Qu’on les regarde de près ou de loin, les photographies de Nicolas Baghir offrent une multitude d’interprétations. Vous pourrez découvrir la vôtre à la Artist’s Corner Gallery du samedi 20 août au samedi 3 septembre. Pour sa première exposition en solo aux Etats-Unis, le talentueux photographe a choisi Los Angeles, via Photo12 Galerie.
Nicolas Baghir Maslowski tient son nom d’artiste de son grand-père, mort durant la révolution bolchevique. Sa passion pour la photographie est également une histoire familiale, puisque c’est son père qui lui offrit son premier appareil à l’âge de 8 ans. Après avoir percé dans la musique en créant un label en Jamaïque, le Français a décidé de revenir à ses premiers amours, en 2013.
Portraits, paysages et abstractions composent les images de sa série “Perturbations numériques”, dont les titres sont anonymes. Il aura fallu quatre années de recherche et plus de 15.000 tirages, pour que Nicolas Baghir aboutisse à sa “vision”.
Très contemporaines et jouant sur les flous, ses photographies sont inspirées du mouvement pictorialiste. Pour arriver à un tel résultat, le photographe travaille à l’argentique, avec des films de 35mm, et fait réaliser ses tirages à l’agrandisseur.
En hommage aux peintures en noir et blanc, l’oeuvre de Baghir offre des paysages à la beauté sauvage, aux ambiances étranges et mystérieuses.
Les mystérieuses photos de Baghir à LA pour la première fois
Faites-vous des amis américains pour la vie le 12 septembre à Speak Easy
Si vous vous plaignez de ne pas avoir d’amis américains, c’est que vous n’avez pas encore fait un tour à Speak Easy, les rencontres de speed-speaking franco-américain organisées par French Morning.
La prochaine session aura lieu le 12 septembre chez nos amis de Madison Bistro. Les tickets sont en vente.
Petit rappel du concept: nous formons des tandems d’anglophones et de francophones pour parler sept minutes en français, puis sept minutes en anglais. Les participants changent cinq fois de partenaire. Un verre de vin et des hors d’oeuvres sont servis.
Ces photos-vidéos amateurs qui ont fait l'Histoire au Bronx Documentary Center
Jusqu’au dimanche 28 août, le Bronx Documentary Center (BDC) consacre une exposition aux photos et vidéos qui ont marqué la société des années 1900 à nos jours. Leur point commun: elles ont toutes été réalisées par des amateurs.
“New Documents” montre comment des images prises par de simples individus ont révélé au monde les injustices, façonnant ainsi le dialogue politique et social. Les éléments exposés ont été réalisés dans 14 pays, des émeutes du Lower East Side à la capture de Mouammar Kadhafi en passant par la mort de Philando Castile, un Afro-américain abattu lors d’un contrôle de police à Minneapolis le 6 juillet.
L’exposition New Documents est ouverte gratuitement au public les jeudis et vendredis de 3pm à 7pm et les samedis et dimanches de 1pm à 5pm. Le Bronx Documentary Center a été fondé par Michael Kamber, ancien photo-journaliste pour le New York Times, et par l’ancienne directrice du département culturel de Magnum Photos New York, Danielle Jackson.
Les Français de Datadog sur leur petit "Cloud"
Pour travailler chez Datadog, il faut être sportif. La start-up occupe trois étages dans un bâtiment de Manhattan, où une équipe d’une centaine de personnes est à pied d’oeuvre. Tout cela va changer dans quelques semaines quand cette jeune pousse emménagera sur un étage entier dans le bâtiment où se trouve le New York Times, accessoirement un client de Datadog.
Ce démégament marque une nouvelle étape dans le développement fulgurant de cette start-up lancée en 2010 par les Français Olivier Pomel et Alexis Lê-Quôc. Le concept: Datadog fournit à ses clients une solution de monitoring des données issues de leurs serveurs, bases de données et applications dans le Cloud – ou l’informatique “dans le nuage” . Cela paraît un peu obscur pour le commun des mortels, mais les applications sont très concrètes. “Un client ad tech peut l’utiliser pour traquer le montant en dollars des impressions pub par exemple. Un autre en retail pour contrôler la balance en cash des caisses enregistreuses. Pour les sites d’e-commerce, c’est le nombre de produits dans les shopping carts, explique Olivier Pomel. On a toujours besoin de monitoring quand on met en place une infrastructure. C’est comme l’eau courante dans une maison. Ou le tableau de bord dans une voiture. On peut s’en passer mais ça complique les choses. Avoir une perception des données en temps réel donne un avantage compétitif à nos clients car ça leur permet de savoir ce qu’il faut changer, ce qui marche ou pas” .
