Chez Sketchfab, à New York, on a sorti le champagne. Mardi dernier, la start-up dirigée par Alban Denoyel a fêté une impressionnante levée de fonds de 7 millions de dollars (Series A), auprès de FirstMark Capital, ainsi que d’autres fonds qui avaient déjà investi dans la société (TechStars, Balderton, Partech, Borealis).
Sketchfab, une plateforme qui permet de voir et partager des fichiers 3D (“le YouTube de la 3D”, comme son fondateur aime la présenter) accumule les succès depuis son lancement.
La start-up a été co-fondée à Paris en mars 2012 par Alban Denoyel, un diplômé de l’Essec, et Cedric Pinson, programmateur informatique. Un an plus tard, Sketchfab gagnait un ticket pour Techstars, l’un des accélérateurs les plus sélectifs des Etats-Unis, et s’installait à New York. Fin 2013, la start-up effectuait une première levée de fonds de 2 millions de dollars.
La croissance de Sketchfab a été portée par l’intérêt croissant pour la 3D, que cela soit chez les créateurs ou les industriels. Les casques de réalité virtuelle et les imprimantes 3D sont autant d’outils qui popularisent de plus en plus ce type de formats.
“Sketchfab est maintenant utilisé dans tous les domaines, par des entreprises comme HTC, Blizzard, Microsoft, the British Museum, et par des milliers de créateurs de contenus en 3D”, écrit Alban Denoyel sur son post de blog. Il affirme que 300.000 fichiers 3D ont été partagés sur Sketchfab depuis le lancement de la plateforme.
Aujourd’hui, Sketchfab regroupe une équipe 16 personnes, réparties entre Paris et New York. Prochaine étape : construire un modèle de rentabilité solide. “Aujourd’hui, notre business model est freemium: inscription gratuite, et fonctionnalités premium payantes, par exemple le partage de fichiers privés, nous explique Alban Denoyel. Dans un second temps, nous prévoyons de monétiser les contenus, et enfin, l’audience.”
Sketchfab, la start-up des fichiers 3D, lève 7 millions de dollars
Fin de La Boulange: des employés choqués, des clients déçus
Le couperet est tombé mardi soir. Starbucks a annoncé son intention de fermer les 23 établissements que compte sa filiale La Boulange, d’ici fin septembre. Une annonce brutale, qui sonne le glas pour cette enseigne de boulangeries californiennes, créée par le Français Pascal Rigo et rachetée en 2012 par Starbucks.
Raison invoquée : La Boulange n’est plus compatible avec son projet de croissance sur le long terme. Ses croissants, sandwiches, salades, et tartes ne sont pas assez rentables pour la plus grande chaine de cafés du monde, qui compte 21 000 enseignes.
Les salariés des 23 La Boulange (situés principalement à San Francisco) devront tourner cette courte page. C’est le cas de Gérald, qui travaille depuis trois ans en tant que manager à La Boulange de Market Street, en plein centre de San Francisco.
Mardi soir, il a été convoqué à 6pm avec les employés d’un autre point de vente. « Je savais qu’on était réuni pour une annonce importante, mais je ne m’attendais pas à ça… Certains employés n’ont pas pu venir, j’ai donc dû leur annoncer la nouvelle le lendemain matin. La plupart ont été très choqués – comme moi – mais maintenant on doit aller de l’avant et penser à notre futur. Nous en avons beaucoup parlé entre nous, c’était émouvant car nous sommes tous très proches. Mais nous devons malgré tout continuer à travailler. » Les 15 salariés de ce point de vente, comme les autres, pourront être candidats à d’autres postes au sein de l’entreprise, a assuré Starbucks.
En attendant, Gérald doit regagner son poste car les clients affluent. Des clients qui, eux aussi, sont très surpris par cette décision. Irin et Laura, deux trentenaires, déjeunent sous le soleil en terrasse. Ce sont des habituées, Irin a d’ailleurs un autre La Boulange en bas de chez elle. « J’ai l’habitude d’y prendre mon café, j’y mange souvent une de mes salades préférées, au poulet. En fait, j’ai découvert La Boulange il y a un an lorsque j’ai emménagé à San Francisco. J’y ai mangé une première fois et ça m’a vraiment plu, la nourriture est de très bonne qualité. Je pense vraiment que ça va me manquer », dit-elle.
