Seize personne à la même table, un menu gastronomique élaboré par un chef français réputé, et un service aux petits soins : voilà le concept des trois diners “table d’hôte” organisés par Naturally Delicious.
Ces diners auront lieu les samedis 6 février, 19 mars et 16 avril dans une jolie salle à manger privée à Brooklyn, dans le quartier de Carroll Gardens.
Derrière les fournaux, Hervé Riou, membre de l’Académie Culinaire de France. A la fin des années 80, ce Breton fait ses armes dans les cuisines du Plaza à New York, avant d’ouvrir son restaurant, Chez Nous, à Morristown dans le New Jersey, en 1993. “On a été noté trois étoiles par le New York Times”, nous dit-il. Depuis la revente de son restaurant, il travaille comme consultant, chef, et enseigne à l’Institute of Culinary Education. C’est sa femme, Loren Michelle, qui est la propriétaire de Naturally Delicious, une société qui organise des diners privés à Brooklyn.
Le premier de ces diners “table d’hôte” aura lieu samedi 6 février. Pour 95$, vous aurez droit à un apéritif au Lillet, trois hors-d’oeuvres (dont du foie gras), puis un velouté de courge musquée au miel de lavande, une salade frisée, un traditionnel cassoulet de campagne avec saucisses maison, des fromages artisanaux et une tarte tatin. Le wine pairing est à 35$.
Le second diner, à 110$ par personne, comprendra cinq plats. Parmi eux, “de la bisque de homard, un steak au poivre, un soufflé de chocolat à la vanille tahitienne”, affirme Hervé Riou. Il aura lieu le 19 mars.
Enfin, le troisième diner, servi samedi 16 avril et dimanche 17 avril, vous emmènera dans le sud de la France, avec de la bourride de Sète (une sorte de bouillabaisse), une pissaladière, une soupe au pistou ou encore de la tapenade maison. En dessert, une tarte amandes-abricots sauce caramel, servie avec des macarons au miel ou à la lavande.
“Les Américains ont souvent des idées préconçues sur la cuisine française, pensant que c’est toujours très lourd, avec beaucoup de crème, de farine. Je veux leur prouver qu’on peut faire une belle cuisine savoureuse et légère, sans foam et sans fluff”, explique Hervé Riou.
Le concept de table d’hôte se prête bien à cette découverte. “C’est élégant, mais c’est en même temps très convivial. Et le personnel et le chef sont là juste pour vous, les seize personnes sont cajolées par tout le monde.”
Le concept devrait attirer du monde. L’année dernière, pour la première édition de ces diners privés, les places sont parties comme des petits pains.
A Brooklyn, un grand chef français fait table d'hôte
L'Observer explique la "Frenchrification" de Brooklyn
Pour le New York Observer, Brooklyn connait une « invasion française ».
Le journaliste Matthew Kassel a suivi Elise Goujon à Williamsburg. Elle est la fondatrice de New York Off Road, une agence spécialisée dans des visites guidées originales de New York en français. Il a ainsi pu constater la fascination gauloise pour la Grosse Pomme. « Les Français ont toujours aimé Manhattan, son énergie reflétée dans les films et séries, mais au cours des dernières années, le tourisme français à Brooklyn a grimpé en flèche. »
Selon lui, ces touristes « sont intrépides et aiment voyager hors des sentiers battus (…) la ville a accueilli 734.000 touristes français en 2014, soit une hausse de 200% depuis 2005 ». Il remarque également la présence de Brooklyn dans la vie parisienne, avec l’apparition de food trucks ou encore l’accroissement des bars et cafés à l’effigie du quartier. Dans le sens inverse, les fromageries, boulangeries ou autres magasins français fleurissent dans des lieux comme Williamsburg ou Bushwick.
Selon lui, même si les programmes publics français-anglais attirent beaucoup de Français à Brooklyn, ce phénomène parait bizarre. Malgré leur intérêt pour les Etats-Unis, “les Français n’avaient pas le désir de tenter l’aventure au Nouveau Monde, à la différence des cohortes d’expatriés américains qui ont, presque de manière continue, colonisé les arrondissements les plus trendy de Paris et au-delà depuis le début du siècle.”
