Si vous n’avez aucunement l’intention de vous retrouver dans un restaurant le soir de la Saint-Valentin, voici quelques bons plans pour vivre un 14 février romantique et rigolo, loin des opérations commerciales. 5. La sculpture les yeux bandés chez Unarthodox
Vous connaissez Unarthodox si vous suivez French Morning. Nous y avons organisé notre premier “Expérience New York en vrai”. Ici, vous ferez de belles (et de moins belles) sculptures en argile les yeux bandés. On verra qui sont les vrais artistes! Un bon moment à partager à deux. Réservations et informations ici 4. Un bisou sur la Brooklyn Heights Promenade Brooklyn Heights Promenade
C’est l’un des endroits favoris de French Morning. Et pour cause, il peut servir et resservir pour les parents, les amis de passage, les cousins et… les amoureux/ses. Cette promenade en hauteur, bordée d’arbres, offre une vue spectaculaire sur l’East River et le sud de Manhattan depuis le quartier historique de Brooklyn Heights. Infos ici 3. Un menu et un film
Se faire un film le soir de la Saint-Valentin, c’est classique. Se faire un cinéma-restaurant, c’est un poil mieux. Le 14 février, testez donc ce concept qui est de plus en plus répandu à New York. Nitehawk en a été le pionnier à Williamsburg, mais d’autres salles existent à Bushwick (Syndicated) et désormais au South Street Seaport (iPic). Réservations conseillées. 2. Soirée peinture-vin
C’est bien connu (ou pas): il sommeille un Monet en chacun d’entre nous – même si il sommeille très profondément parfois. Plusieurs groupes de peinture ouverts aux amateurs se réunissent tous les jours ou presque à New York. Et la Saint-Valentin ne fait pas exception. Chez Paint Along à Chelsea, on peut apporter une bouteille de vin pour stimuler sa créativité. Même chose à Paint & Sip Studio. Le site Paint Nite rassemble, lui, plusieurs ateliers de “paint and sip”. Le vin est parfois inclus dans le prix du ticket. Dans tous les cas, vous prendrez de la bouteille. 1.Un cours de surf
Surfer en plein Manhattan, c’est possible à Surfset, une école qui surfe sur l’appétit légendaire des New-Yorkais pour les nouvelles méthodes de “workout”. Des cours pour tous les niveaux sont proposés chaque jour dans l’East Village. Une activité sportive et amusante qui s’apprécie encore plus à deux et dont vous parlerez encore dans un an. On se jette à l’eau !
On vous avait déjà parlé de la passion des Américains pour les glaçons, il semble en être de même pour la glace. L’association Central Park Conservancy organise samedi 11 février son sixième Ice Festival.
L’événement, qui aura lieu au Naumburg Bandshell, débutera à 3pm par des démonstrations de sculpture sur glace. Les artistes de la compagnie new-yorkaise Okamoto Studio transformeront à la tronçonneuse, au marteau et au burin près de 3.000 kilogrammes de glace en répliques des plus célèbres statues et sculptures du parc.
A la nuit tombée, les lieux se transformeront en boite de nuit silencieuse, l’occasion de profiter de performances live de DJs dans le plus grand calme grâce à la mise à disposition de casques audio (premier arrivé, premier servi).
Bien que l’événement soit gratuit, les organisateurs vous encouragent à vous inscrire à l’avance. Le programme détaillé du festival est disponible sur le site officiel de l’événement.
Myline Descamps et Claire Obry n’en doutent pas : la Saint-Valentin sera française cette année. Et pour cause, du vendredi 10 au mardi 14 février, les deux Françaises ouvrent leur premier pop-up store new-yorkais en plein SoHo. Leur boutique éphémère proposera exclusivement des produits de l’Hexagone, parfois inédits aux Etats-Unis, à l’occasion de la fête des amoureux.
“Ça va être un mini Colette, façon ‘made in France’. On pourra s’y habiller de la tête auxpieds“.Produits pour hommes, femmes et enfants rempliront le magasin, ainsi que des oeuvres d’art, de l’épicerie fine ou des produits lifestyle innovants. “Et évidement des grands classiques comme la marinière Saint-James ou Sophie la Girafe, mais aussi et surtout des jeunes créateurs français”, comme la petite robe noire d’une jeune styliste marseillaise, en vitrine. “Tout sera travaillé pour que les clients qui entrent dans la boutique se sentent en France“.
