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Le 21 juin, Benjamin Clementine vient ensorceler Los Angeles

Difficile de placer Benjamin Clementine dans une catégorie. Son parcours personnel, son style et sa personnalité sont hors du commun.
Né en Angleterre, ce poète et musicien autodidacte débarque à Paris à l’âge de 19 ans. Les quatre années suivantes, Benjamin Clementine les passe à chanter et vivre dans la rue ou dans des logements de fortune.
Jusqu’au jour où son talent est découvert par un agent. Depuis, Benjamin Clémentine promène son physique hiératique sur les scènes internationales, et travaille avec les plus grands labels de musique (Capitol, Virgin EMI et Barclay). En 2015, il obtient une Victoire de la Musique dans la catégorie “Meilleur Nouvel Artiste”.
Quand il s’agit d’influence artistique, Benjamin Clementine cite volontiers Erik Satie, Leonard Cohen, Léo Ferré, Serge Gainsbourg ou encore Georges Brassens. Certains compare le chanteur à Nina Simone pour l’aura qu’il dégage sur scène.
Pour se faire son propre avis, il faut aller le voir le 21 juin prochain, jour de la fête de la musique au Teragram Ballroom à Los Angeles.

Coral Gables Restaurant Week débute le 6 juin

A vos couverts! La Coral Gables Restaurant Week reprend ses droits du 6 au 26 juin.
Une trentaine de restaurants participent à cette opération gastro, dont le concept ne change pas: pendant plusieurs semaines, les établissements participants offriront des menus prix fixes pour le déjeuner et le dîner. Cette année encore, il y en aura pour tous les goûts: la cuisine italienne de Caffe Abbracci, française du Provencal, la viande de  Morton’s ou les tapas de Bulla pour ne citer qu’eux. Pensez à réserver.

Combien ça coûte la plage à Miami ?

Passer vos week-ends au bord de l’eau, c’est possible mais vous pourrez bien être rattrapés par une réalité : la plage à Miami, ça peut coûter cher, très cher. C’est l’objet de ce “combien ça coûte”.
En classe business
Les plages d’hôtels offrent des conditions de confort optimales mais il faut y mettre le prix. Le W à South Beach propose une chaise longue ou un parasol à 25$, une « cabana » vide pour 38$, un « day bed » à 150$ et une « cabana » équipée pour 250$ à 350$ si vous voulez la TV.

W Hotel. Photo DR
W Hotel. Photo DR

Au Fontainebleau toujours sur la Beach, une chaise longue sur la plage coûte 19$, un parasol 25$ et un « day bed » 156$. Si vous planifiez une « staycation » à Miami Beach un de ces jours vous pourrez bénéficier de tout ce confort pour une poignée de dollars… mais vous aurez auparavant payé votre chambre.
Fontainebleau Hotel. Photo DR
Fontainebleau Hotel. Photo DR

A South Beach, le stationnement est une mine d’or pour qui possède le moindre lopin de terre. Vous trouverez souvent des terrains qui affichent un forfait de 20$ la journée. Autant prévoir d’y passer plusieurs heures, mais la nuit le tarif augmente.  Si vous préférez les « valet parkings », il faut compter facilement 25$.
En classe éco
Si vous voyagez léger et que vous aimez le confort, une chaise et un parasol coûtent 20$ à la plage du phare de Key Biscayne et à Virginia Key. Le long d’Ocean Drive, la chaise longue sera autour de 25$ et les lits géants (on y tient à plusieurs) en général à 125$.
Pour vos déplacements, vous pouvez également oublier votre voiture et choisir un taxi ou Uber. Un aller-retour Uber South Miami-Miami Beach coûte environ 40$.
Plage Bill Baggs Key Biscayne. Photo DR
Plage Bill Baggs Key Biscayne. Photo DR

En low cost
Les plages publiques ne manquent pas et restent l’option la moins chère. Vous arrivez avec votre serviette ou votre fauteuil pliant, votre parasol « et voilà » comme on dit en bon anglais.
L’application smartphone Park Me vous indique les disponibilités et tarifs des parkings publics et privés en ville. Pour une baignade rapide, optez pour les parcmètres ou les parkings municipaux couverts qui facturent à l’heure (entre 1 et 2$ l’heure).
Si vous allez dans des parcs, vous devrez vous acquitter d’un péage calculé par véhicule : Bill Baggs à Key Biscayne 8$, Oleta River à North Miami Beach 6$. A Oleta River, vous pouvez aussi passer le week-end à la plage en louant un petit bungalow en bois (4 couchages) avec BBQ privatif pour environ 65$ la nuit. Toujours à Key Biscayne, le parking de Crandon Park coûte 7$.
En mode débrouille
Débrouillez-vous pour vous faire inviter chez un ami qui possède une plage privée.

