Si vous habitez en Californie, et si vous anticipez de vous ruiner en billets d’avion pour rentrer en France cet été, le fringant Skúli Mogensen va vous redonner de l’espoir.
Sa compagnie low-cost Wow Air a annoncé mardi le lancement d’une nouvelle liaison vers la Californie, permettant, via son hub à Reykjavik, de relier Paris à San Francisco et Paris à Los Angeles à des tarifs avantageux.
Skúli Mogensen, homme d’affaires islandais ayant fait fortune dans les télécoms, a lancé Wow en 2011. Les premiers vols ont été effectués en 2012, et la compagnie est en pleine croissance : elle a transporté 800 000 personnes en 2015.
Wow Air commencera à desservir la Californie à partir de la mi-juin. Les tickets ont été ouverts à la vente en début de semaine. S’il est difficile, à moins d’être ultra-flexible, d’obtenir les prix promo annoncés par Wow sur son site Internet (CDG-LAX à 280$ aller-simple !), les tarifs restent très avantageux.
Un aller-retour San Francisco-Paris, via l’Islande, pendant le mois de juillet 2016, vous coûtera entre 600 et 750 dollars selon les jours – un prix bien inférieur à ce que l’on trouve aux même dates sur les sites habituels. Et ouf, l’escale à Reykjavik dure moins de deux heures.
Les vols Wow seront assurés en Airbus A330-300. Il y aura quatre vols hebdomadaires entre l’Islande et Los Angeles et cinq vols entre l’Islande et San Francisco, avec, à chaque fois, des correspondances vers Paris, Londres ou quelques autres villes européennes.
Wow Air lance une liaison low-cost entre Californie et Europe
Meilleure baguette de New York: les finalistes (1/2)
C’est la date que vous attendez tous avec impatience: le jeudi 21 janvier, jour où French Morning dévoilera l’identité de la meilleure baguette de New York au terme d‘une grande dégustation ouverte au public. Les places partent comme des petits pains, mais il en reste ici.
Pendant cette grande soirée, au Sofitel, quinze talentueux boulangers soumettront leur produit à un jury de professionnels et d’amateurs, ainsi qu’au public – vous. Voici 7 d’entre eux, les autres suivront lundi. Les boulangeries apparaissent ici en ordre alphabétique pour éviter tout soupçon de favoritisme.
Voir la liste des autres finalistes ici
Amy’s Bread
La petite entreprise d’Amy Scherber a bien grandi depuis sa création en 1992, avec cinq employés. Amy’s Bread compte aujourd’hui quelque 200 employés et sert Hell’s Kitchen, Chelsea et le Village, ainsi que la New York Public Library notamment. La boulangerie figure régulièrement dans le Top 10 du Daily Meal des meilleures boulangeries américaines. Site
Bien Cuit
Les habitants de Cobble Hill connaissent bien Bien Cuit, la petite boulangerie qui leur sert du bon pain frais tous les jours depuis 2011. Sa baguette a été nommée parmi les meilleures des Etats-Unis par le magazine Bon Appétit. Le tandem derrière ce succès, le chef Adam Golper et son associée Kate Wheatcroft, ont reçu les honneurs de la critique, dont le New York Times. En 2015, le chef a remporté un prestigieux James Beard Award. Site
Breads Bakery
Depuis sa création en 2013, Breads Bakery a connu un développement fulgurant. La marque, qui se targue d’offrir du pain frais, fabriqué de manière artisanale, a été repérée dès son ouverture par le site culinaire Eater, qui l’a nommée parmi ses dix meilleures nouvelles boulangeries de New York. Elle a ouvert un point de vente à Bryant Park en 2015 et prévoit d’ouvrir au Lincoln Center à l’hiver 2016. Site
Fairway Market
