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6 festivals pour profiter de l'été autour de San Francisco

L’été arrive et amène avec lui son lot de festivals en tout genre. Puisque les chaleurs estivales sont synonymes de brume à San Francisco, c’est l’occasion ou jamais de s’échapper de la ville. Blues, Reggae, Electro… le choix est vaste ! Alors pour vous aider, on vous a sélectionné six festivals nord-californiens.
Fountain Blues Festival

(Credit : Fountain Blues Festival)
(Credit : Fountain Blues Festival)

Un petit coup de blues ? Direction la place de Cesar Chavez de San Jose, la capitale de la Silicon Valley, pour la 36ème édition du Fountain Blues Festival. Sur scène le guitariste américain Elvin Bishop ou encore Betty LaVette la célèbre chanteuse de soul américaine assureront le show. Samedi 24 juin, Plaza de Cesar Chavez Park, San Jose. Tickets de 20 $ à 75 $. Site web. Page Facebook.
Sonoma Mountain Music
La seconde édition du Sonoma Mountain Music prend racine sur le terrain d’un ranch perché sur les collines de Petaluma, dans le comté de Sonoma. L’événement très familial mêle concert de musique folk et de bluegrass et stands de nourriture de la ferme. Samedi 8 juillet, 4497 Old adobe road, Petaluma. Tickets de 50 $ à 65 $. Site web.
Northern Nights Music Festival
Northern Nights
(Credit : Northern Nights Festival)

Dans la pure tradition hippie californienne, ce festival se déroule au bord d’une rivière surplombée par une forêt de séquoia, à 3h30 de route au nord de San Francisco. Pendant trois jours, la cinquième édition du Northern Nights Music Festival met à l’honneur des Dj émergents venus du monde entier, avec une attention particulière donnée à l’éclairage féérique du site. De vendredi 14 juillet à lundi 17 juillet, Cooks Valley campground, Piercy. Pass 3 jours de 239 $ à 339 $. Site web. Page Facebook.
Mountain Vibe Music Festival
Dans le même esprit que le Northern Nights mais situé plus dans les terres, au nord-est de Yosemite, le Mountain Vibe Music Festival. Au programme : une vingtaine de groupes de musique made in California, un camping et des ateliers de relaxation. De vendredi 14 juillet à lundi 17 juillet. 7250 Mitchell Mill Rd, Wilseyville. Pass 3 jours 85 $, pass journée 45 $. Site web. Page Facebook.
Petaluma Music Festival
Quatre scènes, quatorze groupes nationaux et de la bière locale : la Lagunitas of course ! Le Petaluma Music Festival est un événement très familial où se côtoient tous les genres de musiques. Comme chaque année, les bénéfices de cette dixième édition seront reversés aux écoles du Petaluma. Samedi 5 août. The Sonoma-Marin Fairgrounds, 175 Fairgrounds Drive, Petaluma. De 50 $ à 110 $. Site web. Page Facebook.
Reggae on the River

(Credit : Joe McLaren)
(Credit : Joe McLaren)

Ce festival est le combo parfait entre le groove du reggae et les bonnes vibes de la nature. Comme son nom l’indique, le Reggae on the River se déroule dans un cadre privilégié : au bord de l’eau entouré de verdure. En tête d’affiche de cette 33ème édition : l’artiste jamaïcain Assassin (Agent Sasco) ou encore l’icône de la scène new-roots Junior Kelly. Du jeudi 3 août au dimanche 6 août. French’s Camp, 657 US-101, Garberville. À partir de 200 $. Site web. Page Facebook.

Où se baigner à Washington ?

L’été à Washington, il fait chaud, très chaud. Il suffit de regarder une mappemonde pour s’en convaincre : la capitale fédérale est située à la même latitude qu’Ibiza ou Palerme. Ajoutez à cela une humidité suffocante et vous comprendrez pourquoi il est vital de trouver une piscine pour faire trempette quel que soit le jour de la semaine. Voici nos adresses préférées à DC.

