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Les amoureux du J-1

Il a 24 ans, elle en a 22. Ils se sont rencontrés sur les bancs de l’ISCOM, une école de communication lyonnaise, et ils ont décidé de faire un J-1 ensemble.
Maxime Poussier et Lola Dumont sont tous les deux en stage de fin d’études à New York (lui comme assistant directeur créatif et elle comme “social media junior creative”) après avoir décroché ce visa synonyme, pour beaucoup de jeunes, de première expérience aux Etats-Unis. Trois cent mille J-1 sont délivrés tous les ans, selon l’administration américaine, pour des profils aussi variés que l’au pair, l’universitaire, l’enseignant, l’étudiant ou le stagiaire.
Nos deux tourtereaux n’en sont pas à leur coup d’essai. “J’ai trois J-1 à mon tableau de chasse, dont un qui date d’il y a presque dix ans, et Lola en a trois aussi” , explique Maxime Poussier. Pourquoi ne peuvent-ils pas s’empêcher de revenir aux Etats-Unis ? “Nous aimons la culture et la manière de penser, notamment au travail, la ville sans cesse en mouvement, les opportunités qu’elle offre…
Avant d’obtenir un J-1, il existe bien des paliers à franchir. Les étudiants qui veulent effectuer un stage en entreprise, comme les deux Français, doivent en trouver un. Ce qui n’est pas une mince affaire à distance. Il faut ensuite faire appel à un sponsor agréé, soit une institution qui fait office de passerelle entre le stagiaire et l’entreprise. Cet organisme peut vous permettre de décrocher le fameux DS-2019, document officiel nécessaire à l’obtention du J-1.
Trouver le bon sponsor peut prendre du temps. Il faut en démarcher un, sachant qu’il y en a plein, précise le jeune homme. On a passé des appels aux différents sponsors qu’on connaissait, notamment ceux qu’on avait déjà vu l’année dernière. Puis on compare les prix, mais dans tous les cas ils te délivrent la même chose”, poursuit Lola Dumont. Le prix du sponsor dépend de la durée du stage. “Environ 1.200 pour six mois sans compter les frais d’ambassade de 160$
Le visa J-1 est une affaire de temps. “Un mois, c’est le minimum du minimumpour les procédures, à moins de payer des frais supplémentaires pour accélérer les choses. Parmi les documents importants, le futur stagiaire doit notamment délivrer “la preuve qu’il a suffisamment de fonds afin de subvenir à ses besoins, car il faut savoir qu’aux États-Unis on n’est pas forcément payé”, mentionne Lola Dumont. D’autres justificatifs, dont la preuve d’un casier judiciaire vierge et les bulletins scolaires traduits en anglais, sont à fournir. Une autre modalité, pas toujours explicitement stipulée par le sponsor, sera un facteur décisif pour la délivrance du J-1. “Il faut obligatoirement que le stage soit à plein temps. L’année dernière, on m’a refusé un stage car l’entreprise ne m’acceptait qu’à temps partiel”, glisse Lola Dumont.
Une fois le dossier tamponné par l’entreprise et le sponsor, celui-ci vous transmettra le DS-2019, un document qui vous permettra de vous rendre à l’ambassade des États-Unis en France pour un entretien avec un agent consulaire. “Même si je l’ai déjà fait, j’ai toujours la pression. Mais à chaque fois, les agents ont été très sympas”, se souvient la Française.
Pour Maxime Poussier, le visa lui a été délivré en “deux mois et demi” après le début des démarches. “Ce qui retarde en général, c’est le retour des professionnels, qui doivent remplir plusieurs documents. Aussi, le sponsor est assez tatillon et le gouvernement a des délais de traitement” . Il estime que la procédure peut prendre entre “2 et 4 mois” en fonction de “la réactivité de l’employeur” .
Lola Dumont conseille aux demandeurs de J-1 de “ne rien lâcher parce que les démarches sont longues, et de booster l’entreprise”. Avoir un peu d’amour dans ce monde de paperasse ne fait pas de mal non plus.  “Chaque dossier avance à des vitesses différentes. C’est parfois un peu stressant de voir qu’un dossier avance beaucoup plus vite que l’autre. Mais le faire à deux est rassurant, poursuit Maxime Poussier. On peut se guider et se donner un coup de pouce” . Cela aide à “avoir du recul sur la situation et se dire entre nous que ça va passer” .