On connait les baguettes de la chaine de supermarchés Fairway, mais pas le trio qui est derrière. La petite équipe est emmenée par David Cummings, VP Boulangerie, un professionnel du pain diplômé de l’American Institute of Baking qui a commencé sa carrière en coupant à la main des donuts dans le business de son père. Il est secondé par Jonathan Becker, directeur de la boulangerie, et David Wasserman, manager de la production, boulanger de quatrième génération qui a possédé sa propre boulangerie pendant 20 ans à Brooklyn. Site
Le District
Ce “marché” à la française dans le sud de Manhattan est considéré, à tort ou à raison, comme un “Eataly” français. De quoi mettre un tantinet de pression sur les épaules de Lisa Kirschner, le chef boulanger. Formée au prestigieux Culinary Institute of America (CIA), où elle a enseigné aussi, cette professionnelle du pain est ensuite allée à la meilleure école de boulangerie au monde – Paris – où elle a travaillé au contact de plusieurs boulangers pour parfaire ses connaissances. Site
Maison Kayser
Les expats adorent Eric Kayser. Depuis sa première boulangerie-restaurant dans l’Upper East Side, Maison Kayser en a fait du chemin, ouvrant dans l’Upper West Side, Flatiron, Bryant Park pour ne citer que quelques quartiers. Fin janvier, il ouvrira son petit premier à Brooklyn. Ce succès doit beaucoup à la patte (et la pâte) de l'”executive master baker” Yann Ledoux, un boulanger qui a rejoint Maison Kayser en 2006. Il est passé par Dubaï où il a supervisé l’ouverture de trois boulangeries Kayser, ainsi que la construction d’une Tour Eiffel géante en pain pour l’ouverture des galeries Lafayette. Site
Orwashers
Orwashers est au pain à New York ce que Michel Drucker est à la télévision en France: indissociable. Cette boulangerie ouverte en 1916 met en avant sa méthode traditionnelle et son ancrage local. Lancée dans l’Upper East Side pour servir du pain artisanal aux populations immigrées venue d’Europe, elle travaille aujourd’hui avec des fermes et moulins locaux pour produire une farine “faite 100% au sein de l’Etat de New York”. Elle continue à vendre son pain directement aux clients à travers sa boulangerie sur la 78eme rue et plusieurs points de vente dans le Tri-State. Site
Le New York Times descend Per Se
Voilà Per Se rhabillé pour l’hiver. Encensé par Sam Sifton du New York Times en 2011, le restaurant de Thomas Keller, qui figure parmi les meilleurs restaurants de la ville, a fait l’objet d’une critique sévère parue dans le quotidien le 12 janvier. C’est Pete Wells, le critique qui fait la pluie et le beau temps sur la scène culinaire new-yorkaise, qui la signe, rétrogradant le restaurant huppé de quatre à deux étoiles.
“A chaque critique, un restaurant doit mériter ses étoiles. Dans sa forme et son prix actuels, Per Se n’est pas parvenu à le faire“, tacle-t-il qualifiant l’adresse d’ “hermétique et non-généreuse“. Nostalgique, il qualifie certains plats de « caoutchouteux et fades » ou encore une assiette à base d’huile et champignons de « marécageuse ».
Il met également en avant les prix très – trop – élevés, 3.000 $ pour 4 personnes, se demandant si « Per Se vaut réellement le temps et l’argent ». Mais ce sont les serveurs qui, sans aucun doute, en prennent le plus pour leur grade. «Quand j’ai demandé à voir la truffe servie à quelqu’un d’autre, on me l’a montrée pendant une nanoseconde, comme si le serveur avait peur que j’éternue dessus.” Auparavant comparés à des danseurs de ballet, ils seraient désormais des « joueurs de rugby » selon Pete Wells. “Des serveurs donnent l’impression que vous travaillez pour eux, et que votre travail est de vous sentir chanceux de ce que vous avez reçu“.
Dans cet océan d’adjectifs péjoratifs, le critique a tout de même salué certaines recettes et l’emplacement avantageux du restaurant, près de Central Park, ainsi que le décor. “Il est possible de passer un repas entier sans incident déplaisant, selon le critique, à part la présentation de l’addition“.
