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Immobilier à Miami : les raisons de l’attractivité

(Article Partenaire) Miami est désormais le 7ème marché de l’immobilier de luxe dans le monde (Londres est au sommet, New York en 3ème place). Mais le dynamisme ne concerne pas que les “mansions” ou les “penthouses” à 50 millions de dollars: il se fait sentir à tous les niveaux.

 Après une période ininterrompue de record de ventes, le marché se calme, faisant craindre à certains le retour d’une bulle ravivant les douloureux souvenirs de 2008. “Il faut nuancer ces constats alarmistes, constate Elisabeth Gazay, Directeur Associée de Barnes International Realty à Miami. Certes on a atteint un pic après des années d’ajustement, et la clientèle sud-américaine est nettement moins active que par le passé, mais ce marché reste l’un des plus attractifs à l’échelle internationale”.

Fondamentaux excellents

 La réalité, ajoute Elisabeth Gazay, “c’est que les fondamentaux du marché à Miami sont excellents. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons rebondi si rapidement après l’effondrement de 2008: les bonnes raisons de venir à Miami évoluent bien au-delà du climat ! Aujourd’hui, on parle du dynamisme économique, de la diversification des secteurs d’activité, d’un environnement particulièrement favorable aux PME et start ups ».

Maison art déco à Miami Beach. 1,75 M.
Maison art déco à Miami Beach. 1,75 M.

Le principal atout de Miami est sans doute celui d’être encore plus abordable que la plupart des autres “endroits à la mode” de la planète. Du coup, de l’investissement locatif à l’implantation définitive en passant par la résidence secondaire, “the Magic city” en offre pour tous les goûts. “Il y a une grande diversité de produits, de quartiers, de prix, ici, souligne Jim Agard, co-Directeur, d’où l’importance d’être bien accompagné pour bien comprendre le marché”. Trop d’investisseurs arrivent par exemple en se disant qu’ils vont acheter un bien à rénover et faire ainsi des économies sans réaliser qu’aux Etats-Unis “c’est une tâche complexe et profitable seulement si l’on a du recul et une parfaite connaissance du marché”. Il y a aussi les caractéristiques locales à prendre en compte, pour acheter bien et sûr.

L’achat sur plan : des opportunités uniques

 Une des caractéristiques du marché de Miami est le dynamisme des projets neufs vendus “sur plan”. Des dizaines de projets ont vu le jour depuis 2013. Les premiers ont été livrés, beaucoup d’autres seront terminés dans les deux ou trois prochaines années. “Ce qui est rassurant, souligne Elisabeth Gazay,  c’est que les règles du jeu ont changé depuis la crise de 2008: un projet ne démarre désormais que lorsque la majorité des appartements est vendue, les acheteurs payant 50% avant la livraison”. Ces leçons tirées de la crise sont une des raisons de la confiance internationale dans l’immobilier à Miami. Le marché de la pré-construction est une des attractions principales des acquéreurs étrangers à Miami. “L’achat sur plan permet aux investisseurs de se positionner sur des quartiers en pleine croissance, et de profiter des dernières créations d’architectes et de designer de talent venus du monde entier pour apporter leur pierre” ajoute Adam Redolfi, qui dirige le département dédié aux Programmes Neufs chez Barnes à Miami.

Appartement à Brickell. Vues exceptionnelles pour $819/Sq Feet.
Appartement à Brickell. Vues exceptionnelles pour $819/Sq Feet.

« Il n’est pas anodin que les quartiers les plus en vogue soient les plus concernés par ce boom de promotions ». Après les quartiers de Brickell, au centre de Miami et de South-Pointe à Miami Beach, aujourd’hui confirmés et mûrs, c’est au tour d’Edgewater, Midtown et Surfside d’être au centre de l’attention. “Nous avons constaté que les plus gros gains en capital offerts à notre clientèle ont le plus souvent été générés à la suite d’un achat sur plan. L’investissement se Fait graduellement. On achète au prix d’aujourd’hui un bien livré deux ans plus tard dans un quartier qui se valorise fortement. C’est la clé d’un placement judicieux” souligne Adam Redolfi.