En fait, poursuit-il, “les Français ont toujours été sédentaires au point d’être têtus quand il s’agit de se déplacer dans le monde, malgré leur passé colonial” .
“Frenchrification”
Cela serait donc en train de changer, si l’on en croit l’auteur, qui parle de “Frenchrification” de Brooklyn, combinaison de “French” et “Gentrification”. A Brooklyn, “ils recherchent une sorte d’esthétique artisanale, une ambiance moquée à l’excès mais mise en avant sans ironie par la presse française qui, récemment, s’est mise à couvrir Brooklyn avec une rigueur fétichiste” .
“Ce qui rend la fascination française pour Brooklyn curieuse est que les Français sont censés avoir le savoir-faire, la sophistication pour laquelle nous les avons toujours admirés – et ils sont censés en être fiers au point d’être embêtants, prenant les pauvres Américains, nos pizzas et nos Cheez Whiz de haut (…) Mais apparemment, ce n’est plus le cas, si cela l’a jamais été” .
Matthew Kassel se montre un brin critique envers les Français. Ils sont, selon lui, “responsables d’avoir transformé Brooklyn en un bastion de bobos, ou en tout cas d’avoir modelé les quartiers gentrifiés de Brooklyn selon leur propre image” . Les Français seraient donc amoureux de Brooklyn parce que cela revient “à se regarder vainement dans un miroir” .
WantedDesign sera plus français en 2016
Cette année, WantedDesign sera un peu plus français.
Ce salon du design, qui se tiendra à Manhattan du 13 au 16 mai et à Brooklyn du 7 au 17 mai, accueillera pour la première fois un pavillon France, mis en place par Business France. Une dizaine d’entreprises françaises y seront représentées, et feront le voyage pour l’occasion.
Bien que WantedDesign ait été lancé il y a six ans par deux Françaises, Odile Hainaut et Claire Pijoulat, ce salon n’avait pas, jusqu’ici, de véritable “french touch”. Son ambition, à l’origine, était bien de mettre en valeur les créations américaines, puis internationales. “Nous n’avions jamais réussi à avoir une présence française solide”, affirme Odile Hainaut, qui se dit “ravie” de pouvoir donner cette nouvelle dimension au salon.
Ce n’est pas tout. La mise en place de ce pavillon français s’appuie sur un programme plus large, baptisé Oui Design, lancé pour 2016 et 2017 par les services culturels de l’ambassade de France pour promouvoir la création française et les échanges avec les Etats-Unis.
C’est dans ce cadre qu’à vu le jour le Transatlantic Creative Exchange, lancé pour 2016 et 2017. Des équipes franco-américaines mixtes (industriels, artistes, détaillants) ont été formées. Chacune doit construire des prototypes d’objets, qui seront montrés à Wanted Design.
Oui Design organise aussi la venue de la designer industrielle française Matali Crasset, connue en France pour ses collaborations éclectiques (elle a dessiné des meubles pour Ikéa, des vêtements pour Okaidi, scénarisé une exposition sur les jouets en bois aux Arts Déco..). Elle présentera un travail issu de la collaboration avec des artisans locaux de la Meuse.
Deux soirées (le 13 et 20 mai) organisées au Museum of Arts and Design (MAD) de New York entrent également dans cette programmation. Seront projetés des courts-métrages ou des extraits de films réalisés par des artistes ou designers comme Matali Crasset, Marguerite Humeau, Alexandra Midal (qui sera présente lors des projections).
Oui Design comprend enfin une exposition au FIAF de Ionna Vautrin, qui a débuté le 16 janvier et terminera le 2 avril. “Le Bestiaire” présente des costumes d’animaux fantastiques imaginés par des artistes. Une exposition qui plaira particulièrement aux enfants.
Choc-O-Pain et Kayser sacrés "meilleures baguettes" de New York
Des cris de joie retentissent dans la grande salle de réception du Sofitel, où les amateurs de bon pain s’étaient réunis en masse, jeudi, pour la 1ere édition de Baguette Battle, la compétition de la meilleure baguette de New York organisée par French Morning.