Faites votre bûche de Noël lors d'un Speak Easy spécial le 5 décembre

A l’approche de Noël, French Morning vous propose de joindre l’utile à l’agréable en organisant un Speak Easy spécial. Lundi 5 décembre, vous aurez l’occasion de confectionner votre propre bûche de Noël tout en pratiquant votre anglais.
L’atelier sera proposé par le chef pâtissier Simon Herfray, patron de French’Encas. Vous aurez la possibilité de repartir avec votre création et d’en faire profiter vos proches! Pour le reste, le concept de Speak Easy ne change pas. Nous formerons des tandems de francophones et d’anglophones au début de l’évènement. Les paires changeront toutes les 14 minutes, après sept minutes de conversation en anglais, sept minutes en français. Il y aura cinq changements au total.
Inscriptions obligatoires.

Quiz: Devinera-t-on depuis combien de temps vous êtes à New York ?

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Etes-vous un “baby New Yorker” qui rêve quand il voit la neige tomber ou un vétéran qui ne va plus depuis longtemps au 230 5th ? Passez ce quiz rigolo et on vous dira (en tout cas, on essayera de vous dire) depuis quand vous êtes à New York.

Les Meilleurs Marchés de Noël de Washington

Les fêtes de fin d’année arrivent à grands pas. Voici quelques marchés de Noël, à ciel ouvert ou en intérieur,  à Washington et aux environs pour aller faire tout votre shopping saisonnier.

Le Downtown Holiday Market

Pour sa douzième année, le Downtown Holiday Market revient sur F street entre la 7ème et la 9ème rues, NW du 25 novembre au 23 décembre. C’est LE marché de Noël de la région avec plus de 150 artisans locaux installés sous des tentes autour de la Portrait Gallery à Chinatown. Tout au long du mois, des artistes variés se produiront sur la la scène du marché, qui est ouvert tout les jours de midi à 8:00pm.
Le Marché de Noël Bavarois de Garden District 
Normalement l’arrivée de l’hiver annonce la fin des beer gardens, mais pas pour Garden District qui se reconvertit en “beer garden de Noël”, avec 10.000 petites lumières scintillantes pour mettre une ambiance festive (et pleins de radiateurs aussi!) du 25 novembre au 18 décembre. En plus des bières allemandes habituelles, il y aura des cocktails de saison avec des noms rigolos comme « Blitzen’s Blitzed Hot Cider » et « Miracle on 14th Street Mulled Wine. » Vous pourrez aussi y trouver votre sapin de Noël et, le weekend, faire votre shopping grâce à un petit marché. Parmi les vendeurs proposés: les terrariums de Sill Life, les creations en verre soufflé de Pierre Bowring ou les illustrations de Lenora Yerkes. Garden District est situé à l’intersection de S et de la quatorzième rue, NW. Le jardin est ouvert à 5:00pm en semaine et à partir de midi le weekend. La tente marché de noël sera ouverte les vendredis soir, samedis et dimanches.
Le Marché de Noël d’Alexandria
Cet événement annuel transforme le quartier du Carlyle, près de Old Town Alexandria, en veritable festival à ciel ouvert. Le Père Noël sera là pour prendre des photos et il y aura d’autres activités pour les enfants, notamment la possibilité de peindre sa propre boule de Noël. Pour les plus grands, il y aura du Gluhwein et du chocolat chaud, de la musique et bien sûr tout ce qu’il faut pour attaquer sa liste de cadeaux ! Le marché d’Alexandria a lieu au 300 John Carlyle Street, les week-ends (3-4 décembre, 9-11 décembre) et la semaine qui précède Noël (16-22 décembre) de 11:00am à 7:00pm.
Harbor Holiday Market 
Le marché de Noël de la National Harbor dans le Maryland propose une ambiance festive et plus de 160 marchands tous les samedis et dimanches de décembre, jusqu’au 21 décembre. Les organisateurs présenteront également des films comme « Elf » (le 3 décembre), « Vacances de Noël de National Lampoon » (le 26 novembre) et « Dr. Seuss – How the grinch Stole Christmas » (le 17 décembre). Le marché est ouvert de 12:00pm à 5:00pm le week-end sur American Way à National Harbor.
Christkindlmarkt au Heurich House Museum
Les 2, 3 et 4 décembre, le Heurich House Museum abritera Christkindlmarkt, un marché de Noël typiquement « germano-américain, » inspiré par les origines allemande de la famille Heurich. En plus d’une quarantaine d’artisans locaux comme Undone Chocolate, Marcella Art + Illustrations où la créatrice de bijoux franco-américaine Poppy Charpentier, Café Berlin sera là samedi et dimanche pour vendre des bratwursts et pretzels ainsi que des « stollen. » Vendredi soir, Right & Proper Brewery servira aussi des pintes de bière made-in-DC. Le Heurich House Museum est située au 1307 New Hampshire Ave NW. Le billet d’entrée de $10 donne accès au musée et au marché de Noël le vendredi 2 décembre de 4:00pm à 9:00pm et le samedi et dimanche 3-4 décembre de 11:00am à 5:00pm.
Le pop-up marché « Holiday-Make-It » de NoMa
Pourquoi acheter des cadeaux tout fait quand vous pouvez les faire vous même? C’est ce que vous propose Wunder Garden (1101 1st street NE) le 3 et 4 décembre. Le Lemon Bowl et NoMA BID proposeront des ateliers ou vous pourrez apprendre à faire votre propre terrariums, cartes de voeux, pompoms décoratifs et autre. Il y aura bien sûr aussi du gluvine et, pour ceux qui ne sont pas trop créatifs, la possibilité d’acheter des cadeaux tout faits, ainsi que votre sapin de Noël.