Olivier Pomel et Alexis Lê-Quôc, deux Centraliens, se sont retrouvés au début des années 2000 dans les locaux du centre de recherche d’IBM au nord de New York. Depuis, ils ne se sont plus quittés. Ils enchainent sur un job à Wireless Generation, une start-up d’éducation dont ils sont en charge de monter l’équipe technique. L’entreprise décolle mais les deux jeunes hommes restent sur leur faim. “L’infrastructure était de plus en plus complexe. Il y avait de plus en plus de machines, d’applications et de personnes intervenant sur ces machines. Ces problèmes ont entrainé la création de Datadog” , explique-t-il. En 2010, l’entreprise est rachetée par News Corp et les deux compères en profitent pour se lancer. “Il y avait eu assez peu d’innovation pendant 15-20 ans dans le domaine du monitoring. C’est un marché très sticky, qui ne change pas rapidement. Les produits existants n’avaient pas été défiés pendant 15-20 ans. Quand il a fallu s’adapter au Cloud, des boîtes comme IBM ou HP étaient incapables d’innover. ”
Datadog est leur première entreprise. Et pour un premier coup, c’est un coup de maître. Ils ont complété en janvier une levée de fonds série D de 94,5 millions de dollars emmenée par Iconiq Capital et peuvent se targuer d’une longue de clients notables comme Netflix, Adobe, Airbnb, Facebook, Spotify ou encore Warner Bros. Games. “Quand nous avons commencé, le cloud était un truc de start-ups. Maintenant les grandes banques, les constructeurs automobiles et d’autres grandes entreprises s’y mettent. C’est un marche énorme. On en récupère une toute petite partie, mais le plus grand est à venir” , lance l’entrepreneur.
Au total, les Français ont levé près de 150 millions de dollars depuis le lancement. De quoi assurer le développement futur de la compagnie de 250 employés, présents à New York, Boston et désormais Paris. Ses ambitions: viser le marché des grandes entreprises à l’international et développer de nouveaux produits qui seront révélés d’ici “six à neuf mois” , explique Olivier Pomel sans en dire davantage.
Mais pour l’heure, ce n’est pas un produit développé par la start-up qui fait parler de lui, mais par l’un de ses ingénieurs: un programme nommé Is Pokémon Go Down Or Not qui permet aux utilisateurs de Pokémon Go de vérifier la qualité de connexion sur leur jeu favori. Hébergé par Datadog, il a généré “plus de traffic en une semaine que tout le reste de l’application. On a des offres pour mettre de la pub. Mais ce n’est pas un produit de la boîte” . Il faut dire qu’ils n’ont en pas besoin pour faire parler d’eux.
Qu'est-ce que je risque à rapporter des médicaments de France aux Etats-Unis ?
De retour de vos vacances en France, vous serez peut-être tenté de glisser dans vos bagages, parmi quelques bouteilles de rouge et du foie gras, des médicaments qu’on ne trouve pas aux Etats-Unis. Est-ce bien légal ? C’est l’objet de notre “qu’est-ce que je risque” .
Passage à la douane
Aux Etats-Unis, c’est la Food and Drug Administration (FDA) qui détermine quels médicaments sont autorisés sur le sol américain. En règle générale, les médicaments étrangers ne sont pas acceptés car ils n’ont pas fait l’objet d’un contrôle de la part de l’agence. Si un agent de la douane (US Customs and Border Protection) détecte la présence d’un médicament ou d’un appareil médical dans vos bagages, il peut choisir de le retenir, de l’autoriser ou de demander des tests. Son choix sera déterminé notamment par la quantité transportée ou encore l’existence (ou l’absence) d’un médicament équivalent aux Etats-Unis.