Quatre jours de fête pour les 80 ans de Fair Park à Dallas

Inauguré à l’occasion de l’exposition internationale Texas Centennial Exposition de 1936, qui marqua les 100 ans de l’indépendance du Texas, Fair Park célèbre ses 80 bougies cette année.
Pour l’occasion, quatre jours de festivités sont prévus, du mercredi 8 au samedi 11 juin. Au programme: expositions, concerts, tours de manège, soirée speakeasy et activités pour toute la famille.
Vous pourrez par exemple assister au concert plein air de l’Orchestre symphonique de Dallas mercredi 8 juin de 8pm à 9:30pm, avant d’admirer un feu d’artifice. Le lendemain, venez tester différents vins lors d’une dégustation organisée dans le cadre de la Dallas Fort Worth Restaurant Week 365, de 6pm à 9pm. Vous pourrez venir vous essayer à des activités aquatiques, des tours de grande roue et assister à un concert de jazz le vendredi 10 juin, de 7pm à 10pm.
La soirée de clôture aura lieu le samedi 11 juin, autour d’un concert de Brave Combo, The Quebe Sisters et The Mavericks à partir de 5pm. Qui apporte la gateau?

Une agence française choisie pour un grand projet urbain à Los Angeles

Ils étaient 53 candidats à présenter un projet pour transformer Pershing Square à Downtown Los Angeles. Seulement quatre ont été retenus après élimination, dont trois Américains et un Français. Et c’est finalement l’Agence Ter, une équipe d’architectes paysagistes de Paris, qui a gagné le concours.
« C’était inattendu pour nous », confie Henri Bava, co-fondateur et directeur de l’Agence Ter, qui a fêté début mai sa victoire dans le restaurant français Le Petit Paris. A quelques centaines de mètres de Pershing Square. « Il s’agissait de notre première incursion aux Etats-Unis. L’idée est venue d’une amie américaine qui enseigne à l’Université de Californie du Sud, et qui avait entendu parler de cet appel à projet », nous explique-t-il.
Le concours était organisé par Pershing Square New, une association de représentants de la ville et d’acteurs économiques de downtown L.A, qui cherchent à profiter de la renaissance de ce lieu pour créer de l’animation autour de l’esplanade. Situé au cœur de Downtown, cet espace est un trait d’union entre le quartier culturel (le Disney Concert Hall dessiné par Frank Gehry, le Broad Museum..,), le quartier administratif et le centre historique, avec ses immeubles spectaculaires des années 20.
« J’avais gardé de Downtown L.A l’image d’un endroit qui s’anime le jour mais s’éteint complètement la nuit », se rappelle Henri Bava. Il y a huit mois, juste avant de se lancer dans ce concours, il s’envole pour Los Angeles pour mieux comprendre l’esprit nouveau qui souffle sur “DTLA”.
Il se fixe alors un objectif : faire de cette place un lieu de rencontres et de vie – une  “destination”, et non un lieu de transit comme c’est le cas aujourd’hui. “Dans ma tête, ce devait être un endroit complètement ouvert”, explique-t-il. Il propose alors de rabaisser l’esplanade au niveau des rues qui l’entourent. Un choix radical et coûteux, puisque casser la dalle pour en remettre une autre à niveau mobilisera un tiers du budget prévu pour les travaux, soit plus de 15 millions de dollars sur une enveloppe de 50 millions.
Un autre principe guide la conception de son projet : la chaleur. « A Los Angeles il faut de l’ombre ! », lance Henri Baava. Cet ancien de l’École nationale supérieure du paysage de Versailles conçoit ainsi l’idée d’un jardin ombragé et d’une vaste canopée. Dans ce futur parc urbain, les Angelenos pourront se promener, faire du yoga lire, dîner, assister à des concerts et à des projections de film à ciel ouvert.
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Pour développer son projet, l’Agence Ter s’est associée à dix bureaux de L.A (paysagistes, architectes, ingénieurs) et à un artiste designer qui a travaillé sur l’illumination de la canopée la nuit. Le 28 avril dernier, Henri Bava a présenté son projet devant 1 000 personnes rassemblées dans un théâtre du centre historique. D’après lui, les neuf membres du jury de Pershing Square New ont été séduits par la touche européenne de sa proposition, qui privilégie la notion de convivialité.
Maintenant qu’ils ont été choisis, les paysagistes français vont créer Agence Ter Los Angeles et ouvrir un bureau près de Pershing Square. Etape suivante : discuter avec les autorités pour s’assurer de leur accord de principe sur le futur chantier. Les 50 millions de dollars prévus pour la construction seront financés par des acteurs publics et privés.
Tous les fonds ne sont pas encore réunis, mais les responsables de Pershing Square New souhaitent que le chantier soit terminé d’ici trois ans et demi. Dans le paysage du futur Pershing Square, Henri Bava imagine un dernier petit détail à rajouter : « J’aimerais bien qu’il y ait un restaurant français sous la canopée ».

