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Pourquoi le sirop n'est-il pas répandu aux USA ?

Une grenadine à quatre heures de l’après-midi, un diabolo ou une menthe à l’eau à la terrasse d’un café ? Aux Etats-Unis, n’y pensez pas. Il est pratiquement impossible de trouver des bouteilles de sirops, à l’image de celles que l’on trouve en France dans n’importe quel rayon boisson pour deux ou trois euros.
Enfin, rien n’est jamais impossible : on en trouve en vente en ligne sur des sites spécifiques – mais il faut mettre le prix. Si bien qu’autour de vous, vous connaissez au moins une personne qui a rapporté une bouteille de sirop dans sa valise, à la place d’une bonne bouteille de Bordeaux.
“Les habitudes alimentaires sont tenaces ! Certains de nos classiques ont passé la frontière américaine et atteint les foodies, comme la moutarde forte ou les sablés, mais le sirop pas du tout. Les Américains sont tellement attachés aux soft drinks que le sirop n’arrive pas à faire concurrence. Mais il continue de manquer aux expatriés, raconte Marianne Prebet, la fondatrice du site Simply Gourmand, qui permet aux expatriés français d’acheter des produits français. Chez Simply Gourmand, le sirop est un best seller chez nos clients français basés aux Etats-Unis. La grenadine et la menthe font partie du top 5 des produits les plus vendus sur le site”. 
Comment expliquer qu’un produit si basique en France (les sirops sont la troisième catégorie de boissons en termes de part de marché, derrière les jus et les colas, mais bien devant les sodas, thés glacés, ou limonades) n’ait jamais trouvé sa place dans les placards américains ?
C’est d’une part une question de perception : un peu comme les surgelés, le sirop est perçu comme une boisson “de crise” sur laquelle on se rabat quand les fins de mois sont difficiles. C’est, en tout cas, ce que suggère un rapport d’Euromonitor de 2015 sur l’état du marché, qui explique que “le ralentissement ou la récession dans certains marchés développés” semble avoir stimulé le marché.
Ensuite, il faut le préparer, ce qui nécessite une petite logistique. Cécile Delannes, qui a participé au lancement Teisseire aux USA en 2001 et y a travaillé 15 ans, pense tout simplement que les Américains n’adhèrent pas au fait de devoir ajouter de l’eau à du sirop. “C’est une étape supplémentaire qui demande une tâche en plus et implique de suivre la notice au dos du packaging”.
En outre, son format n’est pas compatible avec une consommation “on the go”.  Résultat : il n’a jamais trouvé sa place à côté des boissons énergétiques, des sodas, des jus et eaux aromatisées : autant de catégories bien plus développées aux Etats-Unis qu’en France.
Toutefois, tout n’est pas perdu pour les générations biberonnées au Siro Nimo et à la grenadine Teisseire. Le marché des sirops aux Etats-Unis commence à frémir avec les “drops” – des sortes de sirops concentrés vendus dans de petites boîtes en plastique, dont on verse quelques gouttes dans son verre pour aromatiser son eau. Mais cela reste une niche, et le goût n’est pas toujours très convaincant.
Retrouvez les sirops Teisseire sur Le Marché partout aux Etats-Unis.

Come Out & Play transforme DUMBO en une grande aire de jeux le 8 juillet

Qui a dit que les jeux étaient réservés aux tout petits ? Come Out & Play, un festival annuel qui transforme des rues ou des places entières dans de vastes aires de jeux physiques et digitaux, arrive dans le quartier de DUMBO pour une séance nocturne. After Dark rassemblera une horde de joueurs prêts à s’amuser avec des inconnus le vendredi 8 juillet à partir de 7pm au Manhattan Bridge Archway Plaza. C’est gratuit.
Plusieurs jeux complètement loufoques sont au programme de ce drôle d’événement, à faire en groupe: bataille navale grandeur nature, jeu de piste électronique qui mène à la découverte d’un fantôme (un vrai), exercices d’imitation avec des inconnus, peinture murale au moyen de votre voix… On en passe.
Un formulaire d’inscription qui sera délivré aux joueurs sur place, en face 155 Water Street. Premier arrivé, premier servi. Serez-vous de la partie ?