A la genèse de leur projet : French Wink. Il y a deux ans, après divers projets liés au monde de l’art et de la culture francophone à New York, la Niçoise Claire Obry, accompagnée à l’époque d’une autre expatriée Emilie Chassagne, fonde la première plateforme dédiée à la promotion du “made in France” aux Etats-Unis.
Pour sa part, Myline Descamps débarque à New York après avoir exploré l’Asie pendant 10 ans. Elle y avait fondé son entreprise de distribution de produits artisanaux sud-asiatiques. Elle rejoint rapidement la Niçoise dans sa nouvelle entreprise. Ensemble, elles refondent complètement French Wink. “A l’origine, c’était un e-shop avec des événements. Puis on s’est singularisé en offrant un contact direct avec le consommateur américain. On est pas du tout dans le B to B. On vend des produits français. La plupart sont 100% made in France et sont des exclusivités aux Etats-Unis”, explique Claire Obry.
Le troisième atout de French Wink, c’est Florence Routoulp. Basée à Castres, elle dirige le bureau français de l’entreprise et parcourt la France à la recherche de nouveaux produits à commercialiser de l’autre côté de l’Atlantique.
“Le marché américain peut faire peur, poursuit Myline Descamps. Pour les douanes, on a la connaissance nécessaire. On sait comment agir. On a aussi un entrepôt ici. Et c’est une vraie valeur ajoutée pour nos partenaires“.
L’intérêt pour les marques? Tester, d’abord à petite échelle, le marché américain. “Nous, sur place, on se charge de raconter l’artisanat et le savoir-faire qu’il y a derrière chaque produit. Surtout à New York, les consommateurs américains sont très friands du “made in France”, de cette histoire qu’il y a derrière le produit”, ajoute Claire Obry.
Avec ce premier pop-up store sur Mulberry Street, les deux entrepreneuses veulent présenter des créations fraîchement repérées en France tout en tissant un lien avec leurs clients. “C’est un premier essai, on misera plus gros après. On est vraiment dans ce qu’on appelle le ‘bricks and clicks’“.
Inspiré d’un fait divers, “Je compte sur vous”, de Pascal Elbé, bénéficie d’une prestation brillante de Vincent Elbaz. C’est le film vedette de ce mois de février sur TV5 Monde.
L’histoire vraie est celle de Gilbert Chikli, flamboyant escroc, condamné à sept ans de prison pour avoir détourné des millions d’euros en se faisant passer pour leur PDG auprès d’employés de plusieurs entreprises. Mais au-delà de l’histoire, c’est la performance d’acteur de Vincent Elbaz qui fait réussir le film.
Aux côtés de Julie Gayet, qui joue son épouse, Vincent Elbaz réussit l’exploit de dresser le portrait lucide de l’escroc sans jamais tomber dans la complaisance ni la caricature. Le film, deuxième réalisation de Pascal Elbé, mêle comédie et polar avec réussite.
Le dimanche 19 février à 8:30 pm (ET).
Bande annonce:
“Interaction gênante“, “conversation difficile“, “appel non conventionnel“: c’est ainsi que le site d’information politique américain Politico décrit dans un article du 8 février le coup de fil entre François Hollande et Donald Trump (le 28 janvier).
“C’était une conversation difficile, parce qu’il parle comme s’il parlait publiquement, a confié un officiel à Politico sous couvert de l’anonymat. Les chefs d’Etats ne se parlent pas ainsi habituellement. Il parle avec des slogans et la conversation n’était pas complètement structurée“.
D’après Politico, la source a également indiqué que Donald Trump avait abordé le sujet épineux de l’OTAN, lançant à son homologue français que les Etats-Unis “voulaient être remboursés“. Le président américain semblait “obsédé par l’argent“, a ajouté l’officiel. Pendant la campagne, le candidat Trump avait affiché sa volonté de réformer l’OTAN, une institution “obsolète” dont les pays membres ne paient pas “ce qu’ils devraient“.
Le récit offert par Politico est loin de la version envoyée aux journalistes par la Maison-Blanche après l’échange. “Le président Trump a réaffirmé l’engagement américain envers l’OTAN et a noté l’importance pour tous les alliés de l’OTAN de partager la charge des dépenses de défense“, peut-on lire dans le communiqué. Celui-ci met en avant le désir du républicain de “renforcer la coopération franco-américaine sur différents sujets“, comme la lutte contre le terrorisme, et évoque “les condoléances” exprimées par Trump pour “la perte de vies dans les attentats terroristes en France ces deux dernières années“.
