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Le 26 mai, les conjoints de H-1B pourront demander une autorisation de travail

Voilà de quoi donner de l’espoir à de nombreux conjoints d’expatriés. A partir du 26 mai 2015, certains conjoints de titulaires de H-1B (la principale catégorie de visa pour des travailleurs étrangers qualifiés) pourront demander une autorisation de travail sur le territoire américain.
C’est ce qu’a déclaré, mardi 24 février le Department of Homeland Security. Qui concrétise ainsi une mesure présentée par Barack Obama au mois de novembre, dans le cadre de toute une série d’actions exécutives concernant l’immigration. Actuellement, les époux ou épouses de H-1B sont dépourvus du droit de travailler sur le sol américain.
Toutefois, tous les conjoints ne sont pas concernés par cette réforme. Et il va falloir s’armer de patience. Pour être éligible, il est nécessaire que le ou la titulaire du visa H-1B cherche à obtenir un statut de résident permanent, c’est à dire une carte verte.
En bref : il faut que la personne ait déposé, avec son employeur, une demande du statut de résident permanent via le formulaire I-140. Ce formulaire nécessite, entre autres, qu’elle ait obtenu au préalable de son employeur une “certification de travail” prouvant que ses qualifications ne font pas concurrence à celles de potentiels travailleurs américains. La procédure peut prendre plusieurs mois.
“Etendre l’éligibilité à une autorisation de travail pour certains conjoints de H-1B sous visa H-4 est une des multiples initiatives en cours pour moderniser, améliorer et clarifier la politique des visas, afin de contribuer à la croissance de l’économie et à la création d’emplois”, indique le communiqué de du Department of Homeland Security, qui espère que ce changement “facilite l’intégration de ces familles dans la société américaine, et rende plus facile leur passage à un statut de résident permanent”. 
Permettre aux conjoints de travailler légalement aux Etats-Unis “fait parfaitement sens”, a déclaré León Rodríguez, le directeur des services de l’immigration du DHS. “Cela aide les entreprises des Etats-Unis à retenir leurs travailleurs les plus qualifiés, en augmentant les chances que ces travailleurs choisissent de rester dans ce pays pendant cette période de transition” entre le visa et la carte verte. “Cela permet aussi plus de stabilité économique et une meilleure qualité de vie aux familles concernées”, a-t-il dit.
Les conjoints éligibles devront remplir le formulaire I-765, (application for employment authorization) avec les documents demandés, ainsi qu’un chèque de 380 dollars.
Les services commenceront à accepter les premières demandes à partir du 26 mai 2015, et il ne sert à rien de faire une demande avant cette date, précise le DHS. Qui estime que 179 600 individus pourraient faire une demande cette première année, et autour de 55 000 par an pour les années suivantes.

"Une nuit radieuse" avec Le Corbusier à Los Angeles

Charles-Édouard Jeanneret-Gris, plus connu sous le pseudonyme de Le Corbusier est l’un des plus célèbres architectes modernes du monde, et vous avez sans doute entendu parler de sa “Cité Radieuse”, à Marseille.
Si vous voulez en savoir davantage sur la vie de ce Franco-Suisse, rendez-vous au théâtre Raymond Kabbaz du Lycée français de Los Angeles. On y jouera, lundi 23 mars, la pièce « Une nuit radieuse » de Jean Winiger, d’après des textes de Le Corbusier.
Interprétée par Jean Winiger, la pièce s’inspire de la vie de Le Corbusier, et tente de cerner le personnage au travers de ses innombrables textes.
Designer, peintre, écrivain, philosophe, Le Corbusier est l’un des pionniers de l’architecture moderne. Né en Suisse en 1887, il a construit son œuvre durant 50 ans, et puisa son inspiration au cours de voyages en Europe, en Amérique et en Inde.
La pièce raconte l’une de ces nuits en Inde, où, sur son dernier chantier, le bâtisseur livre sa vie à un jeune étudiant venu à lui. Pour ce jeune en quête de sens, cette rencontre aboutira à une vision radieuse de son avenir, tandis que le vieux poète percevra la lumière de la fin.
Interprétée par Jean Winiger, Isaac Huerta, et Philippe Thonner, la pièce est jouée en français et sous-titrée en anglais.

Oscars: à l'after-party française, on trinque malgré tout

La nuit aura été courte mais l’occasion de refaire la fête était bien trop tentante. Au lendemain de la cérémonie des Oscars, une centaine de “happy few” triés sur le volet, étaient invités lundi, à l’after-party du consulat français, organisée en l’honneur des nominés, dans les jardins ensoleillés de la Résidence de France.