Ces cris, ce sont ceux de Clémence Danko et de la petite équipe de Choc-O-Pain. La boulangerie-pâtisserie du New Jersey vient de découvrir qu’elle a reçu le Prix du public pour sa baguette, attribué par les quelque 300 personnes présentes sur place au terme d’une grande dégustation.
La patronne, qui projette d’ouvrir un troisième établissement, à Jersey City, a du mal à y croire:
L’autre grand gagnant de cette soirée, qui rassemblait quinze boulangeries sélectionnées par les lecteurs de French Morning, c’est Maison Kayser. La chaîne du dynamique boulanger Eric Kayser, venu à New York lancer sa première boulangerie brooklynite, a réalisé un doublé: “Prix du Jury” (attribué par un panel de fins gourmets) et le “Prix des lecteurs” (déterminé par vous, chers lecteurs de French Morning, avant la finale).
Epicerie Boulud, représentée par le boulanger François Brunet, est repartie avec le “Prix du pain le plus original”. Tandis qu’Amy’s Bread et Breads Bakery ont reçu ex-aequo le “Prix spécial du jury” pour leur baguette, synonyme de deuxième place derrière Maison Kayser.
L’institution boulangère de l’Upper East Side, Orwasher’s, qui fête en 2016 son siècle d’existence, a obtenu, elle, le “Prix du pain spécial” de la part du jury, qui récompensait d’autres pains que la baguette.
Pendant toute la soirée, les sept juges qui avaient la lourde tâche de départager les pains en compétition n’ont pas ménagé leur peine. Autour d’une table-ronde, elle-même entourée de tables où les pains avaient été disposés, ils ont méticuleusement goûté tous les produits à l’aveugle, un verre d’eau à portée de main et deux seaux pour disposer des restes. Chaque pain devait être jugé selon six critères précis, dont l’arôme et la structure.
“Contrairement à ce que je pensais avant d’arriver, ça a été très difficile de les départager. On en a goûté plus d’une quinzaine. Ca s’est joué à pas grand chose. Toutes les baguettes étaient de très très grande qualité” , a confié Ariane Daguin avant l’annonce du verdict. La patronne de D’Artagnan faisait partie de l’éminent panel avec les chefs Sara Moulton, Didier Elena, André Soltner et Sylvain Harribey, le spécialiste du pain Charlie Van Hover et la journaliste Sylvie Bigar.
(Photos de Martin Loper)
Circulant entre les stands des boulangers et les assiettes de charcuterie et de fromages, certains membres du public avaient décidé d’être moins objectifs que nos juges. “Je juge autant la personnalité des boulangers que leur pain. C’est important de voir comment ils interagissent avec les clients” estime Kate, une New-Yorkais venue avec son fils.
“Je n’ai pas encore gouté tous les stands, mais j’aime bien m’arrêter et papoter, ils sont tous très bien, je connais les grands magasins mais pas les petits fabricants et j’aimerais bien leur donner leur chance” , avance Chantal.
Anthony Valla, COO de Valhrona USA, avait, lui, l’intention de soutenir Almondine Bakery, son voisin à DUMBO. “Je travaille dans le chocolat, mais je suis un amateur de pain, j’ai un petit préféré et je vais forcément voter pour lui, c’est mon favori !”
Pour Nabil, c’est Bien Cuit. “Je suis venu pour manger de la bonne baguette, je soutiens principalement Bien Cuit car ce sont les plus près de chez moi mais je vais être fairplay et voter pour la meilleure baguette en espérant que ce soit eux. ”
Cette première édition de Baguette Battle, qui s’est déroulée à guichets fermés, coincide avec un regain d’intérêt autour du bon pain à New York. L’apparition de nouvelles boulangeries indépendantes comme L’Imprimerie, fondée en 2015 par le Français Gus Reckel, ou encore le succès d’Eric Kayser, qui poursuit son développement à New York, témoignent de ce mouvement.
Charlotte Gerbelot et Alexis Buisson
Aux Cloisters, des cartes d'un autre temps
The Cloisters, branche du Met dédiée à l’art et l’architecture de l’Europe médiévale, vient de dévoiler une exposition “The World in play : Luxury Cards, 1430-1540” dont l’objet en surprendra plus d’un: des cartes à jouer issues du Moyen-Age. L’exposition dure jusqu’au dimanche 17 avril.
