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Les célibataires new-yorkais jettent Tinder. Voici pourquoi.

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(Article partenaire) Que cela vous plaise ou non, New York est la ville-reine du dating. Les lieux de rencontres et la masse de personnes à rencontrer sont infinis, mais trouver la bonne personne est une autre affaire. Les app actuelles laissent franchement à désirer. Heureusement, Inner Circle arrive en ville pour remuer tout ça. Voici sept raisons pour lesquelles vous devriez larguer votre app de rencontre au profit d’Inner Circle.

Reconnaissez-le, vous avez vraiment besoin d’une nouvelle app

Donnie Darko Ear GIFOui, voici enfin un app plus sophistiquée que les autres. The Inner Circle est une app sélective qui donne les clefs d’un réseau de jeunes New-Yorkais, attirants, intellectuels et inspirants. Rencontrez des célibataires sexy dans un environnement qui ne donne pas envie de partir en courant. Que demande le peuple ?

Vous en avez marre (MARRE !) des autres options

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Vous avez tellement “swipé” que votre pouce est en surchauffe mais vous n’avez pas eu de résultats dignes de ce nom.

Les profils sur Inner Circle sont sélectionnés

you shall not pass the lord of the rings GIFFinis les faux profils, le ghosting et compagnie. Le meilleur: les experts d’Inner Circle sélectionnent des jeunes professionnels avec des parcours intéressants car, avouons-le, personne ne veut passer cinq mois à texter avec quelqu’un pour découvrir qu’il cherche encore leur premier job cinq ans après avoir obtenu leur diplôme ! A vous de voir si vous passez la sélection.

Eviter les dates pourris

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On connait ce sentiment: on arrive à un date et on se rend compte assez rapidement que cela ne va pas le faire. Grâce à Inner Circle, vous en apprendrez plus sur votre “date” (ce qu’elle/il aime, endroits favoris, centres d’intérêt…) avant de vous mettre dans des situations embarrassantes.

Vous voulez plus qu’une histoire d’un soir

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C’est toute la philosophie d’Inner Circle…

Ce sont de nouvelles personnes à découvrir

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Faites des rencontres comme nulle autre. Vous n’avez aucune excuse de ne pas essayer.

Inner Circle existe

sister act church GIFVous avez le pouce foulé à force de “swiper” à gauche ? C’est le moment de tester une autre approche.
Télécharger The Inner Circle

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Pourquoi les maillots de bain sont-ils si rembourrés aux Etats-Unis ?

Si vous cherchez à acheter un deux-pièces avant l’été, vous l’aurez peut-être remarqué : les bonnets des maillots de bain vendus aux Etats-Unis sont souvent rembourrés, re-rembourrés et même re-re-rembourrés. Mais pourquoi diable glisser une coque épaisse comme une tranche de paie de mie dans un tout petit bikini ? C’est la question bête de la semaine.
Ces bonnets très épais permettent d’abord de rajouter du « volume », précise pour commencer Louise Mariusse, une créatrice française d’une marque de maillot de bains, Mademoiselle Louise, basée à Miami. Et du maintien, ajoute Cyla Weiner, la créatrice de la boutique SyLene, une référence en matière de lingerie depuis plus de 40 ans près de Washington DC. « Certains de nos clientes pensent que ça donne à leur poitrine une meilleure forme quand le buste n’est plus aussi ferme qu’avant…», dit-elle en des termes choisis.
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Mais au-delà de ces considérations esthétiques, il y a une zone particulièrement sensible : « c’est une des questions les plus courantes qu’on me pose : ‘comment être sûre qu’on ne verra pas mes tétons à travers le maillot de bain que j’ai envie d’acheter ?’ », raconte Courtney Killpack. Cette spécialiste de la lingerie a travaillé une dizaine d’années pour la grande distribution américaine avant de lancer son propre site de conseils Bra Fittings by Court.
Et pour elle, le rembourrage a une raison d’être principale : cacher toute apparition d’un renflement bien naturel quand on sort de la piscine et que l’air est un peu plus frais. «En Europe, on voit les tétons comme un moyen de nourrir les bébés et pas seulement comme quelque chose de sexué. Mais aux Etats-Unis, ils sont hautement sexualisés, c’est culturel. C’est pour cela que les femmes essaient de les cacher et sont gênées s’ils pointent », analyse-t-elle.
Le rembourrage, c’est donc d’abord une affaire de puritanisme. Pour les fabricants, il faut donc s’adapter. Les modèles créés par Louise Mariusse n’ont ni armatures, ni rembourrage mais elle donne la possibilité à ses clientes de choisir l’option au moment de la commande. « En France, la poitrine, on trouve ça très sexy, très naturel, bohème. Ici, c’est un peu plus compliqué… Je rajoute donc ce qu’on appelle des ‘cups’, ces petits coussinets qu’on trouve à l’intérieur des maillots de bain et qu’on peut mettre ou enlever selon le confort souhaité», détaille la créatrice.
Quand on vit aux Etats-Unis, faut-il se mettre à l’heure locale et acheter un maillot de bain rembourré ? « Personne ne viendra vous arrêter dans la rue, il ne faut pas exagérer ! », relativise Hélène Crié-Wiesner. Cette journaliste indépendante, installée depuis presque deux décennies aux Etats-Unis, a raconté sur internet ses mésaventures à la sortie de la piscine. Son post, amusé et agacé à la fois, est toujours commenté régulièrement quatre ans plus tard. Alors, elle donne quand même ce conseil, avec humour : « si une Française ne veut pas être remarquée, elle n’a qu’à faire comme tout le monde : mettre un maillot avec trois couches de tissus… et mourir de chaud ! »

Et si Trump et Macron étaient les mêmes ?