Investissement en France et fiscalité: un petit déjeuner pour tout savoir
Un petit déjeuner de French Morning pour répondre à vos questions sur l’investissement immobilier en France.
Envie d’investir pour préparer une retraite en France? De diversifier votre capital? De profiter des avantages fiscaux français sur l’immobilier? Ou simplement déjà propriétaire en France et à la recherche de solutions d’optimisation fiscale? Ce petit déjeuner French Morning, le mercredi 3 février à 8am, avec le cabinet Financière Gestion Privée est là pour vous.
Thierry Renard et Christèle Biganzoli, tous les deux spécialistes de la gestion de patrimoine, sont experts des problématiques internationales et en particulier franco-américaines. Au cours de ce petit-déjeuner en petit comité ils répondront à vos questions sur les sujets suivants:
-Qu’est-ce qui change en 2016 pour les Français de l’étranger?
-Assurance-vie, placements, immobilier: que choisir?
-Comment les revenus de l’immobilier en France sont-ils fiscalisés pour les Français de l’étranger?
-Comment optimiser la gestion de patrimoine en fonction des objectifs (retour en France, transmission, vente…)?
-L’ISF: comment optimiser l’imposition?
Quand: Le mercredi 3 février 2016 à 8am.
Où: FOLEY HOAG LLP, 1540 Broadway 23rd Floor New York, New York 10036
"Donner une autre image" à l'Alliance française de la Valley
« Il y a une vraie demande de culture francophone ici, et il beaucoup à faire », résume Upi Struzak, la nouvelle présidente de l’Alliance française de la Silicon Valley.
« Nous sommes une alliance de taille modeste, mais nous sommes en train de grandir, de nous moderniser. Je veux poursuivre ça. » Celle qui confie, malgré un grand calme apparent, « ne pas tenir en place », connaît ses priorités : en interne, rendre le travail de l’Alliance française le plus digital possible, jouer la carte des réseaux sociaux, et ouvrir grand les portes pour rassembler, autour d’une culture française très appréciée, les francophones et francophiles de la Baie.
A 50 ans, auto-entrepreneuse et mère de trois enfants, la Suissesse Upi Struzak n’est pas une nouvelle dans le réseau des alliances. Elle est arrivée de Suisse en 1995 à Santa Rosa, au nord de San Francisco, « avec deux jeunes enfants », pas le droit de travailler, ses expériences et diplômes suisses de documentaliste, non reconnus par les Etats-Unis. Dans une Californie en plein boom du dot com, Upi Struzak se tourne alors vers le web. Certifications en poche, elle se met à son compte en 2000 comme designer et développeur web.
Bien que ce soit la langue de la famille, le français lui manquait. Rejoignant l’Alliance française de Santa Rosa, Upi Struzak participe au lancement d’une école de langue en son sein, prend présidence de l’association pour un mandat, et continue, penchant professionnel oblige, à s’occuper du site web et des bulletins pendant dix ans.
En 2012, le travail de son mari les emmène à Santa Clara. La famille débarque dans la Silicon Valley. « De nouveau, un départ à zéro », dit-elle, mi-figue, mi-raisin. « L’Alliance Française de la Silicon Valley, qui avait déjà 40 ans d’existence, avait besoin de gens. J’avais du temps. » Equation résolue. « Je suis devenue secrétaire du board, j’ai refait le site et je m’occupe de tout ce qui est réseaux sociaux. » Une stratégie qu’il faudra poursuivre, pour être visible par tous. C’est aujourd’hui l’un des enjeux.
L’établissement est en pleine croissance : il compte désormais près de 80 élèves apprenant le français, a ouvert un campus à Menlo Park, pour seconder celui de Campbell, et diversifie les événements culturels : un festival de musique classique (3e édition cette année), un festival de films d’animation français lancé en décembre 2015, « qui a attiré du monde ». L’ancien président, Max Bouchard, poursuivra ce développement culturel.
