Les résultats partiels et provisoires du premier de tour de la législative en Amérique du Nord:
Législatives: les résultats du second tour aux Etats-Unis
Législative: les résultats du second tour à Montréal et dans le reste du Canada
Voici des résultats partiels et provisoires:
Législative: les résultats du second tour à Chicago
Législative: les résultats du second tour à Atlanta
Législative: les résultats du second tour à New York
Législative: les résultats du second tour à Washington
Législative: les résultats du second tour à Miami
Voici les résultats provisoires pour la circonscription consulaire de Miami:
Législative: les résultats du second tour à Boston
Législatives: les résultats du second tour au Texas
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Une directrice pour la French American Foundation à New York
Depuis un mois, la French American Foundation (FAF) a une nouvelle directrice. Il s’agit d’un visage bien connu des cercles français de New York: Emeline Foster, qui a été directrice de cabinet de l’ancien consul Bertrand Lortholary. Cette Bordelaise diplômée de l’EHESS, arrivée à New York il y a six ans, avait rejoint la fondation transatlantique l’an dernier où elle occupait un poste de développement.
Cette nomination met un terme à trois années “d’entre deux” pour la FAF. Depuis le départ de Charles Kolb, l’ancien président, l’organisation était gérée de manière intérimaire par Allan Chapin, chairman du comité exécutif. En tant que directrice exécutive, Emeline Foster sera en charge de faire vivre au quotidien les programmes de la fondation d’une dizaine d’employés. Si elle est la seconde femme à occuper un poste de direction, elle est bien la personne la plus jeune – elle a 34 ans – à diriger l’organisation. “C’est nouveau pour tout le monde. C’est un milieu assez masculin mais toute l’équipe est jeune, féminine. On veut garder cette énergie et développer des projets pour emmener la fondation vers un autre niveau“, dit-elle.
Lancée à New York et Paris en 1976 par les présidents Giscard d’Estaing et Ford pour permettre un dialogue transatlantique en marge des canaux gouvernementaux classiques, la French American Foundation est connue pour son programme Young Leaders de mise en relation de leaders dans différents domaines (politique, média, économie) en France et aux Etats-Unis. Emmanuel Macron et l’actuel premier ministre Edouard Philippe ont fait partie des illustres participants, avec Hillary Clinton et François Hollande notamment. “On est dans une belle dynamique. Si la fondation doit exister, c’est bien aujourd’hui“.
La fondation new-yorkaise, opérée indépendamment de sa soeur parisienne, a développé d’autres initiatives autour de la relation transatlantique, comme un Prix de traduction, une bourse de journalisme sur la thématique de l’immigration ou un programme de cybersécurité pour experts de la discipline.
Dès septembre, Emeline Foster veut lancer un “Forum transatlantique“, un “cercle privé” où “des personnes intéressées par les relations transatlantiques” pourront se réunir pour discuter de différentes thématiques, comme “le climat, l’immigration“. “On reçoit des sollicitations de personnes qui veulent faire des choses pour nous et avec nous. Jusqu’à présent, à part les conférences, on n’avait rien à leur offrir“. Ce cercle prendra la forme de tables-rondes, et non de conférences ou de “groupe de networking“, pour permettre aux participants d’échanger et de “continuer à apprendre” sur des thématiques précises.
Autre chantier de la nouvelle responsable: accroître la présence de la fondation sur le territoire américain, en dehors de son berceau new-yorkais. Elle souhaite par exemple que le futur forum transatlantique ait des chapitres dans tous les Etats-Unis pour profiter de la présence de Young Leaders et du réseau d’experts de la FAF en dehors des côtes. “On est une fondation qui date de 1976 mais on veut s’adapter à l’évolution de notre public. Au début, on avait des francophiles, des gens intéressés par la culture française. Aujourd’hui, avec le climat politique actuel, le public veut aller au-delà de la lecture d’articles du Monde ou du New York Times, poursuit-elle. La France attire en ce moment. C’est le pays qui a élu un jeune président contre le vent du populisme. Il y a des Français et des Américains véritablement intéressés par ce que la FAF peut dire sur la situation en France”.