Au fond, Emmanuel Macron et Donald Trump sont-ils si différents ? À l’occasion de la rencontre des deux chefs d’États pour le défilé du 14-Juillet, plusieurs médias ont posé la question, et leur ont trouvé plus d’un point commun.
Le Washington Post met les pieds dans le plat. Pour le quotidien, “Macron est le président que Trump espère être”. Le journaliste Ishaan Tharoor note que “leurs ascensions respectives sont, à plusieurs égards, identiques. Chacun a fait campagne en se présentant comme un candidat hors système promettant un renouveau national à un moment où de nombreuses personnes se sentaient désespérées face au statut quo“.
Le site Newsweek compare pour sa part le mode de gouvernance des deux présidents. Tandis que Macron souhaite réduire le nombre de parlementaires d’un tiers pour accélérer le processus législatif, Trump organise un nombre inhabituel de réunions improvisées dans le Bureau Ovale. “Le principal point commun est cette impatience face au processus parlementaire”, écrit Josh Lowe. Le dîner à la Tour Eiffel “entre Trump, le “délaissé”, et Macron, le jeune challenger qui veut déverrouiller et nettoyer la politique, pourrait être l’occasion pour les deux présidents de prendre conscience du fossé entre leur discours “anti-establishment” et la difficulté d’exercer la fonction suprême.” 
Autre “rendez-vous d’esprit” relevé par Newsweek : les messages que les deux hommes ont récemment adressé aux médias. Alors que Donald Trump a multiplié les accusations de malhonnêteté contre les principaux organes de presse américains, le bureau d’Emmanuel Macron avait annoncé, en mai dernier, vouloir choisir les journalistes autorisés à suivre les déplacement du président à l’étranger. « Si Macron est loin de tweeter tous les GIFs qui le concernent comme outils de lutte contre les principaux médias (Donald Trump a récemment tweeté un GIF dans lequel on pouvait le voir se battre avec un homme lors d’un combat de catch, dont la tête a été remplacée par le logo de CNN, NDLR), cela ne veut pas dire qu’il n’a pas, comme Trump, ses différends avec la presse », rappelle le journaliste.
Même leurs divergences idéologiques pourraient s’avérer moins profondes qu’il n’y paraît. Pour le journal conservateur The Washington Examiner, les deux dirigeants “se rejoignent entièrement sur la problématique syrienne et terroriste. Lors de leur rencontre, Trump et Macron ont renforcé une relation étroite et mutuellement bénéfique sur ces questions“, note Tom Rogan.
S’il existe des points de convergences entre les deux chefs d’État, Ishaan Tharoor du Washington Post rappelle tout de même qu’ils ne disposent pas de la même force de frappe politique. “Avec une majorité parlementaire écrasante à l’Assemblée nationale, Macron a réussi à gagner le “mandat fort” qui a clairement échappé à Trump, explique le journaliste. Macron semble mieux positionné pour se battre que son homologue américain. Il peut encore assumer sa volonté de transformer son pays en une “start-up nation” et de stimuler l’innovation. Ce sont des ambitions vaguement partagées par la fille du président Ivanka Trump et son mari Jared Kushner. Macron a soutenu son programme en re-stimulant la vie politique française avec son talent de technocrate. Comparez cela avec le chaos au sein de la Maison-Blanche, touchée par une série de controverses autour des membres de la famille Trump qui, pour beaucoup, ne devraient même pas être à proximité des couloirs pouvoir.”
 
 

Little Voyageurs, un guide pour vivre Brooklyn en famille

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Quand on arrive dans une nouvelle ville, connaître les bons plans prend du temps. Ce constat a poussé Marie-Pacifique Blanckaert (ci-dessus) et Charlotte Burgoygne, deux Françaises et anciennes expatriées aux États-Unis, à créer Little Voyageurs, un guide en ligne gratuit qui répertorie les meilleures adresses pour les familles dans une ville donnée. Pour l’heure, le site web se décline en cinq éditions disponibles en anglais et en français : Bruxelles, Chicago, Miami, San Francisco et, depuis quelques semaines, Brooklyn.

“C’est un quartier de New York très intéressant à travailler parce qu’il est composite. On y trouve un côté familial, arty, de super boutiques et des éléments qui mélangent la ville et la campagne, détaille Marie-Pacifique Blanckaert. Forcément, cela convainc beaucoup de familles de venir s’y installer.” Le guide est divisé en dix catégories, telles que “boutiques où craquer”, “baby-sitters et médecins à contacter”, “il pleut, que faire ?” ou encore “restaurants kid-friendly”.