Les piscines municipales

Piscines publiques oui, mais en extérieur s’il vous plaît ! Jusqu’à Labor Day, début septembre, les piscines publiques de Washington DC sont ouvertes tous les jours pour les habitants. Pour rentrer, pas besoin de payer, il suffit de présenter une pièce d’identité, votre permis de conduire par exemple pour prouver que vous êtes bien un local. Banneker Pool est un bon choix à Shaw, près de Howard University, pour ceux qui aiment faire des longueurs – la piscine est plus grande qu’un bassin olympique. Et elle ouvre dès 8am certains matins pour les plus sportifs ! A la Volta Park Pool (1555 34th St NW, fermée le lundi), on vient plutôt pour lézarder au soleil, sur une chaise longue, au calme dans ce coin préservé de Georgetown jusqu’à 8pm. Mais en famille, la référence reste Francis Pool (2435 N St NW, fermée le mardi), entre Dupont Circle et Foggy Bottom, avec son bassin aménagé spécialement pour les enfants. Attention, l’East Potomac Pool (972 Ohio Dr SW), est fermée pour rénovations.

Le + : c’est gratuit
Le – : la propreté aléatoire de certains vestiaires
Plus d’infos ici.

Rendez-vous à l’hôtel

Si vous n’avez pas de piscine dans votre jardin, tout n’est pas perdu, vous pouvez encore aller squatter celle d’un hôtel de luxe ! Entendons-nous bien : il ne s’agit pas de payer une nuit d’hôtel alors que vous habitez au coin de la rue. Certains bassins sont bel-et-bien ouverts au grand public. Il suffit souvent de montrer patte blanche… et de payer un droit d’entrée. Parmi nos chouchous, The Rooftop at the Embassy Row Hotel avec sa petite piscine mais sa déco colorée très soignée (2015 Massachusetts Ave, ouvert de 3pm à 5pm), le très chic Washington Plaza (10 Thomas Circle NW) à 50 dollars la journée mais qui est ouvert de 9am à 9pm, ou encore l’incontournable Capitol Skyline Hotel (10 I St SW) qui propose un pass journée à 30 dollars ou pour la saison à 250 dollars.

Le + : le cadre luxueux et le calme
Le – : c’est moins facile (en plus d’être coûteux) d’oser entrer si vous avez une famille nombreuse

The Yards Park

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Dans le quartier en pleine explosion du Waterfront SW, à deux pas du stade des Nationals, on aime beaucoup le bassin du Yards Park. Ne vous méprenez pas : ce n’est pas une piscine olympique, plutôt une pataugeoire XXL. Mais c’est parfait pour les enfants qui peuvent facilement faire trempette et se faire arroser de la tête aux pieds sous les cascades d’eau. Ou pour les adultes qui veulent se rafraîchir les jambes avant d’aller boire un verre ou dîner dans un des restaurants branchés qui se sont installés ces dernières années au bord de l’Anacostia River. Précision importante : l’eau vient bien du réseau municipal, traité et sûr, pas de cette rivière connue pour être l’une des plus polluées des Etats-Unis.
Le + : les bars et restaurants animés à deux pas
Le – : ce n’est pas ici que vous améliorerez votre technique du dos crawlé
Plus d’infos ici.

Opia est mort, vive Rose Hill

Opia, restaurant chéri de la communauté française de New York, a fermé ses portes, mais ne comptez pas sur Frederick Lesort pour partir à la retraite.
Le propriétaire du restaurant de Midtown, logé au sein du Renaissance Hotel depuis 16 ans, vient de lancer une nouvelle affaire: Rose Hill. Son nouveau bébé, le dernier d’une longue liste d’établissements qui comprend des restaurants et des boîtes de nuit (Buddha Bar, Vandam, Grape & Vine), se situe au rez-de-chaussée du HGU, un hotel boutique de la 32ème rue. “Après 16 ans, mon bail à Opia était arrivé à terme. Je trouvais que le block n’était plus le même. Le quartier avait changé. Etant donné qu’Opia était à l’étage et que les dernières années ont été un petit peu difficiles, je me suis dit qu’il était temps de bouger et de faire autre chose“.
Le restaurateur a pris la décision de fermer Opia il y a deux ans, non sans “tristesse“, dit-il, en se souvenant des “clients, des employés et des événements” organisés depuis l’ouverture du restaurant deux jours après le 11-Septembre 2001. “J’ai plein de souvenirs, comme la coupe du monde de rugby de 2011 en Nouvelle-Zélande. On retransmettait les matches de la France à 2h-3h du matin. On pensait que j’étais fou“, s’amuse-t-il.
Pour ouvrir Rose Hill, il s’est associé avec Philippe Olivier Bondon, ex-responsable des opérations au restaurant de Midtown Beautique. L’établissement est composé de trois espaces articulés autour du hall d’entrée de l’hôtel: un bar intimiste d’une dizaine de places, un restaurant qui en compte 46 et un grand lounge aux allures de bibliothèque qui peut accueillir 80 personnes. Début août, il ouvrira un rooftop d’une capacité de quarante places qui offrira une “vue magnifique” sur l’Empire State Building.
Rose Hill est plus petit qu’Opia, qui pouvait accueillir 250 personnes entre la salle à manger principale et la salle privée. Et cela n’est pas pour déplaire au Français. “Je suis a nouveau en contact avec le client, je parle à tout le monde, je peux voir tout le monde. Le chef peut toucher toutes les assiettes. Je voulais revenir aux bases, explique Frederick Lesort, qui décrit Rose Hill comme un mélange entre son premier restaurant “bistro-gastro” Jour et Nuit, ouvert en 1990, et ses bars Frederick’s. “Je cherchais un endroit qui permettait d’avoir les deux en même temps. Un lieu intime, élégant et sophistiqué“.
La carte est américaine et inspirée d’un lieu bien connu des amateurs de nourriture espagnole et de bons vins: Casa Mono. Comme au restaurant ibérique de Mario Batali, les plats à Rose Hill sont essentiellement servis sous forme de petites assiettes à partager, “mais ce ne sont pas des tapas“, précise le patron. Après Rose Hill, le Français prévoit d’ouvrir une brasserie près de Times Square “fin 2017-début 2018“.