La comédie romantique "Chic !" sur TV5 Monde

Alicia Ricosi, créatrice de mode dans une grande maison de couture, perd toute inspiration à la suite d’une rupture amoureuse. Problème: la nouvelle collection doit bientôt être présentée.
Alicia retrouve l’inspiration après sa rencontre avec Julien, un jardinier breton qui n’y connaît rien à la mode. Hélène, sa supérieure, va alors tenter de faire en sorte que Julien devienne la muse de la couturière.
Tel est le pitch de “Chic!” , une comédie romantique de Jérôme Cornuau dans laquelle Fanny Ardant joue le rôle principal, avec Marina Hands (“Lady Chatterly” , “Ne le dis à personne” ) et Eric Elmosnino (“Gainsbourg”). Sorti en 2014, on lui prête des allures du “Diable s’habille en Prada” . A voir sur TV5 Monde dimanche 5 juin à 8:35pm (EST).

Nos plages préférées à Los Angeles

Que vous préfériez vous isoler avec votre serviette sur une plage déserte, ou ressentir la frénésie de la Grande motte en plein mois de juillet, il y en a pour tous les goûts à Los Angeles. Pour éviter la routine “beachistique”, nous vous listons nos plages préférées dans la région.
1- El Matador State Beach, la plus sauvage 
El matador state beach
Malibu réserve son lot de surprises. L’une d’elles se trouve à El Matador State beach, considérée comme l’une des plus belles plages de Los Angeles, et surtout la plus romantique. Pour y accéder, vous devrez arpenter un chemin où la flore a repris ses droits. La descente offre une vue surplombante sur cette crique, ponctuée de rochers gargantuesques. Parfaite pour passer un moment en amoureux, la plage offre une déconnexion méritée. Ce décor sauvage est souvent pris d’assaut par les shooting photos et immortalisé sur Instagram. Si vous voulez pousser le vice, restez jusqu’à la tombée du soleil pour admirer le sunset sur cette plage paradisiaque. Parking (vingtaine de places): 8 dollars la journée. Gratuit le long de la PCH, faire attention aux panneaux de stationnement. Adresse: 32215 Pacific Coast Highway, Malibu.
2- Venice beach, la plus animée et déjantée
venice beach
Venice beach est l’une des attractions les plus populaires de Los Angeles. Outre l’éventail de boutiques de souvenirs (dont les green docteurs) qui jalonnent la promenade, cette plage n’est pas conventionnelle. Vous vous y déplacerez autant pour faire une pause bien méritée, sous le regard insistant des mouettes, que pour profiter de son ambiance. La foule s’agglutine autour du skatepark, devant la salle de sport en plein air ou les terrains de basket, profitant du spectacle. Venice se la joue aussi artiste, avec ses saltimbanques enchaînant les acrobaties, les graffitis sur toile, ou des moonwalks dignes de Michael Jackson. Bref, Venice beach, c’est une expérience à part entière. Parking payant aux alentours. Adresse: 1697 Pacific Avenue, Venice.
3- Abalone Cove beach, l’havre de paix 
Abalone cove beach
Alerte “coin de paradis” ! Située dans la réserve écologique du parc Rancho Palos verdes, Abalone Cove Beach reste préservée de la foule. L’accès se fait à pied, durant près de 15 minutes, en passant par des sentiers raides et sauvages longeant les falaises rocheuses. Un conseil, misez sur des chaussures de sport ce jour-là. Le bonheur est au bout du chemin. Recouverte de cailloux, la plage est propice à l’exploration des fonds marins et à la baignade dans ses piscines naturelles. Les enfants s’agenouillent autour des rochers à la recherche de crabes et d’étoiles de mer, alors que les plus courageux plongent, armés de palmes et de tubas. L’horizon vaut aussi le coup d’oeil, avec la vue sur l’île Catalina. Parking: 12 dollars la journée. Adresse: 5970 Palos Verdes Drive South, Rancho Palos Verdes.
4- Santa Monica, l’incontournable
Santa Monica