Tout aussi utile pour les touristes qui pourront construire leur journée à partir des lieux conseillés, Little Voyageurs veut avant tout “devenir la référence des parents cool.” L’idée, pour les familles qui partent vivre dans l’une de ces villes, c’est d’y arriver apaisées, sans stress, parce qu’ils savent qu’elles trouveront des lieux qui plairont aussi bien aux parents qu’aux enfants”. Ces adresses sont en grande partie fournies par des mamans entrepreneuses qui habitent sur place et dont on peut découvrir le parcours dans le guide.

Marie-Pacifique Blanckaert, dont l’expatriation a pris fin, entend bien continuer de faire vivre Little Voyageurs depuis la France. Grâce à la collaboration de bloggeuses et la participation de web-magazines locaux, les éditions déjà existantes continueront de s’étoffer et d’autres guides verront le jour. Le cap sera bientôt mis sur deux nouvelles destinations : Paris et Tel Aviv.

Le French Festival de Santa Barbara est de retour

Il s’agit de l’un des rendez-vous les plus attendus du calendrier festif de Santa Barbara. Le « French Festival » se tiendra les 15 et 16 juillet sur le site de Oak Park. Pour cette 29e édition, les animations habituelles seront à nouveau au programme, qu’il s’agisse de démonstrations de danses folkloriques (French Cancan, danse tahitienne, danse du ventre), de combats de chevaliers, de parade canine, de concours de pétanque ou encore d’hommages musicaux à Edith Piaf et Django Reinhardt.
Les 25.000 visiteurs qui se pressent chaque année dans les allées du parc du plus grand festival français de la côte Ouest assisteront ainsi à plus d’une trentaine de spectacles, tandis que les plus jeunes se verront proposer une chasse au trésor ou des parties de mille bornes. « Il est impossible de résumer la culture française en deux jours et quelques animations », indique Teri Ball, la directrice du festival. « Nous tentons simplement d’inviter les gens à se plonger dans un univers différent de ce qu’ils connaissent, voire même de les inciter à programmer un voyage en France. »
Pour achever de séduire les visiteurs, quoi de mieux que de titiller leurs papilles ? Entre crêpes, pâtisseries, baguettes, charcuterie et dégustations de vins, Santa Barbara se transformera en véritable marché français.
L’évocation de la France en Amérique passe aussi par quelques clichés, à commencer par une démonstration d’accordéon, suivie d’une explication sur son fonctionnement. Quant à la boutique officielle du festival, les visiteurs pourront y acheter… des bérets.
 

Désolé "Jim", Donald Trump aime Paris

Pendant la campagne, Donald Trump avait cité son ami “Jim” qui lui aurait dit “Paris n’est plus Paris” sous-entendant que l’insécurité avait rendu la Ville Lumière méconnaissable. Le président américain semble être en désaccord aujourd’hui.
Lors d’une conférence de presse, jeudi 13 juillet, au premier jour de sa visite à Paris pour participer aux célébrations du 14-Juillet, le républicain a répondu que “tout allait bien se passer, parce que vous avez un grand président.
Et d’ajouter: “Vous avez quelqu’un qui va bien diriger ce pays, et je serais prêt à parier – parce que je pense que c’est une des plus grandes, plus belles villes au monde – et maintenant vous avez un grand leader, un grand président. Il est dur – il ne va pas être tendre avec les personnes qui perpétreront une violence extraordinaire. Donc, je crois que vous allez avoir un Paris très, très pacifique et beau. Et je reviendrai“. Ce à quoi son homologue français a répondu qu’il était “toujours” le bienvenu.
Pendant cette conférence de presse, pendant laquelle les deux hommes ont multiplié les formules de politesse envers l’autre – ils se considèrent “amis” -, les deux présidents ont été interrogés sur l’annonce de retrait américain de l’Accord de Paris. Le président américain a laissé entendre dans une formule ambigüe que sa position sur le pacte environnemental visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre n’était pas arrêtée. “Quelque chose peut se passer à propos de l’Accord de Paris. Nous allons voir ce qui va se passer, a-t-il. Mais nous allons en parler prochainement. Et si cela se passe, cela sera merveilleux, et autrement, cela sera OK aussi. Mais nous allons voir ce qui va se passer.
 

