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Fort Worth célèbre la journée du cowboy

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Elle n’est finalement pas si loin la conquête de l’Ouest, où les héros aux santiags tiraient plus vite que leur ombre. Le Texas, repaire culte des vedettes de western, célèbrera le 23 juillet la journée internationale du cowboy à Fort Worth.
Entrez dans le quotidien d’un cowboy grâce à cette journée épique dédiée à tous les amateurs du Far West. Plusieurs activités prendront place sur toute la longueur de l’East Exchange Avenue, dans le quartier historique du Fort Worth Stockyards.
Accrochez-vous, car le programme sera chargé. Il s’ouvrira à 9am par une exposition sur l’histoire du Texan Bill Pickett, figure emblématique des cowboys au temps du Far West et personnalité du Wild West Shows. La journée s’enchaînera sur des compétitions, dont la “World Championship Hay Stacking Contest”, bataille de bottes de foin, où les équipes se disputeront la somme de $1,000. À 11:30am une parade prendra place, la “Cowboy Celebration Parade”. L’après-midi laissera place à d’autres activités, telles que du rodéo, des concours de gobbage de pastèque ou de ribs, ou encore un concours de karaoke sur de la musique country.
La journée nationale du cowboy a vu le jour pour la première fois en 2005. Chaque année, elle est organisée par la National Day Of the Cowboy.

Un, dos, tres, le Salsa Congress Miami revient plus chaud que jamais

Faites ressortir vos racines cubaines et transformez vous en véritable salsero ou salsera pendant les cinq jours du Salsa Congress de Miami.
C’est à coups de déhanchés endiablés que le festival de salsa annuel célébrera sa quinzième année. Il se déroulera du mercredi 27 au dimanche 31 juillet dans l’hôtel Deauville Beach Resort, idéalement situé avec sa vue dégagée sur le bord de mer.
Amoureux de la danse ou tout juste débutants, vous serez invités à faire preuve de vos talents en danse cubaine lors du Salsa Congress. L’événement accueillera une compilation des danseurs les plus talentueux au monde, de professionnels, professeurs, danseurs primés ou encore DJs.
Le festival fait parti des plus grands en son genre. Au programme : pool-parties et ateliers de danse chorégraphiés par des professeurs offrant, aux novices, une première initiation à la salsa. Les cours seront dispensés gratuitement. Aussi, plus de 500 artistes s’adonneront à des performances de danses live inédites. L’événement sera rythmés par des pointures de la musique salsa comme les chanteurs Ismael Miranda, José Alberto et Edwin Bonilla.

Cyndi Lauper en concert à Houston en septembre

Girls Just Want to Have Fun, un air que l’on a déjà tous et toutes entendu sur les ondes au détour d’une soirée filles, eighties ou juste pour le plaisir. Ce tube incontournable, qui en a fait danser plus d’uns, vous fera peut-être aussi danser lors la tournée internationale de Cyndi Lauper. Envie de fun, la chanteuse annonce une date à Houston, le dimanche 11 septembre prochain au Revention Music Center.
L’américaine Cyndi Lauper est une grande pointure de la musique. Elle a marqué plusieurs générations avec ces tubes légendaires, donc True Colors ou encore Time after Time. Révélée en 1983 avec son premier album She’s so Unusual, elle connaît un succès immédiat et enchaîne dans la foulée, tournées mondiales et concerts à guichet fermés.
Adulée par le public, la chanteuse aux multiples facettes collabore avec plusieurs grands noms du cinéma dont Steven Spielberg, pour la bande-original “Les Goonies” et David Thornton, qu’elle épousera en 1991. Après avoir révolutionné le monde de la pop et du rock, la chanteuse à la voix légendaire s’est également attaqué au petit écran. On pourra la voir jouer dans les séries Gossip Girl ou encore Bones. En plus de 30 ans de carrière, Cyndi Lauper à été gratifiée de multiples récompenses dont Grammy, Emmy et Tony award.
La tournée promouvra son onzième album Detour, dans un registre country et blues, produit par Tony Brown et sorti le 6 mai 2016 aux États-Unis.

