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Elections 2017: où voter dans la circonscription de Los Angeles ?

Réservez vos journées pour le premier et le second tour des législatives. Les samedi 3 juin et 17 juin, les bureaux de vote seront ouverts de 8am à 6pm dans la circonscription de Los Angeles (Arizona, Sud de la Californie, Colorado, Sud du Nevada, Nouveau Mexique). Il faudra vous préparer à un peu de route, la vaste zone ne comprenant que cinq bureaux de vote, dont un seul à Los Angeles :
A Los Angeles : Consulat général de France (au rez-de-chaussée du bâtiment), 10390 Santa Monica Blvd, Suite 110 – Los Angeles, CA 90025.
Réservé aux Français inscrits sur la liste électorale 2017 et résidant dans les Comtés de Los Angeles, Orange, Riverside, San Bernardino, Ventura, Santa Barbara, San Luis Obispo, Kern, Kings, Inyo et Mono.

Au Nevada : 8867 W. Flamingo Road, Suite 200 Las Vegas, NV 89147.
Réservé aux Français inscrits sur la liste électorale 2017 et résidant dans les Comtés de Clark, Lincoln, Nye, Esmeralda et Mineral.

A San Diego : San Diego French American School, 6550 Soledad Mountain Road, La Jolla, CA 92037
Réservé aux Français inscrits sur la liste électorale 2017 et résidant dans les Comtés de San Diego et Imperial.

En Arizona et Nouveau-Mexique
: International School of Arizona, 9522 East San Salvador Drive, Scottsdale, AZ 85258
Réservé aux Français inscrits sur la liste électorale 2017 et résidant dans l’Etat de l’Arizona et du Nouveau-Mexique.

Au Colorado : International School of Denver, 206 Red Cross Way, Denver, CO 80230
Réservé aux Français inscrits sur la liste électorale 2017 et résidant dans l’Etat du Colorado.

A l’occasion du premier et deuxième tour des élections législatives, les samedi 3 juin et 17 juin, le Consulat lance un appel aux volontaires pour assurer le bon fonctionnement du vote. Différentes plages horaires sont proposées: de 8 à 11 am, de 11 am à 2 pm, de 2 à 5 pm et de 5 à 7 pm.

Elections 2017: où voter dans la circonscription de New York ?

Pour les élections présidentielles et législatives, les Français inscrits sur les listes du Consulat Général de France à New York (Etats de New York, New Jersey, Connecticut et les Bermudes) sont répartis dans neuf bureaux de vote différents.
Les Français résidant à Manhattan Centre, Flushing, Long Island City et sur Long Island, devront voter au Service de Coopération et d’Action Culturelle à l’Ambassade de France (972 Fifth Avenue). Pour les habitants de Manhattan Est, le bureau de vote se trouve au Consulat général de France (934 Fifth Avenue).
Manhattan Sud et Staten Island sont rattachés à l’Ecole Internationale de New York (111 East 22nd Street). Pour Manhattan Ouest, Nord et le Bronx il faudra se rendre à la New York French American Charter School (311 West 120th Street). Les électeurs de Brooklyn et Jamaica quant à eux, iront à l’International School of Brooklyn (477 Court Street ).
Pour les Français résidant hors de New York, et plus précisément dans le Westchester, New York Est et le Connecticut, il faudra se rendre à la French American School of New York (Elliot Avenue et Ralph Avenue à Mamaroneck). À New Jersey Nord et Ouest, le bureau de vote se trouve à la French American Academy of Jersey City (209 3rd Street). Pour le Sud, c’est à l’Agence consulaire de Princeton (120 Bouvant Drive) qu’il faudra mettre votre bulletin dans l’urne.
Enfin, les habitants des Bermudes iront voter à l’Agence consulaire des Bermudes (Richmond House, 12 Par-la-Ville Road).
Pour plus d’informations, veuillez consulter le site du consulat général de France à New York. 