Quand San Francisco était surnommée « Paris of the Pacific »

« Commercial Street is French, decidedly French, and in it you may see a miniature of the great city La Grande Republique, a mini Paris in San Francisco ». Voilà ce que l’on pouvait lire dans les pages du quotidien The Alta California en 1851. Plus d’un siècle plus tard, Commercial Street existe toujours et près de 65.000 Français (estimation du Consulat) habitent la Baie de San Francisco.
L’histoire des premiers Français à San Francisco, s’étale sur cinq ans : de 1849 à 1854. Quand l’or est découvert en janvier 1848, au pied de la Sierra Nevada, San Francisco est un village de 800 âmes. En l’espace d’une année, il se peuple de 25.000 habitants venus d’Amérique. Le 5 décembre 1848, le discours sur l’état de l’Union du président James K. Polk, mentionnant « de l’or en abondance » traverse l’Atlantique et se diffuse dans l’Hexagone. « Au départ, les Français étaient sceptiques et ne croyaient pas à cette histoire d’or. Ils pensaient que les Américains racontaient cela pour que les gens migrent de l’est à l’ouest », souligne Gilles Lorand, guide francophone à San Francisco, tout en précisant qu’en 1848 la France est dans « un état pitoyable au niveau politique, économique, social ».
Trois vagues de migrations françaises
Le premier bateau français arrive dans la Baie en septembre 1849. Ils embarquent sur des anciens baleiniers exploités par la trentaine de compagnies maritimes qui viennent tout juste d’émerger. « Durant le voyage de six mois, il est interdit de parler politique sur le bateau. Pour éviter les conflits entre Républicains et Monarchistes », raconte Gilles Lorand. Entre 1850 et 1851, près de 15.000 Français mettent le cap sur San Francisco. « La première vague, ce sont des Français de classe moyenne et classe supérieure car le voyage coûte environ 1.000 francs (germinal, Ndlr), l’équivalent d’une année de salaire », précise Gilles Lorand. Les cadets de familles plus pauvres font aussi partie du voyage.
Dans les mines, les Français étaient surnommé les “keskydees” car ils comprenaient très mal l’anglais. Il ont été les premiers à faire grève pour protester contre la taxe de 50 % sur l’or collecté par les étrangers. Très vite, il ont préféré ouvrir des commerces en ville plutôt qu’aller se tuer à la tâche dans les mines. « Comme il étaient très mauvais en anglais, ils avaient des difficultés à s’intégrer ».
Les Français se sont donc spécialisés dans les petits boulots, tels que décrotteur. La communauté française s’installe sur Grant Street (jadis Dupont Street) et Commercial Street, dans le prolongement de Long Wharf, le ponton où sont déchargées les marchandises en provenance de France et d’ailleurs. « À French Town, on trouvait du Bordeaux, de l’eau de vie de Normandie, des chapeaux à plumes et des grandes robes à la mode de Paris. C’est aussi devenu le quartier général des maisons de jeu de SF ! » En 1852, San Francisco compte 6.000 Français sur 36.000 habitants permanents.
Entre 1852 et 1853, déferle la deuxième vague de migrants français. Baptisée “la vague des lingots d’or”, elle est instiguée par Louis Napoléon Bonaparte. « Il voulait faire un coup d’État, alors il cherchait à éloigner les intellectuels qui pouvaient lui mettre des bâtons dans les roues ». Pour cela, Napoléon III créé une loterie nationale où il met en jeu des voyages en Californie et un lingot d’or de 400.000 francs. Ce sont donc près de 3.000 opposants potentiels de Napoléon ainsi que de nombreux paysans qui débarquent à San Francisco aux frais du prince.
La troisième vague amène femmes et enfants venus rejoindre le paternel. « Les Françaises étaient la curiosité de San Francisco. À l’époque 90 % de la population étaient des hommes. Les gens étaient prêt à payer juste pour s’afficher à leurs côtés ! » Elles sont nombreuses a faire fortune en monnayant leur présence. D’autre deviennent croupières pour attirer la clientèle. L’Eglise Notre Dame des Victoires sur Bush Street – où la messe est dite en Français chaque dimanche encore aujourd’hui – est édifiée sous l’impulsion des migrantes tricolores. « Quand les femmes sont arrivées, elles ont fait des pieds et des mains pour avoir une église française ! »
Les Français illustres
L’une des Françaises les plus connues de French Town s’appelle Eléanor Dumont, alias “Madame Moustache” à cause de son duvet proéminent. « Elle monte des maisons de jeu car c’est une très bonne dealeuse de cartes. Elle tient également le Parisian Manson, la maison close haut-de-gamme de San Francisco ».
Deux Français, les frères Lazard s’occupent eux de garder bien au chaud l’or des mineurs. « Ils ont commencé en leur louant des coffres fort ». Il y a aussi François Louis Alfred Pioche, un entrepreneur qui convainc des fonds français d’investir dans l’ouest américain. Il utilise ces capitaux pour créer la première ligne de chemin de fer de la ville sur Market Street ou encore pour financer les travaux pour alimenter San Francisco en gaz. Il s’agit de PGE (Pacific Gas and Electric Company) que l’on connait aujourd’hui. Et dans le quartier d’Excelsior, vous trouverez Pioche Street !
Les Frères Verdier ont ouvert le premier grand magasin de San Francisco en 1896. Son nom ? “City of Paris”. En 1850, Emile Verdier arrive à San Francisco à bord d’un trois-mâts à la proue gravée de quatre mots : “la ville de Paris”. Lorsqu’il entre dans la Baie, avec les cales remplies de marchandises “from Paris”, le bateau est pris d’assaut avant même qu’il ne soit amarré à Long Wharf. « Il a réussi à vendre sa marchandise avant même de toucher terre ! » Le City of Paris a été racheté par Neiman Marcus en 1974. Aujourd’hui, lorsque vous entrez dans ce grand magasin d’Union Square, il ne reste que l’immense rotonde de l’emporium d’origine. Le dôme de verre représente un bateau sur les flots, accompagné de la devise de Paris “fluctuat nec mergitur”…
Alors qu’il n’y a quasiment plus d’or accessible en Californie, un certain Raphaël Weill est venu travailler dans un magasin de produits français tenu par des américains. Très vite, il devient propriétaire et renomme la boutique “The White House”, traduction malheureuse de “La Maison de Blanc”. « Lors du violent tremblement de terre de 1906, il commande des stocks de vêtements pour rhabiller 5000 femmes et enfants ». Très estimé par la population san franciscaine, il est fait chevalier de la Légion d’Honneur en 1920, année de sa mort. Aujourd’hui, au dessus du Banana Republic de Grant Avenue, il est écrit “The White House”…