Deuxième tour de la primaire de la droite: Juppé victorieux en Amérique du Nord

Comme le premier, c’est Alain Juppé qui remporte le deuxième tour de la primaire de la droite et du centre en Amérique du Nord. L’ancien premier ministre de Jacques Chirac s’impose avec 52,6% des suffrages contre 47,4% pour François Fillon, selon des résultats provisoires. 7.223 personnes ont voté.
Pour les Français de l’étranger dans leur ensemble, le résultat est inversé. Avec 49.500 votants, c’est François Fillon qui arrive en tête avec 52,3% des voix contre 47,7% pour Alain Juppé. Le maire de Bordeaux avait remporté le premier avec 45,5% des voix.

Story, le concept store de New York qui change tous les trois mois

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Expérience New York, c’est un endroit à découvrir chaque week-end. C’est tout. 
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Si vous êtes des fidèles d’Expérience New York, vous aurez noté que nous ne sommes pas très « shopping oriented ».
C’est bête, en fait. Parce que de temps en temps, une bonne dose de société de consommation, de plongée 100% matérialiste, d’achats impulsifs, ça fait du bien, non ?
Parmi les mille magasins de folie qu’il y a à New York, on en choisit un seul cette semaine. Story. Vous connaissez ?
Story, c’est le « Point of view of a Magazine/ Changes like a Gallery/ Sells things like a Store ». On ne traduit pas, vous êtes bilingues. Mais on peut vous dire que c’est du concept store dans toute sa splendeur.
Il est différent des autres magasins, car il change tous les trois mois. Complètement. D’ailleurs, il ferme pendant trois semaines entre deux installations, dommage pour vous si vous tombez dans ces creux. Mais la frustration crée le désir, non ?
Chaque fois, un thème différent : Wellness, Remember when, Disrupt, Have Fun, Feel Good…
Oui, oui, c’est très concept, ultra branché. Mais au moins, on n’a pas peur en y entrant. Pas comme dans certains magasins où vous êtes dévisagés des pieds à la tête, et vous n’avez en général ni la bonne tête, ni les bons pieds.
Et puis, Noël approche. On se dit toujours qu’on a le temps pour les cadeaux et puis en fait, non, le temps file et on finit par tout commander sur amazon… STOP ! Achetez dans de vrais magasins, qui paient des loyers, avec des vrais vendeurs à qui vous pouvez parler. Restons humains, enfin !
Et on vous promet que vous trouverez le cadeau parfait pour votre chéri(e), votre frère, votre belle-sœur, vos neveux, votre belle-mère (aussi) parce que ce mois-ci, le thème c’est « Home for the Holidays », et il y en a pour tout le monde.
Crrric..Shllaakk.
Ça y est, la carte bleue crépite. Désolé.
MARRE DU MATÉRIALISME ?
À deux blocs que là, un jardin caché. Poussez la grille du General Theological Seminary, au 440 W 21st St. Laissez une pièce d’identité au gardien et allez vous ressourcer dans ce havre de paix. Si c’est fermé (je n’ai pas très bien compris les horaires d’ouverture), allez squatter le café Intelligentsia au rez-de chaussée du High Line Hotel juste à côté (180 10th Avenue) et prenez un capuccino. Vous verrez, on vous dessinera un coeur avec la mousse, vous n’oserez plus le boire tellement c’est beau.
 

