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San Antonio organise sa 8ème nuit blanche

San Antonio met l’art à l’honneur pendant deux soirées pour le Luminaria Festival. C’est la huitième édition de cette nuit blanche de San Antonio qui aura lieu le vendredi 23 et samedi 24 octobre entre 7pm et minuit.
Crée en 2008 par le maire de San Antonio Phil Hardberger, le festival propose chaque année de mêler l’art local à l’art national et international pour mettre en avant le dynamisme artistique de la ville.
Pour sa huitième édition le festival change de lieu, et se concentrera autour du San Antonio Museum of Art. Près de 50 artistes locaux, nationaux et internationaux participeront à l’évènement. Chorégraphes, poètes, réalisateurs, musiciens, compositeurs et acteurs seront présents pour animer le festival.
Au programme, des spectacles de sons et lumières, de danse et de musique. Mais aussi des visites du Museum of Art de San Antonio qui proposera une nocturne spécialement pour l’évènement. Le stand phare du festival sera la “tortillas and technology” un photomaton un peu particulier qui propose de griller sur une tortilla des portraits à l’aide d’un laser.
Le festival gratuit proposera cette année plusieurs activités supplémentaires payantes telles que des ateliers de danse et de musique ainsi qu’une conférence sur l’identité et l’influence latino dans l’art moderne. Mais aussi des repas français concoctés par le restaurant Saveurs 209 à partager avec des artistes du festival pour en savoir plus sur leur travail.
Programme

Taylor Swift en concert à Miami pour son 1989 world tour

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Taylor Swift enflammera Miami le 27 octobre à l’American Airline arena à l’occasion de sa tournée mondiale intitulée “1989 world tour”.
Elle interprètera son dernier album sorti en 2014, 1989, un titre inspiré par son année de naissance. Taylor Swift écrit et compose ses morceaux en s’inspirant de son journal intime.
La chanteuse de 25 ans a un succès fulgurant, elle a remporté 7 Grammy Awards dont le plus prestigieux “album de l’année”. 1989 est le cinquième album de la chanteuse qui a fait beaucoup parlé de lui avec le succès du morceau Shake it of.

Pourquoi vaccine-t-on les enfants contre la varicelle aux USA?