Les autorités américaines conseillent de prendre plusieurs précautions pour éviter les confiscations. Les voyageurs doivent être munis d’une note de leur docteur ou d’une ordonnance écrite en anglais. Celle-ci doit être collée sur le contenant des médicaments. Il est préférable que ce dernier soit l’original, mais cela n’est pas obligatoire: le mot du médecin expliquant pourquoi ce médicament vous est nécessaire est plus important. “Voyagez avec la dose dont vous avez besoin pour votre séjour. Règle de base: ne prenez pas un stock de médicaments pour plus de 90 jours” .
Les envois par la poste
Les envois par courrier font aussi l’objet d’un contrôle. “Si un colis contenant des médicaments qui semblent violer le règlement sont portés à la connaissance de la FDA, le personnel de la FDA déterminera s’ils doivent être autorisés, refusés ou retenus” , explique un porte-parole de l’agence par e-mail. En cas de rétention, le contrôle peut prendre jusqu’à un mois.
Dans les faits, la FDA se montre conciliante sur les envois non-commerciaux, reconnaissant que certains médicaments utilisés par les ressortissants étrangers ne sont parfois pas disponibles aux Etats-Unis. Pour faciliter le processus, l’agence conseille notamment au destinataire de faire accompagner la livraison d’une lettre de son médecin en France ou d’un médecin aux Etats-Unis qui peut superviser la prise de médicaments. La lettre doit expliquer que ce médicament est nécessaire à la poursuite d’un traitement entamé en France. Pensez aussi à faire intégrer dans le pli ou le colis une lettre qui précise que le médicament est envoyé à des fins personnelles, donc non-commerciales, et à ne pas acheminer plus de trois mois de stocks.
“La FDA concentre ses ressources de contrôle sur les envois commerciaux, réalisés dans le cadre de la vente par correspondance par exemple, et moins sur les produits qui sont transportés de manière privée, ou envoyés par un représentant non-commercial du destinataire, ou encore par un établissement médical étranger où une personne a fait l’objet d’un traitement” , explique la FDA.
Michel Richard, géant de la cuisine française aux US, est mort
Michel Richard, l’un des plus grands noms de la cuisine française aux Etats-Unis, est mort le samedi 13 août des suites de complications liées à un accident vasculaire cérébrale. Il avait 68 ans.
Le chef, arrivé aux Etats-Unis alors qu’il était encore dans sa vingtaine, est particulièrement connu à Washington DC, dont il a révolutionné la scène culinaire dans les années 90. En 1993, il a ouvert Citronelle (fermé en 2012) dans l’ancien hôtel Latham et a été l’un des premiers chefs de la Côte Est à utiliser le concept de cuisine ouverte, très en vogue aujourd’hui, comme le note le Washington Post.
Après Citronelle, le chef connu pour ses plats créatifs et fantaisistes, a ouvert d’autres établissements à Las Vegas, en Californie, à New York et Tokyo et a conçu les menus de compagnies aériennes et des trains Amtrack. A Washington, en 2007, il a ouvert Central Michel Richard pour lequel il a gagné un James Beard Award (il en a remporté quatre au total). Une récompense en forme de consécration pour celui qui a commencé la cuisine à l’âge de 7 ans car, disait-il, ses frères et soeurs lui réclamaient à manger. Sa mère travaillait dans une usine et son père les avaient abandonnés.
Apprenti-pâtissier, il est envoyé à New York en 1974 pour ouvrir une pâtisserie Gaston Lenôtre. Le début de son aventure américaine qui l’emmènera à Los Angeles puis Washington.
Depuis l’annonce de sa mort, les réactions se sont multipliées sur twitter:
I am completely saddened by the news of a great chef & close friend's passing. Michel Richard will be remembered with love & admiration.
— Thomas Keller (@Chef_Keller) August 13, 2016
#amazing #innovative #brillant #chef #friends #funny will miss you #michelrichard #rip https://t.co/CQT7D4EBZT
— JG Vongerichten (@jeangeorges) August 13, 2016
I'm saddened by the loss of a great chef, Michel Richard. He will be missed. pic.twitter.com/I9GPn0nHvn
— Emeril Lagasse (@Emeril) August 13, 2016
Pourquoi investir dans des obligations municipales ?
(Article partenaire) Les obligations municipales (“municipal bonds”, ou simplement “munis”) sont un grand classique du portefeuille de l’investisseur américain typique. Leur principal avantage est fiscal: contrairement par exemple aux obligations de sociétés, les intérêts sont exonérés d’impôt fédéral (et souvent également d’impôt local).