Le trio derrière Maison Première ouvre Sauvage à Greenpoint

Pousser la porte de Sauvage, c’est un peu faire un bond dans une autre époque, bien qu’on ne sache pas exactement laquelle. « J’aimerais que le client ressente quelque chose qu’il ne ressente nulle part ailleurs et qu’il le voit comme un endroit unique », assume fièrement Joshua Boissy, l’un des trois propriétaires du lieu.
Situé à la lisière de McCarren Park dans le quartier brooklynite de Greenpoint, le restaurant de 68 couverts aux banquettes rouges, tabourets en bois, carrelage à l’ancienne et feuilles de palmiers estampillés ci-et-là est le nouveau-né des propriétaires de Maison Première : Joshua Boissy, Kristof Zizka et Lisa Giffen. Vanté comme « le meilleur bar à huîtres de New York » par le New York Times, Maison Première est aussi et avant tout réputé pour ses cocktails qui lui ont valu le James Beard Award 2016, sorte d’Oscar du milieu gastronomique aux Etats-Unis. Un lieu « de style victorien, festif et décadent », comme le dépeint Joshua Boissy.
Sauvage, c’est une toute autre histoire. L’idée du projet remonte à quelques années en arrière. Inspiré par ses nombreux voyages (Montréal, Los Angeles, Berkeley, San Francisco,…) et surfant sur la vague du succès de son premier business, le trio décide de créer un lieu où se rencontre plusieurs influences: le New York d’aujourd’hui, mais aussi la Californie, les Sixties, la French Riviera, l’ambiance tropicale : « Nous voulions donner l’impression que le restaurant existait déjà il y a 60 ans, explique Joshua Boissy, qui a imaginé toute la décoration du lieu. Sur la terrasse par exemple, avec la vue sur le parc et un cocktail à la main, le client pourrait presque s’imaginer sur la Côte d’Azur. »
S’il ne s’agit ni d’un bistrot ni d’une brasserie française comme le souligne l’Américain, l’esprit bleu-blanc-rouge y tient néanmoins une place de choix : « Nous nous sommes rendu plusieurs fois à Paris avec Kristof et nous avons adoré des restos comme Le Chateaubriand, La Coupole, Le Comptoir à St Germain ou encore Vivant Table, une ancienne oisellerie que de jeunes chefs ont repris et laissée telle quelle ». La cheffe Lisa Giffen, qui a travaillé pour Alain Ducasse, confirme: « Sauvage est un restaurant d’inspiration résolument française. Je pense notamment au choix des vins, aux techniques que nous utilisons pour élaborer nos assiettes ou à la décoration, avec nos affiches inspirées des manifs étudiantes de 1968 en France. »  
Le choix d’un second emplacement à Brooklyn s’est imposé naturellement: « C’est ici que nous avons démarré. En dix ans, la population a beaucoup évolué, le milieu artistique peu intéressé par la gastronomie a laissé place à de jeunes internationaux aisés qui s’intéressent aux voyages et à la gastronomie, note le gérant. Brooklyn est devenu l’épicentre de tout ce qui se passe de mieux à New York aujourd’hui. » 
Au menu, des classiques revisités avec une approche plus moderne, plus épurée. Garganelli de calamar à l’encre et ragout sepia, carpaccio de carottes au sarrasin, tête de cochon confite aux fruits du marché ou encore un « pot-au-feu coloré, frais, et pas démodé » sont à la carte. « Nous utilisons des produits sans hormones, ni pesticides provenant d’éleveurs avec lesquels nous avons su créer une relation de confiance au fil du temps, se félicite le restaurateur. Nos champignons viennent d’un producteur, nos melons d’un autre.» La carte des boissons (qui ne compte pas moins de 14 pages) présente 400 vins – aux prix variés mais dans l’ensemble élevés – importés du monde entier, et 200 alcools issus de multiples distilleries.
Uniquement ouvert au dîner pour l’instant (de 5pm à minuit tous les jours, jusqu’à 1am le vendredi et le samedi) avec une fenêtre pour servir des viennoiseries et des boissons chaudes à emporter dès 8am, Sauvage proposera bientôt brunch et déjeuner.

Un programme pour attirer des start-ups françaises "culturelles" à New York

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Dix jours de voyage d’études à New York pour les patrons de start-ups : voilà ce que propose le programme French-American Digital Lab, lancé par les Services culturels de l’Ambassade de France à New York, pour la deuxième année.
Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 13 juillet. Attention toutefois : les participants devront payer leur voyage et leur logement.
La cible : les fondateurs français de start-ups oeuvrant dans le domaine de la culture, des arts, de l’art de vivre, de la mode ou du design, qui aimeraient poursuivre leur expansion aux US. Pour cette année, des thèmes de prédilection ont été sélectionnés : le story-telling et la VR, ainsi que la fashion-tech (impression 3D, nouveaux textiles, vêtements connectés etc).
Le voyage à New York sera organisé à l’automne. Pendant ces dix jours, les représentants des dix start-ups sélectionnées assisteront à des conférences, rencontreront différents acteurs de l’écosystème tech/culture de New York, participeront à des ateliers… Autant de rendez-vous qui devraient leur permettre de mieux préparer une éventuelle traversée de l’Atlantique.