Le choix du promoteur est déterminant. Là aussi, il est essentiel de demander conseil à son consultant immobilier avant même d’étudier un projet. Cela permet d’intégrer les différentes composantes (quartier, étage, vue, voisinage, qualité des prestations et du concept…) et surtout de choisir un bien qui conservera sa valeur sur le long terme.

Sur Barnes Miami:

Avec une quinzaine de Consultants immobiliers, le bureau du Groupe Barnes à Miami est devenu, en dix ans, numéro un de l’accompagnement des francophones sur ce marché. Sa clientèle diversifiée compte aussi bien des investisseurs, expatriés, détenteurs de résidences secondaires, résidents permanents ayant choisi Miami pour développer leurs affaires sur toutes les Amériques. Barnes a ainsi développé une offre de service complète dans l’immobilier, l’achat d’affaires, de franchises et la gestion de biens.

www.barnes-miami.com

Tel: +1 305 361 2233

1150 SW 22nd St.  

Miami, Florida 33129 USA

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Les galeries d'art interactives, le créneau de deux Français de San Francisco

Dans les nouveaux bureaux de Daylighted, dans le quartier de Jackson Square, à San Francisco, trônent deux grands écrans plats. Photographies, peintures, images animées s’y succèdent lentement. Au cours de notre discussion, le regard s’y laisse capter plusieurs fois. C’est l’objectif.

« Notre idée, c’est que les gens puissent découvrir un bon photographe ou un bon peintre aussi facilement qu’on découvre de la musique ou un bouquin », résume Alex Cammarano, co-fondateur avec Elisabeth Mouchy de la start-up Daylighted, qu’il présentent comme un “Spotify de l’art” – ou une galerie d’art intelligente.

Attirée par les Etats-Unis depuis toujours, Elisabeth Mouchy y habite depuis quatre ans. Cette francilienne scrutait l’innovation dans la Silicon Valley pour La Poste, et avait « envie de monter [sa] boîte »« Pas fan des US » au départ, Alex Cammarano, grenoblois, est « venu à reculons » en 2011, pour suivre un bachelor en management à Temple University, à Philadelphie. Il est « tombé presque par hasard dans l’art et l’entreprenariat ». Présentés l’un à l’autre « par un ami commun », les deux trentenaires se sont lancés.

Depuis ses débuts en 2013, Daylighted a installé au total une cinquantaine de ses écrans animés dans 16 hôtels clients, aux Etats-Unis, au Canada et en France. Les hôtels abonnés peuvent choisir parmi les 10’000 œuvres de 300 artistes (souvent locaux) sélectionnés par Daylighted. Ou opter pour des collections thématiques.

Grâce une tablette qui accompagne l’écran, le visiteur curieux peut en apprendre plus sur l’œuvre, voire l’acheter. « Au fond, on est aussi une galerie d’art presque classique », commente Elisabeth Mouchy.

« Face aux nouveaux entrants comme AirBnB, les hôtels veulent de plus en plus créer une expérience locale, unique, personnalisable. Ils veulent aussi plus de technologie, parce qu’aujourd’hui, la moitié des voyageurs sont des millenials », analyse-t-elle. « Les hôtels ont besoin d’art, et les artistes de visibilité », complète Alex Cammarano.

C’est un road trip qui l’a conduit à ce constat : après son année d’étude à Philadelphie, il s’achète un appareil et s’essaie à la photographie en sillonnant les Etats-Unis. Il découvre le monde de l’art, ses canaux de diffusion, et commence à « bricoler un écran ». Au passage, il tombe amoureux de la Californie. « Maintenant, je ne me vois plus partir », confie-t-il.

Les deux acolytes peaufinent leur idée dans un incubateur de start-ups, le Founder Institute, à l’été 2013. Ils multiplient les rencontres pour comprendre les mondes de l’art et de l’hôtellerie, trouvent un premier hôtel partenaire et s’entourent de mentors.
« Pour se lancer, il fallait un visa, donc trouver des fonds français », rappelle Alex Cammarano. C’est chose faite en novembre 2014. Mais la partie n’est pas gagnée : les contrats tardent à se concrétiser, et les fonds s’amenuisent. L’équipe, qui comptait alors sept personnes, est réduite à ses deux créateurs. « On s’est dit qu’on restait jusqu’au dernier centime », se souvient Alex Cammarano en évoquant « le creux de la vague », qui se révèle être avant tout une question de timing.
Les contrats sont finalement décrochés. Aujourd’hui, le duo « est serein sur la validation du marché », travaille avec deux nouveaux collaborateurs, tente de boucler une prochaine levée de fonds. Leur but, serait « d’être partout : dans les lieux publics, les hôpitaux, les cafés… », reconnaît Elisabeth Mouchy. Et pour cela, « il faut aller très vite » pour rester premier sur ce marché et continuer d’offrir aux spectateurs une pause artistique salutaire.

