Brian Wilson, compositeur et membre du groupe américain légendaire Les Beach Boys, a marqué plusieurs générations. Il sera en tournée internationale pour les 50 ans de “Pet Sounds”, un album au succès sans précédent. Retrouvez-le le 13 octobre au Masonic Center de San Francisco.
Classé comme l’un des opus les plus marquants de l’histoire de la musique pop, l’album de 1966 sera repris par Brian Wilson et deux des anciens membres du groupe, Al Jardine et Blondie Chaplin. Ensemble, ils sillonneront l’Australie, l’Europe, le Japon et les États-Unis. Soixante-dix dates sont prévues. Les artistes reprendront l’album dans son intégralité, ainsi que certains morceaux phares de la carrière solo de Brian Wilson.
En 1961, Brian Wilson fonde les Beach Boys avec ses deux frères, son cousin et un ami d’enfance. Le succès est immédiat. Cependant, des problèmes de drogue viennent entacher son parcours musical. Officiellement séparé des Beach Boys en 1985, il entame une carrière solo et sort son premier album en 1988.
Brian Wilson des Beach Boys fête les 50 ans de "Pet Sounds" à San Francisco
Qu'est-ce que je risque à fumer du cannabis à San Francisco ?
Cela n’échappe aux narines de personne. Dans certaines rues de San Francisco, berceau du mouvement hippie, plane dans l’air une vague odeur de marijuana. Mais est-ce pour autant autorisé de fumer un joint dans les lieux publics ?
« Fumer publiquement du cannabis est très courant en Californie », explique Chris Conrad, expert judiciaire en culture et consommation de cannabis. Pourtant, consommer de la marijuana à usage récréatif n’est toujours pas légal en Californie, contrairement aux États voisins de l’Oregon et de Washington. Après avoir rejeté la légalisation du cannabis en 2010, les électeurs californiens s’apprêtent, en novembre, à voter à nouveau pour autoriser ou non « les personnes de plus de 21 ans à acheter une once (environ 30 grammes) de marijuana ou des produits à base de cette drogue », indique le texte de la proposition 64.
Du délit à la contravention
Entre 1976 et 2010, fumer et posséder de la marijuana (moins de 28 grammes) était « considéré comme un délit passible d’une amende de 100 $, inscrit sur le casier judiciaire du contrevenant ». En 2010, la proposition de loi 1449 du Sénat a ramené ce délit au rang de contravention. « L’amende est toujours de 100 $ mais la contravention ne figure plus sur le casier judiciaire du contrevenant. Et en général, les policiers ne verbalisent pas les fumeurs », constate Chris Conrad.
L’usage médical
En 1996, la Californie a été le premier État américain à autoriser la consommation et la culture du cannabis à des fins médicales, avec l’adoption de la Proposition 215, également appelée “Compassionate Use Act” . Le « malade » doit souffrir d’une « serious medical condition » pour avoir une « Medical Marijuana Identification Card (MMIC) » s’il veut consommer du cannabis sans être inquiété. La carte est délivrée par le Département de la Santé publique de Californie à l’issue d’une consultation (environ 100 $) auprès d’un médecin agréé. Des petits problèmes d’anxiété et de sommeil suffisent à justifier le recours au cannabis…
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La Medical Marijuana Identification Cards (MMIC), l’autre carte verte américaine. (Crédit : Klervi Drouglazet)
Le « patient » est donc autorisé à se promener dans la rue avec « 8 onces (226 grammes) de cannabis sur lui » et de « cultiver 6 pieds en floraison et 12 plants en croissance », explique le site Meadow, considéré comme « l’Uber de la marijuana ». La MMIC ne donne pas pour autant le droit au fumeur d’allumer impunément un joint dans un lieu public.