Les “munis” ont aussi l’avantage d’être historiquement faiblement corrélés aux autres classes d’actifs. La taille du marché américain est telle – 3.700 milliards pour plus de 50.000 émetteurs- que tout investisseur devrait s’y intéresser. Voici quelques éléments pour vous y retrouver:
Rendement imposable équivalent
Prenons le cas d’une obligation municipale avec un rendement de 5 % et d’un contribuable imposé à 28 %.
RIE = 5,00 (rendement de l’obligation municipale) / (1 – 0, 28). Cela revient à 6,94 %. Donc, 5,00 % / 0, 72 = 6,94 %
Le fait est qu’une obligation municipale ayant un rendement de 5 % offrira un meilleur rendement que celui de nombreuses obligations imposables à rendements plus élevés.
En général, les obligations municipales entrent dans l’une des deux catégories: obligations générales ou obligations-recettes.
Obligations générales
Les obligations générales sont émises par des entités gouvernementales et sont entièrement assurées par l’État (à travers les impôts sur le revenu, l’impôt foncier, les impôts sur les ventes et sur les véhicules), mais elles ne sont pas assurées par les fonds d’un projet spécifique, comme une autoroute à péage. Dans de nombreux cas, le terme « obligations générales » signifie que l’émetteur a le pouvoir illimité de soumettre les résidents à une taxe pour ainsi payer les créanciers obligataires.
Obligations-recettes
Les paiements sur le capital et les intérêts pour les obligations-recettes sont garantis par les produits générés par l’émetteur et comprennent généralement : des organismes sans but lucratif, des entreprises du secteur privé (comme les hôpitaux et les universités), des entités fournissant un service public (comme les autorités en matière de services publics et de transports en commun).
Risques
Les médias font toujours grand cas des défauts des villes, telle Detroit récemment. Mais la réalité est que le taux de défaut des obligations municipales est très faible, particulièrement lorsqu’on le compare aux obligations de sociétés américaines.
Depuis 1970, seulement 0,05 % des obligations municipales cotées « A » ont fait défaut. En revanche, les obligations de sociétés cotées « A » ont eu un taux de défaut de 2,73 %. (Source : Services aux investisseurs de Moody’s, à partir de juillet 2015).
Comment les taux d’intérêt affectent les cours des obligations
Puisque les obligations sont émises à des taux d’intérêt, appelés taux du coupon, sur la base du taux actuel des fonds fédéraux, le changement des taux d’intérêt adopté par la Réserve fédérale peut entraîner l’augmentation ou la diminution de la valeur des obligations existantes. Par exemple, si une obligation actuelle est émise à un taux du coupon de 4 %, la valeur de l’obligation diminue automatiquement si les intérêts augmentent et on émettra une nouvelle obligation comportant des conditions identiques et ayant un coupon de 5 %.
“Echelonner les obligations” est une stratégie attrayante actuellement car cela peut aider à gérer le risque de taux et à prendre des décisions de réinvestissement régulières au fil du temps, ce qui offre la souplesse nécessaire pour investir dans différents crédits et scénarios de taux d’intérêt.
Aucun instrument d’investissement n’est parfait et comme tous les “munis” ont leurs défauts. Mais ils ont toute leur place dans un portefeuille américain d’investissement diversifié et équilibré.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
13 choses que les Français des US font lors de leurs vacances en France
C’est l’heure de vos vacances et vous êtes peut-être en France en train de faire le plein de camembert pas cher. Entre autres choses.
13- Te faire un bon sandwich baguette/camembert: Parce qu’à 9$ le camembert et 4$ la baguette aux USA, tu n’en as pas mangé depuis longtemps
12-Boire une bière dehors, sur la voie publique: car dans ton coin aux US, c’est peut-être interdit
11- Remplir ta valise de produits français: vins, gâteaux, foie gras, médicaments, produits de beauté… Tout y passe, avant la question fatidique: “comment je vais faire rentrer tout ça ?”
10- Faire le tour de TOUTE ta famille: oui, même ta grand mère à qui tu promets tout le temps de passer sans jamais le faire.
9- Faire une (deux? trois? quatre?) soirée pinard avec tes potes: à base de grands crus millésimés, bien entendu.
8- Réexpliquer à tes parents le fonctionnement de WhatsApp et Skype: Tu leur as déjà expliqué 1.000 fois, et tu referas pareil l’année prochaine.