Après le premier ministre australien et le président mexicain, François Hollande rejoint donc les rangs des leaders étrangers à avoir eu un appel téléphonique déconcertant avec Donald Trump. Le locataire de la Maison-Blanche avait défendu son style peu diplomatique début février lors du National Prayer Breakfast. “Quand vous entendez parler des coups de fil durs que je suis en train de passer, ne vous inquiétez pas, a-t-il dit. Nous devons être durs… Tous les pays du monde profitent de nous. Cela ne va pas durer“.
Un an après son ouverture, Holberton s’apprête à accueillir au printemps prochain sa 4e promotion. Face à ce succès, et pour pouvoir continuer à accepter des étudiants, les deux Français à l’origine de l’école viennent de lever 2,8 millions de dollars auprès de Daphni, Reach Capital et Jerry Murdock, co-Fondateur d’Insight Venture.
Les fonds seront utilisés pour accueillir plus d’étudiants (30 en 2016, 100 en 2017) et pour élargir la communication, notamment auprès des minorités non-représentées dans le milieu de la tech.
“La première promo est sortie et les résultats sont très encourageants, se félicite Sylvain Kalache, un des co-fondateurs de l’école qui forme des ingénieurs software. Certains de nos étudiants ont tout de suite trouvé un job à la sortie de la formation, notamment chez Vente Privée, Scality, Dropbox, Docker, Apple ou encore la Nasa. Les employeurs sont très contents de la formation et nous demandent d’autres recrues“.
L’école Holberton fonctionne selon le principe de l’éducation progressive, basée sur l’apprentissage plutôt que sur la connaissance universitaire. “L’idée est de former des étudiants opérationnels dès la sortie de l’école, explique Sylvain Kalache. Ils doivent connaître de bout en bout le système informatique et doivent être capables de collaborer car c’est le travail en équipe qui fait qu’une entreprise réussit“.
Au programme: pas de cours magistraux en amphi, mais de la pratique et des visites de mentors qui travaillent dans l’industrie et qui peuvent guider les étudiants. “Les universités font un très bon travail pour former des chercheurs mais elles restent trop théoriques, et ne sont plus adaptées à ce que demande l’industrie“.
Les inscriptions sont ouvertes pour la rentrée de mai et les critères de sélection raviront les non geeks: motivation, capacité à collaborer et talent (pas forcément lié à l’informatique). Tout le processus se fait via un formulaire et des épreuves sur ordinateur. “L’idée, c’est de supprimer le préjugé humain qui intervient forcément dans une sélection. Grâce à ce système, on reste objectif“, explique Sylvain Kalache, qui insiste sur la diversité d’âge, de sexe, de couleur de peau et d’origine sociale des étudiants admis. Et pour garantir cette diversité, la scolarité n’est pas payante, même si les diplômés qui trouveront du travail devront donner 17 % de leur salaire pendant trois ans. “Le succès de notre formation s’aligne sur le succès des étudiants et ça nous pousse à bien faire“.
Depuis 1858, Chinatown célèbre le nouvel an chinois par une grande parade, la plus importante des Etats-Unis. Le samedi 11 février, on célèbrera avec pétards et dragons dansants l’année du Coq. Une bonne occasion pour découvrir l’histoire du plus vieux quartier chinois d’Amérique à travers quelques lieux emblématiques.
