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A Harlem, un "bistro français à emporter"

Au menu gribouillé à la craie sur des ardoises, on trouve un burger de poulet rôti aux herbes de Provence, un sandwich de boeuf braisé à la moutarde de Dijon et un tiramisu au Nutella en dessert. Le “bistro français à emporter” de Benjamin Baccari Kebe, jeune Français installé depuis sept ans à New York, est une petite enseigne charmante qui a vu le jour en décembre 2015.
Situé sur Adam Clayton Powell Blvd à Harlem, le B & K French Cuisine propose une cuisine française de qualité à consommer à emporter mais également sur place, sur l’une de ses deux tables extérieures. “Il est impossible de trouver à New York des fast-food de qualité à prix compétitifs. J’ai voulu associer le prestige et la qualité de la nourriture française au concept de fast-food à emporter” , explique-t-il. Pari gagné: la fréquentation du restaurant ne cesse d’augmenter. A tel point que Benjamin Baccari Kebe doit assurer la préparation des plats et le service, avec l’aide de trois salariés.
La cuisine française? Il en tombe amoureux à 15 ans, pendant un stage de 3ème. “Mon voisin, chef au Plaza Athénée à Paris, m’a ouvert les portes du restaurant (le Relais Plaza, ndr). Je me souviens avoir été séduit par la beauté du lieu et la qualité de la cuisine” . Le jeune Français d’origine malienne y restera trois ans sous les ordres de Philippe Marc, sous-chef d’Alain Ducasse, le temps de faire son BEP et son CAP. Après un passage au restaurant l’Obélisque au Crillon, Benjamin Baccari Kebe s’envole pour les Etats-Unis, d’abord en tant que touriste. “Mon oncle, chef cuisiner dans un TGI Friday à New York, m’a assuré que les Américains aimaient la cuisine française et que je devais tenter ma chance” . A son retour, le jeune homme s’ennuie, ne cesse de repenser à New York et à l’idée de son oncle. Quelques mois plus tard, il saute le pas. Arrivé dans la Grosse pomme, Benjamin Baccari Kebe y rencontre une Française, Daphné, qui deviendra sa compagne et son associée au B & K French Cuisine.
Le lancement du restaurant n’a pas été facile. L’an dernier, jour de Thanksgiving, une fuite de gaz dans l’immeuble où il se situe oblige son propriétaire à couper le robinet d’arrivée. Les jours passent mais les conduits de gaz ne sont pas réparés. “J’avais choisi ce local car j’avais absolument besoin de gaz pour élaborer mes recettes et faire mon propre pain. A vingt jours de l’ouverture, j’ai dû revoir la moitié de ma carte.” Un coup dur. Six mois plus tard, début juin, une journaliste du New York Times passe à l’improviste . Séduite par son repas, elle publie une critique dithyrambique. “Je me souviens avoir servi une petite dame maigre qui m’a commandé 10 trucs en même temps. Je me suis demandé comment elle avait pu manger tout ça” , rit-il. Depuis la parution de l’article, Benjamin Baccari Kebe ne chôme pas. “J’ai normalement une clientèle de quartier. Mais depuis une semaine, des New-Yorkais de toute la ville viennent au restaurant” .
Pas question pour autant de se cantonner à une seule enseigne. “J’ai un bail de deux ans. Le B & K est un tremplin pour me faire connaitre” . A terme, il veut faire de son restaurant une chaîne, sur le modèle de Chipotle, le fast-food haut-de-gamme mexicain. “J’aime les produits de qualité et le fait de proposer une cuisine à déguster sur place ou à emporter” . Mais si l’entrepreneur s’imagine conquérir tout New York, pas question pour lui de déménager d’Harlem, le quartier où il vit aujourd’hui. “Je me sens oppressé à Downtown Manhattan. Ici, il y a une ambiance de village. Tout le monde se connaît, c’est convivial. Et puis Harlem a un côté hip-hop, comme moi” .
 

La mangue en fête à Coral Gables les 9 et 10 juillet

La mangue a la banane. Il accueille les samedi 9 et dimanche 10 juillet le 24ème Festival international de la mangue.
Au programme: conférences sur les mangues cubaines, ventes, démonstrations culinaires et dégustation d’une sélection des meilleures variétés de mangues issues du monde entier. Le tout au Fairchild Botanic Garden, dédié à l’exploration et à la conservation des plantes tropicales. Temps fort de cet évènement: le 17eme Mango Brunch qui, comme son nom l’indique, est un grand brunch dont le menu est à base de mangues. Il aura lieu dimanche 10 juillet à 11am.
 