Qui n’a jamais entendu parler de cette plage mythique ? C’est un grand classique pour les Angelinos. Elle risque de devenir encore plus populaire avec l’arrivée du métro Expo Line jusqu’à Santa Monica. Outre ses larges étendues de sable et ses cabanes de sauveteurs devant lesquelles les touristes s’immortalisent, Santa Monica est célèbre pour sa promenade réservée aux piétons, cyclistes et amateurs de roller. Elle dispose de toutes les commodités pour passer une journée ensoleillée en toute tranquillité. L’une des principales attractions est le Santa Monica pier, où un parc de manèges attire les foules. Il fait décidément bon vivre à la plage des anges, qui reste la plus proche des clichés californiens. Parking: 12 dollars la journée. Adresse: 200 Santa Monica Pier.
5- Manhattan Beach, le spot pour bronzer
Manhattan beach
Son ponton et ses étendues de sable fin ne vous sont sûrement pas étrangers… Située dans le comté de Los Angeles, Manhattan beach et son coucher de soleil sont célèbres, et ont été filmés dans de nombreuses séries télévisées. Ici, tout n’est que muscles et bronzage parfait, les plagistes s’adonnant à un match de volley-ball entre deux baignades. Nichés dans leurs cabanes bleues, les sauveteurs, dignes d’Alerte à Malibu, assurent votre sécurité. Et si vous êtes attirés par le surf, vous pourrez suivre les performances des pros dans l’eau. Enfin, et ce n’est pas négligeable, le coeur de ville offre de nombreuses options pour se restaurer ou boire un verre. Parking dans les ruelles adjacentes. Adresse: 400-500 The Strand Manhattan Beach.
6- Leo Carrillo State Beach, la plus naturelle
Leo Carillo State beach
Ses 1,5 kilomètre de plages vont vous laisser sans voix… Parmi les rivages de Malibu, celui de Leo Carrillo State beach est l’un des plus naturels, ponctué de grottes et de lagons. Il est propice à l’exploration de ses récifs et de sa vie sous-marine. Ce parc porte le nom d’un fervent défenseur de l’environnement, qui a consacré 18 ans de sa vie à protéger les parcs et les plages de Californie. A votre arrivée, faites escale au visitor center, qui vous informera sur les ballades et les commodités aux alentours. Avant de partir en randonnée dans l’arrière-pays, vous pourrez profiter du sable fin pour faire un pique-nique. Son eau transparente et claire est jonchée de rochers et cailloux, que les nageurs affrontent pour se baigner. Un seul point négatif est à souligner: la proximité de la route. Un conseil, optez pour la protection des falaises pour vous retrouver au calme. Parking: 12 dollars la journée. Adresse: 35000 Pacific Coast Highway, Malibu.
7- Cabrillo beach, la plus familiale
Cabrillo
Au Sud de Los Angeles, la côte offre des merveilles, dont un lieu tranquille près de San Pedro : Cabrillo Beach. Plébiscitée par les familles et hérissée de châteaux de sable, cette plage est située sur une étroite péninsule près de Point Fermin Park. Elle se partage en deux rivages: un dédié au surf, et l’autre qui donne sur le port. Outre la baignade, c’est le lieu idéal pour observer la migration des baleines bleues (de juin à octobre), ou celle des baleines grises, de décembre à mi-mai. Parking: 9 dollars par jour. Adresse: 3720 Stephen M. White Dr., San Pedro. 
8- Surfrider beach, la préférée des surfeurs
surfrider beach
Appelée Malibu Lagoon State Beach, Surfrider beach offre une vue sur les paysages légendaires de Malibu, où les montagnes rencontrent la mer. Comme son nom l’indique, cette plage est le spot des surfeurs. Vous pourrez les admirer en train de déferler sur les vagues. Attention, la foule s’amasse durant les journées d’été pour les voir dompter l’océan, tout en profitant des kilomètres de sable. Pour vous changer les idées, faites une halte à la Adamson House (une belle maison coloniale transformée en musée), puis allez observer le coucher de soleil sur le Malibu Pier. Parking payant: 15 dollars la journée. Adresse: 23200 Pacific Coast Highway, Malibu.