Les expulsions de Français pourraient augmenter aux Etats-Unis

Les expulsions d’Européens en situation irrégulière devraient augmenter en 2017, et les Français ne devraient pas échapper au phénomène. C’est l’un des enseignements des chiffres obtenus par l’agence de presse américaine Associated Press (AP) auprès de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE), l’administration chargée de faire respecter les lois de l’immigration aux Etats-Unis.
Selon ces chiffres, 1.336 expulsions vers des pays européens ont eu lieu entre le 1er octobre 2016 et le 24 juin 2017, soit les neuf premiers mois de l’année fiscale 2017. Celle-ci se termine le 30 septembre 2017. À titre de comparaison, 1.456 expulsions ont été enregistrées pendant l’ensemble de l’année fiscale 2016 (1er octobre 2015-30 septembre 2016). ICE ne précise pas les raisons des expulsions (séjour illégal, crime…).
Les Français représentent une petite partie des expulsions: 51 cas ont été dénombrés depuis le 1er octobre, mais le chiffre de 59 de l’an dernier pourrait être facilement franchi avant le 30 septembre. Les Français sont derrière les Roumains (193 depuis le 1er octobre 2016), les Espagnols (117), les Britanniques (102), les Russes (81), les Polonais (74), les Italiens (71), les Turcs (66), les Ukrainiens (56) et les Hongrois (52).
Même si l’année fiscale est toujours en cours, les chiffres partiels dépassent déjà les chiffres totaux de l’an passé pour les Roumains, les Espagnols, les Italiens et les Turcs notamment. “Ça ne m’étonne pas du tout, explique Sophie Raven, avocate d’immigration à New York. ICE est plus agressive. L’agence s’est sentie coupée de ses moyens d’action sous l’administration Obama. Ils sont contents de ne plus avoir les mains liées“.
Selon l’avocate, l’augmentation pressentie du nombre d’expulsions d’Européens est surtout nourrie par le recours à l'”expedited removal”, qui permet de renvoyer dans son pays, sans passer devant un juge d’immigration, un individu qui est aux Etats-Unis illégalement depuis moins de deux ans. “Malgré le nombre important d’expulsions sous Obama, celui-ci n’a jamais utilisé cette procédure. Trump a décidé de la mettre en application“.
Au total, 167.350 expulsions ont eu lieu depuis le début de l’année fiscale 2017, selon les chiffres d’ICE rapportés par l’AP. Il y en a eu 240.255 pendant l’année fiscale 2016.

Quand Fox News interroge la Jersey Shore sur le 14-Juillet

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C’est une vidéo qui vous fera rire ou pleurer. Le journaliste de Fox News Jesse Watters a profité du déplacement du président Donald Trump à Paris pour demander aux Américains ce qu’ils connaissaient de “Bastille Day”. Il n’est pas allé n’importe où: sur la Jersey Shore, le littoral du New Jersey où il a trouvé des plagistes férus d’histoire. Pas sûr que les Français se débrouillent mieux si on les interrogeait sur l’histoire américaine.
 Watch the latest video at video.foxnews.com
Donald Trump était l’invité d’Emmanuel Macron les 13 et 14 juillet dans la capitale française pour marquer le centenaire de l’entrée des Etats-Unis dans la Première guerre mondiale.