« Fumer du cannabis fait partie du mode de vie californien depuis les années 60, particulièrement à San Francisco ou Oakland. Et la marijuana est beaucoup plus tolérée que le tabac », souligne Chris Conrad. Si la proposition 64 est adoptée en novembre, fumer du cannabis (et même du tabac) dans les lieux publics restera tout de même passible de 100 $ d’amende à San Francisco.
Vieilles Charrues à New York: jusqu'à 25% de réduction sur vos tickets
Cette offre est réservée aux lecteurs de French Morning. Pour cette première, les Vieilles Charrues arrivent avec une tête d’affiche qui remplit les salles en France: Mathieu Chedid, alias M. Le DJ The Avener (Victoire de la musique 2016), les étonnants Krismenn & Alem (qui mêlent hip-hop et chants bretons) et le Celtic Social Club.
BLEU BLANC BOX, un coffret surprise pour chouchouter les expatriés
(Article partenaire) Lepetitjournal.com, média leader chez les Français de l’étranger, se diversifie pour être toujours plus proche des expatriés et lance la BLEU BLANC BOX, un coffret surprise qui permet de recevoir chaque mois un petit bout de France à l’étranger. Journaliste devenu entrepreneur, Hervé Heyraud (ci-dessous), le président-fondateur du site, nous explique la genèse de ce projet.
lepetitjournal.com lance sa BLEU BLANC BOX, pourquoi ?
J’ai été expatrié longtemps, de Mexico à Bangkok. Comme les autres, j’ai rempli mes valises de bocaux, bouquins ou autres cosmétiques lors de mes retours de France. On a tous ramené pour sa famille, ses amis, ses voisins, les derniers produits sortis et non encore disponibles au bout du monde. On a tous reçu un colis bricolé venu de France pour son anniversaire. Avec la BLEU BLANC BOX, j’ai voulu que chacun puisse faire plaisir ou se faire plaisir, tout simplement, en recevant un concentré de petits bonheurs dans sa boîte aux lettres chaque mois.
Que trouvera-t-on dans la BLEU BLANC BOX ?
Chaque box sera une surprise : un zeste de culture (romans, presse) , des gourmandises (bonbons gâteaux, condiments, conserves), des produits bien-être (savon, crèmes de soin), des classiques intemporels ou des nouveautés à découvrir issus des grandes marques françaises et de producteurs régionaux. L’idée c’est de proposer des pépites bien de chez nous, the french way of life en somme…
Vous êtes journaliste de formation, vous devenez avec ce projet un véritable entrepreneur ?
Ma démarche est au fond toujours la même, être à l’écoute des Français de l’étranger et les accompagner, où qu’ils se trouvent. Avec lepetitjournal.com nous nous adressons quotidiennement aux expatriés, qu’ils soient partis un an ou pour toujours, et nous leur donnons la parole. J’ai fondé ce média, véritable mix d’informations internationales et locales, il y a 15 ans au Mexique. Aujourd’hui nous sommes présents dans 60 villes sur les 5 continents, grâce à un réseau de franchisés et nous comptons 600.000 lecteurs réguliers. Lepetitjournal.com connaît donc parfaitement les Français de l’étranger, leurs envies et leurs besoins. La BLEU BLANC BOX est là pour leur rappeler leur « Douce France », les saveurs de leur enfance, les parfums de leurs vacances, mais aussi leur faire découvrir les dernières tendances.
BLEU BLANC BOX Comment ça marche ?
Je suis expatrié (e), je souhaite m’abonner et recevoir chaque mois la BLEU BLANC BOX, 4 clics suffisent :
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Mathilde Freund, la Française centenaire du Grand Bazaar de New York
Derrière plusieurs rangées de tables débordant de bijoux, de tableaux et autres babioles dans une grande salle remplie de chalands, on aperçoit une petite femme debout à côté d’un étal de colliers et de bracelets.