6 app de VTC pour se déplacer à New York (en dehors d'Uber)

Bientôt, on ne verra plus personne heller un taxi jaune dans les rues de New York. Il suffit de sortir son smartphone pour pouvoir aller d’un point à l’autre. Il y a Uber, certes, mais pas uniquement. Tour d’horizon des apps de VTC.
Via
Ceux qui ne jurent que par Manhattan seront séduits par Via, une application permettant de se rendre n’importe où dans ce borough en dessous de la 125ème rue pour… 5$. Trop beau pour être vrai ? Il y a quelques restrictions: Via fonctionne de 6am à minuit en semaine, de 10am à minuit les samedi et jusqu’à 9pm les dimanches. Elle marche pour Williamsburg, mais pas ailleurs en dehors de Manhattan (à l’exception de JFK et LaGuardia). Point important: l’application ne propose que du co-voiturage, donc attendez-vous à faire plusieurs arrêts. La start-up prévoit d’étendre son service aux autres boroughs de New York.
Lyft
Si vous préférez avoir une voiture rien que pour vous, vous pouvez vous tourner vers Lyft. Il s’agit du concurrent direct d’Uber. Le fonctionnement est le même. Mais Lyft a la réputation de mieux traiter ses chauffeurs, à qui l’on peut laisser des pourboires notamment. La compagnie se veut moins formelle que le géant des VTC. Il arrive, par exemple, que le chauffeur vous invite à monter à l’avant. Les prix sont comparables à ceux d’Uber, voire un peu plus chers. Lyft propose aussi plusieurs formules de véhicules (co-voiturage, privé…) à des prix variables.
Juno
Dans la même lignée, Juno vient de faire son apparition sur le marché. L’application fonctionne comme Uber ou Lyft mais se présente, elle aussi, comme plus généreuse envers les chauffeurs. Juno propose trois tailles de voitures, plus ou moins chères. Les tarifs sont, pour le moment, plus intéressants que chez Uber et Lyft (d’environ 5 à 10$) et surtout les prix ne varient pas en fonction des heures de pointe. À vous d’en profiter tant que cela dure. Laisser un pourboire est encouragé.
Gett
Anciennement connu sous le nom de GetTaxi, cette application met en relation les clients avec les chauffeurs de taxi. La course ne sera que de 10 dollars à Manhattan au sud de la 110eme rue. Gett permet aussi de réserver son taxi à l’avance et, gros atout, ne pratique pas de “surge pricing” (augmentation des prix en situation de forte demande).
Arro
Arro a été lancée pour permettre aux taxis de faire face à la déferlante des VTC. Le concept: pouvoir trouver un taxi et le payer via son téléphone. Plusieurs autres applis proposant le même service existent dont Curb et Way2Ride.
Bandwagon
Bandwagon permet de vous éviter de faire la queue. Comment ? Il suffit d’envoyer un SMS avec votre destination et Bandwagon recherche les personnes autour de vous qui vont dans la même zone. Si vous êtes dans une file d’attente, à l’aéroport par exemple, vous pourrez passer devant tout le monde. Un agent Bandwagon vous mènera à votre véhicule et le prix de la course sera divisé par deux.