 
 
 
 

La French Touch Conference de New York, c’est cette semaine

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Mardi 21 et mercredi 22 juin, la « French Tech » de New York se réunit dans les locaux d’Axa pour discuter des dernières tendances, échanger de bonnes pratiques, écouter des pitches, et troquer des cartes de visite.
La French Touch Conference, organisée pour la troisième année à New York par Gaël Duval, prévoit divers panels, conférences et ateliers. Environ 500 participants sont attendus.
Mardi 21 juin, Axelle Lemaire, la secrétaire d’Etat chargée du Numérique, ouvrira le bal. Des représentants de la mairie de New York évoqueront les avantages offerts par la ville aux entrepreneurs. Didier Rappaport, fondateur de l’application Happn, fait partie des intervenants, tout comme Alexandre Mars (Epic Foundation), ainsi que Christian de Boisredon, fondateur de Sparknews.
Cedric Hutchings, patron de la start-up d’objets connectés Withings, viendra parler de son entreprise, tout comme la fondatrice de Videdressing.com, Meryl Job. Le programme prévoit aussi des interventions d’investisseurs et VC (Eric Martineau, Marie Ekeland, Alex Ferrara).
Mercredi 22 juin, plusieurs thématiques seront abordées : la mode (avec le patron de la start-up de lingerie AdoreMe, Morgan Hermand-Waiche), les big datas (avec le fondateur de Datadog), la fuite des talents, les nouveaux modèles économiques dans la publicité et les médias…
Matt Turk, directeur de First Mark Capital, dissertera sur les secteurs « chauds » du moment. Une mystérieuse intervention de Jean-Marie Messier fait également partie du programme – aucun thème n’a été annoncé. A noter aussi : la présence de l’auteur de best-sellers Harlan Coben. Une compétition de pitches sera organisée en fin de journée.
Outre les conférences, les participants pourront assister à des ateliers thématiques, notamment sur les objets connectés et la fintech.
Enfin, une soirée est prévue pour clôturer l’évènement à SparkLabs Bryant Park.

Soirée networking et "venture capital" avec French Morning

C’est le deuxième épisode de notre série de conférences “Business”, co-organisées par French Morning et FrenchFounders. Et cette fois, nous allons parler “start-ups” et “fundraising” avec un des principaux fonds d’investissement new-yorkais: Rubicon Venture Capital. Rendez-vous le 6 juillet.
Joshua Siegel est le “General Partner” de Rubicon Venture. Il partagera son analyse de l’actualité du monde des start-ups, les secteurs qui ont le vent en poupe, les meilleurs façons d’aborder un VC et tout ce qu’il faut savoir pour boucler un tour de table…
Comme à chacun de ces “Mix & Mingle”, l’intervention de Joshua Siegel sera suivie d’un cocktail-networking.
 

"Avec le L-2, on se retrouve face à LinkedIn"