Une promenade insolite à partir du Miami City Cemetery le 4 juin

Marre des promenades plan-plan? Remote Miami vous propose une expérience insolite: une balade sonore avec 50 personnes dans les rues de Miami. Départ de la prochaine session: le samedi 4 juin à 4pm au Miami City Cemetery, le plus vieux de la ville. Arrivée: quelque part dans Downtown.
Munis d’un casque audio sur les oreilles, vous suivrez les instructions et les directions de Heather, une voix artificielle. Les participants, qui deviendront des acteurs, seront amenés à repenser la ville. New York, Paris, Sao Paolo ou encore Moscou ont adopté le concept. Il vous est recommandé d’arriver 15 minutes en avance et de vous munir de chaussures confortables. Il y aura de la marche…

Le 21 juin, Benjamin Clementine vient ensorceler Los Angeles

Difficile de placer Benjamin Clementine dans une catégorie. Son parcours personnel, son style et sa personnalité sont hors du commun.
Né en Angleterre, ce poète et musicien autodidacte débarque à Paris à l’âge de 19 ans. Les quatre années suivantes, Benjamin Clementine les passe à chanter et vivre dans la rue ou dans des logements de fortune.
Jusqu’au jour où son talent est découvert par un agent. Depuis, Benjamin Clémentine promène son physique hiératique sur les scènes internationales, et travaille avec les plus grands labels de musique (Capitol, Virgin EMI et Barclay). En 2015, il obtient une Victoire de la Musique dans la catégorie “Meilleur Nouvel Artiste”.
Quand il s’agit d’influence artistique, Benjamin Clementine cite volontiers Erik Satie, Leonard Cohen, Léo Ferré, Serge Gainsbourg ou encore Georges Brassens. Certains compare le chanteur à Nina Simone pour l’aura qu’il dégage sur scène.
Pour se faire son propre avis, il faut aller le voir le 21 juin prochain, jour de la fête de la musique au Teragram Ballroom à Los Angeles.

Coral Gables Restaurant Week débute le 6 juin

A vos couverts! La Coral Gables Restaurant Week reprend ses droits du 6 au 26 juin.
Une trentaine de restaurants participent à cette opération gastro, dont le concept ne change pas: pendant plusieurs semaines, les établissements participants offriront des menus prix fixes pour le déjeuner et le dîner. Cette année encore, il y en aura pour tous les goûts: la cuisine italienne de Caffe Abbracci, française du Provencal, la viande de  Morton’s ou les tapas de Bulla pour ne citer qu’eux. Pensez à réserver.

Combien ça coûte la plage à Miami ?

Passer vos week-ends au bord de l’eau, c’est possible mais vous pourrez bien être rattrapés par une réalité : la plage à Miami, ça peut coûter cher, très cher. C’est l’objet de ce “combien ça coûte”.
En classe business
Les plages d’hôtels offrent des conditions de confort optimales mais il faut y mettre le prix. Le W à South Beach propose une chaise longue ou un parasol à 25$, une « cabana » vide pour 38$, un « day bed » à 150$ et une « cabana » équipée pour 250$ à 350$ si vous voulez la TV.