7- Faire le plein de programmes télé français: parce que beaucoup sont bloqués aux USA.
6- Prendre RDV chez ton médecin pour un check-up complet: parce que y aller aux US te rend malade, rien que d’y penser
5- Aller chez le dentiste: non, pas pour un blanchiment mais pour une couronne que tu aurais déjà du faire il y a un an.
4- Mettre les pieds sous la table chez ta mère qui t’a préparé un gueuleton : la cuisine de maman, la meilleure au monde évidemment.
3- Te plaindre de tout et de rien: parce que les mauvaises habitudes françaises se reprennent vite.
2- Te dire: « on est quand même pas si mal en France »
1- Mais te rendre compte que les USA te manquent: c’est décidé, dès que tu rentres, tu te commandes un énorme burger et un ice-coffee à emporter.
Manu Chao figure sur la playlist d'été de Barack Obama
On savait que Barack Obama aimait la musique, mais celle de Manu Chao, non. “Me gustas tú” , le tube du chanteur français d’origine espagnole, figure pourtant sur la playlist estivale du président américain (ou de ses conseillers com), publiée le 10 août par la Maison blanche.
Plus précisément, la chanson figure en neuvième place des morceaux qu’écouterait le locataire de la Maison Blanche pendant la journée. La liste comporte aussi des morceaux de Janelle Monáe, Sara Bareilles et des Beach Boys.
Comme le note Slate.fr, la présence de Manu Chao sur la playlist est surprenante car le chanteur s’était montré dubitatif sur l’élection du démocrate en 2008 confiant au Monde que “je ne suis pas sûr que le changement puisse venir d’en haut” . Il s’est demandé un an plus tard dans la presse espagnole “à quel point Obama n’est pas une grande opération marketing” . En tout cas, il peut le remercier pour ce petit coup de pouce de marketing justement.
5 activités gratuites à faire à Houston en août
Le mois d’août a déjà commencé et beaucoup d’activités gratuites sont au programme à Houston. Voici un petit tour d’horizon des choses à faire sans dépenser un sou.
“21 Jump Street” à Friday Flicks on The Lawn
La série de films gratuits se poursuit en août. Après “Jerry McGuire” en juin et “Pitch Perfect 2” en juillet, c’est au tour de “21 Jump Street” d’être projeté le 23 août. Cette comédie policière rassemble Jonah Hill, Channing Tatum et Ice Cube. Le pitch: deux policiers tentent d’arrêter des dealers de drogue dans leur ancienne université. Mais l’intervention les fait remonter dans le temps et rien ne se passe comme prévu. 1201 Fannin St. Infos ici
“Sunset” de Warhol à la Menil
La Menil Collection inaugure le 19 août une nouvelle exposition consacrée à “Sunset” , le film inachevé d’Andy Warhol. Motif donné par l’artiste pour justifier le fait qu’il ne l’a pas terminé: “J’ai filmé tellement de coucher de soleil pour ce projet, mais aucun ne m’a satisfait” . Il sera projeté du mercredi au dimanche à partir de 6pm. Menil Collection, 1533 Sul Ross St, Houston. Infos
Tour en vélo by night
C’est l’été, mais ce n’est pas une raison pour se relâcher. Les tours de vélo nocturnes de Critical Mass Houston se poursuivent an août. Rendez-vous entre 6:30 et 7pm à Market Square Park (Downtown) vendredi 26 août. Tout le monde avec un vélo est le bienvenu. 301 Milam. Infos
Atelier de hip hop à Discovery Green
Un atelier gratuit pour les enfants de 8 à 17 ans aura lieu à Discovery Green le jeudi 25 août à 6:30pm sur l’Anheuser-Busch Stage. Les parents sont les bienvenus aussi, au moins pour signer une décharge avant le début de l’atelier. Infos
Concert en plein air au Miller Outdoor Theatre
La série musicale KILT Summer Jam a lieu les 13 et 20 août à 8:30pm avec une belle programmation d’artistes country. Des tickets gratuits sont disponibles pour jusqu’à quatre personnes le jour de la performance entre 10:30am et 1pm au box office du théâtre. Si vous n’avez pas de chance, vous pouvez prendre place sur la colline, où vous n’aurez pas besoin de dépenser un sou. 6000 Hermann Park Dr. Infos