Un regret partagé par son amie Laura, qui déguste une pâtisserie. « Je suis une cliente régulière, j’apprécie vraiment ce concept car la nourriture est tout simplement délicieuse ! A vrai dire, j’ai du mal à comprendre la fermeture de tous ces magasins…C’est toujours plein ! »
Sur Twitter, depuis mercredi, les messages de solidarité affluent.
Starbucks Is Shuttering La Boulange Stores. So sad! La Boulange cafes were my fave. Bowls of coffee. Nuff said.
— Brittany Delany (@BrittanyDelany) 18 Juin 2015
Sad, especially since everything about La Boulange is superior to Starbucks.
— Jason Faber (@Jason_Faber) 18 Juin 2015
Je Suis La Boulange! Starbucks to close all La Boulange locations.
— The Health Care Blog (@THCBstaff) 17 Juin 2015
Irin, Laura et les autres pourront toutefois trouver un peu de réconfort : si Starbucks compte également fermer d’ici septembre les deux ateliers assurant l’approvisionnement des boutiques, l’entreprise conservera la marque dans ses cafés, qui continueront de vendre des croissants (un peu mous) La Boulange.
Cette fin reste néanmoins abrupte, alors que tout avait bien commencé. Il y a trois ans, le géant du café annonçait avec enthousiasme sur Twitter le rachat de La Boulange au fonds d’investissement Next World Group – l’entreprise avait été créée en 1996 par le chef pâtissier français Pascal Rigo. A l’époque du rachat, La Boulange compte 19 cafés-boulangeries. Montant de la transaction : 100 millions de dollars.
Grâce à ce rachat, la firme de Seattle entendait se diversifier, et apporter à ses clients le savoir-faire artisanal de la boulangerie française. En marge de cette opération, le fondateur de La Boulange, Pascal Rigo, avait rejoint Starbucks. Une nouvelle aventure débutait alors pour ce Bordelais qui a débuté comme apprenti dès sept ans dans la boulangerie de son village de Paillet, en Aquitaine. Mardi soir, Starbucks a mis un point final à cette histoire, et Pascal Rigo fera lui aussi ses valises, comme beaucoup d’autres.
Morgane Solignac
Succès pour le premier Dîner en Blanc de Houston
Il y avait des chapeaux, des plumes, des coiffes extravagantes. Pour sa première édition à Houston, le Dîner en Blanc n’a pas déçu.
Ce 14 juin, un millier de personnes se sont retrouvées à Discovery Green, en plein coeur de Downtown Houston, entre une pièce d’eau sise devant le Convention Center et les maisons d’époque regroupées sur le site du parc Sam Houston. Chaque groupe (de 2, 4 ou 6), arrivé en bus, a dressé sa table et ses chaises pliantes aux endroits indiqués, en trois longues files parallèles.
Sur place, on discute avec ses voisins, on retrouve des amis… Les serviettes tournent à bout de bras à la demande des organisateurs qui remercient les particiants de leur venue. “Houston joue le jeu et c’est formidable de voir l’engagement important de ces 1.000 personnes ce soir, c’est un succès” , se félicite Geia Carter, co-organisatrice.
Pour Eléonore Cluzel, qui fait partie des encadrants, “le public américain est très réceptif, on attend avec impatience l’édition l’an prochain” .
Maureen, jeune femme venue avec son cousin, sa fiancée et un ami, a participé au Dîner en Blanc à la Nouvelle Orléans le jour de la fête des mères. Elle y avait invité sa maman. “Je connaissais le concept, que j’ai beaucoup aimé, je ne voulais pas manquer celui-ci. Je ne suis pas déçue“.
Fulya, Allemande en contrat local, confie : “C’est une sortie différente, je suis fan du concept, on rencontre des personnes d’une façon nouvelle, plus fun.”
