Valérie Thomas-Collignon rêvait d’être vétérinaire. Résultat: elle se retrouve directrice d’une association de promotion de l’enseignement français-anglais à Houston.
Elle vient de prendre la direction exécutive d’EFGH (Education française Greater Houston), gestionnaire de programmes after-school bilingues avec 180 inscrits, des francophones mais aussi des non-francophones du PreK au 12th Grade. Un tournant pour cette chercheuse en écologie microbienne arrivée à Houston en 2006. “Ma mère était italienne et mon père français. Le bilinguisme est très important pour moi, explique cette maman de deux garçons. Je suis peut-être sentimentale mais ça me ferait de la peine que mes enfants ne parlent pas français.”
Chercheuse en France puis en Angleterre, Mme Thomas-Collignon a passé trois ans à Austin, enseignant à UC Austin, avant d’arriver à Houston, où elle a donné des cours de biologie-chimie à Rice University. Elle se lance également dans le théâtre avec la compagnie francophone Et Voilà Théâtre, dont elle assurera la présidence jusqu’au mois d’avril.
Elle rejoint en EFGH une association en plein essor, qui profite de la demande accrue des parents pour l’éducation bilingue, comme l’atteste le lancement à la rentrée 2016-2017 d’un programme bilingue à la Mark White Elementary School. “Un de mes fils a fait une année à EFGH. J’ai vu la qualité du travail réalisé. Cela a été une des motivations pour prendre ce poste. Dans le même temps, mon travail dans la recherche devenait difficile faute de financements. Je ne m’imaginais pas rester à la maison. J’ai envie de créer des choses. ”
EFGH propose des cours de FLE (français langue étrangère) et de FLAM (français langue maternelle). Dix sept enseignants travaillent au sein de l’association, avec neuf assistants et une dizaine de remplaçants. Les classes ont lieu le samedi matin à Memorial Elementary School sur Arnot Street.
Il est encore trop tôt pour dire quels seront les projets de la nouvelle directrice, qui travaillera de concert avec la présidente Martina Nerrant et la vice-présidente Joëlle Ciesielski. “Ils attendent de moi que j’apporte un regard neuf.”
Valérie Thomas-Collignon, une chercheuse pour diriger EFGH
Norwegian veut lancer des lignes low-cost entre Paris et les Etats-Unis
De nouvelles lignes directes low-cost entre Paris et les Etats-Unis ? Voilà de quoi réjouir bon nombre d’expats à l’affût des meilleurs tarifs pour leurs vacances en France.
Selon les informations de La Tribune, la compagnie Norwegian travaille au lancement, cet été, d’une ligne directe entre Paris et Los Angeles. “Même si sa demande de créneaux horaires de décollage et d’atterrissage (slots) pour assurer six vols hebdomadaires entre Orly et Los Angeles n’a pu être satisfaite fin janvier, la compagnie n’a pas laissé tomber. Au contraire. Car, à défaut de nouveaux créneaux à Orly (…), Norwegian a en obtenu [d’autres] au départ de l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle pour la prochaine saison été qui débute fin mars.”
Des créneaux qu’elle pourrait utiliser pour une future ligne vers Los Angeles, selon le journal, qui précise toutefois que la décision n’a pas encore été tranchée par Bjorn Kjos, le patron de Norwegian.
En outre, selon La Tribune, Norwegian “ne va se contenter d’ouvrir une ligne vers Los Angeles”, mais entend en ouvrir deux autres, “vers New York (JFK) et Fort Lauderdale en Floride”.
L’information n’a pas été confirmée par Norwegian. Mais un porte-parole de la compagnie a affirmé à La Tribune que Norwegian avait “30 B787 en commande” et qu’elle regardait “toutes les opportunités d’ouvrir de nouvelles routes”.
La compagnie d’Oslo, qui s’est énormément développée en Europe au cours des cinq dernières années, continue son expansion. En 2015, son chiffre d’affaires était en croissance de 15%. Elle a transporté 26 millions de passagers en 2015, soit 7% de plus que l’année précédente.
Depuis deux ans, Norwegian a entamé une stratégie de conquête des Etats-Unis. Elle a ouvert des lignes directes entre les Etats-Unis (New York, Los Angeles, Fort Lauderdale, Boston) et l’Europe (Londres, Copenhague, Stockholm). Les tarifs sont intéressants, avec des vols aller-retour entre New York et Gatwick à 500$ environ.