Les oeuvres transversales de Marc Fichou exposées à Los Angeles

Marc Fichou se considère comme un artiste “intermédia” – un terme hérité du mouvement d’art contemporain Fluxus, dont il revendique l’héritage. Son approche de la création se situe à l’intersection de plusieurs disciplines.
Installé à Los Angeles, March Fichou manie la sculpture, la photographie, le collage-assemblage, le dessin, les installations architecturales et les vidéos. Plus “ontologique” qu’esthétique, le travail de ce Français se focalise sur le processus et les expressions de la création.
L’exposition Outside-In, présentée à la galerie Chimento Contemporari de Los Angeles du samedi 4 juin au samedi 9 juillet, vous montre une série de panneaux à grande échelle, œuvres murales et objets sculpturaux.
Un vernissage est prévu le samedi 4 juin, à 5 pm. Vous pourrez rencontrer l’artiste et le sculpteur américain Larry Bell, lors de l’avant-réception, à 4 pm.

Match de légendes du foot autour de Youri Djorkaeff dans le New Jersey

Ça n’est pas tous les jours que le Red Bull Arena (New Jersey) voit débarquer autant de champions du monde.
L’ancien Bleu Youri Djorkaeff a appelé quelques-uns de ses amis pour participer, le samedi 4 juin, à un match de “légendes” pour lever des fonds pour sa fondation, la Youri Djorkaeff Foundation. Coup d’envoi du match: 3pm. Sur le terrain: Laurent Blanc, David Trezeguet, Robert Pires, Thierry Henry ou encore l’Argentin Juan Sebastián Verón.

La Youri Djorkaeff Foundation offre des camps de foot à Inwood pour les 6-14 ans qui n’ont jamais joué en club. Cent jeunes sont inscrits cette année. L’ex-milieu veut à présent en ouvrir en dehors de Manhattan.