5 plages pour se dorer la pilule à New York et autour

Le jour du baigneur arrive. French Morning a pensé à votre sortie plage du week-end (et à votre bronzage). Nos cinq recommandations à New York et autour.
Sandy Hook (New Jersey)

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SandyHook.com

Nous l’avions déjà consacré « coup de cœur de French Morning » et cela n’a pas changé. A la recherche de calme et volupté, les plagistes new-yorkais trouveront rapidement leur bonheur sur la presqu’île de Sandy Hook dans le New Jersey. Cet ancien centre militaire fut un lieu d’ancrage privilégié par les colons européens avant l’existence du port de New York. Aujourd’hui, Sandy Hook Bay est principalement réputée pour ses plages de sable blanc, les principales étant North Beach, South Beach et Gunnison Beach, cette dernière étant une zone naturiste. Ce cadre bucolique avec vue sur les buildings de Manhattan (les jours de très beau temps) saura ravir les citadins venus parfaire leur bronzage. Idéale pour y passer une journée, Sandy Hook est à seulement 30 minutes de Manhattan en ferry. Pour $46 par adulte ($30 pour le premier départ du jour/tarifs réduits ou gratuits pour les enfants de moins de 12 ans), la compagnie Seastreak propose deux horaires de départs en semaine (retour unique à 4:10pm), et trois horaires le week-end (dernier retour à 7:45pm). Sur place, des bus scolaires emmènent gratuitement les baigneurs sur les différentes plages de la baie. Il est aussi possible d’y aller en voiture. Plusieurs parkings sont à proximité des plages ($15 la journée). De nombreuses balades à vélo ou a pied dans les fourrés sont à faire. Il est aussi possible de visiter l’ancien arsenal du Fort Hancock au nord de la péninsule. Si un loueur de vélo est présent à l’arrivée du ferry, très peu de commerces sont installés à Sandy Hook. Vous trouverez de quoi vous acheter une glace ou vous dépanner en crème solaire, mais misez sur un vrai pique-nique confectionné par vos soins avant le départ pour éviter toute déconvenue. Y aller : Ferry Seastreak à prendre au sud de Wall Street ou au niveau de la 35th Street et de l’East River. 46$ A/R pour les adultes.
Les Rockaways (Queens)
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Parks Dpt

