blues Festival)

Un petit coup de blues ? Direction la place de Cesar Chavez de San Jose, la capitale de la Silicon Valley, pour la 36ème édition du Fountain Blues Festival. Sur scène le guitariste américain Elvin Bishop ou encore Betty LaVette la célèbre chanteuse de soul américaine assureront le show. Samedi 24 juin, Plaza de Cesar Chavez Park, San Jose. Tickets de 20 $ à 75 $. Site web. Page Facebook.
Sonoma Mountain Music
La seconde édition du Sonoma Mountain Music prend racine sur le terrain d’un ranch perché sur les collines de Petaluma, dans le comté de Sonoma. L’événement très familial mêle concert de musique folk et de bluegrass et stands de nourriture de la ferme. Samedi 8 juillet, 4497 Old adobe road, Petaluma. Tickets de 50 $ à 65 $. Site web.
Northern Nights Music Festival
Northern Nights
(Credit : Northern Nights Festival)

Dans la pure tradition hippie californienne, ce festival se déroule au bord d’une rivière surplombée par une forêt de séquoia, à 3h30 de route au nord de San Francisco. Pendant trois jours, la cinquième édition du Northern Nights Music Festival met à l’honneur des Dj émergents venus du monde entier, avec une attention particulière donnée à l’éclairage féérique du site. De vendredi 14 juillet à lundi 17 juillet, Cooks Valley campground, Piercy. Pass 3 jours de 239 $ à 339 $. Site web. Page Facebook.
Mountain Vibe Music Festival
Dans le même esprit que le Northern Nights mais situé plus dans les terres, au nord-est de Yosemite, le Mountain Vibe Music Festival. Au programme : une vingtaine de groupes de musique made in California, un camping et des ateliers de relaxation. De vendredi 14 juillet à lundi 17 juillet. 7250 Mitchell Mill Rd, Wilseyville. Pass 3 jours 85 $, pass journée 45 $. Site web. Page Facebook.
Petaluma Music Festival
Quatre scènes, quatorze groupes nationaux et de la bière locale : la Lagunitas of course ! Le Petaluma Music Festival est un événement très familial où se côtoient tous les genres de musiques. Comme chaque année, les bénéfices de cette dixième édition seront reversés aux écoles du Petaluma. Samedi 5 août. The Sonoma-Marin Fairgrounds, 175 Fairgrounds Drive, Petaluma. De 50 $ à 110 $. Site web. Page Facebook.
Reggae on the River

(Credit : Joe McLaren)
(Credit : Joe McLaren)

Ce festival est le combo parfait entre le groove du reggae et les bonnes vibes de la nature. Comme son nom l’indique, le Reggae on the River se déroule dans un cadre privilégié : au bord de l’eau entouré de verdure. En tête d’affiche de cette 33ème édition : l’artiste jamaïcain Assassin (Agent Sasco) ou encore l’icône de la scène new-roots Junior Kelly. Du jeudi 3 août au dimanche 6 août. French’s Camp, 657 US-101, Garberville. À partir de 200 $. Site web. Page Facebook.

Où se baigner à Washington ?

L’été à Washington, il fait chaud, très chaud. Il suffit de regarder une mappemonde pour s’en convaincre : la capitale fédérale est située à la même latitude qu’Ibiza ou Palerme. Ajoutez à cela une humidité suffocante et vous comprendrez pourquoi il est vital de trouver une piscine pour faire trempette quel que soit le jour de la semaine. Voici nos adresses préférées à DC.

Les piscines municipales

Piscines publiques oui, mais en extérieur s’il vous plaît ! Jusqu’à Labor Day, début septembre, les piscines publiques de Washington DC sont ouvertes tous les jours pour les habitants. Pour rentrer, pas besoin de payer, il suffit de présenter une pièce d’identité, votre permis de conduire par exemple pour prouver que vous êtes bien un local. Banneker Pool est un bon choix à Shaw, près de Howard University, pour ceux qui aiment faire des longueurs – la piscine est plus grande qu’un bassin olympique. Et elle ouvre dès 8am certains matins pour les plus sportifs ! A la Volta Park Pool (1555 34th St NW, fermée le lundi), on vient plutôt pour lézarder au soleil, sur une chaise longue, au calme dans ce coin préservé de Georgetown jusqu’à 8pm. Mais en famille, la référence reste Francis Pool (2435 N St NW, fermée le mardi), entre Dupont Circle et Foggy Bottom, avec son bassin aménagé spécialement pour les enfants. Attention, l’East Potomac Pool (972 Ohio Dr SW), est fermée pour rénovations.

Le + : c’est gratuit
Le – : la propreté aléatoire de certains vestiaires
Plus d’infos ici.