Il ne déclenche pas d’admiration comme le visa d’artiste, mais bon. On est quand même content de l’avoir.” “Il”, c’est le visa L-2 de Claire Saget, une Française arrivée à New York l’an dernier.
Ce visa d’accompagnant est attribué aux conjoints de titulaires de L-1, un visa de transfert attribué à l’employé d’un groupe envoyé dans une filiale américaine. Contrairement à d’autres visas, le L-2 est relativement simple à décrocher. Le demandeur doit se présenter à l’ambassade avec différents documents, dont un certificat de mariage et la preuve du transfert du conjoint. Il est valable pour la durée du L-1, soit sept ans dans le cas du L-1A (pour les cadres) ou cinq pour le L-1B (employé avec compétences spéciales) – à moins d’un licenciement. Il peut aussi être attribué aux enfants du L-1 s’ils ont moins de 21 ans.
J’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari au Canada, lors de mes études. En rentrant, on s’est dit qu’on aimerait retourner en Amérique du Nord. La vie est bien faîte, puisque quelques semaines après nos cinq ans à Paris, il a eu l’opportunité d’être transféré à New York avec le cabinet de conseil BCG (Boston Consulting Group, ndr), explique la jeune femme, diplômée de Sciences po Aix. Le couple, “jeune, sans enfants” , n’a pas hésité. 
Si obtenir le visa est simple – “le plus dur est le L-1” – , les complications viennent plus tard. Contrairement à d’autres visas d’accompagnants, le L-2 donne le droit à son détenteur de travailler. A condition que celui-ci obtienne un EAD (Employment Authorization Document). Celui-ci arrive en théorie trois mois après la demande. Entretemps, “légalement, on ne peut pas faire de démarches auprès des employeurs avant d’avoir obtenu le document. Ce que j’ai respecté.” Claire Saget a donc pris son mal en patience. “On trouve le temps long. J’ai fait pas mal de volontariat dans les institutions culturelles et au Central Park Conservancy. On essaye de rencontrer des gens, de se recréer un réseau professionnel, de faire des activités. 
“On se retrouve face à LinkedIn”
Elle reçoit le “précieux sésame” en septembre 2015. Mais trouver un emploi s’avère difficile pour la Française. “Comme tous les accompagnants d’expats, il y a une période un peu dure. On est loin de la famille. Il faut rencontrer des gens, envoyer des candidatures… C’est comme pour un premier boulot en France, sauf qu’on est aux Etats-Unis. Même si le fait d’avoir fait des stages au Canada aide, New York est compétitive. Il y a beaucoup d’immigrants qui parlent français. Il faut y croire, ne pas lâcher, poursuit-elle. Et encore, j’ai de la chance. Avant 2002, les détenteurs de L-2 ne pouvaient pas travailler. Aujourd’hui, les femmes veulent avoir un travail. J’étais aussi ravie et motivée que mon mari, mais alors que lui recommence un travail tout de suite, nous on se retrouve face à LinkedIn, Internet et ses possibilités infinies. On veut de l’humain aussi. On veut pouvoir décrocher un entretien, montrer qu’on est un Français parlant bien l’anglais, qu’on peut commencer par une première mission pour avoir une première expérience aux US et prouver qu’on a sa place.
Claire Saget termine prochainement une mission au sein de l’agence de communication ReflexGroup. Après, “les envois de CV vont recommencer. Je vais refaire marcher les contacts, essayer de reprendre une mission de quelques mois… On se rend compte en arrivant à New York que le CDI est une notion bien française!
 

Le 30 juin, un pique-nique normand à New York

Les Normands de New York ne perdent pas une occasion de s’amuser. Ils viennent célébrer, en communauté, le grand départ du Tour de France autour d’un festin prévu le jeudi 30 juin dès 6pm à Riverside Park (Linda’s Lawn).
“Le Pique Nique des Normands de New York”, organisé par le Réseau Normand, s’articulera autour de divers jeux, dont un concours de palet normand sponsorisé par la marque de prêt-à-porter Saint James. Des mascottes du Tour de France seront à gagner. Le concours est gratuit.
Les convives sont invités à apporter de quoi trinquer et grignoter. Comme on ne change pas les bonnes habitudes, chacun doit apporter une bouteille de son cidre préféré ainsi qu’un plat concocté par ses soins.

Pourquoi les Américains adorent-ils le café froid ?