A la fin, chacun remballe ses affaires, plie sa table, rejoint son bus pour retourner au lieu de rendez-vous initial. D’autres prennent la direction de “l’after party” au Four Seasons.
“Je reviendrai, mais ce serait bien que ce soit plutôt à l’automne, quand il fait un peu moins lourd” , ajoute Linda, une autre convive, en souriant. Tous attendent la prochaine édition, l’an prochain, avec impatience.
Upper West Side, l'intello
L’Upper West est traversé par Broadway, artère commerçante et bourgeoise bordée par de beaux immeubles Art Nouveau (l’Ansonia, le Dorilton, l’Apthorp). Broadway devient plus étudiante, populaire et intellectuelle vers le nord, quand elle avoisine le campus de l’université Columbia dans le quartier de Morningside Heights.
[googlemaps http://www.google.com/maps/d/u/0/embed?mid=zPDz7OGVMoqc.ktcNzHTy81as&w=640&h=480]
Côté ouest, on aime les “pre-war buildings” qui ne dépassent pas les dix étages et les “brownstones” que bordent les arbres. Les authentiques « delis » proposent de la nourriture casher et on trouve de nombreux commerces de proximité, du cordonnier au coutelier qui se déplace tous les samedis matin devant le Zabar’s, supermarché connu pour son poisson fumé et son caviar.
Émeline, 30 ans, connaît bien le quartier et constate un vrai changement : « La population évolue. Il y a davantage de boutiques branchées et de restaurants à la mode qui s’adressent à un public jeune et aisé, même si le quartier garde un esprit décontracté. » La contrepartie : une nette augmentation des prix dans le cœur historique – 20 % plus chers que la moyenne à New York. Alors, pour continuer à profiter des charmes de l’UWS, les familles n’hésitent plus à migrer au nord dans le quartier de Morningside Heights où les loyers sont plus accessibles.
Portrait-robot de l’habitant. Il a la quarantaine, travaille en profession libérale, est aisé (salaire médian 74.000 $).
Si c’était un quartier parisien… Le XVIème arrondissement le long de Central Park, le XVIIe dans sa partie centrale et le XVIIIe à Morningside Heights.
Points positifs: Proximité de Central Park, deux lignes de métro dont certaines stations avec ascenseur, nombreux supermarchés, une des meilleures écoles publiques de New York (PS 199), une école et un collège public (et donc gratuits) avec un programme bilingue en français (PS 84 et MS 256), une vie culturelle riche et variée, en particulier grâce au Lincoln Center et au musée d’histoire naturelle.
Monet, Braque, Cézanne ont rendez-vous à Fort Worth
Claude Monet, Paul Gaugin, Paul Cézanne: des artistes français s’exportent à Fort Worth. Du 28 juin au 20 septembre, le Kimbell Art Museum expose des chefs-d’oeuvres qui couvriront plus de 400 ans d’histoire de l’art.
Italiens, français, néerlandais, les principaux mouvements artistiques de 1490 à 1932 seront représentés dans la grande exposition “Botticelli to Braque: Masterpieces from the National Galleries of Scotland”. Cinquante-cinq tableaux seront accrochés pour l’occasion. Certains n’ont jamais foulé le sol américain, comme “La Vierge adorant l’Enfant Jésus endormi” de Sandro Botticelli (1485).
D’autres tableaux de grands peintres feront partie de l’expostion : Titian, Paolo Veronese, Rembrandt van Rijn, John Singer Sargent… Et nos Français Claude Monet, Paul Cézanne, Paul Gaugin, André Derain ou encore Pierre Bonnard, Matisse et le célèbre espagnol amoureux de la France, Pablo Picasso.
Un petit-déjeuner sur les retraites des Français de l'étranger à New York
Faut-il côtiser à la Caisse des Français de l’étranger? Que faire si votre employeur décide de vous passer en contrat local? Devez-vous racheter vos périodes à l’étranger ? Pour quel rendement ?