Rendez-vous à l’hôtel

Si vous n’avez pas de piscine dans votre jardin, tout n’est pas perdu, vous pouvez encore aller squatter celle d’un hôtel de luxe ! Entendons-nous bien : il ne s’agit pas de payer une nuit d’hôtel alors que vous habitez au coin de la rue. Certains bassins sont bel-et-bien ouverts au grand public. Il suffit souvent de montrer patte blanche… et de payer un droit d’entrée. Parmi nos chouchous, The Rooftop at the Embassy Row Hotel avec sa petite piscine mais sa déco colorée très soignée (2015 Massachusetts Ave, ouvert de 3pm à 5pm), le très chic Washington Plaza (10 Thomas Circle NW) à 50 dollars la journée mais qui est ouvert de 9am à 9pm, ou encore l’incontournable Capitol Skyline Hotel (10 I St SW) qui propose un pass journée à 30 dollars ou pour la saison à 250 dollars.

Le + : le cadre luxueux et le calme
Le – : c’est moins facile (en plus d’être coûteux) d’oser entrer si vous avez une famille nombreuse

The Yards Park

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Dans le quartier en pleine explosion du Waterfront SW, à deux pas du stade des Nationals, on aime beaucoup le bassin du Yards Park. Ne vous méprenez pas : ce n’est pas une piscine olympique, plutôt une pataugeoire XXL. Mais c’est parfait pour les enfants qui peuvent facilement faire trempette et se faire arroser de la tête aux pieds sous les cascades d’eau. Ou pour les adultes qui veulent se rafraîchir les jambes avant d’aller boire un verre ou dîner dans un des restaurants branchés qui se sont installés ces dernières années au bord de l’Anacostia River. Précision importante : l’eau vient bien du réseau municipal, traité et sûr, pas de cette rivière connue pour être l’une des plus polluées des Etats-Unis.
Le + : les bars et restaurants animés à deux pas
Le – : ce n’est pas ici que vous améliorerez votre technique du dos crawlé
Plus d’infos ici.

Opia est mort, vive Rose Hill

Opia, restaurant chéri de la communauté française de New York, a fermé ses portes, mais ne comptez pas sur Frederick Lesort pour partir à la retraite.
Le propriétaire du restaurant de Midtown, logé au sein du Renaissance Hotel depuis 16 ans, vient de lancer une nouvelle affaire: Rose Hill. Son nouveau bébé, le dernier d’une longue liste d’établissements qui comprend des restaurants et des boîtes de nuit (Buddha Bar, Vandam, Grape & Vine), se situe au rez-de-chaussée du HGU, un hotel boutique de la 32ème rue. “Après 16 ans, mon bail à Opia était arrivé à terme. Je trouvais que le block n’était plus le même. Le quartier avait changé. Etant donné qu’Opia était à l’étage et que les dernières années ont été un petit peu difficiles, je me suis dit qu’il était temps de bouger et de faire autre chose“.
Le restaurateur a pris la décision de fermer Opia il y a deux ans, non sans “tristesse“, dit-il, en se souvenant des “clients, des employés et des événements” organisés depuis l’ouverture du restaurant deux jours après le 11-Septembre 2001. “J’ai plein de souvenirs, comme la coupe du monde de rugby de 2011 en Nouvelle-Zélande. On retransmettait les matches de la France à 2h-3h du matin. On pensait que j’étais fou“, s’amuse-t-il.
Pour ouvrir Rose Hill, il s’est associé avec Philippe Olivier Bondon, ex-responsable des opérations au restaurant de Midtown Beautique. L’établissement est composé de trois espaces articulés autour du hall d’entrée de l’hôtel: un bar intimiste d’une dizaine de places, un restaurant qui en compte 46 et un grand lounge aux allures de bibliothèque qui peut accueillir 80 personnes. Début août, il ouvrira un rooftop d’une capacité de quarante places qui offrira une “vue magnifique” sur l’Empire State Building.
Rose Hill est plus petit qu’Opia, qui pouvait accueillir 250 personnes entre la salle à manger principale et la salle privée. Et cela n’est pas pour déplaire au Français. “Je suis a nouveau en contact avec le client, je parle à tout le monde, je peux voir tout le monde. Le chef peut toucher toutes les assiettes. Je voulais revenir aux bases, explique Frederick Lesort, qui décrit Rose Hill comme un mélange entre son premier restaurant “bistro-gastro” Jour et Nuit, ouvert en 1990, et ses bars Frederick’s. “Je cherchais un endroit qui permettait d’avoir les deux en même temps. Un lieu intime, élégant et sophistiqué“.
La carte est américaine et inspirée d’un lieu bien connu des amateurs de nourriture espagnole et de bons vins: Casa Mono. Comme au restaurant ibérique de Mario Batali, les plats à Rose Hill sont essentiellement servis sous forme de petites assiettes à partager, “mais ce ne sont pas des tapas“, précise le patron. Après Rose Hill, le Français prévoit d’ouvrir une brasserie près de Times Square “fin 2017-début 2018“.