Vacciner tous les enfants pour la varicelle ? En France, on n’y pense pas. « La vaccination généralisée contre la varicelle des enfants n’est pas recommandée, dans une perspective de santé publique », peut-on lire sur un document officiel du ministère de la Santé. Le vaccin, disponible en France depuis 2004, n’est conseillé que dans quelques cas particuliers (les femmes enceintes n’ayant pas eu la varicelle, par exemple).
La situation est différente aux États-Unis, où le vaccin contre la varicelle (chickenpox en anglais), disponible depuis 1996, est systématique pour les enfants à l’âge d’un an. Actuellement, tous les enfants fréquentant une école ou une crèche doivent obligatoirement être vaccinés contre la varicelle (sauf dans l’Ohio et le Dakota du Sud).
Pourquoi cette différence ? Aux États-Unis, on considère qu’il est préférable de vacciner plutôt que de gérer des complications, même rares. En outre, le discours sur la varicelle est bien plus alarmiste qu’en France.
Le CDC (Center for Desease Control) met en avant les dangers et les complications parfois sérieuses de cette maladie. « La varicelle peut être une maladie légère, mais ce n’est pas toujours le cas. Il n’y a aucun moyen de savoir qui aura la varicelle de façon légère, et qui sera très malade », explique le CDC sur son site.
Alain Le Guillou, pédiatre à Larchmont, au nord de New York, confirme : il ne faut pas plaisanter avec la varicelle. “Je suis arrivé ici en 1990, et avant la vaccination, j’ai vu des complications infectieuses et neurologiques de la varicelle désastreuses, des streptocoques, des abcès, des ataxies chez une demi-douzaine d’enfants. Certains se sont retrouvés en soins intensifs, avec des antibiotiques en intra-veineuse. La vaccination, c’est une bonne chose, je le recommande sans état d’âmes.”
Un vaccin efficace
Depuis sa généralisation aux Etats-Unis, le vaccin contre la varicelle a été efficace. Il a réduit le nombre de décès et de cas problématiques, tandis que l’incidence globale de la maladie a diminué dans tout le pays.
Ainsi, avant 1995, 4 millions de personnes contractaient la varicelle chaque année aux États-Unis. Environ 10 600 personnes (soit 0,2%) devaient être hospitalisées, et 100 en mouraient, dont la moitié étaient des enfants. Aujourd’hui, la varicelle fait 20 morts par an aux Etats-Unis, et 1 700 personnes sont hospitalisées chaque année pour cette raison.
Transfert vers des sujets plus âgés
Pourquoi la France ne suit-elle pas ce chemin, alors ? La varicelle y est considérée dans l’opinion publique et par les médecins comme une maladie avant tout bénigne, lorsqu’elle arrive pendant l’enfance.
Mais la principale inquiétude soulevée par les autorités sanitaires françaises est celle-ci : le transfert de la maladie chez des sujets plus âgés, à partir du moment où la “couverture vaccinale” (c’est à dire la proportion de gens vaccinés) n’atteint pas au moins 90%. Un objectif très difficile à atteindre en France, où les obligations en termes de vaccination sont moins étendues qu’aux Etats-Unis.
“On lutte déjà depuis 30 ans pour imposer le vaccin contre la rougeole, alors en imaginant que ce vaccin contre la varicelle soit demandé, on n’arriverait jamais à atteindre un taux de couverture suffisant. Surtout pour une maladie perçue comme bénigne. Si on avait la certitude d’avoir une couverture comme celle qu’ont les Etats-Unis, le débat serait différent”, estime le professeur Daniel Floret, pédiatre, ancien président du Comité Technique des Vaccinations.
Pourquoi ce transfert vers des adultes ? Si on vaccine les enfants, le virus circule moins. Mais il continue quand même de circuler. L’exposition au virus est de plus en plus rare, et les personnes non vaccinées sont plus à même d’attraper la varicelle à un âge adulte, avec des complications potentiellement plus dangereuses. Le taux de complications chez les adultes est le double de celui observé chez les moins de 15 ans (respectivement 6 % et 3 %). “Pour des couvertures vaccinales qui ne dépasseraient pas 80 à 90 % de la population, le nombre de cas graves chez l’adulte serait supérieur à celui observé en l’absence de vaccination”, indique un rapport du Haut Conseil pour la Santé Publique sur ce sujet, qui date de 2007.
Autre question : la persistance de l’immunisation chez les vaccinés sur le long-terme. Une étude a été menée en Californie après la généralisation du vaccin : elle a constaté que des enfants vaccinés ont continué de contracter la varicelle, non pas vers 3 ans, mais plus tard, vers 9-10 ans – sous une forme atténuée toutefois.
C’est ce qui explique l’instauration, en 2006, de nouvelles règles, rendant obligatoire l’administration d’une deuxième dose vers 4-6 ans, et augmentant l’efficacité du vaccin sur le long terme. Au bout de 10 ans, l’efficacité d’un vaccin à deux doses est de 98%. Mais qu’en sera-t-il ensuite ? En France, on s’interroge. “On ne sait pas du tout si le vaccin sera efficace au bout de 30 ou 40 ans”, affirme Daniel Floret.
Davantage de cas de zona ? 
Autre sujet d’interrogations : le zona. En vaccinant contre la varicelle, on réduit le nombre de contacts potentiels avec ce virus, qui sont à chaque fois autant de manière de réactiver les défenses que l’on a acquises. Ce sont ces mêmes défenses qui nous permettent de lutter contre le zona, cousin de la varicelle.
Une étude réalisée dans le Massachusetts, après l’instauration de la vaccination, “montre qu’entre 1999 et 2003, l’incidence du zona est passée de 2,77 à 5,27/10 000, soit une augmentation de 90 %”, rappelle le Haut Conseil pour la Santé publique, toujours dans son avis de 2007. Les adultes vivant au contact d’enfants et fréquemment soumis à des contacts avec le virus sauvage de la varicelle ont un risque diminué de présenter un zona (..) Ces premières données vont dans le sens des craintes de voir augmenter l’incidence du zona en situation de couverture vaccinale élevée contre la varicelle.”
Les autorités sanitaires françaises ne sont pas les seules à s’opposer à la vaccination systématique contre la varicelle. Aux Etats-Unis, certains parents se liguent pour éviter à leurs enfants d’être vaccinés… en organisant des effrayantes « chickenpox parties ». Sur Facebook, on peut trouver des pages dédiées à des fêtes, où l’objectif est de permettre à certains participants d’attraper la varicelle, en partageant des objets infectés ou en étant en contact avec des enfants malades. Qui veut lécher cette cuillère  ?