Alors que certaines représentent des scènes de chasse, d’autres dépeignent les tenues de l’époque et les us et coutumes des pays européens. On voit donc évoluer, tout au long de la découverte des collections, les figures et les différents changements sociaux, économiques et religieux entre le Moyen Âge et le début de l’Europe moderne. La petite collection présentée regorge de trésors. On y trouve notamment des exemplaires des premiers jeux de carte en bois ou des cartes gravées datant de l’Allemagne ou de l’Italie du XVe siècle, ainsi que des cartes “de luxe” datant du XVIeme siècle, dont la taille varie entre 10 et 20 centimètres.
Certains jeux ne sont pas complets, et les cartes visibles sont changées pour éviter qu’elles ne s’abîment à la lumière. On trouve notamment treize exemplaires des “Stuttgart Playing Card”, impressionnantes par les couleurs utilisées, bien que relativement usées par le temps. Sur la soixantaine de cartes visibles au total, on remarque des traits fins longuement travaillés, particulièrement ceux des personnages qui nous renvoient quelques siècles en arrière.
Probablement jamais exploitées, ces cartes à destination des bourgeois et des riches marchands représentaient un vice pour les autorités religieuses car considérées comme des “images du diable”. Elles étaient, en effet, synonymes de jeux de hasard menant à la pauvreté.
« Elles avaient déjà un coût inestimable pour l’époque» , confie le commissaire de l’exposition Timothy Husband. Elles ont été conçues par des anonymes qualifiés de “maîtres du jeu” ou par des artistes connus, comme Peter Flötner, designer, sculpteur et graveur allemand du XVIeme siècle. Les techniques utilisées reflètent une certaine maitrise de l’art, considérable pour cette époque.
Gagnez des places pour Speak Easy
Envie de découvrir ces “Speak Easy” dont tout le monde parle?
C’est le moment: nous offrons par tirage au sort 4 places au prochain Speak Easy organisé le lundi 25 janvier à Jules Bistro.
Venez aider des Américains à améliorer leur français, ils vous le rendront bien!
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Présidentielle: Frédéric Lefebvre, candidat à la primaire
Il se lance. Frédéric Lefebvre a annoncé, jeudi, dans un courrier aux maires sa candidature à la primaire de la droite et du centre en vue de la présidentielle de 2017.
Le député Les Républicains des Français d’Amérique du Nord, qui a pris le contre-pied de son parti sur différents dossiers législatifs et récemment appelé à la création d’une allocation universelle, rejoint François Fillon, Alain Juppé, Hervé Mariton et Nadine Morano notamment dans les rangs des candidats qui se sont déjà déclarés.
Dans son courrier, relayé par l’AFP, M. Lefebvre dit ne pas vouloir être « un candidat de plus, mais celui qui porte un projet différent ».
« Notre France n’en peut plus du théâtre d’ombres qu’est devenue la politique nationale, où le combat a remplacé le débat, où le cynisme prime sur l’authenticité et où l’intérêt partisan l’emporte toujours sur l’intérêt général, écrit-il. Cette politique qui divertit, détourne de l’essentiel, se déchire sur la déchéance de nationalité, les crèches dans les lieux publics ou le cumul des mandats, au lieu de se concentrer sur l’urgence : la lutte contre le chômage et les inégalités sociales et géographiques ».
Pour être officiellement candidat aux primaires des 20 et 27 novembre prochains, Frédéric Lefebvre devra récolter le soutien de 20 parlementaires, celui de 250 élus locaux répartis sur 30 départements, et de 2.500 adhérents du parti.
A Noglu, on mange français et sans gluten
Le gluten-free est à la mode, mais l’idée même que cela puisse être une mode suprend Frédérique Jules.
“De plus en plus de personnes sont diagnostiqués comme intolérantes au gluten, et plus généralement, beaucoup de gens se sentent mieux sans gluten”, affirme la patronne française de Noglu, qui vient d’ouvrir un restaurant-pâtisserie à New York, Upper East Side.