Le sapin du Rockefeller Center s'illuminera le 30 novembre

Vous allez en prendre plein les yeux. Le mercredi 30 novembre, le mythique sapin de Noël du Rockefeller Center s’illuminera pour les fêtes. Une tradition new-yorkaise.
Des milliers de personnes se pressent chaque année pour assister à l’événement vieux de plus de 80 ans et retransmis en direct dans le monde entier. Admirer le sapin, originaire d’Upstate New York, ne sera pas la seule raison de se déplacer. Plusieurs artistes sont attendus entre 7pm et 9pm dont Tony Bennett, Neil Diamond, Josh Groban, Tori Kelly, Sarah McLachlan, Dolly Parton et les Radio City Rockettes.
L’arbre restera illuminé et pourra être vu jusqu’au samedi 7 janvier 2017 à 9pm.
 

7 choses à faire à New York pendant le week-end de Thanksgiving

New York est la ville qui ne dort jamais, même quand elle est victime du “food coma” post-Thanksgiving. Si vous vous demandez comment occuper votre long week-end, ne cherchez plus. Voici quelques plans.
La traditionnelle parade de Thanksgiving
parade
Thanksgiving à New York, c’est la traditionnelle Macy’s Thanksgiving Day Parade. Elle est organisée depuis 1924 par le célèbre magasin. Les ballons géants de personnages de films ou de dessins animés se faufilant entre les gratte-ciel ne laissent personne indifférent, même les grands enfants. La parade partira jeudi 24 novembre du croisement de 77th Street et Central Park West vers 9am pour descendre la 6th Avenue et rejoindre le grand Macy’s de Herald Square. Un certain nombre de stars honoreront l’évènement de leur présence dont le chanteur Brett Eldredge, le médaillé de course paralympique Mikey Brannigan ou encore les célèbres Muppets.
Il est aussi possible d’assister au gonflage des ballons la veille en vous rendant autour du Museum of Natural History, entre la 77th et la 81st, de Columbus Avenue à Central Park West entre 3 et 10pm. Vous pourrez entrer gratuitement dans les zones réservées au gonflage.
Une bonne action en aidant les plus pauvres
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Thanksgiving est la fête du partage. Plusieurs actions caritatives sont organisées le jour de Thanksgiving dont le Thanksgiving Community Feast de 12pm à 2pm au Tompkins Square Park. Le but : venir en aide aux personnes défavorisées en proposant un banquet entièrement vegan. Les bénévoles sont aussi encouragés à apporter des plats, bien que cela ne soit pas obligatoire.

Aller à un match de NBA

knicks
 
À New York, le sport ne se repose jamais. Vendredi 25 novembre, les Charlotte Hornets affronteront les Knicks au Madison Square Garden. Le match débutera à 7:30pm. L’occasion de découvrir l’ambiance d’un match de basket aux Etats-Unis et d’encourager le Français Joakim Noah.
Préparer ses cadeaux de Noël

Bazaar

Le Brooklyn Holiday Bazaar reprend ses droits à Williamsburg après la folie du Black Friday. L’évènement regroupe plus d’une quarantaine d’exposants (nourriture, bijoux, art, accessoires…). Pendant que vous vadrouillerez entre les stands à la recherche du cadeau de Noël parfait, un DJ s’occupera d’animer la salle. Le bazaar sera ouvert les 26 et 27 novembre de 11am à 6pm au 501 Union St.
Spectacle des Rockettes
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C’est l’un des spectacles de danse de précision les plus connus au monde: les Rockettes. Comme chaque année depuis 1933, la légendaire troupe de danseuses  fait son retour au Radio City Music Hall. Une vraie tradition de Noël à New York, au même rang que l’illumination du sapin du Rockefeller Center ou le concours de pulls moches au bureau. La troupe fondée en 1925 compte 80 danseuses mais ces dernières ne sont que 36 à la fois sur scène. Pour la période des fêtes, elles se produisent cinq fois par jour, sept jours sur sept jusqu’au 2 janvier 2017.
Un tour à la patinoire de Bryant Park
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Pour brûler la dinde et faire chavirer votre “date” , rien de tel qu’un tour à la patinoire. Le Bryant Park Winter Village est ouvert depuis le 29 octobre. Outre son énorme patinoire ouverte de 8am à 10pm (location des patins pour 20 dollars), vous pourrez profiter d’un bon chocolat chaud et d’autres petits plaisirs au marché de Noël du parc, qui regroupe plus de 125 commerces (nourriture, accessoires, art…).
Une sortie culture
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Jusqu’au 14 janvier, la galerie d’art Petzel accueille l’exposition “The New York Times Painting: November-December 2015” . C’est l’oeuvre de Wade Guyton, un artiste américain qui a reproduit des photos du site internet du quotidien en peinture. Pour ceux qui préfèrent voir une exposition plus étrange, sur l’art immersif dans l’histoire, le Whitney Museum continue son exposition “Dreamlands: Immersive Cinema and Art”.
 