La Compagnie XY, des acrobates qui n'ont pas les pieds sur terre à New York

Les talentueux acrobates français de la Compagnie XY voltigent jusqu’aux États-Unis pour présenter leur spectacle “Il n’est pas encore minuit”. Ils seront du 19 au 22 juillet au Rose Theater dans le cadre du Lincoln Center Festival.
Vingt-deux acrobates seront sur scène pour enchaîner les performances de voltige, de danse, de sauts. La compagnie, passée maître dans la fusion entre cirque et chorégraphie, a un crédo: “Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin”, et plus haut visiblement.
“Il n’est pas encore minuit” est la troisième création de la Compagnie XY après ses spectacles “Le Grand C” en 2009 et “Laissez-porter” en 2005 qui ont donné lieu à plus de 500 représentations à travers le monde.

A Hollywood, deux Français sacrés champions du monde d’art

Les Français avaient beau être stressés, ils ont épaté la galerie. Vendredi 7 juillet, deux jeunes artistes de l’équipe de France, Jérôme Coquelle et Sami Sarhrani ont remporté, chacun dans leur catégorie, le World Championship of Performing Arts (WCOPA) d’Hollywood, les “Jeux olympiques des talents”, qui se déroulaient au Long Beach Performing Arts Center. Depuis 20 ans, ce concours international récompense chaque année plusieurs jeunes artistes dans le domaine des arts vivants : de la danse à la chanson en passant par la comédie, le mannequinat, la musique et le spectacle de variété.
Depuis cinq ans, emmenés par la directrice nationale Anastasia Gaï, les Français affrontent chaque année près de 2.000 participants, venus de 62 pays. Jérôme Coquelle, artiste de cirque de 22 ans, a été récompensé dans la catégorie “variété”, se distinguant avec son numéro de diabolo. Quant à Sami Sarhrani, mannequin de 23 ans, il a été sélectionné dans la catégorie mannequin “commercial”.
Les autres artistes de l’équipe française ne repartent pas bredouille, avec un total de 23 médailles, et d’autres récompenses. L’actrice Priscilla Ansourian a notamment obtenu une bourse de 20.000 dollars du New York Conservatory of Dramatic Arts, alors que les danseurs Jordan Boury et Pauline Lavergne ont obtenu un stage d’un mois au Millenium Dance Complex, à North Hollywood.
Véritable tremplin pour les jeunes artistes en herbe, le WCOPA permet aux finalistes d’être repérés par des agents et de grands producteurs.

"La femme d'à côté": le duo Ardant-Depardieu sur TV5 Monde USA

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L’heure est au romantisme sur TV5 Monde USA. La chaîne de télévision francophone diffusera “La femme d’à côté” le jeudi 20 juillet à 8:30pm EDT.

Ce film de 1981 signé François Truffaut rassemble deux monstres du cinéma français: Fanny Ardant et Gérard Depardieu. Ce dernier joue le rôle de Bernard, un homme marié qui tombe amoureux de son ancienne amante, Mathilde. Les choses se compliquent pour Bernard quand celle-ci emménage à côté de chez eux. Le film a été nominé aux César.

Quels produits et aliments peut-on rapporter de France aux Etats-Unis ?