7 conseils pour réussir votre déménagement à l'étranger

Article Partenaire. Déménagement à l’étranger: Comment? Combien? Quand? Respirez ! Prisma Cargo Solutions, le spécialiste du déménagement international, vous donne les 7 clés pour un déménagement zen.
1. Anticipez
Prévoir est le mot clef: dans la mesure du possible, fixez une date deux mois à l’avance. Vous aurez le temps d’anticiper en famille, de prévenir les amis qui, sait-on jamais, pourront venir vous aider le jour J…
2.Triez
Un déménagement est toujours l’occasion de faire le ménage dans vos souvenirs! Commencez par mettre en boite ce que vous utilisez le moins. En été, attaquez vous d’abord au vêtements d’hiver et profitez-en pour vous séparer de ce vieux pull qui pluche. Pensez à donner (Croix Rouge, Armée du Salut, etc).
3.Emballez remballez!
Pour les éléments les plus fragiles, demandez à Prisma Cargo de faire l’emballage. Nous utilisons des caisses en bois ou des cartons renforcés. Il existe des caisses particulières pour accrocher les vêtements, pour déposer la vaisselle, pour les livres. Prisma utilise le film plastique à bulle et le papier pour emballer les objets. Pour les objets lourds nous utilisons des cartons de petite taille qui ne cèdent pas et sont plus facile à déplacer.
Si vous décidez de faire l’emballage vous-même, commencez la préparation des cartons un mois avant le déménagement. Procurez vous à temps suffisamment des boites, du matériel d’emballage, du papier à bulle. N’oubliez surtout pas d’étiqueter les caisses pour qu’elles soient directement déposées à l’endroit voulu. Le moment le plus pénible du déménagement est le ré-eménagement, mais c’est avant que cela se prépare.
4. Pensez aux papiers & formalités:
-Réservez l’ascenseur dans votre immeuble, contactez le ‘building management’ pour lui demander les jours disponibles pour le déménagement et s’il y a un montant à payer pour déménager ( le «moving out fee»).
-Contactez le consulat français pour demander un certificat de changement de résidence, certificat de non cession. Prisma Cargo Solutions en aura besoin pour la douane.
-Vous avez votre passeport? Détail idiot: vérifiez qu’il sera encore valide à la date de votre déménagement. On en a vu… Il faut plusieurs semaines pour faire refaire un passeport au Consulat.
-Enfin, demandez une lettre d’emploi qui vérifie le temps de votre séjour aux Etats Unis.
5. Pensez saison
Il n’y a pas de vacances d’été pour les déménageurs. C’est la haute saison du déménagement. Si vous devez déménager en été, prévoyez encore plus en amont pour garantir la disponibilité des déménageurs. Et évitez autant que possible les week-ends: les ports sont fermés et ne peuvent accueillir les conteneurs.
6. Parlez à vos déménageurs!
La coordination le jour du déménagement est cruciale. Quand les déménageurs arrivent, faites le tour du logement avec eux, montrez leur ce qui doit partir et éventuellement ce qui doit rester. Une fois tout chargé dans le camion, faites un nouveau tour avec eux pour vous assurer que tout est en ordre.
7. Livraison: soyez-y!
Soyez présent le jour du déménagement ou demandez à un(e) ami(e) d’être la. Si vous avez changé votre numéro de téléphone ou email, communiquez-le à vos représentants Prisma pour pouvoir établir la date de la livraison. Etre présent est très important  pour recevoir les déménageurs et indiquer l’emplacement des meubles. Assurez vous que tous les cartons sont arrivés. Vérifiez avec le chef d’équipe le bon état de vos meubles et objets. S’il y a des dommages, signalez-les sur le bulletin de livraison. Enfin, pensez au pourboire… Et respirez: c’est fini!
Pour demander un devis, visitez le site de Prisma Cargo
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le chanteur Maxwell, star de Haïti Optimiste 2016 à New York

Six ans ont passé depuis le séisme en Haïti, mais Haïti Optimiste se poursuit à New York.
L’événement, créé après la catastrophe pour mettre en lumière la beauté et la richesse artistique et culturelle de l’île, revient au French Institute Alliance Française (FIAF) le mercredi 1er juin. Et s’offre une star en MC: le chanteur Maxwell, vainqueur de deux Grammy en 2010.
Au programme de cette soirée haute-en-couleur: la projection d’un court-métrage sur l’univers de la chorégraphe Vivianne Gauthier, des performances musicales (dont une signée Paul Beaubrun, une étoile montante de la musique haïtienne qui a collaboré avec Sheryl Crow, Lauryn Hill et Arcade Fire notamment), et un repas de spécialités insulaires préparées par la cheffe Nadège Fleurimond.
Les bénéfices de la soirée seront reversés à l’Artists Institute, une école pour futurs professionnels de l’audio et du cinéma à Jacmel.
 

Les rooftops à faire (et à éviter) cet été à New York

French Morning continue sa croisade pour rappeler que les rooftops de New York ne se limitent pas au 230 5th. Comme chaque année, nous vous proposons notre sélection estivale des rooftops qui valent le détour. Avec les nouveautés de 2016.

Les nouveaux

Rooftop Reds (note: 4/5 – 5/5 étant la meilleur note)