Non-voyant, je cours le marathon de New York (2/4)

Quand je dis autour de moi que je vais courir le marathon de New York, on me demande souvent: « mais comment feras-tu pour te repérer, éviter les autres… »
Mon secret: je n’ai pas un, ou deux, mais trois guides. Tous font partie de mon club, Achilles International, qui rassemble des personnes handicapées et valides pour des courses. Ces personnes veulent partager un nouvel aspect de la course à pied, plus communautaire, plus grégaire qu’à l’accoutumée. C’est assez organique. Il y a beaucoup de coureurs qui comme moi sont non-voyants, mais il y a aussi des personnes en fauteuil ou souffrant de troubles cognitifs etc. Les volontaires sont toujours les bienvenus dans cette communauté qui veut se dépasser.
Le 1er novembre, jour du marathon, ils seront donc trois autour de moi. Dustin sera devant, il nous ouvrira la voie. Stefan sera harnaché à moi, il naviguera à travers la foule. Matt surveillera notre rythme, il m’apportera de l’eau, et se tiendra prêt à prendre le relai si Dustin ou Stefan ne sont pas dans un bon jour.
Lors de mes premières sorties il y a quelques années, je ne voulais pas accepter l’évidence. Je voyais cet entourage comme des béquilles, comme un douloureux rappel de mon infirmité. Mais après quelques rires et beaucoup de transpiration, ces inconnus lugubres sont rapidement devenus mes amis, à tel point que j’oublie souvent ce harnais autour de ma hanche. Ils sont médecins, artistes, entrepreneurs, ils sont très différents quand j’y pense. Ils ne votent pas pour les mêmes personnes, ils n’écoutent pas la même musique, mais finalement peu importe. Nous n’avons tous qu’une seule obsession, le chronomètre.
Lire aussi: Non-voyant, je cours le marathon de New York (1/4)
Ces guides sont plus que des amis, ce sont mes frères d’armes ! Ils m’ont calmé dans les moments d’hystérie, ils m’ont poussé quand mon corps n’en pouvait plus. Ils me connaissent mieux que moi-même. Il n’y a que peu de choses qui nous conduisent vers l’essentiel, on aime ce qui est clivant, on veut se démarquer. Mais pourtant quel bonheur d’être tous ensemble, bercé par le même idéal.
Leurs noms ne figureront sur aucun registre; mais ils seront gravés à jamais dans ma mémoire. Ils n’auront pour médaille que mon sourire et mes larmes. Ils ne courent pas pour être devant, ils courent pour être avec moi, pour être meilleurs.
Je vous laisse. Je viens de courir 30 km. Je commence à avoir froid, mon souffle est régulier, mon cœur bat lentement. Je fais quelques étirements, oh, comme c’est difficile de se relever ! Je vais rentrer, ma femme va me dire que j’ai encore trop poussé, que tout cela n’est pas très raisonnable. Heureusement, je suis bien entouré.
 