5 endroits où se faire tatouer à New York

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Toujours plus tendance, le tatouage n’est pourtant pas une chose anodine. Quitte à sauter le pas, autant choisir le bon tatoueur. French Morning a sélectionné pour vous cinq adresses à travers New York.

Manhattan

Keith “Bang Bang” McCurdy, qui tient son surnom des deux pistolets reproduits sur son cou, est LE tatoueur des stars. Rihanna, Justin Bieber ou encore Cara Delevingne lui ont fait confiance. Dans son salon sombre et branché, le Bang Bang Forever (328 Broome St), les prix comme les prestations sont haut de gamme. Il vous faudra compter au minimum 300 dollars pour un tatouage, et être patient si vous souhaitez un rendez-vous. Suivant le tatoueur que vous choisirez, l’attente peut aller jusqu’à deux mois. 212-219-2799
Plus abordable, l’East Side Ink (97 Avenue B) dans l’East village, un salon qui propose des styles variés. Couleurs vives ou du noir et gris, tatouage japonais ou pop art, vous devriez trouver votre bonheur. Ouvert en 1992, cinq ans avant la légalisation du tatouage à New York, le salon est également devenu le repaire de la chanteuse Rihanna. Prendre rendez-vous pour obtenir un prix. 212-477-2060

Brooklyn

Three Kings Tattoo est l’un des salons de tatouage les plus connus de New York. Implanté depuis 2008 à Brooklyn (572 Manhattan Ave), il est désormais présent sur Manhattan aussi. Les deux salons vous reçoivent sans rendez-vous sept jours sur sept, sauf si vous souhaitez vous faire tatouer par un artiste de renom. Une quinzaine d’artistes se relayent en effet toute l’année aux deux adresses. Three Kings Tattoo ne donne pas de prix par téléphone. Prendre rendez-vous pour un devis. 718-349-7755
Virtuose du métier, Lalo Yunda a été tatoueur itinérant pendant plus de 20 ans. L’artiste est spécialisé dans ce qu’il appelle le “magical realism”, un style de tatouages mixant éléments réels et imaginaires. Après avoir collaboré avec de nombreux salons dans tous les Etats-Unis, le Colombien a ouvert depuis un mois son propre “tattoo shop”, le House of Monkey Tattoo (208 North 6th St) à Williamsburg. Il vous reçoit dans un décor boisé et une ambiance décontractée. Contactez le salon pour obtenir un prix. 917-664-1216

Queens

Chez Supernova Tattoos (38-01 23d Ave) à Astoria, il est possible de se faire tatouer à partir de 80 dollars. Portraits, tatouages noirs et gris et photos réalistes sont les spécialités d’Andreana Verona, la patronne des lieux. Le salon a ouvert en 2004. 718-274-5712
 
 
 
 

Le violoncelliste Gautier Capuçon au San Francisco Symphony en janvier 2017

Le célèbre violoncelliste français Gautier Capuçon se joindra à l’orchestre philharmonique de Prague pour un concert exceptionnel au San Francisco Symphony, le dimanche 27 janvier 2017 à 7pm.
Fondé par le chef d’orchestre tchèque Jiri Belohlavek en 1994, l’orchestre philharmonique de Prague est désormais dirigé par le français Emmanuel Villaume. Le groupe reprendra les compositions de deux des plus célèbres compositeurs tchèques, Antonin Dvorak et Bedrich Smetana.
Les places sont en vente sur le site de l’événement.
 
