À DC, il y a évidemment les grands musées nationaux du Mall. Du Natural History Museum au National Museum of American History, ce sont 17 musées et galeries gratuits, regroupés au sein de ce qu'on appelle la Smithsonian Institution, abritant plus de 150 millions d'objets. Mais la capitale américaine abrite des musées moins connus qui méritent de prendre le temps de les découvrir. Voici quatre d'entre-eux.
Le National Bonsai and Penjing Museum (Southwest)
© National Bonsai and Penjing Museum
On commence par le plus zen des musées de la capitale, rempli de quelque 300 espèces de bonsaïs et de penjings sous une pagode, au sein d'une architecture traditionnellement chinoise. Le National Bonsai and Penjing Museum, qui fêtera ses 50 ans l'an prochain, a ouvert ses portes en 1976 avec un don de 53 bonsaïs en provenance du Japon pour commémorer le bicentenaire des États-Unis. Situé au sein de l’Arboretum national, il est particulièrement populaire au printemps (en fleur) et à l’automne (changement de couleur). Il est ouvert de 10am à 4pm tous les jours, sauf l'hiver, fermé de novembre à février. Deux entrées avec parking sont à disposition : l’un au 3501 New York Avenue NE et l’autre au 24...
[Replay] Patrimoine et fiscalité au moment du retour en France
Ce webinaire est une occasion unique d’obtenir des réponses à vos questions et de préparer efficacement votre retour en France.
Au programme
– Planification Patrimoniale : Conseils pour la gestion de vos actifs (épargne, immobilier, retraite)
– Fiscalité : Comprendre les implications fiscales du retour et optimiser la gestion de l’épargne retraite
Retrouvez le replay ci-dessous ou directement sur YouTube
Avec:
🎙️ Alexandre Quantin, MBA, RICP®, Associé et directeur des investissements · USAFrance Financials Group – Contact : [email protected]
🎙️ Adrien Eyraud, Associé et directeur général du développement commercial – USAFrance Financials Group – Contact : [email protected]
🎙️ Olivier Sureau, CPA, Expert-Comptable, Associé, Directeur USAFrance Multi-Family Office & USAFrance Business Services – USAFrance Financials Group – Contact – [email protected]
4 conseils pour éviter la double imposition entre la France et les États-Unis
[Article partenaire] Lorsque l’on perçoit des revenus dans plusieurs pays — notamment en France et aux États-Unis — la double imposition peut vite devenir un casse-tête fiscal. Heureusement, il existe des moyens concrets de s’en prémunir. Voici quatre conseils essentiels de Jean-Philippe Saurat du cabinet MS-GL, pour éviter de payer deux fois l’impôt sur les mêmes revenus.
1. Bien identifier la nature de ses revenus
Avant toute chose, il est crucial de classer correctement ses revenus. Aux États-Unis, on distingue deux grandes catégories :
- Les revenus passifs (immobiliers, dividendes, intérêts, plus-values),
- Et les revenus actifs (salaires, traitements, prestations liées à une activité professionnelle).
Cette distinction est fondamentale, car les crédits d’impôt américains sont attribués en fonction de cette classification, et ne sont pas interchangeables entre catégories. Par exemple, un crédit d’impôt lié à un revenu immobilier ne pourra pas être utilisé pour compenser l’impôt sur un salaire.
2. Comprendre les règles fiscales des deux pays
Il est impératif de maîtriser les logiques fiscales propres à chaque pays, sans présumer que ce qui est exonéré en France le sera aussi aux États-Unis — et vice versa.
Prenons le cas du livret A : non imposable en France, mais totalement taxable côté américain. Autre exemple : un statut comme le loueur meublé non professionnel (LMNP) peut générer peu ou pas d’impôt en France, mais entraîner une imposition aux États-Unis si les règles déclaratives y donnent un résultat fiscal positif.