"Demain" sort aux Etats-Unis: "C'était très difficile de trouver un distributeur"

L’élection de Trump remobilise les troupes. Ça crée de la résistance”, affirme Cyril Dion. Toujours optimiste, le réalisateur du phénomène “Demain” s’apprête a traverser l’Atlantique pour venir présenter aux Etats-Unis le documentaire qu’il a co-réalisé avec l’actrice Mélanie Laurent.
“Demain”, c’est plus d’un million d’entrées en France, un César du meilleur documentaire, plus de 250 000 DVD vendus, et un passage, malgré des réticences, dans la plupart des pays d’Europe, ou encore au Japon ou au Canada.
Ça a été très difficile de trouver des distributeurs aux Etats-Unis et en Angleterre. Quand on a gagné le prix du meilleur documentaire au Festival de COLCOA, beaucoup de distributeurs ont aimé le film, mais m’ont dit qu’ils ne croyaient pas à son potentiel commercial, raconte Cyril Dion. D’abord, parce que projeter des documentaires au cinéma est très difficile, et puis, un peu comme en France au départ, ils ne croyaient pas à ce parti pris positif. C’est le discours qui prône que pour qu’un film marche il faut qu’il y ait du sang, des larmes, et un documentaire où tout le monde est gentil ne marchera pas”.
Sorti il y a deux ans en France, “Demain” part du constat que l’activité humaine actuelle, sans changement, est une catastrophe pour l’écologie et l’environnement. Au-delà du simple constat, le film démontre qu’un mouvement est en marche, que des initiatives à toutes les échelles sont déjà à l’œuvre, un peu partout sur la planète. “Demain” nous embarque dans une odyssée aux solutions qui ne se centre pas uniquement sur l’écologie. “Tout est lié, on ne peut pas dissocier l’économie, du social, du politique ou de l’environnement”.

De l’Inde à San Francisco, en passant par l’Islande, la France ou Detroit, Cyril Dion et Mélanie Laurent ont sillonné le globe pour filmer d’autres manière de vivre, de se nourrir, d’apprendre, de travailler, ou de faire de la politique.
Beaucoup de gens sont en train de comprendre qu’on est en train de créer l’enthousiasme et de susciter de la créativité. Ce que l’on ne peut pas le faire en montrant des catastrophes”, explique Cyril Dion qui, loin de tout fatalisme ou devoir-être moralisateur, montre simplement avec “Demain” ce qui fonctionne, répondant de la plus belle manière à ses détracteurs qui le taxeraient d’utopiste dépourvu de sens des réalités.
Aux Etats-Unis, Cyril Dion vient faire le tour des grandes villes et universités les plus prestigieuses du pays pour échanger avec le public. Mais le film n’en est pas à ses premiers faits d’arme : l’an dernier, sa projection à l’ONU dans le cadre du Festival de cinéma français Focus on French Cinema avait suscité une standing ovation de plus de 600 personnes. “Le Secrétaire général Ban Ki-moon avait dit dans son discours que le film devait faire partie de la formation des responsables politiques partout sur la planète. L’écologiste Paul Hawken nous a écrit en nous disant que c’était le meilleur film qu’il avait vu jusqu’à maintenant concernant l’écologie”, se souvient le réalisateur et activiste.
Il y a dix ans, Cyril Dion participe à la fondation du mouvement Colibris. L’association encourage et met en lumière des initiatives individuelles et locales qui placent l’écologie et un meilleur vivre-ensemble au centre de leur philosophie. Des actes qui seront filmés et mis bout-à-bout quelques années plus tard avec “Demain”.
De toute façon, c’est le sens de l’histoire”, répond-t-il quand on évoque les mesures anti-environnement prises par Donald Trump. “Pour détricoter l’accord de Paris ça sera très difficile, il faudra au moins trois ans. Et puis, beaucoup d’acteurs de l’écologie, internationaux ou américains, ne vont pas s’arrêter de faire ce qu’ils font. En Californie, des villes ont fait sécession en disant qu’elles continueraient à faire ce qu’elles font, peu importe ce que ferait le gouvernement. Il y a un réel mouvement, comme en France. Aux élections présidentielles, on n’a jamais eu autant de sujets écologiques dans les programmes des candidats. C’est bien parce qu’ils ont compris qu’il y a un électorat qui attend ça.”

Présidentielle 2017: où suivre les résultats du premier tour à Washington ?

