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Législatives: les résultats du second tour au Texas
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Une directrice pour la French American Foundation à New York
Depuis un mois, la French American Foundation (FAF) a une nouvelle directrice. Il s’agit d’un visage bien connu des cercles français de New York: Emeline Foster, qui a été directrice de cabinet de l’ancien consul Bertrand Lortholary. Cette Bordelaise diplômée de l’EHESS, arrivée à New York il y a six ans, avait rejoint la fondation transatlantique l’an dernier où elle occupait un poste de développement.
Cette nomination met un terme à trois années “d’entre deux” pour la FAF. Depuis le départ de Charles Kolb, l’ancien président, l’organisation était gérée de manière intérimaire par Allan Chapin, chairman du comité exécutif. En tant que directrice exécutive, Emeline Foster sera en charge de faire vivre au quotidien les programmes de la fondation d’une dizaine d’employés. Si elle est la seconde femme à occuper un poste de direction, elle est bien la personne la plus jeune – elle a 34 ans – à diriger l’organisation. “C’est nouveau pour tout le monde. C’est un milieu assez masculin mais toute l’équipe est jeune, féminine. On veut garder cette énergie et développer des projets pour emmener la fondation vers un autre niveau“, dit-elle.
Lancée à New York et Paris en 1976 par les présidents Giscard d’Estaing et Ford pour permettre un dialogue transatlantique en marge des canaux gouvernementaux classiques, la French American Foundation est connue pour son programme Young Leaders de mise en relation de leaders dans différents domaines (politique, média, économie) en France et aux Etats-Unis. Emmanuel Macron et l’actuel premier ministre Edouard Philippe ont fait partie des illustres participants, avec Hillary Clinton et François Hollande notamment. “On est dans une belle dynamique. Si la fondation doit exister, c’est bien aujourd’hui“.
La fondation new-yorkaise, opérée indépendamment de sa soeur parisienne, a développé d’autres initiatives autour de la relation transatlantique, comme un Prix de traduction, une bourse de journalisme sur la thématique de l’immigration ou un programme de cybersécurité pour experts de la discipline.
Dès septembre, Emeline Foster veut lancer un “Forum transatlantique“, un “cercle privé” où “des personnes intéressées par les relations transatlantiques” pourront se réunir pour discuter de différentes thématiques, comme “le climat, l’immigration“. “On reçoit des sollicitations de personnes qui veulent faire des choses pour nous et avec nous. Jusqu’à présent, à part les conférences, on n’avait rien à leur offrir“. Ce cercle prendra la forme de tables-rondes, et non de conférences ou de “groupe de networking“, pour permettre aux participants d’échanger et de “continuer à apprendre” sur des thématiques précises.
Autre chantier de la nouvelle responsable: accroître la présence de la fondation sur le territoire américain, en dehors de son berceau new-yorkais. Elle souhaite par exemple que le futur forum transatlantique ait des chapitres dans tous les Etats-Unis pour profiter de la présence de Young Leaders et du réseau d’experts de la FAF en dehors des côtes. “On est une fondation qui date de 1976 mais on veut s’adapter à l’évolution de notre public. Au début, on avait des francophiles, des gens intéressés par la culture française. Aujourd’hui, avec le climat politique actuel, le public veut aller au-delà de la lecture d’articles du Monde ou du New York Times, poursuit-elle. La France attire en ce moment. C’est le pays qui a élu un jeune président contre le vent du populisme. Il y a des Français et des Américains véritablement intéressés par ce que la FAF peut dire sur la situation en France”.
Gagnez des places pour le French Comedy Festival à New York
Rire en français vous manque ? Le French Comedy Festival, créé par l’humoriste français Michael Sehn, fait son retour à partir du mercredi 21 juin à New York. Plusieurs talents du rire, comme Yacine Belhousse, Kyan Khojandi, Christelle Chollet et bien d’autres, feront le déplacement de France pour ce rendez-vous.
Les organisateurs proposent de faire gagner quelques paire de tickets aux lecteurs de French Morning pour l’un des shows restant du festival. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le gagnant sera désigné par tirage au sort.
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Où voir des graffitis qui en mettent plein la vue à New York ?
À New York, si l’on veut se confronter à une oeuvre d’art, des dizaines de musées ont leurs portes grandes ouvertes. Vous pouvez aussi aller dans la rues.
Aucun quartier n’est épargné par les traces de bombes aérosols, que ce soit pour un simple lettrage ou pour créer des fresques impressionnantes sur un mur entier. Voici une sélection de nos spots préférés.