L’un des héros du jour, en costume bleu marine et lunettes noires, vient d’arriver. Il tente discrètement de se frayer un passage au milieu des convives. Il s’agit d’Alexandre Desplat, le compositeur de la musique du film “The Grand Budapest Hotel”, récompensé dimanche soir pour la meilleure bande originale.
“Je suis très heureux : c’est la première fois que je reçois un Oscar. C’est une récompense tellement rare et exceptionnelle, si difficile à obtenir ! Une vraie reconnaissance de vos pairs !” explique à French Morning le musicien, déjà nommé sept fois aux Academy Awards. Compositeur fétiche d’Audiard, également très demandé par Hollywood, c’est à lui que l’on doit, entre autre, les musiques de “Godzilla”, “The Tree of Life” ou encore “De battre mon cœur s’est arrêté”. 
Mis à part Alexandre Desplat, la monteuse Mathilde Bonnefoy (récompensée pour le documentaire “Citizenfour” sur Edward Snowden) et le réalisateur américain d’origine française Damien Chazelle (dont le film “Whiplash” a remporté 3 Oscars), le cru 2015 des Academy Awards n’aura pas été très favorable aux français. La grande absente de l’après-midi, l’actrice Marion Cotillard est, elle aussi repartie bredouille, dimanche soir.
Ils étaient pourtant nombreux à être nominés cette année. Hu Wei, le réalisateur chinois de “La lampe au beurre de yak” (une co-production sino-française en compétition pour le meilleur court-métrage), fait patiemment la queue devant un buffet chargé de fromages français et de macarons colorés. “Je suis déçu” confie-t-il tristement, d’une voix timide.
Ce jeune trentenaire talentueux, pensionnaire de la Villa Médicis de Rome, ne compte pas pour autant se laisser abattre. “Je travaille déjà à un nouveau court-métrage, encore un film franco-chinois. Quelque chose d’assez expérimental, avec un seul personnage, que nous comptons tourner dans une forêt du Canada ou des Etats-Unis” explique-t-il, un brin mystérieux.
Derrière-lui, David Rosier, le producteur du documentaire franco-italo-brésilien, “Le sel de la terre” de Wim Wenders, discute, tout sourire, avec une actrice américaine. “Je jouais la jeune femme, Ika, dans La Guerre du Feu”, explique fièrement Rae Dawn Chong. “Pas possible ? C’était vous ? J’adore Jean-Jacques Annaud !”
On sent que pour certains, la nuit a été longue. “Allez, cette fête-là, je crois bien que c’est la dernière ! Après, j’entre en hibernation, jusqu’aux prochains Oscars”, s’esclaffe Jon Bloom, l’un des gouverneurs des Academy Awards, qui arbore fièrement son pin’s distinctif à la boutonnière.
Parmi les français, j’aurais bien aimé voir gagner La lampe au beurre de yak ou Le chant de la mer, un très beau dessin animé ” confie-t-il à voix basse, alors que le Consul de France à Los Angeles Axel Cruau, s’apprête à prendre la parole. 
Une grande année pour le cinéma français 
“L’année 2014 a été une grande année pour le cinéma français dans le monde ! 13 films ou co-productions ont été présentées pour l’Oscar du meilleur film étranger”, rappelle le Consul devant une foule de journalistes et de professionnels du cinéma, avant de saluer, un à un, les nominés, et de trinquer avec eux au champagne. 
Le réalisateur du film franco-mauritanien “Timbuktu”, Abderrahmane Sissako, qui a triomphé vendredi aux Césars, est invité à s’exprimer.
“Nous avons été honorés il y a quelques jours par sept Césars. Nous étions déjà si heureux en arrivant ici, que nous ne pouvons que le rester ! ” explique le cinéaste, dont le film évoque la résistance des habitants du nord du Mali face à la violence des djihadistes. 
“Il n’y a pas de chocs des civilisations”, ajoute Sissako en terminant sur une note plus politique. “Timbuktu le prouve. Le monde est magnifique. Croyons au monde et dressons-nous contre la peur.” 