Qui seront donc les deux candidats qui s’affronteront le 7 mai au second tour de l’élection présidentielle ?
Les résultats seront connus dimanche aux alentours de 2pm sur la côte est des Etats-Unis. Ni l’Union des Français de l’Etranger (UFE) ni l’Association des Français du Monde ne s’organisent pour suivre les résultats. Les options sont donc assez limitées pour ceux qui voudraient vivre la retransmission en direct.
Vous pouvez tout de même rejoindre le chapitre de Georgetown de European Horizons, un think tank transatlantique dédié à l’exploration de l’identité européenne, à Parlay DC Sports Bar and Lounge de 1pm à 6pm dimanche.
Le Bar de l’Hotel Sofitel de Washington a aussi toujours l’habitude d’allumer sa télé sur une chaîne d’information française pour permettre aux expats de suivre l’annonce des résultats avec un petit cocktail.
Bien sûr, comme nous sommes à Washington et que la politique c’est notre truc, il y aura quelques événements pour analyser les résultats entre les deux tours. Les Young Professionals in International Affairs organisent une discussion le 25 avril à la Northeast Neighborhood Library (de 6:00 pm à 8:00 pm). Les billets gratuits sont disponibles ici.

Avec Bluefox.io, vos smartphones ne peuvent plus se cacher

Lorsque l’on entre dans les locaux de Bluefox.io, situés au Plug and Play Tech Center à Sunnyvale, impossible de passer inaperçu. À côté d’un des bureaux, trône un écran plat qui affiche le chiffre 96. C’est le nombre personnes présentes, en temps réel, dans l’open space.

« Vous voyez le numéro sur l’écran ? Voilà ce que l’on fait ! », s’exclame Guillaume de La Tour, fondateur de Bluefox.io. Le très souriant entrepreneur français a développé un boîtier qui détecte les smartphones présents dans un lieu donné sans aucune application installée au préalable.

Les utilisations sont nombreuses. La technologie permet par exemple aux propriétaires désireux de louer leur maison sur Airbnb, de savoir combien de personnes s’y trouvent en leur absence. « C’est beaucoup moins intrusif qu’une caméra car on ne connaît pas l’identité des personnes», explique l’expatrié qui a déjà déposé cinq brevets américains et deux mondiaux. « On respecte la vie privée. On ne stocke pas les données personnelles. »

Un ingénieur devenu entrepreneur

Le quarantenaire a déjà donné vie à sept entreprises. Bluefox.io, lancée en 2015, est la petite dernière. Pourtant, le serial entrepreneur originaire de Haute-Vienne, se dirigeait au départ vers l’ingénierie. « J’ai fait l’École nationale supérieure agronomique de Rennes pour faire plaisir à mes parents », confie-t-il.

L’agronomie ne l’intéresse « pas du tout ». Le Français créé alors sa première boîte de consulting, Agro Contact, alors qu’il n’est encore qu’étudiant. Après quelques années chez Altran Technologies, Guillaume de La Tour fonde deux entreprises: INTA ouest en 2004 et Bluefox Content en 2006.

Cette dernière, qu’il possède encore aujourd’hui, fournit du contenu pour les écrans d’affichage. « Quand vous voyez la météo dans les aéroports où le groupe d’affichage JCDecaux est présent, ça vient de Bluefox Content généralement ».

De Rennes à la Silicon Valley

« La France est un super pays mais, avec seulement 66 millions d’habitants, une entreprise se retrouve vite confrontée au problème de taille de marché », fait remarquer Guillaume de La Tour qui a donc décidé de venir conquérir la vallée en 2013 « avec femme et enfants ».

Après un an et demi de réflexion et d’exploration, Bluefox.io voit le jour en janvier 2015. «AirBnb a été la première entreprise à venir me voir ! »

L’entreprise a également développé un boîtier qui permet d’envoyer des coupons promotionnels aux clients connectés au wifi d’un magasin. « Nous avons signé un partenariat avec un grand groupe alimentaire pour un déploiement dans des milliers de stations-essence d’Amérique du Nord », se réjouit l’entrepreneur dont la start-up multiplie les récompenses : best innovation au South by Southwest 2015, start-up de l’année lors des FABA 2016 et dernièrement, le Murphy Award de la Sunnyvale Silicon Valley Chamber of Commerce.

Et ce n’est que le début. « Compter les gens ce n’est pas forcément évident. Nos produits ont plein d’applications possibles, dans les boîtes de nuit par exemple », souligne Guillaume de La Tour qui mentionne un futur « deal très important avec une ville asiatique ».