Moralité : chaque revenu doit être analysé indépendamment pour éviter les erreurs de déclaration.
3. Identifier quel pays a le droit d’imposer en premier
Pour éviter la double imposition, il faut déterminer le pays qui a la “priorité fiscale” sur un revenu donné. Cette priorité dépend de la nature du revenu et de sa “source” :
- Pour les revenus immobiliers, c’est le pays où se situe le bien qui impose en premier.
- Pour les salaires, ce n’est pas l’origine de l’entreprise qui compte, mais le lieu où le travail est réellement effectué.
Par exemple, un salarié d’une entreprise française travaillant depuis les États-Unis sera imposé par les États-Unis, et non la France. À l’inverse, si vous travaillez en France pour une entreprise américaine, c’est la France qui prélèvera l’impôt en premier.

4. Optimiser l’usage des crédits d’impôt
Le crédit d’impôt pour impôt étranger est le principal mécanisme américain pour éviter d’être imposé deux fois. Il permet de déduire de vos impôts américains l’équivalent des impôts payés en France (et inversement, dans certains cas).
Ce système fonctionne bien au niveau fédéral, mais pas nécessairement au niveau de chaque État. Par exemple, New York ne reconnaît pas ces crédits : une double imposition reste donc possible localement.
Autre astuce : même si un revenu n’est pas imposé aux États-Unis sur le moment (par exemple en raison d’un amortissement sur un bien immobilier), il est important de le déclarer et d’enregistrer les crédits d’impôt. Ils peuvent être cumulés et utilisés plus tard, notamment lors d’un événement taxable comme une vente immobilière non imposée en France mais imposable aux États-Unis.
En résumé
Pour éviter la double imposition, il ne suffit pas de déclarer ses revenus correctement : il faut aussi comprendre les logiques fiscales des deux pays, bien classer ses revenus, déterminer l’ordre d’imposition, et optimiser l’usage des crédits d’impôt. Un accompagnement par un spécialiste en fiscalité internationale est souvent la clé pour éviter les mauvaises surprises.
Besoin d’aide ? Contactez un expert
Pour naviguer entre les réglementations fiscales françaises et américaines, rien ne vaut l’accompagnement d’un spécialiste. Vous pouvez contacter Jean-Philippe Saurat, Expert-comptable et CPA reconnu au Canada et aux États-Unis, qui a bâti une carrière remarquable, après avoir débuté chez Mazars Paris. Il se spécialise chez Primexis, puis rejoint le groupe Massat à New York en tant qu’expert fiscal. En 2017, il cofonde le cabinet Massat Saurat + Guimond Lavallée à Montréal, où il continue d’innover et d’apporter une vision stratégique à ses clients.
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Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
[Vidéo] Financement et gestion d’un investissement en France depuis l’étranger
Nous vous donnions rendez-vous le 1er juillet 2025 pour un webinaire dédié aux expatriés souhaitant investir dans l’immobilier en France, depuis leur pays d’expatriation.
Au programme :
1/ Bien investir
👉 Les 3 aspects de l’immobilier rentable (financement, rénovation, fiscalité)
👉 Les spécificités de l’investissement depuis les États-Unis
2/ Focus sur le financement
👉 Qui peut emprunter, quoi & comment ?
👉 Comment choisir la bonne banque pour votre profil ?
👉 À distance, comment ça se passe ?
3/ La rénovation d’un bien
👉 Comment doubler la valeur d’un bien ?
👉 Où sont les bonnes affaires ?
👉 La bonne séquence pour réussir
4/ La fiscalité
👉 L’imposition française
👉 Les régimes les plus intéressants
Retrouvez l’enregistrement de ce webinaire ci-dessous ou directement sur YouTube
Contactez les intervenants
🎙️ Jeevanthy Nivert, 15 ans d’expérience en prêt immobilier pour les non-résidents et expatriés
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🎙 Manuel Ravier, co-fondateur de la société Investissement Locatif
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