Des dizaines d’agences interviennent dans les régulations sur les produits alimentaires qui peuvent entrer aux Etats-Unis. Autant dire que c’est un joyeux capharnaüm. Comme on peut l’imaginer, la liste des produits admissibles est remplie d’exceptions. Il existe néanmoins quelques règles communes: tous les produits doivent être déclarés, sous peine d’amende pouvant s’élever à 10.000 dollars. Aussi, tout produit alimentaire mal emballé peut être refusé à la douane. Et ils doivent être transportés en basse quantité si vous ne voulez pas être suspecté de vouloir les vendre. Voici quelques exemples pour y voir plus clair.
Moutarde de Dijon: autorisée 
French_Strong_Dijon_Mustard_Amora__89615.1386548448.394.394Toute la nourriture “préparée” (“prepared food”) peut passer la frontière tant qu’elle ne comporte pas de viande. Cela fait un bon nombre de produits, heureusement. C’est le cas des condiments (dont l’excellente moutarde de Dijon), vinaigres, huiles, épices en boîte, du miel, café, thé, des céréales, des confitures et des gelées, des sirops… Les produits en conserve aussi sont admissibles tant qu’ils ne sont pas composés de viande non plus.
La bouteille de Château Margaux: ça passe
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Comme tout bon Français qui se respecte, vous allez tenter de rapporter une bonne bouteille aux Etats-Unis. Il existe des restrictions fédérales sur ce type de produits, en plus de limitations par Etat. Tout voyageur de plus de 21 ans peut venir avec un litre d’alcool dans ses valises sans payer de taxes (duty free). Au-delà, il devra s’acquitter d’une somme dépendant de chaque produit. Il n’y a pas de limite quant à la quantité d’alcool que vous pouvez apporter aux Etats-Unis, mais si les douaniers vous voient arriver avec l’ensemble de votre cave, ils peuvent vous suspecter de l’utiliser à des fins commerciales.
Les cubes et sachets Knorr: ça dépend
knorr-soupe-paysanne-aux-legumes-lard-x12Certains cubes de bouillon et soupes en sachet, aussi appétissants soient-ils, termineront leur course au fond d’une poubelle d’aéroport s’ils contiennent de la viande, en particulier du boeuf ou tout autre composant issu de “ruminants” (chèvres, mouton…), selon la terminologie utilisée par les douanes.
Les chocolats Rocher Suchard: welcome to the USA!
rocher-suchard-milk-choclateRespirez! Le chocolat et les confiseries sont autorisés. L’US Customs and Border Protection (CBP) indique sur une liste publiée sur son site que “les gâteaux, les pains, les biscuits et tout autre produit pâtissier” sont les bienvenus.
Le camembert: oui, mais…
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Pour les fromages, la consistance fait la différence. Seuls les fromages à pâte dure, semi-molle et pasteurisés sont autorisés à vivre le rêve américain. Fromage à raclette, emmental, comté, brie, camembert sont donc les bienvenus, tout comme plusieurs produits à base de lait comme les yaourts et le beurre. Les fromages mous ou coulants doivent rester en France.
Le foie gras: oui, mais…
foie_gras_rougieComme mentionné précédemment, les produits carnés font l’objet d’un contrôle particulier. La viande, qu’elle soit fraiche, congelée, séchée ou cuite, ne passera pas la frontière. La CBP (Customs and Border Protection) a mis quelques exemples de produits sur son site pour éclairer les touristes perdus. Sont interdits: saucisses et saucissons (désolé Justin Bridou), prosciutto, le pâté et le foie gras s’ils ne sont pas cuits et fermés hermétiquement. Et s’ils le sont ? “Peut-être” pour le foie gras, précise l’agence. Bref, c’est le douanier qui décide. La viande en conserve peut passer la douane à condition d’être dans un récipient hermétiquement fermé et étiqueté.
Les Kinder Surprise: non
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Si le chocolat est autorisé, les Kinder Surprise sont prohibés car ils contiennent des jouets susceptibles de poser un risque d’étouffement pour l’enfant.
Autres:

  • Les fruits et légumes font aussi l’objet de restrictions. Le Département de l’Agriculture a mis en place une base de données des produits approuvés par pays. Voici la liste pour la France. On y trouve la pomme, la noix de coco et l’ail notamment. Même autorisé, tout fruit ou légume entrant aux Etats-Unis doit être propre et déclaré.
  • Le poisson et les produits de la mer sont autorisés en basse quantité et sous toutes les formes (frais, congelés, cuits, fumés, en conserve ou séchés). La réglementation est plus souple que pour la viande.
  • Les produits à base d’oeufs crus ne sont pas autorisés
  • Le lait liquide n’est pas autorisé, sauf pour les enfants et en faible quantité

Où se renseigner ?

Et bien-sûr, pour ne pas attendre votre prochain voyage en France, n’oubliez pas le Marché de French Morning et ses bons produits français livrés partout aux Etats-Unis. C’est par là.

Les célibataires new-yorkais jettent Tinder. Voici pourquoi.

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(Article partenaire) Que cela vous plaise ou non, New York est la ville-reine du dating. Les lieux de rencontres et la masse de personnes à rencontrer sont infinis, mais trouver la bonne personne est une autre affaire. Les app actuelles laissent franchement à désirer. Heureusement, Inner Circle arrive en ville pour remuer tout ça. Voici sept raisons pour lesquelles vous devriez larguer votre app de rencontre au profit d’Inner Circle.