W Hotel. Photo DR
W Hotel. Photo DR

Au Fontainebleau toujours sur la Beach, une chaise longue sur la plage coûte 19$, un parasol 25$ et un « day bed » 156$. Si vous planifiez une « staycation » à Miami Beach un de ces jours vous pourrez bénéficier de tout ce confort pour une poignée de dollars… mais vous aurez auparavant payé votre chambre.
Fontainebleau Hotel. Photo DR
Fontainebleau Hotel. Photo DR

A South Beach, le stationnement est une mine d’or pour qui possède le moindre lopin de terre. Vous trouverez souvent des terrains qui affichent un forfait de 20$ la journée. Autant prévoir d’y passer plusieurs heures, mais la nuit le tarif augmente.  Si vous préférez les « valet parkings », il faut compter facilement 25$.
En classe éco
Si vous voyagez léger et que vous aimez le confort, une chaise et un parasol coûtent 20$ à la plage du phare de Key Biscayne et à Virginia Key. Le long d’Ocean Drive, la chaise longue sera autour de 25$ et les lits géants (on y tient à plusieurs) en général à 125$.
Pour vos déplacements, vous pouvez également oublier votre voiture et choisir un taxi ou Uber. Un aller-retour Uber South Miami-Miami Beach coûte environ 40$.
Plage Bill Baggs Key Biscayne. Photo DR
Plage Bill Baggs Key Biscayne. Photo DR

En low cost
Les plages publiques ne manquent pas et restent l’option la moins chère. Vous arrivez avec votre serviette ou votre fauteuil pliant, votre parasol « et voilà » comme on dit en bon anglais.
L’application smartphone Park Me vous indique les disponibilités et tarifs des parkings publics et privés en ville. Pour une baignade rapide, optez pour les parcmètres ou les parkings municipaux couverts qui facturent à l’heure (entre 1 et 2$ l’heure).
Si vous allez dans des parcs, vous devrez vous acquitter d’un péage calculé par véhicule : Bill Baggs à Key Biscayne 8$, Oleta River à North Miami Beach 6$. A Oleta River, vous pouvez aussi passer le week-end à la plage en louant un petit bungalow en bois (4 couchages) avec BBQ privatif pour environ 65$ la nuit. Toujours à Key Biscayne, le parking de Crandon Park coûte 7$.
En mode débrouille
Débrouillez-vous pour vous faire inviter chez un ami qui possède une plage privée.

Quatre jours de fête pour les 80 ans de Fair Park à Dallas

Inauguré à l’occasion de l’exposition internationale Texas Centennial Exposition de 1936, qui marqua les 100 ans de l’indépendance du Texas, Fair Park célèbre ses 80 bougies cette année.
Pour l’occasion, quatre jours de festivités sont prévus, du mercredi 8 au samedi 11 juin. Au programme: expositions, concerts, tours de manège, soirée speakeasy et activités pour toute la famille.
Vous pourrez par exemple assister au concert plein air de l’Orchestre symphonique de Dallas mercredi 8 juin de 8pm à 9:30pm, avant d’admirer un feu d’artifice. Le lendemain, venez tester différents vins lors d’une dégustation organisée dans le cadre de la Dallas Fort Worth Restaurant Week 365, de 6pm à 9pm. Vous pourrez venir vous essayer à des activités aquatiques, des tours de grande roue et assister à un concert de jazz le vendredi 10 juin, de 7pm à 10pm.
La soirée de clôture aura lieu le samedi 11 juin, autour d’un concert de Brave Combo, The Quebe Sisters et The Mavericks à partir de 5pm. Qui apporte la gateau?