Derrière les magasins attrape-touristes débordant de babioles bon marché, et les restaurants qui racolent le chaland à chaque coin de rue, Chinatown est intimement lié à la naissance et l’expansion de San Francisco. Les premiers immigrants arrivent en 1848. Deux ans plus tard, ils sont environ 20 000: la construction d’une ligne de chemin de fer transcontinentale et la ruée vers l’or attirent de nombreux Chinois originaires de la province du Guangdong. Ils se concentrent dans ce quartier, le seul où ils sont autorisés à s’installer. Portsmouth Square, lieu de naissance de San Francisco
Délimité par Kearny st. à l’est, Broadway au nord, Powell à l’ouest, et Bush au sud, le quartier chinois est le plus grand hors d’Asie, et le plus densément peuplé, avec plus de 100 000 habitants. Il s’articule autour de deux artères principales, Grant street, où se concentrent les magasins et restaurants pour touristes, et Stockton où s’alignent boucheries, primeurs et herboristes. Sur Stockton street
Difficile d’imaginer que San Francisco est officiellement née au coeur de Chinatown, sur l’actuel Portsmouth Square: en 1846, le capitaine John Montgomery y plante le drapeau américain et déclare que la ville appartient aux Etats-Unis. Robert Louis Stevenson, auteur de “L”Ile au trésor” aimait y flâner. Portsmouth Square est aujourd’hui le repaire des vieux Chinois qui disputent des parties d’échecs ou de cartes interminables. Les joueurs de cartes de Portsmouth Square Sexe, opium et salles de jeux
L’afflux de chercheurs d’or et de marins dans les années 1850 entraîne l’essor de la prostitution dans le quartier: on compte plus de 1 800 prostituées en 1880, soit 70% de la population féminine chinoise. Ah Toy, originaire de Hong Kong, est la première à se lancer dans l’industrie du sexe: en 1850, elle ouvre deux maisons closes, au 34 et 36 Waverly Place. Cette ruelle, avec ses balcons peints, est aujourd’hui l’une des plus charmantes du quartier. Waverly Alley
Chinatown est également connue pour ses fumeries d’opium, concentrées sur Duncombe Alley, tandis que Ross Alley regroupait des salles de jeux illégales. S’il ne reste aucune trace de ces lieux de perdition, le dépaysement est garanti dans les ruelles de Chinatown. Au 56 Ross, la Golden Gate Fortune Cookie Factory produit depuis 1962 près de 20 000 fortune cookies par jour. On peut assister à leur confection, les goûter et les acheter sur place. Golden Gate Fortune Cookie Factory Bouddhisme et Catholicisme Tin How Temple
Le plus vieux temple bouddhiste des Etats-Unis est fondé en 1852, en l’honneur de la déesse du ciel et de la mer: le Tin How Temple, situé au 3ème étage du 125 Waverly Place, est toujours un lieu de culte où l’on prie, on brûle de l’encens et on se fait prédire l’avenir. Old St Mary’s Church
A l’angle de California et Grant, la Old St Mary’s Church se dresse depuis 1853, et résista au tremblement de terre de 1906: la première cathédrale de San Francisco, édifiée pour éduquer la population chinoise à la foi catholique, est reconnaissable grâce à sa façade en briques. Le granite qui servit à ses fondations fut importé directement de Chine. Le Chinese Telephone Exchange Le Chinese Telephone Exchange
Dès 1894, un standard téléphonique est installé au 743 Washington st. Après le tremblement de terre de 1906, le bâtiment est reconstruit sous forme de pagode. Les utilisateurs ayant parfois du mal à retenir les numéros de téléphone, les opérateurs connaissaient par coeur plus de 3 000 noms et les numéros associés, et parlaient cinq dialectes en plus de l’anglais. L’arrivée du téléphone dans les foyers a précipité la fermeture du Chinese Telephone Exchange. La pagode existe toujours et abrite désormais une banque. Pour en savoir plus sur l’histoire de Chinatown La façade de la Chinese Historical Society of America, oeuvre de Julia Morgan Chinese Historical Society of America
Située dans l’ancienne YWCA au 965 Clay st., la Chinese Historical Society of America (CHSA) présente des expositions sur l’héritage chinois aux Etats-Unis. Le bâtiment lui-même vaut le détour, car il a été dessiné par Julia Morgan, architecte célèbre à qui l’on doit Heart Castle, la résidence extravagante du magnat de la presse Randolph Hearst. Les expositions de la CHSA abordent aussi bien les aspects culturels qu’historiques de la présence chinoise; une série de dioramas retrace la vie dans le Chinatown des années 1940. 恭喜发财! (Bonne année!)
En pleine tournée mondiale, le groupe français Alcest sera de passage au Curtain Club de Dallas le samedi 11 et le Grizzly Hall d’Austin dimanche 12 février.
Formé en 2000, le duo de Neige (Stéphane Paut) et Winterhalter (Jean Deflandre) est une référence dans le monde du post-black metal et du rock alternatif français. Considéré comme l’un des pionniers du Shoegazing et Blackgaze, Alcest façonne des oeuvres aux sons aériens et mélodiques. Une empreinte déjà manifeste sur leur premier album studio “Souvenir d’un Autre Monde”, sorti en 2007.
Rapidement, Alcest gagne une influence et une renommée planétaire. Le groupe se produit un peut partout dans le monde, du Japon à l’Amérique du Sud en passant par des scènes pointues d’Europe et des Etats-Unis.
Leur 5ème album “Kodama”, sorti en 2016, est directement inspiré par le long-métrage d’animation japonais “Princess Mononoké”. L’opus retrouve alors les codes des premier EP d’Alcest, tout en continuant d’explorer des sonorités nouvelles et créatives. Selon Télérama “Kodama devrait enfin lui donner la reconnaissance qu’il mérite en France“.