Avec calme, méthode, et la détermination qui semble la caractériser, Upi Struzak a un souhait. « Donner une autre image de l’Alliance, l’image de quelque chose de plus moderne, de plus vivant, et qui attire les jeunes. »
« On a beaucoup de francophones ici dans toute la baie. J’aimerais aussi contacter les Romands, les Belges, faire des événements qui amènent davantage la francophonie ensemble », souligne la nouvelle présidente.
Autre particularité de la Silicon Valley : « nous avons aussi un public de francophiles très cultivés sur l’art, la musique », relève-t-elle. Les événements sur la culture française, comme une exposition sur Camus, en 2013, ont attiré un public de tous âges. « Il y a un véritable intérêt. Donc il faut leur donner cela. Et il faut qu’on soit à ce niveau-là. »
Le "French Kids Club" d'Austin cherche des fonds
Le “French Kids Club”, ouvert à tous les enfants francophones d’Austin, a besoin d’argent.
Une campagne Go Fund Me est en cours. Elle a déjà permis de recueillir 80$ pour ce club géré par les enfants et lancé au sein de l’école d’immersion Jean-Jacques Rousseau. Son objectif est d’organiser des activités et des sorties pour ses membres en culotte courte, afin qu’ils puissent « parler français en jouant ». « On en faisait déjà avant, mais maintenant on les choisit », souligne Aliyah, une jeune fille qui fait partie du comité d’animation du club.
« On se réunit pour parler ensemble en français de ce qu’on veut faire et on vote », détaille Nicolas, un autre membre du comité d’animation. Et si le comité d’animation est chargé de formuler des propositions, c’est l’ensemble des membres du club qui vote sur ces dernières. « Nous sommes un club démocratique. Les enfants choisissent ce qu’ils veulent faire », souligne Améthyste, dont la maman, Jocelyn Mellberg, sert d’intermédiaire quand il faut un adulte pour faire une réservation ou procéder à un paiement. Un autre parent, Didier Peyroll, s’est porté bénévole pour assurer la sécurité des rencontres, organisées le dimanche, puisque beaucoup des membres du Kids Club participent également aux Ateliers du samedi ayant lieu depuis la dernière rentrée scolaire à l’école Jean-Jacques Rousseau.
Le Kids Club suit « une méthode naturelle d’apprentissage, la pédagogie Freinet » et s’inscrit « dans un processus d’apprentissage collaboratif », souligne l’établissement, qui prête main forte pour l’organisation des réunions, mais se gardant d’intervenir dans les choix du club.
Une sortie roller a déjà eu lieu depuis la fondation du club au mois de septembre, et les idées ne manquent pas pour la suite, mais « on a besoin d’argent », reconnaît Améthyste, qui a proposé une vente de gâteaux et chocolat chaud afin de lever des fonds. Le club a aussi participé à des évènements comme le festival Angers Day ou le spectacle de fin d’année pour recueillir des donations.
Gad Elmaleh honoré au Gala du Lycée français de New York
Gad Elmaleh sera l’invité d’honneur du gala du Lycée Français de New York le lundi 6 février, où il recevra le prix Charles de Ferry de Fontnouvelle, du nom du consul de France qui fut à l’origine de l’institution.
Chaque année, le Lycée Français de New York honore lors de son gala une personnalité française qui incarne les missions et objectifs de l’école. Après JR, Anne Sinclair, Jean-Paul Gaultier et Thierry Henry notamment, c’est donc au tour de l’humoriste Gad Elmaleh de reçevoir les honneurs de l’établissement de l’Upper East Side, alors que le comédien chéri des Français s’apprête à remonter sur les planches de Joe’s Pub pour présenter son show en anglais.
Au programme de cette soirée fundraising-comédie: dîner, danse et enchères à partir de 6pm. Les fonds levés serviront à financer les activités du Lycée français.
"Qui vive" au Ciné-Club de l'Alliance Française d'Austin
Le 3ème dimanche du mois, c’est le ciné-club de l’Alliance Française d’Austin. Le dimanche 17 janvier, il s’invite à Austin Studio pour la projection de « Qui vive » de Marianne Tardieu.