La FIPA organise son pique-nique annuel à Miami

La French International Program Association (FIPA) organise son pique-nique annuel le samedi 22 avril à partir de midi.
Cette année, l’association francophone délaissera les pelouses de Matheson Hammock Park pour les plages de Virginia Key. Vue sur la mer et activités pour enfants sont au rendez-vous.
L’événement est gratuit et ouvert à tous. Chaque famille est invitée à apporter son pique-nique et de nombreuses activités sont au programme. Carrousel, mini train, tir à la corde, course en sac, ou encore des parties de foot animeront l’après-midi. Un concours de gâteau sera aussi organisé avec de nombreux cadeaux à la clé.

Du magazine Elle à créatrice de bijoux à LA, les mille et une vies de Valérie Maxwell

De rédactrice mode à créatrice de bijoux, il n’y a pas un si grand pas. Excepté que Valérie Maxwell, 52 ans, a également été assistante de photographe et galériste. Un CV éclectique qui retrace le parcours de la Lyonnaise, expatriée aux Etats-Unis depuis une vingtaine d’années.
Un peu par hasard, et grâce à de bonnes connexions, sa collection de douze bijoux intitulée “esteve.” se retrouve exposée à la boutique éphémère de Please Do Not Enter jusqu’au 10 mai. “J’ai toujours été créative. Quand j’étais jeune et que je n’avais pas d’argent, je me fabriquais les tenues repérées dans les magazines“, raconte la brune au regard perçant.
Tout a démarré par un porte-clef créé à partir d’une boucle en laiton et d’un cordon en cuir noir. Son entourage la complimente, et elle décide de le décliner en bracelet, collier et même ceinture, gardant l’esprit minimaliste et intemporel des débuts. Ses créations sont repérées par des clientes de la boutique huppée où elle officie le week-end. “J’en ai vendu une quinzaine en boutique“, se réjouit-elle. Sa marque esteve. (son nom de jeune fille) est née.

Sa première collection se veut intemporelle, avec des matières nobles et un design épuré.
Sa première collection se veut intemporelle, avec des matières nobles et un design épuré.

Mais rien ne prédestinait la Française à percer dans la création à Los Angeles. Elle a commencé sa carrière dans la mode à Paris, gravissant les échelons jusqu’à devenir rédactrice de la rubrique “mode” du magazine Elle. “C’était une période frivole, où on pouvait s’amuser“, se souvient Valérie Maxwell. La rencontre avec son mari, un photographe américain en pleine ascension, va bouleverser ses plans. “Partir aux Etats-Unis était une opportunité alléchante.” Mais sa carrière dans la mode se complique : “j’ai fait quelques trucs, mais la mode est liée à New York aux Etats-Unis. J’ai très vite abandonné.
Elle quitte alors Paris pour San Diego en 1994. Aux côtés de son époux, elle déménagera à de nombreuses reprises, s’installant notamment à New York avant de rejoindre la Californie. “Je m’occupais de sa carrière, des factures à régler, de gérer les archives…J’étais le moteur de la machine.” Cette situation perdure jusqu’en 2010, époque où elle divorce.
Persévérante, Valérie Maxwell n’envisage pourtant pas de retourner dans sa patrie. “Cela ne m’a jamais traversé l’esprit. Les Etats-Unis sont un pays d’opportunités. On peut faire ce que l’on veut quelque soit notre âge et nos moyens“, assure la mère de famille. Elle retourne alors sur les bancs de l’école étudier la décoration intérieure, à Newport Beach, un cursus qu’elle ne terminera pas. A la recherche de revenus, elle décroche un poste dans une agence de photographes, grâce au coup de pouce d’un ami. “Mais ce n’était pas pour moi“, assure-t-elle. Puis, c’est son frère, l’artiste Lionel Esteve, qui la met en contact avec la curatrice du Pacific Design Center à Los Angeles, Helen Varola. Séduite par son parcours, cette dernière lui confie un poste de galeriste.
Depuis un an, Valérie Maxwell gère la galerie Varola la semaine, et travaille les week-ends dans un magasin de design. Malgré un travail léger et agréable, la Lyonnaise aspire à plus de liberté, et se rêve comme consultante artistique pour une marque. En attendant, son emploi du temps lui laisse le temps de se consacrer aux projets plus personnels, comme sa marque de bijoux.
Encore aux prémices, elle souhaite commercialiser sa collection sur un site en ligne, et la développer. Puis, elle continuera à créer, et comme toujours, à s’investir dans de nouveaux projets. “Je n’ai aucun regret, la vie est pleine de surprises. Après des moments difficiles, je suis à un tournant. Je suis prête à me réaliser à 100%.