En décembre 2015, Norwegian a également lancé des lignes directes entre les Etats-Unis (New York, Baltimore et Boston) et les Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique).
Gagnez 4 places pour Anne Roumanoff à New York
Anne Roumanoff est de retour aux Etats-Unis pour une tournée qui l’emmènera à San Francisco, Los Angeles, Houston et New York.
Pour fêter ça, French Morning vous offre une chance de gagner deux paires de billets au spectacle de New York, le 26 février. Pour participer au tirage au sort il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Anne Roumanoff présentera son nouveau spectacle, « Aimons nous les uns les autres » , dans lequel elle promet de rire de tout ce qui ne va pas.
Le concours est maintenant fermé. Les deux gagnantes sont:
Corinne Nehme
Julie Lewis.
Anne Roumanoff vient faire rire les expats de Los Angeles
La plus rouquine des humoristes françaises vous manquait ? Anne Roumanoff passera à Los Angeles le 24 février.
Elle y jouera son spectacle « Aimons nous les uns les autres » , dans lequel elle promet de rire de tout ce qui ne va pas.
Il y sera question de mariage gay, de phobie administrative, d’une Américaine qui critique le pessimisme français… Ou d’une femme qui commande des accessoires coquins sur internet pour relancer sa vie sexuelle.
On reconnaît Anne Roumanoff à sa voix, et à ses sketches sur la France d’aujourd’hui qui dressent “le tableau d’une époque”.
En 2010, Anne Roumanoff est élue humoriste préférée des Français. Après plus de vingt ans de carrière, elle continue de côtoyer la nouvelle génération dans la série « C’est la crise » sur la chaîne Comédie+ avec entre autres Kev Adams et Berengère Krief.
Elle qui, à 22 ans et jeune diplômée de Sciences Po, se produisait sur les scènes des cabarets parisiens, investit désormais la scène américaine – elle était déjà venue en tournée l’année dernière, à New York et à Miami.
Bons plans, circulation, rencontres : nos app' préférées à Los Angeles
Au lieu de vous encombrer avec de nombreux livres ou guides, regardez du côté de votre smartphone. Voici les applications indispensables pour tous les visiteurs et habitants de Los Angeles.
1- Circuler sans peine
C’est le marronnier de L.A : la circulation, ses bouchons, la disette de places de parking, ses files interminables aux stations d’essence et de car wash. Il y a une réponse (enfin une application) à chaque problème. Tout le monde sait que trouver une place de stationnement est un véritable casse-tête dans la cité des anges, alors misez sur ParkMe, qui répertorie les parkings, en indiquant les lieux les moins chers et les places gratuites. Et pour déchiffrer les panneaux de stationnement de Los Angeles, connus pour être complexes, vous pouvez compter sur Park Safe LA.
Afin de déjouer les affres du trafic, optez pour Waze. Cette application identifie les bouchons, les contrôles policiers, les accidents… Un must-have. De même, l’appli CHP Traffic, mise en place par la California Highway Patrol, permet de connaître en temps et en heure les routes les plus bouchonnées et les accidents à proximité de l’endroit où l’on se trouve.
Pour se faire livrer de l’essence n’importe où, pensez Purple. Le baril viendra à vous. Il en est de même pour le nettoyage de votre pouliche, avec Washos.
Enfin, pour éviter la marche et les transports en commun bondés, n’oubliez pas Uber et Lyft, les services de chauffeurs.
2- Rencontrer de nouvelles personnes, sans modération
Pour rencontrer du monde, faites un tour sur Meetup. En fonction de vos centres d’intérêt et de vos préférences, une sélection de groupes vous est suggérée. Vous pouvez alors y adhérer et participer aux nombreux événements proposés, comme aller voir une exposition ou faire une partie de pétanque.
3- Traduire vos envies et vos besoins
Pas toujours facile de se faire comprendre par la serveuse ou de saisir un jeu de mot en anglais… Pour ne pas passer à côté d’une bonne blague ou ne pas se retrouver avec un mocca au lieu d’un chocolat chaud, vous pouvez compter sur des applications de traduction, telles que Word Lens qui décryptera les menus pour vous, Itranslate (traduction dans 90 langues), ou Reverso Context.