Ce rooftop-vignoble qui a ouvert le 1er avril se trouve dans un endroit complètement improbable: l’ancien chantier naval du Brooklyn Navy Yard. Pour y accéder, il faut passer la sécurité et se faufiler entre les entrepôts et les conteneurs – ce qui est une expérience en soit – à la recherche du bâtiment numéro 275. Passée la porte du toit, un paysage complètement fou s’offre à vous: près de 200 pieds de vignes dans des bacs, des hamacs et des petites tables avec chaises hautes et un bar qui se trouve dans un local intimiste. On aperçoit l’Empire State, le One World Trade Center et… les grandes cheminées de l’usine voisine.
On a aimé. L’expérience est complètement inédite à New York: boire du vin (et uniquement du vin) sur un rooftop-vignoble, au milieu d’un ancien port. Surtout, il n’y avait que cinq (cinq!) clients lors de notre passage un mercredi soir, ce qui est aussi rare à New York qu’un Parisien qui ne se plaint pas – cependant, l’espace se remplit le week-end. Les jeunes fondateurs de ce rooftop insolite, Chris Papalia et Devin Shomaker, deux Américains enthousiastes qui se sont rencontré lors de leurs études de viticulture, étaient donc très disponibles pour parler de leur vision et expliquer que faire pousser des vignes sur un toit new-yorkais n’est pas si différent que de le faire à Bordeaux. On vous conseille de tester les hamacs, très confortables, et en profiter pour faire le point sur la vie avant que des milliers de New York ne vous rejoignent. Côté vins, il y a deux formules: dégustations de trois vins pour 6 dollars, de six vins pour 12. La quinzaine de vins (rouges, blancs, rosés) est disponible au verre aussi pour 7-10 dollars. Un menu avec charcuterie et pain est proposé aussi.
On a moins aimé. Ce vignoble en hauteur n’a pas commencé à produire son vin. La carte est donc composée de vins faits Upstate New York. Sur les six vins goûtés, nous n’avons été emballés que par un vin blanc. Autre bémol: Rooftop Reds se trouve en haut d’un bâtiment de quatre étages, ce qui n’est pas très haut, et n’est ouvert que jusqu’à 9pm car les visiteurs ne sont plus admis au sein du Brooklyn Navy Yard après cette heure-là.  Le rooftop n’est pas ouvert les lundis et mardis pour permettre aux viticulteurs de travailler sur les vignes. Brooklyn Navy Yard. Site
Yotel Rainbow (note: 2/5)

Ouvert début 2016, le Yotel Rainbow est une grande terrasse haute-en-couleur, avec des tons de rose, bleu, vert et jaune fluo qui s’étalent des coussins aux tapis. Des guirlandes type kermesse et des petits lumignons sont suspendus sous le patio, où vous pourrez siroter cocktails et vins sur des grandes tables de bois. Vous l’aurez compris, l’ambiance est plutôt jeune et décontractée.
On a aimé. Le service est de qualité, avec un personnel à l’écoute et présent. Les prix sont convenables. Comptez minimum $6 pour une bière et $12 pour un cocktail. Aussi, le bar propose des snacks en tout genre et des plats à partager comme un plateau de charcuterie et de fromage, mais aussi des pizzas exotiques à l’ananas et au jalapeño. Le Yotel propose également un happy hour tous les jours de 3pm à 5pm: deux bières ou vins pour le prix d’un.
On a moins aimé. La musique archi-commerciale laisse à désirer. Si vous aimez les belles vues, passez votre chemin. Le rooftop se trouve au quatrième étage, en vis-à-vis avec les immenses buildings voisins. La carte des boissons n’est pas très longue –  une dizaine de breuvages. 570 Tenth Avenue, au quatrième étage du YOTEL, 646-449-7790. Site
St. Cloud (note: 3/5)

Voilà un endroit qui porte bien son nom : en pénétrant dans le St.Cloud, vous réalisez que le ciel sera votre unique plafond. D’emblée, on se laisse séduire par la vue majestueuse sur Times Square, ses écrans, ses buildings colossaux…
On a aimé. Ouvert depuis environ un an, ce rooftop au 17ème étage de l’hôtel historique « The Knickerbocker » (entre la 42e et Broadway) se veut chic et décontracté. L’espace, entrecoupé par de grands piliers, est aménagé de nombreuses tables et canapés qui donnent envie de s’y avachir après une longue journée de travail. Les murs de verdure fleurie apportent une touche « nature », appréciable dans ce repaire entouré d’acier. Une DJette mixe, la musique est punchy sans être prise de tête. Vous aurez aussi l’option vin ou bières artisanales. Les affamés pourront se tourner vers de petites assiettes à partager : huîtres, bagels, fajitas et autres tapas… L’endroit, spacieux, est idéal pour un “afterwork” en couple ou entre amis, et vaut le coup d’oeil.
On a moins aimé. Le choix des cocktails est assez large, mais il faudra y mettre le prix (18$ l’unité). 6 Times Square, New York – 212.204.4980 (fermé le dimanche). Site
Kimoto (note: 1/5)