Il y a beau avoir plus de 100 vendeurs en tout genre au Grand Bazaar, tout le monde connaît Mathilde Freund. La Française née en Autriche a eu 100 ans le 15 août et en a passé trente à vendre des bijoux dans ce grand marché dominical de l’Upper West Side. Loin de se laisser embêter par ce fichu temps qui passe, elle est là chaque dimanche, sauf à quelques rares exceptions quand elle voit sa famille ou que la météo n’est pas clémente. Une manière pour elle de montrer son attachement à la mission du marché: soutenir quatre écoles du quartier représentant plus de 4.000 élèves. “C’est bien pour moi. Je m’occupe. Je ne pense pas toujours à la même chose” , confie-t-elle.
Mathilde Freund fait bien plus que vendre des colliers. Aux visiteurs qui l’abordent, elle montre des photos en noir et blanc de son frère Alfred et de son mari Fritz, tués par les Nazis à la fin de la guerre, et d’un groupe d’hommes juifs autrichiens et angolais qu’elle a cachés pour les sauver de la déportation. Pendant cette période noire, elle a perdu pratiquement tous les hommes de sa famille, partis combattre en Afrique du nord avec l’armée française ou exécutés. Son mari, capturé à Lyon, est mort quelques jours avant la libération de Buchenwald, où il avait été envoyé, et son frère a été fusillé à peine une semaine avant que les forces hitlériennes ne déposent les armes. “Pendant sept ans de ma vie, de 1938 à 1945, j’ai beaucoup souffert, se souvient-elle. J’ai vécu cachée dans les forêts, dans les caves. Je ne peux pas l’oublier. Je souris, mais mon coeur est triste” .
Elle arrive à New York en 1952 avec sa mère et sa fille, qu’un cancer du sein a emportée depuis. “C’était bien ici. Je voulais du changement” , explique-t-elle. Elle s’inscrit à l’université et décroche un travail à l’hôpital Beth Israel, au sein de l’unité spécialisée dans la détection du cancer. Elle prend sa retraite en 1977, quand elle travaillait au French Hospital de Chelsea.
Depuis, notre dynamique centenaire met un point d’honneur à rester active. Elle prend des cours de psychologie et de littérature à Fordham University depuis quarante ans. Et fait le tour des écoles pour parler de l’Holocauste. “Je veux faire en sorte que les jeunes n’oublient pas. Jamais. Je suis ici pour raconter la Shoah car je l’ai vécue. Dans les livres ou les films, ce n’est pas la même chose” , glisse-t-elle, visiblement affectée plus de 70 ans plus tard. Elle a d’ailleurs fait partie de 600 rescapés ou proches de rescapés à avoir poursuivi la SNCF en justice pour son rôle dans les déportations.
Tout juste de retour de Caroline du Nord où elle a soufflé sa centième bougie avec ses cinq petits enfants, elle n’a aucunement l’intention de ralentir. Mathilde Freund ne sera pas au marché dimanche 18 septembre mais sera de retour dès le 25 pour encore et toujours raconter son histoire. “Je ne peux pas vivre avec la tristesse. Autrement, je vais mourir.”
5 choses à voir au festival Crossing the Line 2016
Le festival pluridisciplinaire du FIAF Crossing the Line franchit la ligne pour la dixième fois. Du 22 septembre au 3 novembre, les participants pourront découvrir une série de performances ayant pour ambition d’amener le public aux frontières de l’art. En voici cinq, mais il y en a beaucoup plus.
5. Danse avec Jérôme Bel
Du 27 au 31 octobre, le célèbre chorégraphe français Jérôme Bel travaille avec des danseurs pas comme les autres: le staff du MoMA. Dans “Artist’s Choice: MoMA Dance Company”, l’artiste a rassemblé 20 à 25 membres de l’équipe du musée pour des performances solo ou en groupe. Jerôme Bel présentera d’autres de ses travaux pendant le festival, dont son spectacle éponyme qui avait soulevé de nombreuses interrogations sur la définition de la danse quand il a été montré dans les années 90.