Les expatriés amoureux de café tombent de haut en arrivant aux Etats-Unis: contrairement à la France, le café froid est légion ici.
Par “café froid”, nous entendons l’ “iced coffee” bien entendu, mais aussi le “cold brew” . A la différence du café glacé préparé à base d’eau chaude, le “cold brew” consiste en des graines de café torréfiées plongées dans l’eau froide. L’infusion peut prendre entre 12 heures et toute une journée. Une fois le breuvage concocté, on peut y ajouter des glaçons, du lait, de la crème, du sucre. Pourquoi le café froid est-il aussi populaire aux Etats-Unis ? C’est la question bête de la semaine.
La première raison tient à l’amour que les Américains vouent au café tout court. Selon un sondage de Gallup de 2015, 64% des Américains disent prendre au moins une tasse de café par jour (11% plus de quatre par jour). “La première mention de la consommation de café en Amérique du Nord remonte à 1668 et, peu après, des cafés ont ouvert à New York, Philadelphie, Boston et dans d’autres villes”, rapporte l’Organisation Internationale du Café (OIC).
Le café froid, déjà fabriqué en Asie et en Amérique latine, a fait son apparition aux Etats-Unis il y a une dizaine d’années, selon le site spécialisé Drift Away Coffee. Relativement facile à préparer, le “cold brew” a explosé avec “une nouvelle vague de maisons de café artisanales. Elles ont permis de présenter le concept aux consommateurs, d’expliquer ce que c’était et pourquoi c’est une offre de café premium”, explique Elizabeth Sisel, analyste-boisson chez Mintel. Ce cabinet d’études de marché indique que cold brew a généré un volume de ventes de 7,9 millions de dollars aux Etats-Unis entre 2014-2015, une augmentation de 115%. “Une fois que les titans du café comme Starbucks et Peet’s ont récupéré la tendance, la prise de conscience a décollé.
La raison principale de la popularité, poursuit l’experte, tient aux “Millennials”. En effet, une étude de Mintel rapporte que les 18-24 ans sont les plus accros. Alors que 20% des consommateurs américains boivent du café glacé, le taux passe à 38% au sein de la tranche d’âge. “Les Américains adorent le café, et des produits similaires comme le thé n’ont pas la même présence, même si le thé progresse. Le café a toujours été une boisson du quotidien pour beaucoup de consommateurs et, avec autant de maisons de café artisanales offrant des produits nouveaux, de qualité, le café demeure une expérience. Les consommateurs découvrent les cafés premium à un jeune âge, à commencer par les Millennials qui ont grandi avec Starbucks.  Aujourd’hui les adolescents et pré-adolescents vont au café pour socialiser et sont exposés à des cafés de qualité dès leur plus jeune âge”.
Les vendeurs de café l’ont bien compris et rivalisent d’ingéniosité. Aujourd’hui, on trouve du café froid en canettes, ou servi en fût, ou encore en version nitro coffee (infusée de nitrogène, comme certaines bières, pour créer plus de mousse).
“Le café froid est encore voué à croître. Il s’agit en effet d’un petit sous-segment pour lequel la prise de conscience des consommateurs s’est accrue rapidement, développe Elizabeth Sisel. Mais la raison principale pour laquelle les consommateurs sont attirés par le cold brew est qu’ils aiment tester de nouvelles méthodes de préparation. Cela signifie que si une nouvelle technique apparaît, le cold brew pourrait devenir une chose du passé.” Mais nous n’en sommes pas encore là. L’étude de Mintel  estime que 33% des personnes n’ayant pas essayé le café froid se disent prêtes à se laisser tenter. “Le défi: le café froid reste plus populaire pendant les saisons chaudes, alors que le café chaud est consommé toute l’année” .

Foot, croissants et crêpes: bienvenue aux Enfants Délice

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Un petit local avec un comptoir donnant sur la rue, des chaises et tables pliantes installées dehors, des crêpes, du café organic et des sandwiches.
Voilà la formule efficace du nouveau coffee-shop de Stefan Jonot, un Français du Lower East Side bien connu dans le quartier pour son restaurant français, Les Enfants de Bohème, situé la porte à côté.
Les Enfants Délice, son coffee-shop new-yorkais ouvert début juin à la lisière de Chinatown, est une version casual et on the go de son restaurant. “Je voulais faire un truc avec des produits de qualité et accessibles, dans un quartier où on pense qu’il n’y a que des slices de pizza et de la chinese food”, raconte ce Parisien installé à New York depuis 16 ans, et qui est aussi photographe et réalisateur de documentaires.
Stefan Jonot
Comme dans son bistrot Les Enfants de Bohème, Les Enfants Délice joue à fond la carte du bleu-blanc-rouge. “Le matin, on met France Info en boucle, alors ça fait bien local”, lance Stefan Jonot.
Au menu : des sandwiches à la baguette (jambon-fromage, saucisson, foie gras…), un pan bagnat, des petites salades, des croissants, des glaces artisanales, et bien sûr, des crêpes, réalisées devant vous sur deux crêpières.
“On fait tout sur place, on fait aussi cuire les croissants et les pains au chocolat ici. Je voudrais bien faire des crêpes au sarrasin, mais je ne trouve pas la bonne farine. Je vais peut être en faire importer”, explique Stefan Jonot.
Le jour de notre passage, il pleuvait des cordes, mais dès que le soleil sort, on se presse sur la terrasse, promet Stefan Jonot. “Nos clients, ce sont surtout des gens du quartier, des familles qui passent en sortant de l’école. C’est un endroit très kid-friendly, il y a toujours plein de gamins en fin de journée.” 
Son petit local communique directement avec la cuisine de son restaurant. “J’ai tout fabriqué, ça m’a pris six mois”, dit ce Français bricoleur, qui a désormais une autre obsession : l’Euro. Stefan Jonot organise avec sa femme Cathy la projection des matches sur Governors Island, ainsi que dans son restaurant, qui partage la terrasse avec Les Enfants Délice. Matches, bières et crêpes : vous ne serez pas dépaysés.