Kickstarter organise son 5ème festival du film à Miami

Kickstarter célèbre ses talents filmographiques lors du Kickstarter film fest jeudi 15 octobre. Pour une soirée le Bill Crosford cinema de Miami projettera plusieurs films financés via la plateforme de financement participatif.
C’est la 5e édition de ce festival qui met à l’honneur le cinéma financé grâce aux internautes par le crowdfunding. Kickstarter permet aux entrepreneurs, artistes ou créateurs de projets de toutes sortes d’obtenir des financements auprès des internautes, qui reçoivent en échange des récompenses.
Ces cinq dernières années la plateforme a financé sept films primés dont un documentaire oscarisé Inocente. À Miami vous pourrez découvrir gratuitement cinq films dont:
What we do in the shadow, une comédie loufoque qui rassemble un quatuor de vampires démodés âgés de 183 à 8000 ans, qui n’arrêtent pas de se quereller à cause des tâches ménagères dans leur maison. Séance à 7pm (86 minutes).
Afronauts, ce court métrage est inspiré d’une histoire vraie. En 1969 alors que les États-Unis s’apprêtent à lancer Appolo 11, l’académie d’astronomie de Zambie espère battre les américains sur la lune (14 minutes).
T rex raconte le passage à l’âge adulte d’une jeune femme de 17 ans qui veut devenir la première médaillée d’or en boxe aux jeux Olympique en de 2012, où les femmes viennent d’obtenir le droit de concourir dans ce sport. (Séance à 9:20 pm; 91 minutes).

L'Equateur sur mesure avec Terra Ecuador

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(Article partenaire) Dix bonnes raisons de confier votre voyage à Terra Ecuador, spécialiste du voyage sur mesure en Equateur.
10. Notre savoir-faire
Terra Ecuador est membre de Terra Group dont l’expérience et l’expertise sont reconnues tant auprès de tant des voyageurs individuels que des professionnels du tourisme.
9. Notre connaissance du pays
Notre présence sur le terrain nous permet de vous apporter des conseils concrets et actualisés sur les régions à visiter, qu’il s’agisse de sites incontournables ou d’étapes hors des sentiers battus.
8. Un voyage 100 % personnalisé
Tous nos voyages sont conçus sur mesure, en fonction de vos attentes (étapes, centres d’intérêt, durée, budget, hébergement, prestations… ).
7. Sécurité
Garantir votre sécurité comme celle des équipes de terrain (guides, chauffeurs, accompagnateurs …) est, plus que notre responsabilité, notre priorité.

6. Qualité
Les hébergements, restaurants, excursions … que nous proposons sont sélectionnés avec le plus grand soin, et régulièrement testés par nous-mêmes.
5. Réactivité et flexibilité
Nous sommes votre unique interlocuteur, francophone. Joignables par email, téléphone ou skype pendant toute la conception de votre voyage, nous sommes également disponibles 24h/24 pendant votre séjour.
4. Prix concurrentiels
Nous tâchons d’opérer le plus souvent possible nous-mêmes nos services, sans intermédiaires ; nos devis sont basés sur les prix négociés directement auprès des prestataires (guides, transporteurs, hôtels …) avec lesquels nous travaillons dans le respect, la fidélité, la transparence et la durée.
3. Engagement éthique
Parce que nous sommes soucieux de l’impact de notre activité sur les territoires qui nous accueillent, nous nous engageons à observer certains principes dans l’exercice quotidien de notre profession en termes de respect, d’équité et de durabilité.
2. Confort et gain de temps
Itinéraire bien ficelé, fiches techniques avant votre départ, accueil privé dès votre arrivée, remise d’un carnet de voyages complet et notre réactivité en cas d’imprévu sur place : votre voyage est ainsi optimisé.
1. Facilités de paiement
Vous pourrez choisir entre un règlement par virement sur notre compte professionnel en Equateur ou par carte bancaire sur notre plateforme sécurisée (frais bancaires à votre charge).
Contactez-nous pour l’organisation de votre voyage sur mesure en Equateur.
Envoyez un e-mail à [email protected]

Soirée "French cancan" à Bagatelle

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Un spectacle de burlesque et de “French cancan”, associé à un menu rétro, qui vous plongera dans l’ambiance cabaret : c’est ce que propose Bagatelle New York, mardi 13 octobre, à partir de 7pm.
En plus de la carte servie habituellement dans ce restaurant français du Meatpacking, un menu spécial sera proposé : bulots, escargots à l’ail, raie aux câpres, filet mignon, assiettes de charcuterie…
Le spectacle sera assuré par les “Painted Ladies”, la compagnie de Jenny Rocha, qui donne des shows un peu partout à New York. Après leur numéro, un DJ viendra mettre l’ambiance avec des tubes français.