Si sa pâtisserie a levé le rideau en novembre, la partie restaurant, à l’étage, était inaugurée ce mardi 19 janvier. Dans toutes les recettes, la farine de blé a été mise au placard, troquée pour des farines de pois chiche, de millet, de pommes de terre, du tapioca ou de la maizena. Une contrainte qui pousse à la créativité culinaire.
Car Noglu entend s’adresser à un cercle plus large qu’à celui des apôtres du gluten-free. “A Paris, la moitié des clients ne sont pas intolérants au gluten. Ils viennent parce que c’est bon ! Et comme ce sont des farines plus riches, il y a un vrai intérêt nutritionnel”, nous dit Frédérique Jules, qui a été diagnostiquée, à 28 ans, comme intolérante au gluten.
Le rez-de-chaussée de Noglu, petit et chaleureux, se présente comme une pâtisserie classique, avec en vitrine, des tartes aux fruits, financiers, brioches, cakes et éclairs au chocolat. Au comptoir, on peut commander un café, ou attraper un jus détox.
A l’étage, midi et soir, la carte – courte – proposait cette semaine, en entrée, un tartare de boeuf à la truffe (14$) ou une salade du jour (12$). En plat, un burger (avec du pain Noglu, 19$), des gnocchis aux artichauts et brocolis (20$) ou bien une quiche maison (14$). Au chapitre des desserts, une panacotta ou une tarte au chocolat. “Chaque jour, il y aura une offre végétarienne, et nous allons aussi faire des recettes vegan”, précise la fondatrice de Noglu.
Frédérique Jules n’espère qu’une chose : que Noglu New York connaisse le même succès que l’enseigne qu’elle a ouverte à Paris en 2012, passage des Panoramas. “On a été le premier restaurant gluten-free de Paris. Depuis, ça a explosé”, explique cette ancienne kiné d’athlètes de course à pied, qui a vécu un temps en Californie, et rêvait de venir à New York.
En ce moment, elle y vient une semaine par mois. Si les choses tournent bien, elle songe à poser ses valises pour de bon de ce côté de l’Atlantique, avec ses deux filles de 6 et 13 ans. Son compagnon David Lanher, influent propriétaire de plusieurs restaurants à la mode à Paris (dont Racines, implanté depuis peu à New York), fait aussi des allers-retours.
La patronne de Noglu a néanmoins conscience qu’installer un café-pâtisserie français à New York, avec les prix des loyers sur Madison Avenue, est un pari risqué. Surtout dans cette partie de l’Upper East Side, relativement tranquille.
De plus, si les adeptes du sans gluten sont nombreux à New York, l’offre y est déjà est conséquente. “Mais nous proposons une offre différente de ce qui se fait en matière de gluten-free aux Etats-Unis. Nous faisons de la pâtisserie à la française, mais sans gluten. On fait aussi notre pain, et on va bientôt lancer nos croissants.”
On a goûté la tarte aux framboises, avec une crème légère vanillée et une pâte sablée à la farine de millet, et des framboises ultra-fraîches : un régal. On sent que la patronne ne mégote pas sur la qualité des produits. Plus classique, la brioche au sucre était aussi réussie, et peu grasse : comme si on mangeait une brioche à la farine complète. Et pas trop sucrée. De quoi moins culpabiliser.
Découvrez la maternelle de l'école franco-américaine FASNY
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Miami, le Texas et New York accueillent Florence and the Machine
Florence and The Machine est en tournée aux Etats-Unis aux mois de mai et juin et passeront notamment par Miami, Orlando, Austin, Houston, Dallas et New York.
Florence and The Machine est un groupe anglais constitué à l’origine de Florence Welch, passionnée de musique depuis sa tendre enfance, et d’Isabella Summers, toutes deux influencées par The Smiths ou The Velvet Underground.
Dans leurs trois albums (« Lungs » paru en 2009, « Ceremonials » sorti en 2011 et le troisième « How Big, How Blue, How Beautiful » en 2015), le groupe mélange pop anglaise et soul. La troupe a collaboré avec Calvin Harris et Devonté Hynes notamment sur des titres qui ont connu un succès immédiat.
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