4. Photographie industrielle
Les clichés péotico-industriels du photographe français Mathieu Bernard-Reymond seront exposés du 24 septembre au 3 décembre dans la galerie du FIAF. Dans “Transform” , il utilise des paysages industriels, comme des centrales nucléaires ou des équipements hydro-électriques, pour créer des oeuvres abstraites.
3. Hip hop décoiffant
Un autre temps fort du festival: le spectacle de danse hip hop de la chorégraphe française Anne Nguyen. Dans “Autarcie” , du 29 septembre au 1er octobre au Gibney Dance, la jeune femme met en scène quatre danseurs qui utilisent différents styles de danses pour s’affronter et se réconcilier. L’artiste présentera aussi Graphic Cyphers, un spectacle de breakdance qui rassemble une vingtaine de danseurs new-yorkais qui auront à coeur de montrer leurs plus beaux mouvements. Gratuit, le show sera montré dans le Bronx le 23 septembre et à Times Square le 25.
2. Installation à Times Square
L’écrivain anglais Tim Etchells monte une installation vidéo nommée “Midnight Moment: Eyes Looking“. Visible du 1er au 31 octobre sur les écrans géants de Times Square, elle a pour but de capter l’attention des passants en utilisant du texte et des détails de la vie quotidienne. Tous les soirs de 11:57pm à minuit. Infos
1. Cirque politique
Le mardi 3 novembre, quelques jours avant l’élection présidentielle américaine, le groupe d’artistes My Barbarian et ses invités vous mettent dans la peau d’un délégué plongé dans une convention pas comme les autres. Le public réagit à des hymnes, des discours et des jeux. A voir et vivre au New Museum. Entrée gratuite. RSVP: [email protected]. Infos ici
Un pique-nique très "bacon" à Williamsburg
Si vous n’aimez pas le bacon, on vous conseille d’aller voir ailleurs. Si ce n’est pas le cas, rendez-vous au Great Big Bacon Picnic les 24 et 25 septembre. Cet évènement gourmand se déroulera à la Old Pfizer Factory de Williamsburg, sur les rives de l’East River.
Au programme: une centaine de chefs cuisiniers et d’artisans new-yorkais offriront du bacon de manière illimitée. Parmi les participants, on trouve quelques noms connus comme Tres Carnes, Bareburger ou encore BarBacon. En 2015, les participants ont eu droit à une carte copieuse composée d’une soixantaine de plats à base de bacon. Le bar, quant à lui, présentera une trentaine de bières. Il faut avoir plus de 21 ans pour pouvoir entrer.
Des musées gratuits lors du Museum Day à Austin
Envie d’une petite escapade intellectuelle sans vous ruiner ? Austin Museum Day revient pour sa 19eme édition le dimanche 18 septembre.
L’événement annuel propose à ses visiteurs un tour gratuit dans les plus grands musées de la ville. Cette année, plus de trente-cinq établissements spécialisés dans l’art, l’histoire et la science participent à l’opération. Parmi les sites participants, on trouve la LBJ Presidential Library, l’Austin Toy Museum, French Legation Museum, le Museum of Magnetic Sound Recording et le Blanton Museum of Art. Le programme inclut des visites guidées et des activités pratiques pour tous les âges.
Organisé par le Austin Museum Partnership, l’événement a rassemblé plus de 30.000 participants l’an passé.
Meilleure baguette de Los Angeles: toutes nos photos
On a bien mangé, bien bu, bien ri. Et vibré comme jamais à l’annonce des résultats de la première Baguette Battle de French Morning à Los Angeles. Bravo encore à tous les finalistes pour leur travail et talent, et aux curieux pour avoir ingéré autant de pain et de fromage.