4- Loin des yeux et près du téléphone
Vous connaissez cette sensation d’avoir une question qui vous taraude et une envie urgente de la poser à ses amis. Ou juste le besoin d’entendre sa famille… Diverses applications vous font (presque) oublier les neuf heures de décalage (et 15 heures d’avion) qui vous séparent de vos proches. Vous pouvez textoter gratuitement et à foison via WhatsApp ou Viber, et même téléphoner. Pour ajouter l’image au son, téléchargez Skype. Et partagez vos photos sur Instagram, voire Snapchat. Attention, les jaloux risquent de vous en vouloir !
5- Garder la valeur des choses
Degrés Fahrenheit, livres, miles, yards… Ces unités de mesure restent un mystère pour vous. En attendant de vous y convertir, vous avez besoin de les traduire. Pensez aux applications de convertisseurs comme Convertisseur de devises ou Convertisseur d’unités de mesures. Cela vous évitera de penser que courir cinq miles est un jeu d’enfant !
6- Trouver des bons plans sans perdre de temps
Chaque semaine s’ouvrent à Los Angeles de nouveaux bars, cafés et restaurants branchés.
Téléchargez par exemple l’application Los Angeles Magazine Dining Out, qui permet de trouver des idées de restaurants. Ou pour dénicher la perle rare, consulter les menus et les critiques, ainsi que gérer vos réservations, optez pour Open table. Cette application permet de réserver instantanément dans votre restaurant. Qui dit mieux ?
Vous ne pouvez pas non plus passer à coté de la bible des Américains, Yelp, qui vous permet de connaître les avis des internautes sur les lieux qui vous intéressent, à l’instar de Tripadvisor.
Si vous préférez avoir l’avis de professionnels, il vous faut Chefs Feed. Cette application vous livre les bons plans des meilleurs chefs de Los Angeles, tels que les endroits où dînent Tony Esnault de Church& State, ou Ludovic Lefebvre des Trois mecs. Gourmets, c’est pour vous !
7- Pour que tout le reste fonctionne
En manque de 4G ? Pour bien utiliser ces applications, il vaut faut le Saint Graal : le Wifi. Or, tous les cafés n’en disposent pas. Heureusement pour nous, Wifi map référence tous les spots avec du Wifi gratuit.
Julia Kantor, la madame "chanson française" de Los Angeles
“J’ai du être chanteuse dans une autre vie.” D’origine Russe, Julia Kantor chante Aznavour, Cabrel, Piaf ou encore Zaz qu’elle adore. Depuis trois ans, elle ré-interprète avec style les répertoires français et russe avec son groupe Paris Chansons.
La culture française a toujours fasciné cette psychothérapeute, aujourd’hui mère de deux enfants. Après avoir appris la langue à l’école, elle a vécu durant un an à Rennes et Toulouse. « Je suis tombée amoureuse de la musique française. Avec elle, je sens les mélodies dans mon âme », déclare-t-elle, la flamme faisant toujours briller ses yeux-amandes.
Tout s’est accéléré lorsque Julia Kantor a rencontré son mari, Jacob, guitariste. “Dès notre premier rendez-vous, nous avons chanté ensemble. Il y a trois ans, j’ai décidé d’organiser une soirée en l’honneur de la musique française.” Cent-cinquante personnes ont fait le déplacement. S’entourant de musiciens chevronnés, le couple renouvelle alors l’expérience plusieurs fois, rassemblant en moyenne plus de 200 personnes.
Un melting-pot artistique
Ils décident alors de monter un groupe. Eclectique, Paris Chansons rassemble huit artistes, venant de différents univers, dont le chanteur-parolier-guitariste russe Jacob Kantor, le chanteur marocain Max Cohen qui chante Enrico Macias comme personne, l’acteur-chanteur parisien Jean-Louis Darville qui joue Brel de manière dramatique, ainsi que les musiciens Jeff Lams au piano, Endre Balogh au violon, Adam Cohen à la contrebasse et Sinclair Lott à la batterie.
« Ce n’est pas juste un concert mais un show à l’américaine », argue Julia Kantor, de sa voix suave. A la réalisation, la chanteuse est en recherche constante de nouveaux twists, pour créer la surprise. Dans « Autour du monde », une danseuse du ventre les a rejoint sur scène, alors que des spécialistes du tango ont enivré le public lors de « Tango in Paris », comme l’avait fait une danseuse de cabaret lors de la soirée « Moulin russe ». Imaginé par Julia Kantor, un spectacle différent est proposé tous les mois.