Euro 2016: où voir le quart de finale France-Islande à New York ?

C’est donc officiel depuis lundi. Après un Brexit footballistique pour lequel la pauvre équipe anglaise n’avait pas voté, les Bleus retrouveront la surprenante équipe d’Islande en quarts de finale le dimanche 3 juillet.
Pour vous aider à déchiffrer les noms des joueurs islandais avec une bonne mousse, et surtout encourager l’équipe de France, French Morning convie tous les supporters des Bleus à une projection du match au District, le grand marché à la française du sud de Manhattan.
Le match sera retransmis dans différents endroits, mais les footeux sont invités à se rendre au Bar du District (225 Liberty Street). Coup d’envoi: 3pm.
Entrée libre et gratuite, mais pensez à vous inscrire sur Facebook. La cuisine prévoit un menu spécial pour l’occasion.
Autrement, vous pourrez toujours venir encourager Pogba & Co dans l’un des six bars et restaurants de notre « Club des Bleus »:
A Manhattan:
Opia: 130 E 57th St, New York. Tel: 212 688 3939.
O’Cabanon: 245 W 29th St, New York. Tel: 646 669 7879.
Felix: 340 W Broadway, New York. Tel: 212 431 0021.
A Brooklyn:
Provence en Boîte: 263 Smith St, Brooklyn Tel: 718 797 0707.
La Cigogne:  213-215 Union St, Brooklyn. Tel: 718 858 5641.
Bar-Tabac: 128 Smith St, Brooklyn. Tel: 718 923 0918.

La goélette scientifique Tara se bat pour les océans à Miami

Après avoir quitté Lorient, son port d’attache, le samedi 28 mai, le mythique voilier Tara fait sa première escale sur la côte Est, à Miami, jusqu’au 5 juillet. Le bateau est accessible au public à l’Epic Marina les dimanche 3 et lundi 4.
C’est une mission d’ampleur. Le voilier va parcourir près de 100.000 kilomètres en deux ans et demie d’expédition scientifique. Cette première escale à Miami permet à l’équipage de se ravitailler après sa traversée de l’Atlantique, mais donne aussi l’occasion d’embarquer deux scientifiques américains à bord. Soixante-dix chercheurs, océanographes et marins de huit pays vont se relayer à bord de la goélette d’exploration durant cette onzième expédition afin de scruter le Pacifique d’Est en Ouest pour comprendre l’impact des changements climatiques sur les récifs coralliens. “Les coraux couvrent une infime partie des fonds océaniques mais ils regroupent près de 30% de la biodiversité marine, souligne Romain Troublé, le directeur général de la Fondation Tara Expéditions, c’est une véritable oasis de vie très fragile qu’il faut préserver”. Ainsi, près de 40.000 échantillons vont être recueillis et suivront ensuite dix ans d’exploitation des informations.
Une menace sur les océans
Les récifs coralliens sont en proie au changement climatique, mais pas seulement. Le corail, qui est un animal, ingère le plastique sans pour autant le digérer. “Le poids des déchets plastiques pourrait bientôt dépasser celui des poissons dans les océans, alerte Romain Troublé. Si rien n’est fait, les océans pourraient se transformer en véritable décharge à ciel ouvert, c’est terrifiant”.
Au cours de son périple, l’équipe de scientifiques espère également profiter de ses nombreuses escales afin de sensibiliser la population et tenter de faire changer les habitudes de vie. “Je ne suis pas un héros qui va sauver la planète, je ne peux pas nettoyer les océans tout seul. Il faut que les gens prennent conscience de la situation et se responsabilisent, car tous ensemble nous pourrons y arriver”, insiste Romain Troublé qui espère faire découvrir cet ambitieux projet et ses missions en permettant au public de monter à bord, avant qu’il ne largue à nouveau les amarres et qu’il mette le cap sur le Canal du Panama.