Reconnaissez-le, vous avez vraiment besoin d’une nouvelle app

Donnie Darko Ear GIFOui, voici enfin un app plus sophistiquée que les autres. The Inner Circle est une app sélective qui donne les clefs d’un réseau de jeunes New-Yorkais, attirants, intellectuels et inspirants. Rencontrez des célibataires sexy dans un environnement qui ne donne pas envie de partir en courant. Que demande le peuple ?

Vous en avez marre (MARRE !) des autres options

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Vous avez tellement “swipé” que votre pouce est en surchauffe mais vous n’avez pas eu de résultats dignes de ce nom.

Les profils sur Inner Circle sont sélectionnés

you shall not pass the lord of the rings GIFFinis les faux profils, le ghosting et compagnie. Le meilleur: les experts d’Inner Circle sélectionnent des jeunes professionnels avec des parcours intéressants car, avouons-le, personne ne veut passer cinq mois à texter avec quelqu’un pour découvrir qu’il cherche encore leur premier job cinq ans après avoir obtenu leur diplôme ! A vous de voir si vous passez la sélection.

Eviter les dates pourris

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On connait ce sentiment: on arrive à un date et on se rend compte assez rapidement que cela ne va pas le faire. Grâce à Inner Circle, vous en apprendrez plus sur votre “date” (ce qu’elle/il aime, endroits favoris, centres d’intérêt…) avant de vous mettre dans des situations embarrassantes.

Vous voulez plus qu’une histoire d’un soir

snow white kiss GIF
C’est toute la philosophie d’Inner Circle…

Ce sont de nouvelles personnes à découvrir

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Faites des rencontres comme nulle autre. Vous n’avez aucune excuse de ne pas essayer.

Inner Circle existe

sister act church GIFVous avez le pouce foulé à force de “swiper” à gauche ? C’est le moment de tester une autre approche.
Télécharger The Inner Circle

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Pourquoi les maillots de bain sont-ils si rembourrés aux Etats-Unis ?

Si vous cherchez à acheter un deux-pièces avant l’été, vous l’aurez peut-être remarqué : les bonnets des maillots de bain vendus aux Etats-Unis sont souvent rembourrés, re-rembourrés et même re-re-rembourrés. Mais pourquoi diable glisser une coque épaisse comme une tranche de paie de mie dans un tout petit bikini ? C’est la question bête de la semaine.
Ces bonnets très épais permettent d’abord de rajouter du « volume », précise pour commencer Louise Mariusse, une créatrice française d’une marque de maillot de bains, Mademoiselle Louise, basée à Miami. Et du maintien, ajoute Cyla Weiner, la créatrice de la boutique SyLene, une référence en matière de lingerie depuis plus de 40 ans près de Washington DC. « Certains de nos clientes pensent que ça donne à leur poitrine une meilleure forme quand le buste n’est plus aussi ferme qu’avant…», dit-elle en des termes choisis.
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Mais au-delà de ces considérations esthétiques, il y a une zone particulièrement sensible : « c’est une des questions les plus courantes qu’on me pose : ‘comment être sûre qu’on ne verra pas mes tétons à travers le maillot de bain que j’ai envie d’acheter ?’ », raconte Courtney Killpack. Cette spécialiste de la lingerie a travaillé une dizaine d’années pour la grande distribution américaine avant de lancer son propre site de conseils Bra Fittings by Court.
Et pour elle, le rembourrage a une raison d’être principale : cacher toute apparition d’un renflement bien naturel quand on sort de la piscine et que l’air est un peu plus frais. «En Europe, on voit les tétons comme un moyen de nourrir les bébés et pas seulement comme quelque chose de sexué. Mais aux Etats-Unis, ils sont hautement sexualisés, c’est culturel. C’est pour cela que les femmes essaient de les cacher et sont gênées s’ils pointent », analyse-t-elle.
Le rembourrage, c’est donc d’abord une affaire de puritanisme. Pour les fabricants, il faut donc s’adapter. Les modèles créés par Louise Mariusse n’ont ni armatures, ni rembourrage mais elle donne la possibilité à ses clientes de choisir l’option au moment de la commande. « En France, la poitrine, on trouve ça très sexy, très naturel, bohème. Ici, c’est un peu plus compliqué… Je rajoute donc ce qu’on appelle des ‘cups’, ces petits coussinets qu’on trouve à l’intérieur des maillots de bain et qu’on peut mettre ou enlever selon le confort souhaité», détaille la créatrice.
Quand on vit aux Etats-Unis, faut-il se mettre à l’heure locale et acheter un maillot de bain rembourré ? « Personne ne viendra vous arrêter dans la rue, il ne faut pas exagérer ! », relativise Hélène Crié-Wiesner. Cette journaliste indépendante, installée depuis presque deux décennies aux Etats-Unis, a raconté sur internet ses mésaventures à la sortie de la piscine. Son post, amusé et agacé à la fois, est toujours commenté régulièrement quatre ans plus tard. Alors, elle donne quand même ce conseil, avec humour : « si une Française ne veut pas être remarquée, elle n’a qu’à faire comme tout le monde : mettre un maillot avec trois couches de tissus… et mourir de chaud ! »