Le Filmfest DC 2017 fait la part belle aux films français

Filmfest DC revient à Washington du 20 au 30 avril. Plus de 80 films internationaux en provenance de 45 pays différents seront présentés, dont un bon nombre de films français.
Le festival s’ouvrira d’ailleurs avec la première nord-américaine de “Chez Nous” à AMC Mazza Gallerie (7:00 pm le 20 avril). Ce film anti-FN du cinéaste belge Lucas Belvaux est particulièrement d’actualité à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle. Un peu moins politique, le festival se terminera avec un autre film français, “Paris Pieds Nus” à l’ambassade de France le 30 avril à 3:00 pm et à 7:00 pm. Entre les deux, voici une petite séléction de films à ne pas manquer.
En compétition pour le “First Feature Award” qui récompense les meilleurs premiers longs-métrages et encourage de nouveaux talents, “La Danseuse” de Stéphanie di Gusto sera projeté le dimanche 23 avril à 8:00 pm et le mercredi 26 avril à 8:15 pm au AMC Mazza Gallerie. Le film narre la vie de la danseuse américaine Loïe Fuller, pionnière de la danse moderne.
Le documentaire engagé “Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent sera presenté à deux reprises au Landmark’s E Street Cinema (le mardi 25 avril à 6:15 pm et le jeudi 27 avril à 8:45 pm.) Ce film, en partie financé par crowdfunding, met en lumière des initiatives positives pour sauver la planète. Après un César et plus d’un million d’entrées, “Demain” part maintenant à la conquête du public américain.
Pour “Noces” le réalisateur Stephan Streker s’est inspiré d’un fait divers qui avait bouleversé la Belgique en 2007: le meurtre d’une lycéenne par son frère pour avoir refusé un mariage forcé au Pakistan avec un inconnu. “Noces” sera projeté le dimanche 23 avril à 5:30 pm au Landmark’s E Street Cinema et le jeudi 27 avril à 6:15 pm à AMC Mazza Gallerie. “La Fille de Brest” suit aussi une histoire vraie, celle de l’affaire Médiator et du combat d’Irène Frachon contre le laboratoire Servier. Le film passera à 8:30 pm à AMC Mazza Gallerie le vendredi 21 avril et à 6:15 pm le lundi 24 avril au Landmark’s E Street Cinema.
Parmi les autres films français présentés à cette 31ème édition de Film Fest DC se trouvent “L’Outsider” de Christophe Barratier, le film franco-polonais “Marie Curie, le Courage de la Connaissance,” “Bienvenue à Marly-Gomont,” “L’Economie du Couple” avec Bérénice Béjo et Cédric Khan et “Sur quel pied danser. Dans la serie documentaire et pas cent pour cent en français, Yann Arthus-Bertrand offrira aussi une immersion au plus profond de l’être humain avec la présentation de son film Human, un film engagé avec une magnifique cinématographie.  

Une discussion avec l’auteur libanais Charif Majdalani à Washington DC

A l’occasion de la publication en version anglaise de son roman Caravansérail, sous le titre Moving the Palace, Charif Majdalani donnera une conférence le mardi 25 avril à l’Alliance Française de Washington DC.
Né dans le Liban des années 1960, l’auteur est aujourd’hui l’une des figures majeures de la littérature du pays. Parti faire ses études de lettres en France en 1980, il est depuis revenu enseigner le français à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth.
Charif Majdalani est un écrivain prolifique. Il écrit régulièrement des articles d’opinion pour des journaux français comme Le Monde ou Libération, et compte six romans à son actif. Dans Caravanserail, l’auteur raconte l’histoire d’un jeune Libanais parti explorer l’Afrique. Un périple ponctué de rencontres et de déconvenues sur fond de Première Guerre Mondiale. Une Odyssée des temps modernes, qui a valu à son auteur le prix François Mauriac de l’Académie Française.
La discussion, en anglais, sera animée par Marilyn Matar, professeure de Français et d’études francophones à la Catholic University of America. Le billets sont disponibles ici ($10 pour les membres, $15 pour les non-membres).