Une agence française choisie pour un grand projet urbain à Los Angeles

Ils étaient 53 candidats à présenter un projet pour transformer Pershing Square à Downtown Los Angeles. Seulement quatre ont été retenus après élimination, dont trois Américains et un Français. Et c’est finalement l’Agence Ter, une équipe d’architectes paysagistes de Paris, qui a gagné le concours.
« C’était inattendu pour nous », confie Henri Bava, co-fondateur et directeur de l’Agence Ter, qui a fêté début mai sa victoire dans le restaurant français Le Petit Paris. A quelques centaines de mètres de Pershing Square. « Il s’agissait de notre première incursion aux Etats-Unis. L’idée est venue d’une amie américaine qui enseigne à l’Université de Californie du Sud, et qui avait entendu parler de cet appel à projet », nous explique-t-il.
Le concours était organisé par Pershing Square New, une association de représentants de la ville et d’acteurs économiques de downtown L.A, qui cherchent à profiter de la renaissance de ce lieu pour créer de l’animation autour de l’esplanade. Situé au cœur de Downtown, cet espace est un trait d’union entre le quartier culturel (le Disney Concert Hall dessiné par Frank Gehry, le Broad Museum..,), le quartier administratif et le centre historique, avec ses immeubles spectaculaires des années 20.
« J’avais gardé de Downtown L.A l’image d’un endroit qui s’anime le jour mais s’éteint complètement la nuit », se rappelle Henri Bava. Il y a huit mois, juste avant de se lancer dans ce concours, il s’envole pour Los Angeles pour mieux comprendre l’esprit nouveau qui souffle sur “DTLA”.
Il se fixe alors un objectif : faire de cette place un lieu de rencontres et de vie – une  “destination”, et non un lieu de transit comme c’est le cas aujourd’hui. “Dans ma tête, ce devait être un endroit complètement ouvert”, explique-t-il. Il propose alors de rabaisser l’esplanade au niveau des rues qui l’entourent. Un choix radical et coûteux, puisque casser la dalle pour en remettre une autre à niveau mobilisera un tiers du budget prévu pour les travaux, soit plus de 15 millions de dollars sur une enveloppe de 50 millions.
Un autre principe guide la conception de son projet : la chaleur. « A Los Angeles il faut de l’ombre ! », lance Henri Baava. Cet ancien de l’École nationale supérieure du paysage de Versailles conçoit ainsi l’idée d’un jardin ombragé et d’une vaste canopée. Dans ce futur parc urbain, les Angelenos pourront se promener, faire du yoga lire, dîner, assister à des concerts et à des projections de film à ciel ouvert.
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Pour développer son projet, l’Agence Ter s’est associée à dix bureaux de L.A (paysagistes, architectes, ingénieurs) et à un artiste designer qui a travaillé sur l’illumination de la canopée la nuit. Le 28 avril dernier, Henri Bava a présenté son projet devant 1 000 personnes rassemblées dans un théâtre du centre historique. D’après lui, les neuf membres du jury de Pershing Square New ont été séduits par la touche européenne de sa proposition, qui privilégie la notion de convivialité.
Maintenant qu’ils ont été choisis, les paysagistes français vont créer Agence Ter Los Angeles et ouvrir un bureau près de Pershing Square. Etape suivante : discuter avec les autorités pour s’assurer de leur accord de principe sur le futur chantier. Les 50 millions de dollars prévus pour la construction seront financés par des acteurs publics et privés.
Tous les fonds ne sont pas encore réunis, mais les responsables de Pershing Square New souhaitent que le chantier soit terminé d’ici trois ans et demi. Dans le paysage du futur Pershing Square, Henri Bava imagine un dernier petit détail à rajouter : « J’aimerais bien qu’il y ait un restaurant français sous la canopée ».

La comédie romantique "Chic !" sur TV5 Monde

Alicia Ricosi, créatrice de mode dans une grande maison de couture, perd toute inspiration à la suite d’une rupture amoureuse. Problème: la nouvelle collection doit bientôt être présentée.
Alicia retrouve l’inspiration après sa rencontre avec Julien, un jardinier breton qui n’y connaît rien à la mode. Hélène, sa supérieure, va alors tenter de faire en sorte que Julien devienne la muse de la couturière.
Tel est le pitch de “Chic!” , une comédie romantique de Jérôme Cornuau dans laquelle Fanny Ardant joue le rôle principal, avec Marina Hands (“Lady Chatterly” , “Ne le dis à personne” ) et Eric Elmosnino (“Gainsbourg”). Sorti en 2014, on lui prête des allures du “Diable s’habille en Prada” . A voir sur TV5 Monde dimanche 5 juin à 8:35pm (EST).