 
 

Christian Boltanski expose ses souvenirs à San Francisco

Le travail de Christian Boltanski, artiste multi-facettes, sera exposé à San Francisco dans le cadre de “From Generation to Generation: Inherited Memory and Contemporary Art” , à partir du 25 novembre au Contemporary Jewish Museum.
Le Français, connu pour son travail sur l’Holocauste, fait partie de 24 artistes internationaux rassemblés pour cette exposition. Leur point commun: ils ont produit des oeuvres d’art à partir de photographies qu’ils ont vues, d’histoires qu’on leur a racontées et même du vague souvenir d’un rêve. Une démarche qui leur permet d’offrir par l’art des lecteurs d’évènements qu’ils n’ont pas vécus.
Les artistes proviennent d’horizons très différentes. Outre Christian Boltanski, l’exposition comprend aussi le travail du photographe vietnamien Binh Danh qui, en utilisant la photosynthèse, a réussi à afficher des photos de la guerre du Vietnam sur des feuilles d’arbre. L’artiste argentine Silvina Der-Meguerditchian, qui a réalisé une oeuvre adressée aux exilés du peuple arménien, fait aussi partie des participants.

Abecedarium, un air de bal masqué au Perez Museum de Miami

Miami met ses habits de fête. Le jeudi 1er décembre, de 12pm à 4pm, le Pérez Art Museum présentera “Abecedarium: The Masquerade Ball from A to Z”. Lors de cet événement spécial, qui en est à sa troisième édition, les visiteurs pourront admirer masques et costumes, dans une ambiance de carnaval et de déguisements.
Ce projet de l’historienne du design et commissaire d’exposition Alexandra Midal, lancé par les services culturels de l’ambassade de France aux Etats-Unis, explorera 26 sujets relatifs au bal masqué à travers chaque lettre de l’alphabet, du début du XVIIIe siècle à nos jours. Objectif: décortiquer le concept du bal masqué sous toutes les coutures (politique, pratique, artistique…). Des designers, artistes, des conservateurs de musées et des experts aborderont ces questions. Abecedarium a été montré aux Musée des Arts décoratifs (Paris) et au MoMA (New York).
Ce projet s’inscrit dans le cadre de Oui Design, un programme de l’Ambassade de France aux Etats-Unis qui vise à stimuler les échanges entre les deux pays dans le domaine du design. RSVP auprès de: [email protected]

Catherine Cusset se dévoile à Albertine

Finaliste du Goncourt 2016 avec son roman L’Autre qu’on adorait, Catherine Cusset sera à la librairie Albertine le lundi 28 novembre pour une discussion.
Plume française traduite dans quinze langues, l’écrivaine est l’auteure de plusieurs ouvrages reconnus, comme Le problème avec Jane (finaliste du Prix Médicis et Grand Grand Prix littéraire des lectrices d’Elle 2000), Confessions d’une radine, Indigo ou encore Un brillant avenir (Prix Goncourt des lycéens 2008). Son dernier livre, L’Autre qu’on adorait, aborde la vie – et la mort –  d’un de ses proches, un jeune homme brillant et bipolaire qui se suicide.
Elle sera interviewée par la journaliste Prune Perromat, animatrice de l’émission The Literary Show Project.
Discussion en français.