Indochine au Barclays Center pour Tidal X

“J’ai demandé à la lune”, “L’aventurier”… Ces chansons paraissent peut-être loin, elles vont vous rattraper à New York. Le groupe Indochine, emmené par l’excellent Nicola Sirkis, est de passage au Barclays Center de Brooklyn ce 20 octobre.
Les Français seront bien entoures. Ils participeront au grand concert caritatif Tidal X: 2010, qui rassemble cette année quelques petits noms de la chanson comme Beyonce, Jay-Z, Nicki Minaj et Prince. Les revenus de ce concert seront reversés à différentes associations qui luttent contre les injustices sociales.

A Brooklyn, les soeurs Pascal ont plus d'un tour dans leurs sacs

Au début du XXème siècle, Louis-Xavier Pascal, l’arrière-arrière-grand-père de Margot et Camille Pascal, tenait une usine de cordes, d’élastiques et de tuyaux près de Saint-Etienne. Cette Manufacture Pascal n’a pas grand chose à voir avec la marque de sacs que viennent de lancer ses descendantes à Brooklyn, mais elle leur permet de raconter une histoire. Et de décorer leur atelier-showroom de Williamsburg.
“On a retrouvé sur Internet des vieux bons de commandes, des photos d’époque, on les a rachetés à des collectionneurs”, raconte Margot Pascal, montrant au mur des documents encadrés. Derniers reliquats d’une usine qui a fermé au lendemain de la Seconde guerre mondiale, et renait, en 2015, à Brooklyn.
Lancée en février, la marque des sœurs Pascal connaît déjà un petit succès. « On a vendu pas loin de 300 sacs, et on est déjà out-of-stock pour la première collection. Nous sommes contentes, c’est au-dessus de nos objectifs », affirme Margot Pascal, qui, comme sa sœur, est mère de deux jeunes enfants.
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Outre leur site web, le sacs Manufacture Pascal sont vendus dans des boutiques branchées, comme Otte ou Steven Alan. Instagram les a beaucoup aidé à émerger, reconnaissent-elles. « Par exemple, on avait envoyé un sac en cadeau à une blogueuse de mode. Elle a posté une photo sur Instagram et l’a porté lors d’un défilé Chloé à Paris. Elle a plus de 150.000 followers, et grâce à elle, plein de boutiques nous ont contacté », illustre Margot Pascal.
Si leurs sacs plaisent, c’est sans doute pour leur originalité, avec des formes que l’on repère tout de suite, de jolies couleurs et un cuir américain qui, au toucher, semble très résistant. “On ne lésine pas sur la qualité”, précise Camille Pascal, qui vend ses sacs entre 400 et 700 dollars pièce. Leurs sacs sont entièrement produits à New York.
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Quand on leur demande de décrire leur style, les deux sœurs hésitent. “On est un peu un mélange entre Indiana Jones et Inès de la Fressange”, ose Margot Pascal.
Indiana Jones, ce serait plutôt elle, la cadette, avec son sweat-shirt, ses cheveux un peu ébouriffés et son allure sportive. Diplômée d’une business school à Paris, elle a travaillé quelques temps pour une marque de Champagne, à New York. C’est elle qui tient les cordons de la bourse. « Il y a un côté unisexe dans nos sacs, et on aime tout ce qui se rapporte au monde du cheval. D’ailleurs, nos sacs ont des noms de chevaux, et on utilise des petits détails qui rappellent les sangles d’équitation », raconte Margot Pascal.
Inès de la Fressange, ce serait plutôt sa soeur Camille. Diplômée de l’Esmod, une école de stylisme à Paris, elle a travaillé pour Marc Jacobs et Vuitton, et a fabriqué des robes sur-mesure à Washington. «Bien sûr, on revendique dans nos créations un côté français, précise Camille Pascal. On a passé la plupart de notre vie là-bas. Mais là, on veut se faire une place à New York. Continuer à monter, doucement. »