 

 

L'Europe de la BD s'invite au Comic-Con de San Diego

Au milieu des Californiens déguisés en super-héros et des fans de jeux vidéos, l’Europe va faire une entrée fracassante au Comic-Con de San Diego. Du jeudi 21 au dimanche 24 juillet, la BD européenne sera mise à l’honneur, sur le stand n°1220 du Convention Center.
Cette présence est née de l’idée d’un agent de BD franco-belge. Trois ans plus tard, ce rendez-vous s’est concrétisé en collaboration avec treize partenaires, et avec le soutien de la Commission européenne. L’objectif d’Europe Comics est de présenter des auteurs européens à l’échelle mondiale et de créer un répertoire européen en ligne.
Pour ses débuts, Europe Comics frappe fort, avec la présence de trois auteurs issus de France et d’Espagne. L’auteur de la fiction Harmony Mathieu Reynès, celui de la série Jazz Maynard (polar) Roger, ainsi que Gabriel Hernandez Walta qui collabore avec les mythiques éditions Marvel, seront présents pour des séances de dessins et dédicaces, tout au long du Comic-Con.
Le stand organise également deux tables-rondes sur la BD en Europe et aux Etats-Unis (“Europe VS USA” le jeudi 21 juillet à 7pm et “How old is young adult in Europe and the USA” le vendredi 22 juillet à 6:30pm).

Gravures anciennes, de Rembrandt à Picasso

L’exposition Five Centuries of Prints from Rembrandt to Picasso: Drs. Walter and Mildred Padow Collection présente une centaine d’impressions qui mettent en lumière une collection unique de gravures, gravures sur bois et lithographies européennes et américaines, datées du 16ème au 20ème siècle. Elle se tient du 24 juillet au 23 octobre, au NSU Art Museum de Fort Lauderdale.
Les collectionneurs Drs.Walter et Mildred Padow commencèrent à acquérir les pièces de maître en Philadelphie dans les années 1960. Ils développèrent considérablement leur collection dès 1971, au moment où ils vinrent habiter à Fort Lauderdale. Vous pourrez notamment venir admirer les travaux de Rembrandt Van Rien (1606-1669), Francisco de Goya (1746-1828), Georges Braque (1882-1963) ou encore Edward Hopper (1882-1967).
Une soirée de lancement, suivie d’une réception, est prévue le samedi 23 juillet, de 5pm à 7pm.

New York rend hommage à Nice

A New York, près de 200 personnes se sont réunies ce samedi à 2pm sous l’arche du Washington Square Park, en mémoire des victimes de l’attaque de Nice.
C’est le moment de se recueillir avec dignité. La France a déjà montré qu’elle était un pays résilient” a confié aux journalistes le consul général de France à New York, Bertrand Lortholary, en ouverture du rassemblement. Un tableau blanc posé au sol était ensuite l’occasion pour chacun d’écrire un mot, une pensée en soutien aux victimes de la tragédie. “Je suis Nice, Paris, Saint Quentin-Fallavier, je suis juste Français et j’en ai marre, vivons dans un monde en paix”, “Nice, je suis avec toi et je pleure avec toi”, “On pense à vous de New York” pouvait-on notamment lire.
Dans la foule, des expatriés et des touristes, comme la famille Réniers, originaire de Nice. “En général, nous fêtons le 14 juillet chez nous. On aurait pu y être… Ce qui est arrivé est dramatique, c’est difficile de ne pas être auprès des nôtres dans ces moments” confiait Hans, le père. Quelques américains avaient également fait le déplacement, comme James Curran, un jeune homme de 16 ans pour la qui la présence était “nécessaire“, pour “montrer de la solidarité“. “Les New Yorkais savent de quoi on parle quand il s’agit de terrorisme. Ils sont solidaires et généreux, c’est beau à voir” a ajouté Bertrand Lortholary.
Deux timides marseillaises ont clôturé la cérémonie organisée sous l’arche du Washington Square Park, tandis qu’une pancarte “#NotAfraid, #MêmePasPeur” était brandie au milieu du groupe.
 