Inscriptions consulaires: plus besoin de se déplacer au consulat

Plus besoin de se déplacer au consulat pour s’inscrire au registre des Français établis hors de France. Une nouvelle procédure d’inscription en ligne vient d’être mise en route.
L’inscription au registre permet au consulat de connaître et localiser la communauté française dans sa circonscription et de contacter les ressortissants et leurs proches en cas d’urgence. L’inscription consulaire est aussi destinée à faciliter l’accomplissement de formalités administratives (demande de documents d’identité et de bourses scolaires, inscriptions sur la liste électorale consulaire…), permettre de recevoir des informations du poste consulaire et d’accéder à certaines prestations.
A noter que si vous souhaitez voter de l’étranger en 2017 (élections législatives et présidentielle), l’inscription doit se faire avant le 31 décembre.
 

Nos sept terrasses préférées à New York

Sur l’eau, en l’air, dans un parc: il y a des terrasses partout et pour tout le monde à New York. En voici sept, testées et approuvées par la rédac’ de French Morning.
1. The Brooklyn Barge, pour une vue imprenable sur Manhattan (Greenpoint)
Tenue par trois associés passionnés par l’univers maritime, cette barge flottante (ci-dessus) ouverte pendant les beaux jours offre une vue majestueuse sur la skyline, surtout de nuit. Elle possède un bar et un restaurant, où l’on peut déjeuner et dîner. A la carte, beaucoup de petits plats à partager : guacamole, maïs grillé, côtelettes de porc grillé, tacos, salade de kale, burgers… Le service est sympathique, l’ambiance décontractée et il y a beaucoup de tables pour s’assoir. Seul bémol: le choix limité au niveau des boissons. Disons qu’il faut aimer la bière… L’endroit est ouvert de 11am à 2am, 7 jours sur 7. 3 Milton Street, Greenpoint. Site ici
2. Fornino, pizza avec vue sur les volleyeurs-euses (Brooklyn Heights)


 
Si vous êtes du côté de Brooklyn Heights, pensez à faire un tour à Pier 6. Terrains de sport, tables de pique-nique, marina: ce site en bordure d’eau est en train de se développer à vitesse grand V. Au milieu de tout cela, il y a Fornino, un restaurant italien spécialisé dans la pizza qui compte deux autres établissements à New York. Sa terrasse se trouve à l’étage. De là, vous apprécierez la vue sur Manhattan et sur les volleyeurs-euses qui s’affrontent sur les terrains en contrebas. La sélection de boissons n’est pas très large, mais qu’importe. Les pizzas et les sandwiches sont copieux. Lors de notre visite un dimanche après-midi, nous n’avons eu aucun de mal à trouver une place. Ouvert de 10am à minuit. Pier 6, Brooklyn Bridge Park. Site ici
3. Bluestone Café, un verre et du roller (Prospect Park)


Au LeFrak Center, centre de loisirs composé d’un grande fontaine pour permettre aux enfants de patauger et d’une piste de roller pour le “Roller Disco” du vendredi, on trouve aussi un bar. La carte du Bluestone Café n’est pas extraordinaire, mais suffisante pour une pause gourmande après un tour en roller ou au retour d’une sortie pédalo sur le lac de Prospect Park. Outre la dizaine de tables de pique-nique, le café compte quelques fauteuils et sofas juste à côté de la piste. Ouvert de midi à 7pm (6pm le dimanche). Entrée sur Ocean Ave et Lincoln Road. Site
4. Gemma, avec une coupe de prosecco (East Village)
Gemma
Gemma, le restaurant du Bowery Hotel, possède une grande terrasse installée sur le trottoir. Elle est toujours animée et parfaitement positionnée pour capter les derniers rayons de soleil de la journée. On peut y venir pour siroter un negroni ou un verre de prosecco, ou pour dîner. Dans l’assiette : des pizzas à la burrata ou “prosciutto-arugula”, des penne à l’aubergine, des plateaux de charcuteries ou de fromages italiens, une salade de poulpe. Ambiance décontractée mais sophistiquée. Bref, l’Italie qu’on aime dans l’East Village. 335 Bowery. Site ici.
5. Le Boat Basin Café, avec une bière (Upper West Side)
BoatBassin
De l’autre côté de Riverside Drive, on respire. Face à l’Hudson, le vaste Boat Basin Café s’anime pendant les mois d’été, dans une atmosphère de port de plaisance à la bonne franquette (nappes à carreaux, chaises en plastique). Le bar dispose d’une grande terrasse à l’intérieur d’une rotonde en pierre, et une autre face à l’eau, au-dessus de la promenade. La nourriture n’a rien d’exceptionnel : on y vient avec des amis pour boire des bières et manger des frites au grand air, loin des voitures et devant les voiliers amarrés le long des pontons. En été, le soir, il y a beaucoup de monde. Pas de réservations. Attention : fermeture à 11:30pm (10pm le dimanche). West 79th, au niveau de l’Hudson. Site ici.
6. North Cove Marina, des tables et des bateaux (Battery Park City)