Gagnez des places pour le French Comedy Festival à New York
Rire en français vous manque ? Le French Comedy Festival, créé par l’humoriste français Michael Sehn, fait son retour à partir du mercredi 21 juin à New York. Plusieurs talents du rire, comme Yacine Belhousse, Kyan Khojandi, Christelle Chollet et bien d’autres, feront le déplacement de France pour ce rendez-vous.
Les organisateurs proposent de faire gagner quelques paire de tickets aux lecteurs de French Morning pour l’un des shows restant du festival. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le gagnant sera désigné par tirage au sort.
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Où voir des graffitis qui en mettent plein la vue à New York ?
À New York, si l’on veut se confronter à une oeuvre d’art, des dizaines de musées ont leurs portes grandes ouvertes. Vous pouvez aussi aller dans la rues.
Aucun quartier n’est épargné par les traces de bombes aérosols, que ce soit pour un simple lettrage ou pour créer des fresques impressionnantes sur un mur entier. Voici une sélection de nos spots préférés.
Soho, Little Italy et Chinatown
Pour cette chasse aux graffitis, le plus important est de garder à l’esprit deux conseils : perdez-vous et levez la tête. Les fresques les plus impressionnantes ne seront pas toujours à hauteur des yeux. Il faut quitter les artères principales de la ville pour explorer des rues plus étroites et découvrir au détour d’un carrefour les œuvres qui colorent les bâtiments.
Dans des quartiers de Lower Manhattan, on pourra croiser la fresque de Pichi et Avo, un duo espagnol qui s’amuse à mêler les styles classiques et modernes, comme on peut l’observer avec ces chevaux inspirés de statues antiques faussement dégradées par des tags.
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East Village
Le graffiti est tellement intégré à la culture new-yorkaise qu’il n’est pas rare de trouver des fresques commandées par des écoles ou des commerces. Mais le plus intéressant reste les œuvres sauvages car elles rappellent le caractère éphémère de la pratique. Des modifications apportées par l’artiste lui-même ou un autre rappellent, en effet, que l’oeuvre est en constante évolution.
Par exemple, cette fresque de Spiros, dont on reconnait aisément les portraits, grâce à leurs oreilles rondes et décollées, n’avait pas un méchant rhume et des yeux fous au moment de sa réalisation. Bien que ces ajouts de peintures soient une dégradation, ils restent en accord avec la représentation de Van Gogh et font vivre la fresque.
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East Harlem
Votre appareil photo ne sera pas toujours vu d’un bon œil à East Harlem, autant en profiter pour ouvrir grands les yeux et remonter la 3ème avenue qui regorge de fresques.
Vous découvrirez par exemple les sphinx colorés réalisés par deux artistes féminines qui font partie des références dans le monde du street art : Elle et Claw Money.
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Bushwick
Bushwick est un des quartiers incontournables pour observer des graffitis. On trouve facilement des peintures dans les rues autour de Wyckoff Avenue, et pour les plus aventureux, il ne faut pas hésiter à aller sur les passerelles du métro M. Vous aurez une vue imprenable sur des fresques que vous n’auriez pas pu observer depuis le plancher des vaches.
Par exemple, la fresque de David Hollier qui dessine avec du texte. Des mots ou des phrases forment ici un portrait de Mandela ; le meilleur point d’observation est définitivement la station du métro Myrtle Wyckoff.
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East Williamsburg et Bushwick collective
S’il ne fallait visiter qu’un seul quartier pour découvrir le graffiti new-yorkais, ce serait celui-ci. Dans l’ancienne cité industrielle, les ateliers reprennent vie grâce à des artistes qui en font des œuvres d’art magnifiques.
Parmi tous ces graffitis, vous découvrirez celui de Don Rimx, un artiste porto-ricain qui vit à New York depuis 2009, et qui s’est emparé d’un mur pour y peintre une femme amérindienne entourée de grigris vaudou et traditionnels, envoûtant.
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