Club Cheval débarque à New York

En selle ! Club Cheval sera au Webster Hall de New York le 23 juillet, la première date de leur tournée aux États-Unis. Les tickets sont en vente.
Le collectif lillois formé en 2009 est composé de quatre musiciens : Canblaster, Myd, Sam Tiba et Panteros666. Leur particularité: ils fusionnent R&B et House. En 2010, deux EP sur Bromance, le label de Brodinski, les font sortir de l’ombre. Ils mixent aussi les titres de la chanteuse Rihanna et du groupe français The Dø pour ne citer qu’eux. Le premier album intitulé « Discipline » est sorti en mars 2016.

L'Amérique est devenue une Europe comme les autres

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Opinion. Par Olivier Piton, auteur de “La Nouvelle Révolution Américaine”.

La campagne présidentielle américaine de 2016 marque une rupture dans l’histoire politique du pays. Les discours habituels, les thématiques immuables, tenus par les probables nominés à l’investiture des deux grands partis, semblent avoir été laissés de côté. Chez Donald Trump, aucune allusion ou si peu à l’avortement, à cette vision bigote de l’exercice du pouvoir où un époux volage ferait forcément un mauvais président, ni à la peine de mort.

En revanche, le milliardaire enfourche des chevaux de bataille inédits. Il fustige l’immigration dans un pays qui s’est bâti sur l’apport de populations diverses. Il critique la mondialisation dans le pays qui en a le plus profité. Il s’exprime sur la paupérisation de la classe moyenne, rejoignant certaines thèmes formulés par Bernie Sanders, il fustige le politiquement correct à coups de saillies sexistes dans une société qui l’a inventé.  

Chez Hillary Clinton, en dépit des mouvements comme Occupy Wall Street, qui ont réactivé la thématique de la lutte des classes, le discours, très « maternant », se concentre moins sur les avancées sociétales que sur les droits des individus. Hillary Clinton pousse à l’extrême une sorte de clientélisme communautariste où l’acceptation de la « différence » prime sur la quête d’un meilleur pouvoir d’achat. Pour échapper à son statut de candidate du “système”, Clinton joue la “women card” contrairement à ce qu’elle avait fait lors de sa campagne de 2008. Elle célèbre à sa façon le “vivre ensemble” américain, la diversité y compris ethnique et sexuelle. Elle critique en creux le discours de Donald Trump pour mieux souligner que la société à laquelle elle aspire sera ouverte, accueillante, fraternelle.

Or ce qui frappe dans ces postures, c’est à quel point elles font écho aux thèmes de campagne qui existent en Europe.

Donald Trump récupère et recycle les thèses populistes. C’est ce mélange de méfiance vis-à-vis de l’étranger et de prises de positions sociales fortes à l’adresse des classes populaires qui en sont la marque de fabrique.

9782259249454Hillary Clinton se retrouve très à l’aise dans le camp de l’alliance entre sociaux-démocrates et démocrates chrétiens  qui gouvernent l’Europe occidentale depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Elle est l’héritière de la “gauche des campus”, celle de Saul Alinsky sur lequel elle a écrit sa thèse, qui ont troqué la lutte des classes contre la lutte des minorités. Cette gauche “de gouvernement” se retrouve aussi bien chez François Hollande ou Matteo Renzi, alors que Bernie Sanders, qui affirme que la lutte contre les inégalités est la mère de toutes les batailles, peut davantage être identifié au Travailliste britannique Jeremy Corbyn, à Podemos en Espagne ou Syriza en Grèce. 

L’Amérique de 2016 n’est plus tout à fait l’Amérique. L’élection présidentielle de 2016 annonce une nouvelle page de son histoire politique. L’enjeu de cette campagne sera de déterminer quelle sera la nature de ces changements et quelles seront les conséquences de la victoire d’un camp ou d’un autre. Comment l’Amérique en est-elle arrivée à devoir choisir entre un national populiste et une social-démocrate interventionniste. Et quelle politique le vainqueur mènera-t-il vraiment.