La French Restaurant Week 2016, c'est du 4 au 17 juillet à New York

Déjà sept ans. La French Restaurant Week revient cette année encore à New York à l’occasion de la Bastille Week. Un rendez-vous pour les passionnés de gastronomie française, qui bénéficieront de prix fixes dans les 43 restaurants français participants.
Trois formules sont proposées cette année: “discover” à 17,89$; “gourmand” à 35,78$; “connoisseur” à 178,90$. Les détails des formules seront disponibles très bientôt sur le site de l’événement.
Nouveauté cette année, la French Restaurant Week aura lieu pendant deux semaines, du lundi 4 juillet au dimanche 17 juillet. La liste des restaurants participants s’est également rallongée pour cette septième édition. Dominique Bistro, un bistro français du West Village, et Maison Hugo, un restaurant français lancée en septembre par Florian V. Hugo, descendant du célèbre écrivain, ont notamment rejoint l’opération.
Liste complète des restaurants participants:
La Sirene, Triomphe, Gaby Brasserie Française, le Bistro d’à côté, Maison Harlem, AOC l’aile ou la cuisse, Orsay Restaurant, Petit Poulet, Le Cirque, Brasserie 8 1/2, Café Centro, Le Périgord, Jubilee, Bistro Le Steak, Bistro Cassis, Bistro Citron, Madison Bistro, Antibes Bistro, Paname, Maison Hugo, L’Antagoniste, La Bonne Soupe, Deux amis, OCabanon, Café Tallulah, Match 65, Le Baratin, Tout Va Bien, Le Midi Bar & Restaurant, Oak Restaurant & Wine Bar, Racines NY, Bistro 61, Le Coq Rico, Dominique Bistro, GLOO, Tartinery, Mussels ‘N Sausages, Le Singe Vert, Jules Bistro, Bar Tabac, David’s Café, Bistro Vendome, Vin et Fleurs.

Qu'est-ce que je risque à boire de l'alcool dans la rue à New York ?

L’heure de l’apéro a sonné. Avec les températures actuelles à New York, on serait tenté de relâcher notre garde et de s’ouvrir une petite mousse en pleine rue. Est-ce légal ? C’est l’objet de notre qu’est-ce que je risque.

Boire dans “brown bag”

1979. C’est l’année noire pour les buveurs d’alcool new-yorkais. Une année après son élection, Ed Koch, maire de New York jusqu’en 1986, interdit toute consommation d’alcool dans les lieux publics pour lutter contre les groupes de sans-abris qui se rassemblent dans les rues et les parcs. Dès lors qu’un individu est pris avec une bouteille ou tout en autre contenant ouvert, il risque “une amende de jusqu’à $25, jusqu’à cinq jours d’incarcération, dans certains cas les deux mais également une convocation au tribunal, d’après un article du 10 mai 1979 du New York Times. Alors même que le maire apposait le tampon “approuvé” sur la mesure et qu’il signait, des New-Yorkais assoiffés du South Street Seaport jusqu’à Adam Clayton Powell Boulevard considéraient la loi comme “ridicule” et “illogique”, et levaient des canettes de bières cachées dans des sacs marron pour fêter la première journée de la saison chaude“, écrit le journal.
Le “brownbagging” – l’action de cacher une bouteille d’alcool ouverte dans un sac de papier marron – permettait, en théorie de contourner la loi. Car, en empêchant les policiers de voir la bouteille, les contrevenants pouvaient plus facilement contester l’amende devant le tribunal.

Dépénalisation récente à Manhattan

Il aura fallu attendre l’arrivée de Bill de Blasio pour que la loi évolue. En juin, le démocrate a ratifié une série de lois (Criminal Justice Reform Act 2016) dépénalisant certains délits, dont l’urination en public et la consommation d’alcool dans la rue. Objectif: désengorger les tribunaux et permettre à la police de se concentrer sur des crimes plus sérieux. Concrètement, cela signifie que les contrevenants sont seulement passibles d’une amende de 25 dollars, et le délit ne figurera pas dans leur casier judiciaire. Que les expats, touristes ou étudiants français de passage pris en flagrant délit de boire du rosé dans la rue se rassurent: ils n’auront donc aucun problème avec leur visa. Si vous êtes saoul et que votre comportement menace la sécurité d’autrui, c’est une autre affaire…
L’amende doit être réglée dans les dix jours par chèque payable au New York City Criminal Court. La deuxième option est de vous rendre directement au tribunal. Là, il se peut que le juge décide purement et simplement d’annuler la procédure. Les choses peuvent se gâter si vous n’honorez pas votre convocation au tribunal. Dans ce cas, un mandat d’arrêt sera émis contre vous.
A noter que cet assouplissement ne concerne que Manhattan. En dehors (Brooklyn, Queens, Bronx et Staten Island), la police peut toujours procéder à des arrestations si vous buvez dans la rue, un parc, à la plage ou tout autre espace public.

Pour être tranquille

Vous pouvez profiter de votre rosé en paix dans les endroits autorisés à servir de l’alcool dehors, comme les terrasses de cafés-bars-restaurants bien entendu (voici nos sept favorites), mais aussi les block parties. Vous pouvez aussi boire sur votre perron car il s’agit d’une propriété privée.