Nadège Zitelli, l'esthéticienne des Français de Houston

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(Article partenaire) Après avoir vécu en Suisse, en Nouvelle-Calédonie et à Londres, Nadège Zitelli arrive à Houston il y a un an pour suivre son ex-mari. Il y a cinq mois, elle décide de se lancer dans l’épilation à domicile.
Avant d’arriver aux États-Unis, elle travaillait dans des instituts de beauté mais s’y sentait enfermée. Elle n’avait plus envie d’attendre ses clientes mais plutôt de venir à elles.
« Beaucoup de Françaises me demandaient des bonnes adresses pour se faire épiler à Houston et comme j’avais eu de mauvaises expériences, je me suis dit que j’allais me lancer, qu’il y avait une vraie demande. »
Pour se faire connaître, Nadège Zitelli crée un site internet puis une page Facebook. « J’ai aussi reçu beaucoup d’aide de la part du french club et de Houston Accueil pour me faire connaître dans la communauté française ».
Pour le moment, ses clientes sont exclusivement françaises : « je ne me sentais pas à l’aise avec l’anglais alors je me suis centrée sur la communauté française qui est très importante ici. (…) Aujourd’hui je suis plus à l’aise en anglais. J’aimerais avoir des clientes américaines ».
Nadège Zitelli propose exclusivement des épilations pour le moment mais peut étendre ses services à des manucures, pédicures, des massages et des nettoyages de peau, selon les demandes.
Les réservations se font par téléphone ou par e-mail.
Mobile Waxing, Nadège Zitelli
Site ici
Tel : 832-552-6446
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
 
 

La patinoire du Rockefeller Center rouvre le 13 octobre

C’est le signe que l’été est fini. La mythique patinoire du Rockefeller Center rouvre le mardi 13 octobre. Les New-Yorkais et les touristes pourront en profiter jusqu’à Pâques 2016.
Pour marquer ce grand retour, un show des médaillés olympiques de Sotchi Meryl Davis et Charlie White est prévu à 10am, avant la réouverture officielle. Nouveauté cette saison: la possibilité de réserver, certains soirs, un ticket pour la dernière session de patinage de la journée (entre 10:30pm-minuit). La patinoire attire 150.000 personnes tous les ans. Elle est ouverte de 8:30 am à minuit. Il est conseillé d’y aller tôt le matin pour un accès rapide à la glace.

Portes-ouvertes au Lyceum Kennedy à New York et Ardsley

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(Article Partenaire) Le Lyceum Kennedy vous ouvre ses portes. L’établissement franco-américain de Manhattan et du Westchester organise une série de journées portes-ouvertes sur ses deux campus d’octobre à janvier (dates et inscriptions ici) en préparation de la rentrée 2016-2017.
Pendant la visite, les parents pourront découvrir les locaux de l’école, ses programmes pédagogiques et extra-scolaires. Enseignants, parents, élèves et administrateurs seront disponibles pour répondre aux questions et partager leur expérience.
Depuis son ouverture en 1964, le Lyceum Kennedy est l’une des écoles bilingues les plus reconnues de New York et propose une éducation bilingue rigoureuse au sein d’une communauté multiculturelle. Au total, plus de 250 élèves sont scolarisés de la Maternelle au Lycée sur ses trois campus (celui du Westchester dans la commune d’Ardsley et deux campus pour le Collège /Lycée et la Maternelle/l’Élémentaire sur  la 43ème rue et la 2nd avenue à Manhattan ).
L’école,  homologuée par l’Education Nationale et par le Board of Regents de l’Etat de New York, prépare aux examens français et  américains (ELA, math test, Regents, AP, New York State High School Diploma).Elle est l’une des seules écoles à proposer un programme diplômant d “IB”. Le diplôme d’IB (Baccalauréat International), préparé en Première et Terminale, est totallement bilingue Français Anglais au Lyceum Kennedy. Programme académique d’éducation rigoureux et équilibré, l’IB s’adresse aux étudiants à la recherche d’une éducation de première qualité  les préparant à devenir des citoyens du monde responsables.
Portes-ouvertes: 
Inscriptions ici
Campus de Manhattan (225 East 43rd Street):
22 OCTOBRE (17H30 – 19H00); 18 NOVEMBRE (9H00 – 11H00); 2 DÉCEMBRE (17H30 – 19H00); 16 DÉCEMBRE (9H00 – 11H00)
Campus d’Ardsley (1 Cross Road):
19 NOVEMBRE (10H00 – MIDI);  9 DÉCEMBRE (10H00 – MIDI); 7 JANVIER (10H00 – MIDI)
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.