Reparti dans une tournée monstre cette année, le duo se produira dans plus de 37 villes du globe et fera une apparition au Hellfest 2017 à Clisson en juin.
Ils font partie de l’élite de la musique de chambre internationale. A la tête d’une belle collection de disques, Quatuor Diotima sera au First Presbyterian de Santa Monica les samedis 18 et 25 février après une tournée au Japon.
Fondé en 1996 par des lauréats du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, ce quatuor à cordes (Yun-Peng Zhao, Constance Ronzatti, Franck Chevalier, Pierre Morlet)met en valeur la création contemporaine avec les chefs-d’œuvre du passé. Le samedi 18 février, les virtuoses interprèteront des compositionsd’Hugh Levick, Eric Tanguy, de Pierre Boulez et Henri Dutilleux.
La deuxième soirée se veut plus classique avec du Arnold Schoenberg (Presto et String quartet n°2),Six Bagatelles op.9 d’Anton Webern et Lyric Suite d’Alban Berg. Ils seront accompagnés par la soprano Elissa Johnston et l’alto Adriana Manfredi.
New York, une ville aussi impressionnante d’en bas que d’en haut. French Morning a tutoyé ses gratte-ciel samedi 4 février, en embarquant dans l’hélicoptère du jeune pilote français Jérémy Ouzé. L’occasion de réaliser de magnifiques images de l’arrivée sur Manhattan par le sud de l’île, de la rotation de l’appareil autour du One World Trade Center et de la traversée de Central Park.
Nous avons décollé de l’aéroport de Linden dans le New Jersey à bord d’un hélicoptère Robinson R44 de quatre places (un pilote et trois passagers) pour un tour de 45 minutes. Cette formule permet d’admirer les principaux points touristiques de la ville, du Brooklyn Bridge à la Statue de la Liberté en passant par Central Park.
Jérémy Ouzé et Valentin Palka sont deux pilotes français en activité à New York jusqu’au 26 février. Diplômés en France respectivement en 2015 et 2016, ils sont venus à New York pour faire partager leur passion. De 110$ le vol de 30 minutes à 150$ pour 45 minutes, les prix proposés par les deux jeunes pilotes sont imbattables. Leur activité n’étant pas commerciale, l’argent des ventes sert uniquement à rembourser la location de l’appareil. Tous les détails sont disponibles dans notre article “Combien ça coûte un tour en hélicoptère à New York?“
Avis aux lucanophiles et cerfs-volistes en tout genre. Le magasin de jouets Skyward Kites et la ville de Miami organisent leurs 25eme Kite Days à Haulover Park. Le samedi 18 et dimanche 19 février, de 12pm à 5pm, petits et grands auront l’occasion de participer à une compétition du plus beau cerf-volant ou de simplement admirer le spectacle.
Ceux qui en seraient dépourvus pourront soit en acheter un sur place ou, plus original, créer le leur grâce à des ateliers gratuits. Aucune limite de taille ou de type de cerf-volant n’est à prévoir.
Côté animation, deux groupes de musique animeront les journées. “Classic Rock Therapy” le samedi et “The Free Rads Band” le dimanche. Et bien sûr, de nombreux points de ravitaillement seront sur place. L’évènement est gratuit et le parking coûte $7.
Vous avez aimé le concours de la meilleure baguette ? French Morning remet ça cette année.
Le principe n’a pas changé. Le concours se déroulera en deux temps:
1/ Vous (les lecteurs de French Morning), nominez vos baguettes préférées (jusqu’à trois choix possibles par votant) ainsi que votre e-mail. Il n’y a aucune restriction: les chaînes, les épiceries et les petites boulangeries de quartier sont admises, à condition qu’elles fassent elles-mêmes leur pain de A à Z. Le concours est ouvert à tout le sud-est de la Floride (Miami-Dade, Broward, Palm Beach and Monroe counties).
2/ De cette consultation émergera une liste de baguettes, parmi lesquelles un jury d’experts et d’amateurs éclairés désignera la meilleure baguette 2017, lors d’une grande cérémonie le 17 avril au National Hotel. Cet événement, dont les tickets seront mis en vente prochainement, sera ouvert au public et rassemblera les boulangers que vous aurez sélectionnés.
L’an dernier, La Parisienne avait remporté le Prix tant convoité au terme d’une soirée qui a rassemblé neuf boulangers et 450 curieux.
A vous de jouer (vous pouvez proposer une boulangerie au minimum et jusqu’à trois, dans l’ordre de préférence). Si le formulaire ne s’affiche pas, vous pouvez y accéder ici
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