Le public transporté dans les rues de Paris
Dépaysant, leur concept unique plaît. « C’est une bonne alternative à une soirée jazz », avoue Jean-Louis Darville qui transporte le public à Paris avec son accent. Lors de chaque spectacle, le groupe ré-interprète des chansons populaires, en leur donnant un côté plus jazz, gipsy, en rajoutant du beatboxing ou encore de l’électro. « Nous présentons également des chansons originales composées par Jacob et Zera Vaughan, une parolière française installée à Los Angeles », précise Julia Kantor.
« Notre public est éclectique avec des Russes, des Libanais, des Ukrainiens, des Arméniens ou des Français, qui ont pour certains, grandi avec les chansons de Brel, Aznavour , Adamo, Piaf… La musique française est internationale, les spectateurs chantent à l’unisson avec nous. » En plus petit comité, ils animent également des événements privés.
Un premier titre original, “Bâmiyân”
Paris Chansons ne s’arrête pas là. Ils sont en train d’enregistrer un EP. Et le premier titre n’est autre qu’une chanson originale écrite en anglais par Jacob Kantor, et traduite par Zera Vaughan: “Bâmiyân“. “C’est le nom d’une ville d’Afghanistan, où d’énormes statues de Bouddha avaient été détruites en 2001. Cette chanson parle de ce qui ne pourra jamais être détruit, la foi et l’espoir“, précise Julia Kantor. Diffusée sur les réseaux sociaux, cette ode à la paix a déjà suscité l’émotion d’habitantes de Bâmiyân, comme du Human Right Film Festival (Afghanistan) qui l’a jouée lors de sa cérémonie d’ouverture, en décembre dernier.
Les autres titres parlent d’amour, le sujet de prédilection de la romantique Julia Kantor, avec une autre chanson originale composée par Jacob, et des ré-interprétations de chansons de Joe Dassin, Serge Gainsbourg et Enrico Macias. Paris Chansons continue de clamer son amour à la France.
Prochain show: le 23 février.
Ravel et Beethoven à l'honneur ce week-end à Los Angeles
Quand la musique retentit au coeur de l’université, cela crée un moment magistral.
Le dimanche 21 février, à 7 pm, le Los Angeles Chamber Orchestra donnera un concert intitulé “Ravel & Beethoven”, au Royce Hall, à UCLA. Ce même concert sera également donné le samedi 20 février au Alex Theater de Glendale, à 8pm.
Une nouvelle saison s’ouvre dans ce que l’orchestre appelle “sa maison du Westside”, et au sein de laquelle il fût en résidence pour la saison 2014-2015.
Dirigés par Mathhias Pintscher, les musiciens interpréteront “Pavane” de Gabriel Fauré, la deuxième symphonie de chambre de Schoenberg, “Ma mère l’oye” de Ravel et la huitième symphonie de Beethoven.
Ce sera l’occasion de (re)découvrir le répertoire du grand compositeur français, pianiste et chef d’orchestre, Maurice Ravel.
Luminaria remet ça en février à San Antonio
Luminaria s’invite au San Antonio Museum en février pour “Luminaria Take Two” . Ce grand festival d’art pluri-disciplinaire lancé en 2008 sur la modèle de la Nuit blanche parisienne revient les vendredi 19 et mercredi 24 pour des soirées rassemblant plusieurs artistes américains et internationaux.
Au programme: du jazz, de la soul, du tango, du cinéma et des installations multimédia notamment. Les deux soirées sont gratuites. En marge de la programmation, deux événements seront payants: un brunch avec plusieurs artistes programmés sur la création artistiques dans des sites non-traditionnels (le dimanche 21 février, 11am) et un atelier pour danseurs animé par le Français Brice Mousset (mardi 23 février de 8pm à 9:30pm).
Patrick Le Chinois sur scène : "je suis au max de l'originalité"
Un Français qui fait un one-man show en mandarin, avec au passage quelques vannes en anglais ou en français : c’est sûr, c’est pas banal. “Je suis au max de l’originalité”, confie Patrick Veisselier, aka Patrick Le Chinois.
Cet humoriste lyonnais un peu fou a un jour décidé, alors qu’il ne parlait pas un mot de cette langue, de faire un spectacle en chinois. Il est parti pendant six mois sur place, et a écrit un spectacle qui s’amuse des différences culturelles entre la France et la Chine.