Soho, Little Italy et Chinatown
Pour cette chasse aux graffitis, le plus important est de garder à l’esprit deux conseils : perdez-vous et levez la tête. Les fresques les plus impressionnantes ne seront pas toujours à hauteur des yeux. Il faut quitter les artères principales de la ville pour explorer des rues plus étroites et découvrir au détour d’un carrefour les œuvres qui colorent les bâtiments.
Dans des quartiers de Lower Manhattan, on pourra croiser la fresque de Pichi et Avo, un duo espagnol qui s’amuse à mêler les styles classiques et modernes, comme on peut l’observer avec ces chevaux inspirés de statues antiques faussement dégradées par des tags.
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East Village
Le graffiti est tellement intégré à la culture new-yorkaise qu’il n’est pas rare de trouver des fresques commandées par des écoles ou des commerces. Mais le plus intéressant reste les œuvres sauvages car elles rappellent le caractère éphémère de la pratique. Des modifications apportées par l’artiste lui-même ou un autre rappellent, en effet, que l’oeuvre est en constante évolution.
Par exemple, cette fresque de Spiros, dont on reconnait aisément les portraits, grâce à leurs oreilles rondes et décollées, n’avait pas un méchant rhume et des yeux fous au moment de sa réalisation. Bien que ces ajouts de peintures soient une dégradation, ils restent en accord avec la représentation de Van Gogh et font vivre la fresque.
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East Harlem
Votre appareil photo ne sera pas toujours vu d’un bon œil à East Harlem, autant en profiter pour ouvrir grands les yeux et remonter la 3ème avenue qui regorge de fresques.
Vous découvrirez par exemple les sphinx colorés réalisés par deux artistes féminines qui font partie des références dans le monde du street art : Elle et Claw Money.
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Bushwick
Bushwick est un des quartiers incontournables pour observer des graffitis. On trouve facilement des peintures dans les rues autour de Wyckoff Avenue, et pour les plus aventureux, il ne faut pas hésiter à aller sur les passerelles du métro M. Vous aurez une vue imprenable sur des fresques que vous n’auriez pas pu observer depuis le plancher des vaches.
Par exemple, la fresque de David Hollier qui dessine avec du texte. Des mots ou des phrases forment ici un portrait de Mandela ; le meilleur point d’observation est définitivement la station du métro Myrtle Wyckoff.
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East Williamsburg et Bushwick collective
S’il ne fallait visiter qu’un seul quartier pour découvrir le graffiti new-yorkais, ce serait celui-ci. Dans l’ancienne cité industrielle, les ateliers reprennent vie grâce à des artistes qui en font des œuvres d’art magnifiques.
Parmi tous ces graffitis, vous découvrirez celui de Don Rimx, un artiste porto-ricain qui vit à New York depuis 2009, et qui s’est emparé d’un mur pour y peintre une femme amérindienne entourée de grigris vaudou et traditionnels, envoûtant.
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Avec Isigny Ste-Mère, Costco découvre la vraie crème fraîche!
Avez-vous déjà passé dix minutes devant un rayon crèmes d’un supermarché américain à essayer de vous y retrouver entre “heavy cream”, “sour cream”, “light cream”… pour finalement réaliser qu’il n’y a rien qui ressemble vraiment à la crème fraîche à laquelle nous sommes tous habitués?
Si oui vous allez adorer cette bonne nouvelle : Isigny-Ste-Mère, la coopérative agricole normande, débarque chez Costco avec sa crème fraîche onctueuse à se damner. Bonne fille, Isigny a même prévu une leçon de prononciation à usage des consommateurs américains et explique qu’il faut donc dire “krehm fresh”. Bref, finies les longues lamentations devant votre frigo privé de crème fraîche. Ce produit phare de la gastronomie française va enfin pouvoir faire partie de votre liste de courses régulières. L’attente n’avait que trop duré!
Reine du beurre et de la crème, l’entreprise du Calvados excelle à l’exportation, où elle vend plus de la moitié de sa production, réputée pour sa qualité grâce à l’alliance de la tradition -beurre en baratte et affinage- avec les techniques les plus modernes. Aux Etats-Unis, Isigny-Ste-Mère vend beurre AOP (Appellation d’Origine Protégée) et fromage produits en Normandie.