Chérif, incarné par le talentueux Reda Kateb, est un trentenaire qui rêve d’être infirmier. Il travaille dans un centre commercial comme vigile en parallèle de la préparation du concours et rencontre celle qui deviendra sa petite amie, Jenny, interprétée par Adèle Exarchopoulos. Victime de harcèlement par des adolescents, il tente par tous les moyens de s’en soustraire et, un soir, sa vie va chavirer.
C’est le premier film de Marianne Tardieu. Il a été sélectionné par l’ACID (Association du Cinéma Indépendant et sa Diffusion) et au Festival de Cannes en 2014. Le film sera diffusé en français avec des sous-titres en anglais.
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Anne Frank au-delà de son journal à Dallas
Le musée de l’Holocauste à Dallas propose d’emmener le public au-delà des pages du journal d’Anne Frank en abordant la manière dont la famille Frank a vécu cachée à Amsterdam pendant deux ans, ainsi que d’explorer les évenements qui ont forgé sa vision du monde. L’exposition sera visible du dimanche 9 janvier au 31 mai.
L’histoire d’Anne Frank, jeune victime juive de la Shoah, a retenti dans le monde lors de la publication de son journal intime pour la première fois en 1947. Traduit en plusieurs langues puis adapté en films, opéras et pièces de théâtre, son récit retrace sa vie d’adolescente sous l’occupation allemande à Amsterdam durant la Seconde Guerre mondiale.
Le vernissage de l’exposition aura lieu le jeudi 14 janvier. Une pièce de théâtre sur Anne Frank sera jouée les 18 et 19 mars.
Soirée "8 femmes" au Silent Movie Theater de Los Angeles
Si vous n’avez pas vu “8 femmes”, le film de François Ozon, vous avez une occasion de vous rattraper le jeudi 28 janvier.
A-t-on jamais vu pareille brochette de stars françaises réunies sur un même plateau ? Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Emmanuelle Béart, Danièle Darrieu, pour ne citer qu’elles. Le pitch est connu. Un cadavre, huit suspects : qui a tué ? “8 femmes” est un polar drôle dont l’intrigue se passe dans un huis clos qui fait penser à un roman d’Agatha Christie ou au jeu Cluedo. Avec la particularité que tous les suspects sont des femmes.
Le film, adapté d’une pièce, se passe dans les années 50, ce qui donne un côté chic et kitch aux décors et aux costumes. Quant aux personnages, tous plus vils les uns que les autres, ils nous divertissent par leurs échanges perfides où il est question d’inceste, d’adultère et de trahisons en tout genre.
“8 femmes” est projeté au Silent Movie Theater, où l’association Cinefamily organise une soirée 100% française une fois par mois, avec un film, suivi d’un pot dans le coquet patio intérieur du cinéma art déco.
Les spectateurs sont aussi encouragés à se déguiser comme les personnages : un photobooth permettra d’immortaliser les meilleurs costumes. Des DJ seront également de la partie.
L’événement s’appelle La collectionneuse, comme le film du très français Eric Rohmer.
Ingrid Betancourt et Diane Von Fürstenberg parlent littérature à NYC
Ingrid Betancourt – Diane Von Fürstenberg. Ce tandem étonnant et détonant sera reuni le mercredi 27 janvier à la librairie McNally Jackson pour une discussion sur la sortie du premier roman de l’ancienne sénatrice, ex-otage des FARC.
The blue line est une histoire d’amour sur fond de violence durant la « guerre sale » en Argentine dans les années 70. Véritable ode au courage, le contenu du livre ne va pas sans rappeler l’épreuve qu’a traversée l’ancienne candidate à la présidence de Colombie. Ingrid Betancourt et son amie Diane Von Fürstenberg, célèbre créatrice de mode et fervente militante des droits de l’Homme, liront un extrait de l’ouvrage et prendront part à une discussion avec le public.
McNally Jackson propose également un Livestream de la discussion.