Des cordes et des feux d'artifice pour Independence Day à Austin

Sortez votre nappe de pique-nique ce lundi 4 juillet pour le 40ème anniversaire de l’H-E-B Austin Symphony. L’Austin Symphony organise son grand concert d’Independence Day ce soir-là sous la direction du chef Peter Bay, avant de tirer le traditionnel feu d’artifice.
L’événement se déroulera sur la pelouse géante du Vic Mathias Shores, en bordure du Lady Bird Lake. Cent mille personnes sont attendues.
Et le spectacle s’annonce haut en couleur. Les musiciens de l’Austin Symphony s’accorderont et joueront des hymnes patriotiques dès 8:30pm. Le feu d’artifice sera tiré de 9:30m à 10pm. Nourriture et boissons seront servies sur place.
L’événement est gratuit. Venez tôt!

Les pionniers de l'électro Kraftwerk en 3D à Dallas et San Antonio

Unique en son genre, le groupe avant-gardiste d’électro allemand Kraftwerk va faire vibrer Dallas et San Antonio avec son surprenant spectacle en 3D. Il sera à The Bomb Factory le 10 septembre et le 12 au Tobin Center.
Fondé par Ralf Hütter et Florian Schneider, Kraftwerk est un projet multi-média à part entière. Le groupe acquiert une reconnaissance internationale au milieu des années 1970. Leur univers sonore, révolutionnaire pour l’époque, se construit autour d’un mélange de robotique et d’autres innovations techniques. Ils créent et produisent tous leurs albums depuis leur studio à Düsseldorf.
Après leur restrospective au MoMA de New York en 2012, le quatuor composé de Ralf Hütter, Henning Schmitz, Fritz Hilpert et Falk Grieffenhagen est revenu à ses origines : à la scène artistique de Düsseldorf fin des années 1960. Conciliant musique et performance artistique, leurs concerts en 3D sont des oeuvres d’art à part entière. Après le MoMA, ils se sont produits notamment au Tate Modern Turbine Hall de Londres, à l’Opera House de Sydney ou encore à la Neue Nationalgalerie de Berlin. En 2014, Ralf Hütter et son ancien partenaire ont reçu un Grammy spécial pour l’ensemble de leur carrière.
 
 

Fêtez le 14 Juillet sur un rooftop à New York

Pour le 14 Juillet, prenez de la hauteur. French Morning et French Tuesdays organisent une soirée Bastille Day au Sky Room, le rooftop bar de la 40e rue, le 13 juillet. Pour être inscrit sur la liste, entrez votre nom, prénom et adresse e-mail dans le formulaire ci-dessous. Remplir un formulaire par personne.
Début des festivités: 7:30pm (pour correspondre avec le 14 juillet en France). En plus d’une belle vue, on vous promet un DJ pour l’ambiance, un beau coucher de soleil sur la skyline. Une tombola pour gagner un aller-retour New York-Provence sur Air France sera aussi organisée pour coller au thème de la soirée : “La Provence conquiert New York”. Dress code: “French chic” (pas de t-shirts ni de baskets).

Les inscriptions gratuites sont terminées. 

Merci Jessica !

D’habitude, mettre un point d’exclamation et utiliser un prénom sans nom dans un titre sont des pratiques typographiques bannies dans French Morning. Mais nous brisons allègrement les règles aujourd’hui pour une bonne raison. Notre journaliste Jessica Gourdon – alias “Jess” ou encore  “notre Normande favorite” – nous quitte pour voguer vers d’autres horizons personnels et professionnels.

Pendant quatre ans comme freelancer puis membre de notre joyeuse équipe, Jessica a été un pilier de la rédaction de French Morning. Vous avez aperçu sa signature dans près de 400 articles, sur des thèmes aussi différents que la couleur des oeufs américains, l’interdiction de la mimolette ou encore la chute de l’homme d’affaires Renaud Laplanche… Elle est derrière notre rubrique “Conseils de patron” et la quasi-totalité de nos articles sur les start-ups françaises venues tenter leur chance ici. Et on ne vous parle pas de tous les autres papiers qu’elle a signés, que vous pouvez lire et relire ici

Quel que soit l’article, Jessica a toujours mis la même qualité et le même niveau de rigueur dans son travail. Si French Morning a grandi pour devenir le média communautaire de référence aujourd’hui, c’est en très grande partie grâce à elle. Et pour tout ça, on lui dit: “Merci Jess!” et on lui souhaite bonne continuation. Avec plusieurs points d’exclamation.

L’équipe de French Morning