Olivier Piton est avocat en droit public français et américain. Il a collaboré auprès de trois ambassadeurs de France aux Etats-Unis sur les affaires publiques et les relations gouvernementales. Il a créé et dirigé la cellule de stratégie d’influence de l’ambassade de France à Washington DC de 2005 à 2010. Depuis 2014, il est le président de la Commission des Lois à l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE).

Son livre,“La Nouvelle Révolution Américaine”, est paru aux éditions Plon.

Au Met Breuer, les débuts de la controversée Diane Arbus

Il fallait bien que le Met Breuer marque les esprits pour sa première saison. On peut dire que c’est chose faite avec l’exposition « Diane Arbus: in the beginning », qui occupe les lieux jusqu’au 27 novembre. Au total, une centaine de clichés pris au début de la carrière de la photographe a été réunie, dont les deux-tiers n’avaient jamais encore été montrés publiquement.
Aussi talentueuse que controversée, l’Américaine est considérée comme l’une des artistes les plus influentes du XXème siècle. La galerie du Met Breuer revient sur les sept premières années de sa carrière (1956- 1962) qui ont vu naître son style si singulier. La plupart des photographies ont été prises à New York, ville qu’elle a arpentée comme un territoire familier et étranger à la fois. Diane Arbus a su poser un regard aiguisé sur quelques-uns de ses quartiers de prédilection : Times Square, Lower East Side ou encore Coney Island. Des couples et des enfants, des forains et des travestis, des personnes âgées, des nudistes et des célébrités… La photographe a capturé l’excentrique et l’ordinaire, les personnalités atypiques, les situations déroutantes, voire dérangeantes comme son cliché de cadavre « Corpse with receding hairline and a toe tag » datant de 1959. « C’est un peu embarrassant pour moi de dire ça, mais je crois vraiment qu’il y a des choses que personne n’aurait vu si je ne les avais pas photographiées », assumait l’artiste, reconnue sur le tard.

Captivée par l’univers de la photographie, elle se fait offrir un appareil au début des années 1940. Au cours des quinze années qui suivent, elle travaille comme styliste dans une société de photographie de mode qu’elle partage avec son époux, avant de choisir de se consacrer pleinement à sa passion en 1956. Elle utilise à l’époque un appareil 35 mm, qui laisse un « grain » notable sur ses clichés. Elle supprimera cet effet dès 1962 en passant au format Rolleiflex, un choix déterminant dans sa carrière. A sa mort en 1971, ses archives sont léguées à ses deux filles mais de nombreux travaux restent au fond des cartons de sa cave de Greenwich Village. La première partie de son oeuvre demeure ainsi dans l’ombre des années durant. En 2007, l’Arbus Estate fait don de la totalité des archives retrouvées au Met : carnets, négatifs, correspondances, collections personnelles…
Le deuxième étage, où se trouvent les clichés, est conçu pour permettre au public de déambuler à sa guise : pas de galeries séquencées, ni organisées de façon thématique. Pas non plus de début, de milieu ni de fin: les visiteurs sont libres de suivre le chemin qu’ils souhaitent. « Pour l’anecdote, ce qui rend l’exposition encore plus particulière, c’est que les photos ont été imprimées par Diane Arbus elle-même », a précisé le directeur du Met, Thomas Campbell, lors d’une conférence de presse. Pour qualifier les premiers pas de l’artiste, le conservateur en charge du Département de la Photographie, Jeff Rosenheim, a parlé de « divin dans les choses ordinaires » . Venez vérifier par vous-même.

San Francisco se souvient de Nice

Les Français des Etats-Unis ont affiché leur solidarité ce week-end avec les victimes de l’attaque de Nice. Des hommages ont eu lieu à travers les Etats-Unis, comme à New York, San Antonio, Washington DC ou encore San Francisco. Voici les photos du rassemblements qui a eu lieu samedi devant City Hall.
(Photos de Franck Daude)