Les Français de l’étranger aussi se posent des questions sur leur retraite et ils ont bien raison: loin de France, ils font parfois face à des situations complexes. A la demande de certains d’entre eux, Emmanuel Grimaud, fondateur de Maximis Retraites, une société qui conseille employeurs et employés pour optimiser les retraites, va y répondre autour d’un petit déjeuner le mardi 23 juin de 8am à 9.30am dans les locaux de Feldman, Golinski, Reedy + Senouf sur Wall Street.
Maximis Retraites proposera aussi des consultations individuelles à ceux qui le souhaitent. Le petit-déjeuner aura lieu en français uniquement.
Education: quand Hillary Clinton s'inspire de la France
L’école maternelle pour tous. Elle l’a dit lors du lancement officiel de sa campagne le 13 juin: Hillary Clinton veut mettre le paquet sur l’éducation de la petite enfance. Un point de vue qu’elle aurait hérité d’un déplacement… en France il y a 25 ans, si l’on en croit Emily Greenhouse, journaliste à Bloomberg.
Elle revient sur ce fameux déplacement, effectué avec une délégation de spécialistes de l’enfance, d’hommes politiques et d’entrepreneurs. Selon la journaliste, Hillary Clinton est revenue conquise: “Nous avons vu un système coordonné et compréhensif, soutenu par l’ensemble des politiques, qui comprend le suivi quotidien, l’éducation dès le plus jeune âge et la garderie, accessibles à tous les enfants” , a-t-elle écrit peu après dans une tribune pour le New York Times.
En France, “chaque enfant est une précieuse ressource nationale”
Et de poursuivre: “En France, il y a la croyance omniprésente que chaque enfant est une précieuse ressource nationale dont la société est responsable. Le système a alors pour but d’aider chaque enfant à se développer et s’épanouir.”
Une différence entre le système français et américain. Hillary Clinton avait alors remarqué : “Aux Etats-Unis, le coût et la disruption liée au désir d’avoir des enfants sont vus comme une responsabilité et un choix privé” , rapporte Emily Greenhouse. En d’autres termes, les parents américains sont responsables de leurs malheurs.
Clinton renoue avec “son passé profond”
Emily Greenhouse a bénéficié du système français quand elle a vécu, enfant, dans notre beau pays. “La France possède près de 30.000 nourrices diplômées par l’Etat qui s’occupent en tout de près de 57.000 enfants moins de 3 ans. Ces nourrices doivent passer des examens médicaux et des tests psychologiques. On vérifie également que leurs maisons soient bien aux normes de sécurité” , affirme-t-elle en citant un article écrit par son père, journaliste au New York Times.
Pour elle, le fait que Clinton ressorte ce thème de son chapeau, montre qu’elle renoue avec “son passé profond” , avant qu’elle ne soit sénatrice, Première dame ou Secrétaire d’Etat. “Il y a 25 ans, Clinton, défenseur des enfants, a été inspirée par un pays de l’autre côté de l’Atlantique, où l’Etat providence n’est pas un poids” , rappelant que Clinton a déclaré à l’époque que “nous devrions penser à valoriser nos enfants, à la française” . Le fera-t-elle si elle est élue?
"Le Tableau" et "Ernest et Célestine" à Dallas
Les enfants (petits et grands) vont être heureux. Du 23 juin au 2 juillet, la série GKids Summer au Angelika Film Center de Dallas propose trois films pour les enfants, dont deux français : “Le Tableau” et “Ernest et Célestine”.
Les deux films d’animations sont projetés en anglais. Poésie, sens caché, subtilités : derrière les couleurs et les personnages juvéniles se dessinent des histoires profondément touchantes.
“Le Tableau”, projeté le mardi 23 et le jeudi 25 juin, est un joli conte surréaliste. Un hommage à la peinture que le réalisateur Jean-François Laguionie accomplit avec finesse. Dans ce film, le Peintre est une figure bien mystérieuse : sur la toile qu’il peint, il laisse quelques personnages et paysages inachevés. D’autres ne sont même qu’à l’état d’ébauche. Les Toupins, Pafinis et Reufs vivent dans ce tableau abandonné. Les Toupins s’emparent du pouvoir, fiers de leur perfection. Ils chassent les Pafinis et asservissent les Reufs. Ramo, Lola et Plume sont persuadés que le Peintre pourra les aider à rétablir l’harmonie dans le royaume et comprendre pourquoi celui-ci les a abandonnés.