Les Rockaways offrent un bon compromis entre proximité et choses à faire. Située au bout de la ligne A, ce quartier de Queens s’est transformé au fil des ans pour devenir une terre hipster en été. Les Rockaways sont composés de plusieurs plages: Jacob Riis Park, Fort Tilden, Breezy Point, Rockaway Park Beach. Pour une bonne offre de restaurants, descendez à l’arrêt Beach 98, où se trouve un motel, Playland (97-20 Rockaway Beach Blvd), avec un grande terrasse et une cevicheria qui vend des spécialités péruviennes (1-77 Beach 98th St). Côté plage, il y a également des tables et quelques restaurants “tiki” pour manger et boire après la baignade. Allez plus à l’ouest sur la 116ème rue trouver une autre bonne adresse: Wharf (416 Beach 116th St), un restaurant sans prétention avec vue sur Jamaica Bay. Y aller: Prendre la ligne A jusqu’au terminus Broad Channel et le shuttle jusqu’à Rockaway Park Beach. Ou prendre le nouveau ferry ou le NYC Beach Bus.
Pour échapper à la foule, allez un peu plus loin, à Jacob Riis Park. Arrivé au terminus du shuttle (116ème rue), prenez un bus jusqu’à Beach 169 St. La plage compte plusieurs bars, restaurants, food trucks et stands pour manger sur le pouce, dont la pizzeria Slice O’Whit qui sert de bonnes pizzas au feu de bois. Les pizzas sont préparées devant les clients attablés en extérieur. Comptez 12 dollars la margherita. Autre atout: la plage est large. Il y a donc amplement la place pour tout le monde.
Coney Island (Brooklyn)
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C’est la plage mythique de New York. Située au bout des lignes de métro D, N, F et Q, Coney Island est bien plus qu’une plage. C’est un quartier hors du temps, où le New York populaire se précipitait dans les années 30 pour profiter de la fête foraine et de ses spectacles fous. Le parc d’attractions en bord de plage, Luna Park, fête ses 90 printemps cette année. Allez faire un tour au biergarten Steeplechase qui se trouve juste à côté, sur Surf Avenue, ou allez voir un match des Brooklyn Cyclones, l’équipe de base ball locale. La plage n’est pas la plus propre de New York ni la moins peuplée. Mais marchez le long de la promenade dans n’importe quelle direction et vous finirez par semer la foule.
Fire Island (Long Island)
FireIslandLong Island regorge de plages aussi belles les unes que les autres. S’il fallait choisir un lieu pour se dorer la pilule, ce serait Fire Island. Pour y aller, il est conseillé de se lever tôt pour éviter les baigneurs du dimanche. D’autant que la route est longue. Comptez au moins une heure et demi depuis Penn Station. Il vous faudra prendre le Long Island Railroad et un ferry pour atteindre cette longue langue de terre qui s’étire au sud de Long Island. Les “spots” les plus populaires sont The Pines et Cherry Grove, hauts-lieux de la communauté LGBT où les voitures n’ont pas droit de cité. Des chemins serpentent entre les maisons de bois perdues dans les arbres et vous amèneront à la plage, où vous aurez largement la place pour vous installer. Le coût de la vie sur Fire Island est assez élevé. On vous conseille de prendre votre panier de victuailles si vous voulez faire des économies. Y aller: Prendre le ferry à Sayville pour accéder à The Pines et Cherry Grove (16 dollars aller-retour). 
Asbury Park (New Jersey)

On aime et on recommande Asbury Park pour sa grande plage et sa promenade peuplée de petits restaurants, bars, cafés et boutiques. On y croise un “oyster bar”, un bar à jus pressé minute, un coffee shop et des restaurants mexicains et cubains. Les pieds dans le sables, vous pourrez aussi contempler les vestiges du casino et du théâtre désaffectés d’Asbury, idéalement situés en bord de mer. Des attractions comme l’Asbury Splash Park, un parc pour bambins ouvert de 10am à 7pm, attendent les plus jeunes. Mais la plage regorge aussi de nombreux autres divertissements. Les adeptes de surf pourront profiter des vagues entre Deal Lake Drive et Eigth Avenue. L’entrée coûte 5 dollars en semaine et 7 dollars les samedis et dimanches. Y aller : Accessible de Penn Station avec le NJ Transit.

Trois films français à l'affiche du San Francisco Jewish Film Festival

Pendant trois semaines, 40.000 cinéphiles sont attendus au San Francisco Jewish Film Festival. Du jeudi 20 juillet au dimanche 6 août, l’événement annuel attirera professionnels et amateurs du 7eme art autour de projections et de conférences.
Trois films français seront à l’affiche cette année. “Planetarium” de Rebecca Zlotowski raconte l’histoire de deux sœurs médium dans les années 30 à Paris. Interprétées par les célèbres Natalie Portman et Lily Rose Depp, les deux protagonistes rencontrent un producteur de cinéma célèbre, André Korben, qui les engage pour tourner un film paranormal. Le dimanche 23 juillet, 2pm au CineArts (3000 El Camino Real, Palo Alto); Le dimanche 30 juillet, 5:30pm au Theatre Castro (429 Castro Street, San Francisco); Le mardi 1er aout, 8 :45 pm à l’Albany Twin (1115 Solano Avenue); Le vendredi 4 aout, 8:35pm au Smith Rafael Film Center (18 Fourth St).
Le jeune Karl Marx” de Raoul Peck relate la rencontre en 1844 entre Karl Marx et Friedrich Engels. Le début d’une fraternité qui mènera quelques années plus tard à la fondation de la ligue communiste et de son manifeste (1848). Le mardi 25 juillet, 8:15 pm au CineArts; Le jeudi 27 juillet, 7pm à Albany Twin; Le vendredi 28 juillet, 6pm au Castro; le samedi 5 août, 2:05 pm au Smith Rafael Film Center
Le voyage de Fanny” de Lola Doillon. Une jeune fille de 13 ans est séparée de ses parents sur fond de guerre mondiale. Courageuse et déterminée, elle guide ses sœurs ainsi qu’un groupe d’enfants juifs jusqu’à un sanctuaire en Suisse. Lors de son périple dans la France occupée, le petit groupe découvre la solidarité, l’amitié mais aussi la peur et l’indépendance. Le samedi 22 juillet, 6 :15 pm au CineArts; Le jeudi 25 juillet, 8 :55 pm au Théâtre Castro; Le samedi 5 août, 4:35 pm au Smith Rafael Film Center; Le dimanche 6 août, 6:30 pm à l’Albany Twin

À SoHo, Maman Bakery ouvre son "marché"