Situé au Aloft Hotel sur Duffield Street, Kimoto Rooftop se veut à la fois restaurant asiatique et jardin de bières. Nous étions impatients de le découvrir, car c’est l’unique rooftop de Downtown Brooklyn et il nous promettait des vues “à couper le souffle” de la Statue de la Liberté et l’Hudson River notamment. Résultat: on était pressé d’en repartir.
On a aimé. Nous avions fait une réservation pour six personnes pour dîner. Le manager peut remercier la serveuse, souriante et attentionnée pour avoir été le seul élément positif de notre passage là-bas.
On a moins aimé. A peu près tout le reste. La table pour six avait été dressée prés du bar dans l’entrée du rooftop. Bref, au milieu du passage. Cela donnait l’impression que la table n’avait été installée que pour honorer la réservation, au mépris du confort des clients. Plats en retard, boissons non disponibles, verres en plastique, couteaux absents: l’expérience que nous avons eue nous a laissé avec une impression de “cheap” et d’amateurisme à tous les niveaux. Les salades commandées faisaient la tronche et le burger (15 dollars) était servi sans frites. Quant au rooftop ? Il est petit et la vue ne réveillerait pas un mort. Bref, un endroit à éviter. 216 Duffield Street, Brooklyn Site
Rock & Reilly’s (note: 3/5)

Le Rock & Reilly’s a ouvert à New York fin mai, perché dans les hauteurs du Renaissance Hotel.
On a aimé. Pub irlandais oblige, il propose un assortiment impressionnant d’une soixantaine de whiskys à partir de $8 et de bières à $6. Vous aurez également le choix entre plusieurs cocktails aux noms évocateurs, dont le Ginger Bitch à base de whisky, citron et de ginger ale. Côté menu, on ne trouve que des valeurs sûres: des burgers, tacos ou des nachos. Parfait pour accompagner le bar, ouvert de 6pm à 2am. Déco boisée et poutres apparentes, l’atmosphère est intimiste, rajoutant cachet et authenticité au bar. Petit plus: ce pub spacieux dispose d’un toit rétractable. Idéal pour les soirées pluvieuses.
On a moins aimé. Le manque de luminosité et l’altitude (nous ne sommes qu’au cinquième étage). 218 West 35th Street. 212-239-0014. Site

A venir cet été

SLS Park Avenue

Le SLS Hotel ouvrira cet été sur Park Avenue et la 30e rue, dans le quartier de Nomad. Le rooftop sera luxueux, à l’image de ce futur hôtel de 14 étages décoré par le Français Philippe Starck. 444 Park Ave South, New York. Site
The Bernic

C’est dans le quartier de Turtle Bay que l’hôtel The Bernic ouvrira officiellement ses portes le vendredi 15 juillet, à quelques blocks du Chrysler Building, de Grand Central et des Nations Unies. Le rooftop sera un restaurant italo-américain, Allora, avec une “vue à 360 degrés de la ville” et un bar en marbre, selon le site de l’hôtel. 145 East 47th Street. 844-885-2376. Site

Nos petits favoris

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Penthouse808
  • Penthouse808: Depuis le rooftop du Ravel Hotel à Long Island City, on embrasse toute la skyline de l’Upper East Side, Roosevelt Island et Queens et, surtout, on a le nez sur le magnifique Queensborough Bridge. Ce rooftop peu connu fait partie de nos coups de coeur. Penthouse 808, 8-08 Queens Plaza South, Long Island City. Site
  • B 54, au Hyatt Times Square: La vue depuis ce rooftop est superbe, et pour cause: B 54, située au 54e étage du Hyatt Times Square, est le rooftop le plus élevé de la ville. 54 Rootop Lounge, 135 W. 45th St. Site
  • Jimmy, at The James NY: On aime bien cette terrasse de SoHo, au sommet de l’hôtel James New York. Pas très haute (18ème étage), avec une piscine au centre et des chaises longues, elle offre une belle vue dégagée sur le sud de Manhattan. Jimmy, at the James New York, 15 Thompson St. Site
  • Berry Park: Si vous cherchez une ambiance décontractée, pas prise de tête, ce rooftop de Greenpoint est pour vous. 4 Berry St, Brooklyn. Site
  • The Refinery rooftop: Pas très haut mais tout mignon, ce roof plein de plantes vous permettra de profiter d’une pleine vue sur l’Empire State. Rooftop Terrace at The Refinery Hotel – 63W 38th Street. Site


Par Nathalie Bhoyrub, Emmanuelle Rivière et Alexis Buisson