Mais pour cette “krehm fresh” qui débarque chez Costco, point d’importation: les règles américaines la rendent impossible. Du coup, Isigny a traversé l’Atlantique avec les méthodes normandes et produit ici sa délicieusement riche crème fraîche. Comme là-bas, le lait est soigneusement sélectionné, provenant de petites fermes familiales (et garanti sans hormones). La crème est ensuite cultivée pendant 18 heures grâce aux ferments importés de Normandie, ce qui permet de développer le goût unique de cette crème onctueuse, riche, ronde en bouche avec de fines notes acidulées.
Les maîtres crémiers d’Isigny ont travaillé longtemps pour dénicher les fermes américaines capables de fournir un lait d’une qualité similaire aux fermes du Calvados. Et ils vous le garantissent: cette crème américaine à la belle teinte ivoire a le goût de la Normandie. (Plus d’info ici).
Apéro burlesque avant le concert Moulin Rouge du San Francisco Symphony
L’Orchestre symphonique de San Francisco se transforme en cabaret parisien le temps d’une soirée. Le samedi 8 juillet prochain, direction le Moulin Rouge, non pas dans le XVIIIe arrondissement de Paris mais en plein de coeur de San Francisco, à deux pas du City Hall. La chanteuse Storm Large, du groupe américain Pink Martini, sera la vedette de la soirée.
Pour célébrer le French Cancan à San Francisco, le consulat organise une réception afin de se mettre en jambe avant le concert. Le cocktail privé aura lieu dans la Green Room du San Francisco Symphony. Il est gratuit et ouvert à tous les francophones et francophiles de la baie qui auront acheté leurs places sur la page spécialement dédiée à l’événement. En plus de ce “before”, les spectateurs bénéficient d’une réduction de 25 % sur certaines catégories de sièges.
Sortez les froufrous, le boa en plumes et le chapeau haut-de-forme, tenue dans le thème Moulin Rouge exigée ! « Nous prévoyons une ambiance très burlesque, cabaret, années folles avec de la musique électro Swing », prévient Audrey Deshayes du San Francisco Symphony qui organise l’évènement, en partenariat avec le consulat et l’Apéro. Et pour apprécier le concert sans avoir le ventre vide : le vin sera accompagné de plateaux de charcuterie de Fabriques Délices, d’assortiment de fromages de Marin French Cheese, de tartines de pain Le Bread Xpress et de petites douceurs sucrées. De quoi voir la vie en… rouge.
Pour ses 15 ans, Brussels Airlines offre -20% aux lecteurs de French Morning
(Article partenaire) Brussels Airlines a le sourire. Et veut vous le faire partager.
Lancée en 2002, après la faillite de la compagnie nationale belge Sabena, Brussels Airlines a depuis transporté 80 millions de passagers vers 90 destinations à travers le monde. En Janvier dernier, le Groupe Lufthansa est devenu l’actionnaire majoritaire detenant 100% des parts de Brussels Airlines.
Les vols entre la capitale de l’Europe et l’Amérique du Nord n’ont commencé qu’en 2012, vers JFK d’abord, puis Washington DC et enfin Toronto l’an dernier. Depuis, plus d’un million de passagers ont emprunté ces liaisons pour rejoindre l’Europe mais aussi l’Afrique. Avec 19 destinations sur le continent, Brussels Airlines est devenu le spécialiste de l’Afrique.
Pour fêter dignement ses 15 ans, et sa présence en Amérique du Nord, Brussels Airlines offre 20% de réduction aux lecteurs de French Morning sur leur prochain vol depuis JFK ou Washington DC Dulles. Utiliser le code promo: “WeGoTheExtraSmile2017” (valable sur les vols opérés par Brussels seulement, pour un voyage effectué au cours de l’année 2017 -certaines dates sont exclues).
Désormais forte de 49 appareils et 3500 employés, Brussels Airlines poursuit sa croissance avec l’ajout d’une 90ème destination, la première sur le continent asiatique, Mumbai (Bombay). Cinq vols hebdomadaires relieront Bruxelles à la ville indienne à partir de fin mars.
Réservez et retrouvez plus d’information sur brusselsairlines.com ou téléchargez l’app de Brussels Airlines sur App Store ou Google Play.
Des cours de préparation à l'accouchement et à l'allaitement en français à Houston
Attention, futurs parents, ceci vous concerne. Caroline de Ville, ex-médecin généraliste belge devenue consultante en allaitement à Houston, lance des cours de préparation à l’accouchement et à l’allaitement en français.