Et si Trump et Macron étaient les mêmes ?

Au fond, Emmanuel Macron et Donald Trump sont-ils si différents ? À l’occasion de la rencontre des deux chefs d’États pour le défilé du 14-Juillet, plusieurs médias ont posé la question, et leur ont trouvé plus d’un point commun.
Le Washington Post met les pieds dans le plat. Pour le quotidien, “Macron est le président que Trump espère être”. Le journaliste Ishaan Tharoor note que “leurs ascensions respectives sont, à plusieurs égards, identiques. Chacun a fait campagne en se présentant comme un candidat hors système promettant un renouveau national à un moment où de nombreuses personnes se sentaient désespérées face au statut quo“.
Le site Newsweek compare pour sa part le mode de gouvernance des deux présidents. Tandis que Macron souhaite réduire le nombre de parlementaires d’un tiers pour accélérer le processus législatif, Trump organise un nombre inhabituel de réunions improvisées dans le Bureau Ovale. “Le principal point commun est cette impatience face au processus parlementaire”, écrit Josh Lowe. Le dîner à la Tour Eiffel “entre Trump, le “délaissé”, et Macron, le jeune challenger qui veut déverrouiller et nettoyer la politique, pourrait être l’occasion pour les deux présidents de prendre conscience du fossé entre leur discours “anti-establishment” et la difficulté d’exercer la fonction suprême.” 
Autre “rendez-vous d’esprit” relevé par Newsweek : les messages que les deux hommes ont récemment adressé aux médias. Alors que Donald Trump a multiplié les accusations de malhonnêteté contre les principaux organes de presse américains, le bureau d’Emmanuel Macron avait annoncé, en mai dernier, vouloir choisir les journalistes autorisés à suivre les déplacement du président à l’étranger. « Si Macron est loin de tweeter tous les GIFs qui le concernent comme outils de lutte contre les principaux médias (Donald Trump a récemment tweeté un GIF dans lequel on pouvait le voir se battre avec un homme lors d’un combat de catch, dont la tête a été remplacée par le logo de CNN, NDLR), cela ne veut pas dire qu’il n’a pas, comme Trump, ses différends avec la presse », rappelle le journaliste.
Même leurs divergences idéologiques pourraient s’avérer moins profondes qu’il n’y paraît. Pour le journal conservateur The Washington Examiner, les deux dirigeants “se rejoignent entièrement sur la problématique syrienne et terroriste. Lors de leur rencontre, Trump et Macron ont renforcé une relation étroite et mutuellement bénéfique sur ces questions“, note Tom Rogan.
S’il existe des points de convergences entre les deux chefs d’État, Ishaan Tharoor du Washington Post rappelle tout de même qu’ils ne disposent pas de la même force de frappe politique. “Avec une majorité parlementaire écrasante à l’Assemblée nationale, Macron a réussi à gagner le “mandat fort” qui a clairement échappé à Trump, explique le journaliste. Macron semble mieux positionné pour se battre que son homologue américain. Il peut encore assumer sa volonté de transformer son pays en une “start-up nation” et de stimuler l’innovation. Ce sont des ambitions vaguement partagées par la fille du président Ivanka Trump et son mari Jared Kushner. Macron a soutenu son programme en re-stimulant la vie politique française avec son talent de technocrate. Comparez cela avec le chaos au sein de la Maison-Blanche, touchée par une série de controverses autour des membres de la famille Trump qui, pour beaucoup, ne devraient même pas être à proximité des couloirs pouvoir.”