“Ernest et Célestine”, projeté le mardi 30 juin et le jeudi 2 juillet, a été nommé meilleur film d’animation aux Oscars 2014 et aux Satellite Awards 2014. Dans le monde des réalisateurs Benjamin Renner, Stéphane Aubier et Vincent Patar, les souris vivent sous terre et les ours à la surface. Deux mondes qui ne se côtoient pas… ou presque. Célestine ne veut pas être destinée, comme la plupart des souris, au métier de dentiste. Elle voudrait pouvoir vivre à la surface. De son côté, Ernest tente tant bien que mal de vivre de sa musique, enchaînant les concerts de rues entre deux courses-poursuites avec la police. Quand Célestine tombe dans une poubelle à la surface et que Ernest essaye de la manger, elle ne se laisse pas faire. Une belle histoire commence alors…
Club Cheval aux platines le 26 juin à Los Angeles
Pour patienter jusqu’à la sortie de leur album, Club Cheval, groupe électro d’origine lilloise, a déjà dévoilé l’un de leurs morceaux, From The Basement To The Roof.
Histoire de nous mettre un peu plus l’eau à la bouche, il entame une tournée américaine et sera le 26 juin au Sound Night Club de Los Angeles. Club Cheval passera aussi à Chicago, Seattle, Denver et DC.
Le groupe promet de vous faire danser lors d’une soirée électro avec une french touch, sur des morceaux où sont fusionnés différents genres, notamment le R&B et la house.
Et pour vous échauffer, voilà de quoi vous mettre dans l’ambiance :
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=JvyYVVEw6Iw&w=560&h=315]
Gad Elmaleh met le feu pour son dernier show en VF aux Etats-Unis
“Je n’ai jamais vu un public comme ça” . Pour son “dernier show en français aux Etats-Unis” , Gad Elmaleh n’a pas été déçu. Enchainant les blagues et les périodes d’improvisation, le comédien s’est retrouvé en face public chauffé à blanc, qui lui a lancé des “Bisou Gad” et “On t’aime Gad” en pagaille. Et a fait quelques interludes taquins en anglais pour les quelques anglophones dans la salle qui ne parlaient pas un mot de français. “Je crois que je n’ai jamais autant parlé au public de ma carrière!” s’est-il exclamé.
Gad Elmaleh a confirmé sur scène ce qu’il avait confié à French Morning en mai: il ne jouera plus en français aux Etats-Unis. En septembre, il sera pour dix soirs dans la petite salle de Joe’s Pub, à NoHo, pour présenter un show en anglais actuellement en cours d’écriture. Une manière de se “sentir vivant” . Outre New York, il prévoit de jouer ce spectacle anglophone à Boston aussi.
Mardi soir, le Beacon Theatre était comble pour applaudir le comédien. La salle compte 2.800 places.
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Le #beacontheatre se remplit en attendant Gadelmaleh . Bon show à nos lecteurs qui y sont aussi!
Posted by French Morning on Tuesday, June 16, 2015
Sur scène, Gad Elmaleh a fait rire sur les Américains, les différences franco-américaines, les chauffeurs de taxis, la morosité en France, les animaux, l’enfance et la religion. Ceux qui l’ont vu en 2013 à City Winery auront reconnu quelques séquences.
Il a terminé le spectacle en invitant à ses côtés une jeune Américaine prénomnée Victoria qu’il avait identifiée dans le public au début du spectacle comme ne parlant pas du tout français. Chanteuse d’opéra, elle a poussé la chansonnette avec lui.
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Gad Elmaleh Officiel termine son “dernier show en français aux US” par une impro avec Victoria, une Américaine qui était dans le public du The Beacon Theatre . Chapeau les artistes!