Les cours sont basés sur la technique de l’hypnoNaissance (“hypnobirthing”), discipline dont elle est certifiée. « L’objectif est de bien comprendre comment son corps fonctionne, la physiologie de l’accouchement et de l’allaitement pour que les mamans sachent comment faire à tout moment. Car le lancement de l’allaitement commence en fait par un accouchement serein et naturel. Or, je suis convaincue que si l’on donne confiance aux mamans pour accoucher, elles accoucheront avec beaucoup moins d’aide technique et plus rapidement avec moins de complications », explique-t-elle.
La première session aura lieu du jeudi 13 juillet au jeudi 10 août (cinq sessions de 2h30) de 5:30pm à 8pm à Houston (Energy Corridor) mais elle compte proposer des sessions trois fois par an. Prix: 350 euros (possibilité de remboursement selon les assurances-santé grâce à sa certification de conseillère en allaitement IBCLC). Inscriptions: [email protected]
Des aquarelles (et une touche de Trump) à Art 345 à Harlem
Leurs aquarelles vont vous en mettre plein la vue. Les artistes d’Art 345, un espace de création gigantesque fondé par le Français Norbert Waysberg à East Harlem, organisent leur exposition bi-annuelle du 15 juin jusqu’au 9 juillet (sur rendez-vous uniquement). Le vernissage du jeudi 15 juin (6-10pm) sera ouvert à tous et gratuit.
Sous la houlette de l’aquarelliste sino-australien Paul Ching-Bor, les artistes présenteront leurs travaux en grand format. Deux Français seront de la partie: Norbert Waysberg présentera sa nouvelle série sur le métro new-yorkais ainsi qu’un portrait revisité de la fameuse photo de Donald Trump posant à côté d’un Pape François peu souriant lors de sa récente visite au Vatican; et Louise Lafaille montrera ses grands paysages abstraits aux lumières “turneresques”. La sculptrice Anne de Villeméjane exposera aussi ses travaux lors de cette exposition intitulée “Phases”. À 8:30pm, place à la musique avec un concert du pianiste uruguyen Gustavo Casenave et son trio.
La Chorale franco-américaine de New York fête l'été avec Mozart au consulat
Rien de mieux que de commencer l’été en chanson. Après la Fête de la Musique le 21 juin, place au classique. La Chorale franco-américaine de New York organise son traditionnel concert de fin de saison au consulat de France à New York le vendredi 23 juin à 6:30pm.
L’ensemble de chanteurs amateurs, créé et dirigé par la cantatrice Anne-Julia Audray, chantera des compositions de Mozart, le superbe “Adieu Sweet Amarallis” de John Wilbie, Rameau, Offenbach ainsi que des versions à plusieurs voix de chants français connus comme “Au clair de la lune”. Le groupe sera rejoint par la chorale de la Southold Opera House, également fondée par Anne-Julia Audray, et par deux jeunes chanteurs, Katrina Golubchik et Théo Visconti. La Chorale franco-américaine est spécialisée dans un répertoire français et européen peu joué aux Etats-Unis.
Summerfest 2017: Ayo, Wax Tailor et Her à Central Park pour la Fête de la Musique
Qui dit “été” dit “Summerfest”. Co-présenté par les Services culturels de l’Ambassade de France, le BureauExport et France Rocks, le festival de musique fait son retour à New York avec une trentaine d’artistes français et francophones en concert dans plus de vingt salles, de SummerStage à Central Park au Poisson Rouge à Manhattan. Fin des festivités: le 13 juillet.
Dans cette édition, on retrouvera notamment Ala.Ni les 19 et 21 juin, mais aussi Wax Tailor, Her et Ayo en live à Central Park pour la Fête de la Musique le 23 juin. Le jeune prodige de l’électro, Fakear, lui sera au Baby’s All Right à Williamsburg le 21 juin. Toujours dans l’électro, mais cette fois avec une touche de swing, ce sont les Français de Caravan Palace qui feront danser New York les 6 et 7 juillet.