Nos plages préférées à Los Angeles

Que vous préfériez vous isoler avec votre serviette sur une plage déserte, ou ressentir la frénésie de la Grande motte en plein mois de juillet, il y en a pour tous les goûts à Los Angeles. Pour éviter la routine “beachistique”, nous vous listons nos plages préférées dans la région.
1- El Matador State Beach, la plus sauvage 
El matador state beach
Malibu réserve son lot de surprises. L’une d’elles se trouve à El Matador State beach, considérée comme l’une des plus belles plages de Los Angeles, et surtout la plus romantique. Pour y accéder, vous devrez arpenter un chemin où la flore a repris ses droits. La descente offre une vue surplombante sur cette crique, ponctuée de rochers gargantuesques. Parfaite pour passer un moment en amoureux, la plage offre une déconnexion méritée. Ce décor sauvage est souvent pris d’assaut par les shooting photos et immortalisé sur Instagram. Si vous voulez pousser le vice, restez jusqu’à la tombée du soleil pour admirer le sunset sur cette plage paradisiaque. Parking (vingtaine de places): 8 dollars la journée. Gratuit le long de la PCH, faire attention aux panneaux de stationnement. Adresse: 32215 Pacific Coast Highway, Malibu.
2- Venice beach, la plus animée et déjantée
venice beach
Venice beach est l’une des attractions les plus populaires de Los Angeles. Outre l’éventail de boutiques de souvenirs (dont les green docteurs) qui jalonnent la promenade, cette plage n’est pas conventionnelle. Vous vous y déplacerez autant pour faire une pause bien méritée, sous le regard insistant des mouettes, que pour profiter de son ambiance. La foule s’agglutine autour du skatepark, devant la salle de sport en plein air ou les terrains de basket, profitant du spectacle. Venice se la joue aussi artiste, avec ses saltimbanques enchaînant les acrobaties, les graffitis sur toile, ou des moonwalks dignes de Michael Jackson. Bref, Venice beach, c’est une expérience à part entière. Parking payant aux alentours. Adresse: 1697 Pacific Avenue, Venice.
3- Abalone Cove beach, l’havre de paix 
Abalone cove beach
Alerte “coin de paradis” ! Située dans la réserve écologique du parc Rancho Palos verdes, Abalone Cove Beach reste préservée de la foule. L’accès se fait à pied, durant près de 15 minutes, en passant par des sentiers raides et sauvages longeant les falaises rocheuses. Un conseil, misez sur des chaussures de sport ce jour-là. Le bonheur est au bout du chemin. Recouverte de cailloux, la plage est propice à l’exploration des fonds marins et à la baignade dans ses piscines naturelles. Les enfants s’agenouillent autour des rochers à la recherche de crabes et d’étoiles de mer, alors que les plus courageux plongent, armés de palmes et de tubas. L’horizon vaut aussi le coup d’oeil, avec la vue sur l’île Catalina. Parking: 12 dollars la journée. Adresse: 5970 Palos Verdes Drive South, Rancho Palos Verdes.
4- Santa Monica, l’incontournable
Santa Monica
Qui n’a jamais entendu parler de cette plage mythique ? C’est un grand classique pour les Angelinos. Elle risque de devenir encore plus populaire avec l’arrivée du métro Expo Line jusqu’à Santa Monica. Outre ses larges étendues de sable et ses cabanes de sauveteurs devant lesquelles les touristes s’immortalisent, Santa Monica est célèbre pour sa promenade réservée aux piétons, cyclistes et amateurs de roller. Elle dispose de toutes les commodités pour passer une journée ensoleillée en toute tranquillité. L’une des principales attractions est le Santa Monica pier, où un parc de manèges attire les foules. Il fait décidément bon vivre à la plage des anges, qui reste la plus proche des clichés californiens. Parking: 12 dollars la journée. Adresse: 200 Santa Monica Pier.
5- Manhattan Beach, le spot pour bronzer
Manhattan beach
Son ponton et ses étendues de sable fin ne vous sont sûrement pas étrangers… Située dans le comté de Los Angeles, Manhattan beach et son coucher de soleil sont célèbres, et ont été filmés dans de nombreuses séries télévisées. Ici, tout n’est que muscles et bronzage parfait, les plagistes s’adonnant à un match de volley-ball entre deux baignades. Nichés dans leurs cabanes bleues, les sauveteurs, dignes d’Alerte à Malibu, assurent votre sécurité. Et si vous êtes attirés par le surf, vous pourrez suivre les performances des pros dans l’eau. Enfin, et ce n’est pas négligeable, le coeur de ville offre de nombreuses options pour se restaurer ou boire un verre. Parking dans les ruelles adjacentes. Adresse: 400-500 The Strand Manhattan Beach.
6- Leo Carrillo State Beach, la plus naturelle
Leo Carillo State beach
Ses 1,5 kilomètre de plages vont vous laisser sans voix… Parmi les rivages de Malibu, celui de Leo Carrillo State beach est l’un des plus naturels, ponctué de grottes et de lagons. Il est propice à l’exploration de ses récifs et de sa vie sous-marine. Ce parc porte le nom d’un fervent défenseur de l’environnement, qui a consacré 18 ans de sa vie à protéger les parcs et les plages de Californie. A votre arrivée, faites escale au visitor center, qui vous informera sur les ballades et les commodités aux alentours. Avant de partir en randonnée dans l’arrière-pays, vous pourrez profiter du sable fin pour faire un pique-nique. Son eau transparente et claire est jonchée de rochers et cailloux, que les nageurs affrontent pour se baigner. Un seul point négatif est à souligner: la proximité de la route. Un conseil, optez pour la protection des falaises pour vous retrouver au calme. Parking: 12 dollars la journée. Adresse: 35000 Pacific Coast Highway, Malibu.
7- Cabrillo beach, la plus familiale
Cabrillo
Au Sud de Los Angeles, la côte offre des merveilles, dont un lieu tranquille près de San Pedro : Cabrillo Beach. Plébiscitée par les familles et hérissée de châteaux de sable, cette plage est située sur une étroite péninsule près de Point Fermin Park. Elle se partage en deux rivages: un dédié au surf, et l’autre qui donne sur le port. Outre la baignade, c’est le lieu idéal pour observer la migration des baleines bleues (de juin à octobre), ou celle des baleines grises, de décembre à mi-mai. Parking: 9 dollars par jour. Adresse: 3720 Stephen M. White Dr., San Pedro. 
8- Surfrider beach, la préférée des surfeurs
surfrider beach
Appelée Malibu Lagoon State Beach, Surfrider beach offre une vue sur les paysages légendaires de Malibu, où les montagnes rencontrent la mer. Comme son nom l’indique, cette plage est le spot des surfeurs. Vous pourrez les admirer en train de déferler sur les vagues. Attention, la foule s’amasse durant les journées d’été pour les voir dompter l’océan, tout en profitant des kilomètres de sable. Pour vous changer les idées, faites une halte à la Adamson House (une belle maison coloniale transformée en musée), puis allez observer le coucher de soleil sur le Malibu Pier. Parking payant: 15 dollars la journée. Adresse: 23200 Pacific Coast Highway, Malibu.