Posted by French Morning on Tuesday, June 16, 2015
Camps d’été et cours de langue à l’Alliance Française de Los Angeles
(Article partenaire) Conçus pour les jeunes de 6 à 18 ans, les programmes d’été de l’Alliance Française de Los Angeles sont le meilleur moyen d’améliorer son français dans un environnement totalement francophone.
L’Alliance Française de Los Angeles n’est pas seulement connue et appréciée pour son investissement dans la promotion de la culture française, c’est aussi une école de langue réputée. Chaque été, ses programmes d’été accueillent enfants et adolescents, encadrés par des enseignants de langue maternelle française.
Pour le Summer Camp, deux programmes différents sont proposés pour les camps d’été :
– Les Gamins (Ages 6-10)
Pour les enfants entre 6 et 10 ans, un programme hebdomadaire complet (9:30am-12:30pm) d’immersion en français est proposé du 15 juin au 21 août, par session de deux semaines.
Les sessions s’organisent autour de thèmes tels que « les sept merveilles du Monde », « la francophonie », « sciences et nature », « les explorateurs et les inventeurs », « les professions de rêve » et se déclinent en activités linguistiques, artistiques (projets manuels, cuisine, théâtre…) et ludiques (jeu de cartes et de société, jeu de rôles..). L’objectif des classes est de proposer aux enfants une entrée dans la langue par les activités manuelles et ludiques tout en abordant une partie du programme annuel proposé dans les classes enfants de l’Alliance Française de Los Angeles et basé sur le Cadre européen commun de référence pour les langues : apprendre, enseigner, évaluer (CECR). Quoi de mieux que d’apprendre en s’amusant ! Les cours sont dirigés par des professeurs qualifiés de l’Alliance Française et spécialistes des enfants.
– Les Ados (Ages 11-18)
Ce programme intensif (trois heures par jour du lundi au vendredi) permet aux élèves de 11 à 18 ans, repartis en groupes de niveaux, de considérablement améliorer leur français oral et écrit. Le tout sous la tutelle d’enseignants francophones expérimentés : idéal pour les débutants ou ceux qui souhaitent accélérer leur apprentissage. L’objectif est de permettre aux étudiants soit de « sauter » un niveau en high school, soit d’approfondir les bases en se focalisant sur le français parlé et la culture francophone. Le programme est élaboré en relation avec les compétences décrites par le CECR.
Inscriptions pour une session minimum (deux semaines). $50 de réduction pour toute session supplémentaire achetée. 10% de réduction pour les membres ($25 par an pour les moins de 18 ans).
Plus d’informations sur ce programme et inscription.
Les programmes enfants et ados continuent pendant l’été. Un bon moyen de faire ses premiers pas dans la culture francophone et découvrir le français en petits groupes (1 fois par semaine) :
La classe Transition (2-3 ans) et les classes « La Maternelle » (3-5 ans) permettent aux enfants de découvrir le français par des activités ludiques et artistiques variées. A partir de 3 ans, les enfants commencent à travailler sur le premier livre de classe.
Les classes « Les Mômes » (5-9 ans) et « Juniors » (9-13 ans) apportent aux enfants les premières bases grammaticales et structurales de la langue française grâce à une méthode complète et divertissante basée sur le CECR.
Les classes « French for bilingual » (6-12 ans) sont spécialement conçues en accord avec les programmes du ministère de l’Education Nationale et proposent aux enfants de familles bilingues de suivre le cursus scolaire français de l’école élémentaire.
Les classes « High-school » (13-18 ans) ont pour objectifs de préparer les étudiants à l’apprentissage du français et de renforcer ou d’approfondir les apprentissages de ceux qui ont déjà pris des cours dans les lycées américains. Le programme et la méthode utilisée se réfèrent au CECR et entrent parfaitement dans une préparation du DELF et de tout autre examen nécessaire pour l’accès aux universités françaises.
Inscriptions ouvertes pour la session d’été (6 juillet-29 août). Classes de 1h ou 1h30 par semaine. 10% de réduction pour les membres ($25 par an pour les moins de 18 ans).
Plus d’informations sur ce programme et inscription.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.