Terrasse du wintergarden avec vue sur l'Hudson #newyork #soleil #terrasse #manhattan

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C’est l’endroit favori des after-workers de Lower Manhattan. Autour de cette marina de Battery Park City, beaucoup de restaurants ont installé leur terrasse. Mais elles sont souvent bondées, surtout le vendredi soir. On vous conseille donc de prendre place aux tables publiques situées devant le Wintergarden. Certes, personne ne viendra vous servir, mais vous pourrez trouver tout ce qu’il faut au sein de Brookfield Place, dont le marché français le District. L’alcool est toléré. Vesey St et Hudson River. Site ici
7Le Loeb Boathouse, pour se revigorer après un tour en barque (Central Park)
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Ce pavillon adjacent au lac de Central Park offre un cadre idyllique, un havre de paix parfait. Idéal donc, pour un déjeuner romantique ou en famille. L’offre de plats est variée, et dépend de la formule que vous choisissez: brunch, déjeuner ou dîner. Elle tourne majoritairement autour du poisson : du saumon grillé de Norvège au ceviche fruits de la passion en passant par le fish & chips traditionnel. Les amateurs de sucré apprécieront la suggestion alléchante de gaufres au sirop d’érable et compote de baies, glaces maison, tarte tatin banane… Louez un vélo ou une barque et allez naviguer sur le lac avant de vous ouvrir l’appétit. Attention, l’ouverture du bar extérieur dépend de la météo. East 72nd et 5e Avenue, Central Park. Site ici
Emmanuelle Rivière, Jessica Gourdon et Alexis Buisson

"Star Wars" et "Clueless" à Movies in the Park à Dallas

Si vous avez loupé le septième et dernier opus de la saga Star Wars à sa sortie en décembre (honte à vous), vous aurez l’occasion de vous rattraper. Le festival de films en plein air de Park Lane “Movies in the Park”  montrera « Le réveil de la force » , réalisé par J.J Abrams trente ans après l’épisode VI « Le Retour du Jedi ». Préparez-vous pour 2h15 d’immersion dans une galaxie lointaine…
Le film culte « Clueless » (1995) viendra ensuite. Le film évoque l’histoire d’une lycéenne issue du milieu huppé de Beverly Hills qui écarte ses rivales grâce à son sens inné de la mode. Mais quand une autre étudiante devient plus populaire qu’elle, les choses se gâtent.
Choisissez-vous un petit coin d’herbe et venez pique-niquer devant le grand écran. Les films sont projetés à la tombée de la nuit, à 8:30pm. Méfiance, les séances dépendent de la météo.

Festival aux couleurs de la France au Kimbell Art Museum de Fort Worth

Le musée d’art de Fort Worth, le Kimbell Art Museum, met la France à l’honneur. Il organise samedi 18 juin un festival gratuit et ouvert à tous, le Kimbell Fest: France!.
C’est la troisième Kimbell Fest qu’organise le musée. Au programme: musiciens et danseurs, activités pour les enfants, ou encore projections de films liés à la France. Le festival débutera par un “Tour de France” entre 1pm et 2pm. Les participants seront invités à revêtir leur plus belle tenue française et à décorer leur vélo pour une balade autour du musée.
Le festival est organisé dans le cadre de l’exposition sur les frères Le Nain, artistes-peintres français du début du XVIIème siècle.
Les participants peuvent également pré-commander un panier pique-nique français en contactant Central Market. Les festivités dureront jusqu’à 10pm.