“J’ai tourné ça sous forme d’histoire. L’idée, c’est un Français qui va en Chine, et qui a l’impression que les Chinois sont meilleurs en tout.” Il y aura des vannes très “humour chinois” (comprenne qui pourra), et d’autres blagues qui feront rire les Français, nous dit-il. Le spectacle, qui comprend des chansons, est sous-titré dans les trois langues.
Son public : les expatriés français qui aiment s’amuser des différences culturelles, les gens qui ont vécu en Chine, les Sinophiles, et toute la communauté chinoise. “Les Français vont apprendre des choses sur les références culturelles chinoises, d’autant qu’à chaque fois, je prends deux minutes pour expliquer pourquoi les choses se font comme ça en Chine.”
S’il n’est pas encore totalement à l’aise en mandarin, Patrick Veisselier commence à se débrouiller. “Au début, j’ai appris mon spectacle en phonétique. Je parlais et je voyais la correspondance de ce que je disais dans les sous-titres, d’ailleurs parfois les gens riaient mais je ne savais pas ce que je disais ! Mais maintenant, à force de le faire, je comprends tout”, raconte-t-il.
“Les spectateurs me disent que je parle très bien, que c’est exceptionnel. Mais je pense qu’ils disent ça pour me faire plaisir. Par contre, c’est vrai que j’ai un peu l’accent de Shanghai.”
Son spectacle, il l’a présenté en 2014 pendant plusieurs semaines à Paris, puis en Chine, où il l’a joué une trentaine de fois.“Je suis vraiment excité de venir aux Etats-Unis. Ce n’est pas la première fois, car j’ai déjà joué un autre spectacle en 2007 à Las Vegas. New York, ça tient du fantasme. D’ailleurs, j’aimerais bien que Gad Elmaleh vienne me voir, il était venu à la première de mon spectacle en 2014.”
Patrick Le Chinois se produira à New York et à Miami les 26 et 28 février. Il poursuivra ensuite son périple au Brésil, en Nouvelle Zélande, en Suède, au Canada, en Angleterre. Et bien sûr, en Chine, où il a de nombreux fans.
Riez avec Franck Dubosc dans "Le Marquis" sur TV5 Monde
Franck Dubosc, Jean-Hugues Anglade et Richard Berry vont vous faire rire ce jeudi 25 février sur TV5 Monde. Les trois comédiens sont à l’affiche du “Marquis”, un film de 2011 signé Dominique Farrugia.
Dans cette comédie, Thomas Gardesse, VRP en système d’alarme, est arrêté pour un fait mineur et envoyé en prison pour six mois.
Afin de gagner le respect des détenus il se fait passer pour Le Marquis, un génie du casse dont personne ne connaît le visage. Son mensonge se referme sur lui quand un braqueur le fait évader afin qu’il participe à un casse où il devra utiliser l’expertise qu’il n’a pas.
Diffusion à 8:30pm (EST).
Grammys : Cécile McLorin Salvant et Angélique Kidjo sacrées
Trois francophones ont été sacrés, lundi soir, aux Grammy Awards.
La chanteuse de jazz Cécile McLorin Salvant a gagné le prix de la catégorie « meilleur album de jazz vocal » pour « For One to Love ». Une belle revanche pour cette artiste franco-haïtienne qui avait loupé le prix en 2014 avec son album « Woman Child ».
La Béninoise Angélique Kidjo remporte quant à elle le prix du « meilleur album de musique du monde » pour « Sings ». Cette voix béninoise remporte ainsi le troisième Grammy de sa carrière. Elle remercie l’orchestre philharmonique du Luxembourg d’avoir eu le courage de penser que la musique africaine pouvait se mêler à la musique classique. C’est le deuxième prix consécutif pour la chanteuse après le Grammy remporté l’an dernier pour “Eve” , hommage en musique aux femmes africaines.
Le chef d’orchestre Ludovic Morlot, nominé dans trois catégories, a finalement remporté le prix du « meilleur solo instrumental de musique classique ». Une récompense accordée grâce à son travail avec l’orchestre symphonique de Seattle, et plus particulièrement le violoniste Augustin Hadelich, qu’il dirige. Violoniste de formation, M. Morlot a été formé à la Royal Academy of Music de Londres et le Royal College of Music.