Combien ça coûte de louer un camping car à New York ?

\Le camping-car est un moyen de transport très utilisé par les Américains pour voyager. A tel point que l’offre de location sur le marché new-yorkais est pléthorique.
À noter que les simulations de prix ont été effectuées sur une base de quatre personnes pour huit jours de location du dimanche 3 juin au dimanche 11 juin 2017
En classe business
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Les sites dieselrvrentals.com ou luxuriousrentalsllc.com proposent de luxueux camping-cars de Classe A (les plus gros du marché), comme ceux de la marque Prevost et Newell proposés à la location entre 7500$ et 8000$ la semaine. A ce prix là, tout est inclus et le confort est maximum: chambre avec lit “king-size”, salle de bain spacieuse, cuisine équipée avec machine à laver et sèche-linge, téléviseurs HD et livraison de votre palace roulant à domicile. On se demande comment ce véhicule peut rouler.
En classe éco
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La location d’un camping-car de classe C (taille moyenne comme nous connaissons en Europe) vous coûtera 1200$ la semaine sur le site usarvrentals.com pour 100 miles inclus par jour. Les prix augmentent ensuite graduellement en rajoutant des options à la carte comme l’assurance tout risque, le Wifi, le GPS ou d’autres accessoires. La formule “all inclusive” tourne aux alentours de 3000$. Idem chez l’entreprise familiale 84RV Rentals and Services située dans le New Jersey, qui propose des camping-cars entre 1260 et 2450$ la semaine selon le modèle, avec 100 miles inclus par jour. Les options d’assurances et d’équipement sont à rajouter en plus. L’agence française Authentik USA, spécialisée dans le voyage sur mesure aux Etats-Unis, propose quant à elle des locations entre 1400 et 2000$ la semaine, 800 miles inclus.
Low-cost
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Les sites de location entre particuliers permettent de louer des camping-cars de classe C à des prix défiants toute concurrence. Sur rvshare.com, des modèles en bon état mais avec quelques années au compteur sont disponibles à partir de 900$ la semaine kilométrages inclus. N’oubliez pas de prévoir également votre budget essence, la consommation d’un camping-car tournant en général entre 12 et 30 litres aux 100 kilomètres.
En mode débrouille

Crédit photo: toitsalternatifs
Crédit photo: toitsalternatifs

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Elections 2017: où voter à Washington DC ?

Pour les prochaines élections présidentielles et législatives, les votants inscrits sur les listes du Consulat Général de France à Washington (DC, Maryland, Virginie, Virginie Occidentale, Pennsylvanie, Delaware) devront se rendre, selon leur lieu de résidence, dans trois bureaux de vote différents.
Les résidents du District of Columbia, du Maryland, du nord de la Virginie ou de Pittsburg pourront déposer leur bulletin à Washington, dans les locaux de l’Ambassade de France aux Etats-Unis, à la “Maison Française” (4101 Reservoir Rd N.W.).
Ceux qui habitent en Virginie dans les villes de Charlottesville, Norfolk, Newport News et Richmond, doivent voter à Newport News, dans les locaux de “Vanguard Energy Services” (11868 Fishing Pont Drive).
Les habitants de Philadelphie ou de sa banlieue proche, dans le Delaware, doivent se rentrent à Philadelphie, dans les locaux de “l’Ecole Française de Philadelphie” (23 City Avenue – Bala Cynwyd).
Pour plus d’informations, veuillez consulter le site du Consulat Général de Washington où vous pourrez entrer votre code postal pour trouver le bureau qui vous a été affecté.

Humour: John Oliver explique la présidentielle française aux Américains

Avec le style dont il a le secret, l’humoriste John Oliver a fait rire son public aux éclats avec un sujet sérieux. Ce sujet, c’était l’élection présidentielle française.
Le 16 avril, l’animateur de l’émission satirique “Last week tonight” sur HBO a présenté à sa manière les différents candidats à l’élection, rappelant l’importance du scrutin pour l’avenir de l’Europe. Jacques Cheminade et Jean Lassalle en prennent pour leur grade. Il s’amuse aussi des “enfarinades” dont François Fillon et Manuel Valls ont été la cible, ainsi que le jet d’oeuf contre Emmanuel Macron. De quoi faire une bonne crêpe, selon lui.