Maman Bakery a une nouvelle voisine à SoHo. Marché Maman, coquette boutique de la chaîne de cafés-boulangeries, ouvre ses portes jeudi 13 juillet sur Center Street.
Se doter d’un espace “retail”, une première pour l’enseigne créée en 2014 par Benjamin Sormonte, Elisa Marshall et le chef Armand Arnal. Le local est dans la veine de l’univers chic et chaleureux de Maman, qui dispose aujourd’hui de trois sites à New York (avec TriBeCa et Greenpoint) et d’un emplacement au sein du Samsung Building dans le Meatpacking.
Ça faisait un petit moment qu’on avait envie de faire un nouveau concept. On a souvent été approché par des magasins de retail. On s’est rendu compte que ça serait sympa qu’on le fasse nous-mêmes“, explique Benjamin Sormonte. Pour le moment, Marché Maman rassemble la marque de cosmétiques de Frédéric Fekkaï Bastide, le fleuriste Flowergirl et le glacier de Brooklyn Milkmade qui utilisera des saveurs concoctées par la boulangerie. Le site de vente d’accessoires et de vêtements français pour enfants Merci Bisous fait aussi partie des marques participantes et s’offre ainsi un premier point de vente physique. L’espace est aussi doté d’un bar et d’une terrasse de quarante places et sera bientôt connecté à Maman Bakery à côté. “L’idée, c’est d’avoir un labo où tout le monde collabore. Le plus on est, le mieux c’est“.
Maman ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La marque prévoit d’ouvrir un “marché plus important” axé sur les produits français à DUMBO avant la fin de l’année.

7 piscines pour piquer une tête à Austin

Difficile de passer à côté, l’été est arrivé. Et avec lui son soleil de plomb. Seul salut possible: l’hydratation interne et externe. Heureusement, Austin regorge de piscines extérieures. Alors, pour compléter notre guide des endroits où se baigner autour d’Austin, ainsi que celui de la Green Belt, voici notre guide des piscines à Austin.
Barton Springs Pool
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Honneur à la plus connue. Située au sein de Zilker Park, Barton Spring Pool est sans conteste un des bijoux d’Austin. Bâtie dans les années 1930, la piscine, alimentée en eau douce par les sources du même nom, mesure plus de 12.000 m2. Parfaite pour se baigner toute l’année, elle conserve une eau à température constante de 20 degrés celsius. Tout Austin vient à Barton Springs. Entrée de $1 à $3 pour les résidents d’Austin. Nourriture et boissons (hors eau) interdites. Dimanche -mercredi 5am-10pm, jeudi : 5am-9am and 7pm-10pm, vendredi-samedi : 5am-10pm. 2201 Barton Springs Road
South Congress Hotel
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La piscine du rooftop du South Congress Hotel domine l’avenue du même nom avec une vue imprenable sur la skyline de la ville. Idéal pour accompagner sa baignade de cocktails ou d’encas puisque la piscine est dotée d’un bar ainsi que d’une carte fournie par le Café No Se. Elle est accessible aux non-clients de l’hôtel du lundi au vendredi à partir de 11am contre un forfait de $20 par jour incluant serviettes et valet parking. 1603 South Congress
Deep Eddy Pool
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Lieu historique, cette piscine est la plus vieille du Texas. Sa première version fut un bassin creusé dans la Colorado River qui devint un centre thermal dans les années 1920. Piscine d’eau douce,  Deep Eddy comporte deux bassins, un pour la natation et un pour la baignade. Ouverte tous les jours de 8am à 8pm. Entrée $3 pour les adultes, $2 pour les 12 -17 ans et $1 pour les moins de 12 ans. 401 Deep Eddy Drive
Big Stacy Pool
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Piscine de quartier située dans Big Stacy Neighborhood Park près de Travis Heights, elle est fréquentée par les familles des alentours. Elle est divisée en deux zones – natation et baignade. Ouverte tous les jours de 6am à 8pm. Entrée libre. 700 East Live Oak Street
Wet Deck de l’hôtel The W Austin
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Pour nager au milieu des (nouveaux) buildings de downtown, la piscine de l’hôtel The W, est située au 4e étage de l’immeuble. Elle est ouverte aux non-clients de l’hôtel en échange de $15 (incluant parking, chaises longues, cabines privées et douches extérieures) du lundi au vendredi de 11am à 9pm. Entrée libre après 5pm. 200 Lavaca Street
Bartholomew Pool
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Récemment rénovée, il y en a pour tous les goûts à Batholomew Pool. La piscine offre deux zones pour les enfants ainsi que quatre couloirs de nage, un plongeoir et deux toboggans… Qui a dit “fun” ? Ouverte de 8am à 8pm en semaine et de 11am à 8pm le weekend. Entrée $1 et $2. 1800 E 51st
Hotel Ella Pool
piscines hotel ella
Pour vous baigner dans le charme suranné du Texas d’antan, direction la piscine de l’hôtel Ella près du campus de UT. En échange de $20, vous aurez accès à la piscine et à une chaise longue réservée (valet parking et serviettes inclus). Cocktails et encas à disposition fournis par Goodall’s Kitchen. 1900 Rio Grande