Les oeuvres transversales de Marc Fichou exposées à Los Angeles

Marc Fichou se considère comme un artiste “intermédia” – un terme hérité du mouvement d’art contemporain Fluxus, dont il revendique l’héritage. Son approche de la création se situe à l’intersection de plusieurs disciplines.
Installé à Los Angeles, March Fichou manie la sculpture, la photographie, le collage-assemblage, le dessin, les installations architecturales et les vidéos. Plus “ontologique” qu’esthétique, le travail de ce Français se focalise sur le processus et les expressions de la création.
L’exposition Outside-In, présentée à la galerie Chimento Contemporari de Los Angeles du samedi 4 juin au samedi 9 juillet, vous montre une série de panneaux à grande échelle, œuvres murales et objets sculpturaux.
Un vernissage est prévu le samedi 4 juin, à 5 pm. Vous pourrez rencontrer l’artiste et le sculpteur américain Larry Bell, lors de l’avant-réception, à 4 pm.

Match de légendes du foot autour de Youri Djorkaeff dans le New Jersey

Ça n’est pas tous les jours que le Red Bull Arena (New Jersey) voit débarquer autant de champions du monde.
L’ancien Bleu Youri Djorkaeff a appelé quelques-uns de ses amis pour participer, le samedi 4 juin, à un match de “légendes” pour lever des fonds pour sa fondation, la Youri Djorkaeff Foundation. Coup d’envoi du match: 3pm. Sur le terrain: Laurent Blanc, David Trezeguet, Robert Pires, Thierry Henry ou encore l’Argentin Juan Sebastián Verón.

La Youri Djorkaeff Foundation offre des camps de foot à Inwood pour les 6-14 ans qui n’ont jamais joué en club. Cent jeunes sont inscrits cette année. L’ex-milieu veut à présent en ouvrir en dehors de Manhattan.