Programme complet:
18 juin : Glockabelle, Stephane Wrembel @ Barbes, Brooklyn
19 juin : Ala.ni @ Rockwood Music Hall Stage 2
21 juin : Fête de la Musique @ Central Park SummerStage : Wax Tailor, Her, Ayo, Ala.ni (gratuit)
21 juin : Fakear @ Baby’s All Right
24 juin : Dimitri From Paris @ Pier 26, Hudson River Park
29 juin : Chocolate Genius (Ray Rizzo, Simon Hanes, Oren Bloedow, Thomas Bartlett, Mark Anthony Thompson) @ David Rubenstein Atrium at Lincoln Center (Free)
1er juillet: Vince Giordano & The Nighthawks with Catherine Russell, Avalon Jazz Band, Stephane Wrembel and Aurora Nealand @Central Park SummerStage Rumsey Playfield – 5:00 pm – 10:00 pm (gratuit)
5 juillet: Tony Allen @ Le Poisson Rouge
6 juillet: Caravan Palace @ Warsaw, Brooklyn
7 juillet: Caravan Palace @ Irving Plaza
13 juillet: Blick Bassy @ David Rubenstein Atrium at Lincoln Center (Gratuit)
5 personnages historiques à connaître quand on habite au Texas
Que vous veniez d’emménager au Texas ou que vous y viviez depuis longtemps, vous savez qu’il s’agit d’un Etat à part. Habiter la «Republic of Texas », c’est presque vivre dans un pays dans le pays avec une forte identité et une histoire à part entière. Voici donc cinq personnages historiques emblématiques du Texas que l’on se doit de connaitre lorsque l’on y vit.
Stephen F. Austin
Stephen Austin (1793 –1836), surnommé le Père du Texas. Cet avocat de formation fut l’architecte de la colonisation de cette région déserte du nord du Mexique par des migrants américains et de son accession en république indépendante.
En seulement quinze ans, à force de persévérance et de diplomatie, Stephen Austin attira, à partir de 1821, plus de 1200 familles américaines pour peupler le Texas alors sous contrôle mexicain. Il fut même emprisonné un an au Mexique pour cela. De retour au Texas en 1835, il servit la révolution en plaidant la cause du Texas auprès des Etats Unis. Stephen Austin est aussi une figure emblématique du Texas pour ses discours mobilisateurs lors des heures sombres de la révolution. La capital de l’Etat porte son nom. Il est enterré au Texas State Cemetery à Austin.
Sam Houston
Sam Houston (1793-1863) est l’autre personnage emblématique de la révolution texane. (Il faut bien comprendre que, aujourd’hui encore, elle est une pierre angulaire de l’identité et de l’esprit indépendant des Texans). Commandant-en-chef de la petite armée texane face à l’imposante armada mexicaine du Général Santa Anna, il fut le héros de la bataille de San Jacinto et de l’indépendance du Texas. Après la révolution, il devint le 1er président de la République du Texas, puis sénateur de l’Etat après son annexion par les USA (1845) et gouverneur en 1859. Il est aussi connu pour avoir eu une vie privée tumultueuse (buveur invétéré, il fut marié trois fois) et pour avoir été très copain avec les Indiens (sa 2e épouse était Cherokee).
Mirabeau B. Lamar
Deuxième président de la république du Texas, Mirabeau B. Lamar (1798-1859) hérita d’un pays ruiné, assiégé par les Indiens et sans reconnaissance internationale. Il mit en places les bases de l’enseignement public et des universités au Texas (qui lui valurent le titre de « Father of Texas Education » et établit la capitale de l’Etat à Austin. Opposé à l’annexion, il souhaitait un Texas indépendant étendant ses frontières jusqu’au Pacifique. Vision qui ruina presque complètement le Lone Star State.
Lyndon Baines Johnson
Communément appelé “LBJ”, Lyndon Baines Johnson (1908 – 1973) fut le 36e président des Etats-Unis entre 1963 et 1969. Vice-président démocrate de JFK à partir 1961, il lui succéda à la présidence après l’assassinat de ce dernier et fut élu pour un nouveau mandat en 1964. Il était connu pour son tempérament soupe au lait et son pouvoir de persuasion. Il n’hésitait pas à employer l’intimidation (il était très grand) pour obtenir gain de cause (méthode appelée « the Johnson treatment »). Sa présidence a été marquée par le vote de nombreuse lois en faveur des droits civiques, du contrôle des armes, de la préservation du la nature et dans le domaine de la sécurité sociale.
Sandra Day O’Connor
Sandra Day O’Connor (1930 – ) fut la première femme nommée à la Cour suprême des Etats-Unis. Républicaine considérée comme conservatrice modérée, elle fut nommée par Ronald Reagan en 1981 et siégea pendant 24 ans. Elle est connue pour avoir fortement contribué à faire progresser le droit des femmes aux Etats-Unis.