Business : misez sur le bon contact au bon moment

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(Article Partenaire) Le principe de FrenchFounders est simple et novateur : la création d’une plateforme “phygitale” (physique et digitale) pour les dirigeants et fondateurs francophones présents partout dans le monde pour échanger autour d’opportunités business. Derrière ce projet créé il y a 3 ans et connaissant un succès mondial, deux visionnaires : Benoit Buridant et Vincent Deruelle. Les deux co-fondateurs nous en disent plus dans cette interview.
Pourquoi avoir créé FrenchFounders ?
FrenchFounders a été créé en avril 2014 en partant d’un constat simple : aujourd’hui tous les business sont orientés vers l’international, que ce soit depuis la France ou l’étranger. De plus, une nouvelle manière d’entreprendre naissait chez les Français (les startups mais aussi les groupes corporate qui s’ouvrent à la collaboration, l’innovation avec d’autres acteurs). Les modèles en silos se décloisonnent et il devient essentiel de raisonner en réseau, en partage de connaissances, de retours d’expériences, etc.
Il y a 3 ans, nous n’avions pas identifié de solutions satisfaisantes pour fédérer cette communauté de dirigeants francophones à l’international et leur apporter une réponse pragmatique au besoin de mise en réseau. Nous avons ainsi créé FrenchFounders.
Après 3 ans d’existence, plus de 2000 membres ont rejoint la communauté dans 80 villes à travers à le monde. Nous avons 25 employés répartis dans nos bureaux à New York, San Francisco, Los Angeles, Paris, Londres, Shanghai et Hong Kong.
Qu’apportez-vous à vos membres ?

Benoit Buridant : CEO & Co-fondateur de FrenchFounders.
Benoit Buridant : CEO & Co-fondateur de FrenchFounders.

Notre communauté s’adresse à des CEOs, top-exécutifs, entrepreneurs, fondateurs et investisseurs venant de secteurs d’activités très variés tels que le luxe, le retail, la tech, le food & beverage …
Chaque membre a une problématique différente : ouvrir un bureau à l’international, chercher à lever des fonds, renforcer son réseau local ou encore simplement échanger avec ses pairs. En fonction de leur besoin, grâce à notre équipe et un algorithme de matching de profils nous mettons les membres en relation afin d’accélérer l’identification d’opportunités business et leur faire gagner du temps et de la valeur.
Faire partie de FrenchFounders c’est aussi participer à des évènements thématiques avec des speakers emblématiques. Plus de 300 événements sont organisés dans l’année, par exemple le mois dernier, Yann LeCun, le patron du laboratoire d’intelligence artificielle de Facebook est intervenu lors d’un dîner que nous organisions à New York.
Nous mettons aussi à la disposition de nos membres 20 espaces de co-working lors de leurs déplacements professionnels et des avantages négociés (solutions business, travel, …).
Comment devient-on membre FrenchFounders ?
Vincent Deruelle : Co-fondateur de FrenchFounders
Vincent Deruelle : Co-fondateur de FrenchFounders

C’est très simple ! Chaque candidat doit remplir un formulaire en ligne sur notre site web. Notre équipe traite chaque candidature en moins de 48h en fonction de critères d’éligibilité précis (être CEO d’une entreprise de +100 employés, avoir levé $1 million…) et le cas échéant par un comité de sélection. Plus de la moitié de nos nouveaux membres sont recommandés par un membre actuel.
En avril dernier les médias annonçaient votre levée de fonds de 1,5 millions US dollars, qui sont vos actionnaires ?
Parmi nos actionnaires, nous ont rejoint une trentaine d’entrepreneurs exceptionnels et membres de la communauté tels que Frédéric Bouisse (ex PDG de Sandro, Maje, Claudie Perlot), Alain Bernard (CEO de Van Cleef & Arpel Amériques) ou encore Eric Lepleux (ancien dirigeant d’Accor, Singapore Airlines ou Avis). Le fonds CapHorn Invest, qui fédère aujourd’hui plus de 200 entrepreneurs, fait lui aussi partie des actionnaires.
Ce financement témoigne de leur confiance et représente un apport important pour le club afin d’atteindre nos objectifs de développement worldwide et les 10 000 membres d’ici 2020.
Quelle est votre roadmap pour les années à venir ?
Continuer notre déploiement fort en Asie et poursuivre notre maillage à l’international dans d’autres villes clés telles que Dubai, Madrid ou encore Sao Paulo.
Nous développons aussi les prochaines versions de notre algorithme. En intégrant l’appariement par affinités (le «matching» à la Meetic) et l’analyse fine des données, notre algorithme suggère déjà, par exemple, les membres à contacter lors d’un déplacement professionnel. Demain, il permettra, de trouver à tout moment le bon contact en fonction de la problématique business à résoudre.
Découvrez l’offre Bastille Day de French Founders valable du 14 juillet au 17 juillet.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.