Voici nos photos de l’évènement (crédit: Kirtan Priya Photography):
Gagnez des places pour notre prochain Speak Easy à Los Angeles
C’est peut-être votre jour de chance. French Morning vous fait gagner des places pour le prochain Speak Easy le jeudi 22 septembre dans les locaux de l’Alliance française de Los Angeles. Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Le principe est simple: la moitié des participants est de langue maternelle française, l’autre moitié de langue anglaise. Des paires sont formées par les organisateurs (c’est nous).
Les sept premières minutes de conversation se passent en anglais, les sept suivantes en français. Puis on change de partenaire. Au total, cinq sessions de quatorze minutes se succèdent, autour d’un verre de vin et de petites choses à grignoter.
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5 cinémas drive-in pour se faire une toile en Floride
Vous avez toujours rêvé d’embrasser votre partenaire devant un film projeté à la belle étoile comme dans les comédies romantiques américaines. Voici quelques adresses de cinémas drive-in en Floride.
5. Swap Shop Drive-In
Ouvert depuis plus d’une cinquantaine d’années, le Swap Shop Drive-In de Fort Lauderdale est le plus grand cinéma drive-in des États-Unis. Disposant de 13 écrans, sa programmation est d’actualité et les films sont diffusés à raison d’une à deux séances par jour. Le Swap Shop Drive-In est aussi connu pour être une immense brocante en plein air. Ainsi, avant votre séance, vous pourrez déambuler parmi les 2.000 exposants afin de dénicher divers objets à prix réduits. Swap Shop Drive-In – 3291 W Sunrise Blvd, Fort Lauderdale, FL 33311 – (954) 791-7927
4. Lake Worth Drive-In
L’un des avantages du cinéma drive-in est de pouvoir bavarder durant la projection du film sans pour autant déranger les autres spectateurs. Avec un terrain de plus de 400 places de stationnement, le Lake Worth Drive-In, le dernier-né du comté de Palm Beach, vous permet de profiter du visionnage sans être gêné par les autres véhicules. Lake Worth Drive-In – 3438 Lake Worth Road, Lake Worth, FL 33461 – (561) 965-3624
3. Blue Starlite
Après avoir conquis Wynwood, puis Coconut Grove, le cinéma drive-in Blue Starlite s’est installé depuis quelques mois à Palmetto Bay. Se démarquant par sa taille et son implantation en plein cœur de la ville, il propose une expérience plus intimiste puisqu’il ne peut accueillir qu’une quarantaine de voitures. Il est même possible de privatiser les lieux pour une projection privée. Blue Starlite – 7271 SW 168th St, Palmetto Bay, FL 33157
2. Joy-Lan Drive-In
Drive-in rime bien souvent avec fast-food. Burgers et soda sont donc les ingrédients indispensables pour une soirée réussie. Pour une formule ciné-resto à petit prix, direction Dade City, au nord de Tampa, où le Joy-Lan Drive-In propose des projections à deux dollars, un tarif imbattable aux États-Unis. Joy-Lan Drive-In – 16414 U.S. Highway 301, Dade City, FL 33523 – (352) 567-5085
1. Ruskin Family Drive-In
Enfin, pour une pratique plus authentique et traditionnelle, rendez-vous au Ruskin Family Drive-In, tout près de Tampa. Même s’il propose, comme les autres cinémas drive-in, de retransmettre la bande sonore du film via votre autoradio en réglant la fréquence FM indiquée sur l’écran, vous pourrez toujours choisir de ne profiter que du son des haut-parleurs géants installés près de l’écran. Ambiance rétro garantie. Ruskin Family Drive-In – 5011 N U.S. Hwy 41, Ruskin, FL 33572 – (813) 645-1455
Autres drive-in:
Funlan Drive-In – 2302 E Hillsborough Ave, Tampa, FL 33610 – (813) 234-2311
Silver Moon Drive-In – 4100 New Tampa Highway, Lakeland, FL 33803 – (863) 682-0849
Ocala Drive-In – 4850 S Pine Ave, Ocala, FL 34480 – (352) 629-1325