Programmes bilingues à New York: le Québec veut s'impliquer

Cookies, pommes et café de Dunkin Donuts étaient de rigueur, lundi matin, à PS 84 dans l’Upper West Side. L’école publique, qui fut parmi les premières à lancer un programme bilingue français-anglais, accueillait la ministre québécoise chargée des relations internationales et de la francophonie Christine St-Pierre.
Accompagnée de l’ambassadeur de l’OIF auprès de l’ONU, Paul Robert Tiendrebéogo, et du délégué général du Québec à New York, Jean-Claude Lauzon, elle est venue montrer l’intérêt du Québec pour ces programmes d’immersion français-anglais, au nombre de 12 cette année à New York (sans compter ceux qui sont dans les cartons). Et voir comment la province peut s’impliquer.
Lire aussi: où sont les projets de programmes bilingues à New York?
Nous voulons faire valoir qu’en tant que société québécoise, nous avons des choses à dire. Nous avons de très bons auteurs, des artistes. On peut alimenter les programmes avec ce qu’on a. La maison-mère de la langue française, c’est la France. Mais le français se parle avec différentes perspectives, différentes cultures” , a confié la ministre.
Pendant près d’une heure, la directrice de l’école Robin Sundick, des parents et des enseignants du programme, ont vanté les mérites du programme, lancé par des parents d’élèves. “Nous avons des parents qui nous appellent du monde entier, de France, Belgique, des Caraïbes, de la Suisse…” , a souligné la directrice.
Mme St-Pierre indique que le Québec pourrait par exemple fournir aux programmes bilingues des émissions pour enfants produites par la chaine de télévision publique éducative et culturelle Télé-Québec, ainsi que des livres jeunesse. “Chez nous, nous avons réussi à sauvegarder le français, rappelle la ministre. On a de bonnes histoires à raconter sur l’immersion“. Le Département de l’Education new-yorkais veut lancer et renforcer 40 programmes bilingues (toutes langues confondues) en 2015.

La Miami International Art Fair fête sa 5ème édition

Miami met les avant-gardistes à l’honneur pour la 5ème édition de la Miami International Art Fair, du 26 février au 1er mars. La MIA présente chaque année une sélection de travaux innovants et originaux du XXIème siècle.
Avec la participation de galeries d’art et institutions culturelles du monde entier, la MIA célèbre les créations de 28 artistes internationaux précurseurs, explorant des idées et techniques particulièrement innovantes. L’exposition combine photographies de pointe, peintures, multimédia, sculptures et vidéos.
L’objectif : permettre au public et collecteurs de découvrir et encourager de nouveaux talents dans l’art visuel. Pour cette 5ème année, plusieurs grands évènements sont organisés, dont des conférences auxquelles le public peut assister pour se renseigner sur les artistes et travaux exposés. L’exposition à la particularité d’être “flottante”: elle a lieu sur le Seafair Yacht, à Bayfront Park, tout près du nouveau Perez Art Museum.
 

A New York, un show pour rire de l'expatriation

L’expatriation fait rire et vendre. Ce n’est pas Cathy Jacob qui dira le contraire. Les trois premières dates de son one-woman show sur les différences culturelles entre les Français et les Américains, “Pardon my French”, se sont retrouvées “sold out” en à peine trois jours (d’autres dates ont été ajoutées).
Mais pas question pour autant de trouver une salle plus grande. “Le Zénith ça ne m’intéresse pas” affirme-t-elle, avant de se reprendre : “quoique, si on me propose, après, je ne vais peut-être pas dire ‘non’…
Dans sa comédie, elle raconte les petites surprises que rencontrent les Français arrivant à New York: le dating bien entendu, mais aussi l’obsession pour le sport, les anniversaires extravagants et les “stroller moms”. Certes, un peu cliché, mais tellement vrai. “Dès que je suis arrivée à New York, j’ai eu un véritable choc culturel, alors j’ai commencé à prendre des notes” .
Cathy Jacob a fait ses armes en tant qu’animatrice sur M6, TF6 et France 2. Elle a aussi fait du théâtre et des voix-off, “toujours dans le milieu de la comédie” .
En arrivant à New York en 2010, elle a souhaité mettre sur pied un spectacle sur l’expatriation. Elle s’est entourée de Barbara Schulz (connue pour son interprétation de Marie-Antoinette dans “Les correspondances de Marie-Antoinette”), qui deviendra très vite sa metteuse en scène, et sa “moitié” – “enfin amicalement hein, autrement j’ai mon mari” . Avec deux Américaines (Kirsten Russell et Taylor Ferrera), elles décident de former un quatuor de têtes créatives. L’Américaine Kimille Howard vient épauler Barbara Schulz sur la mise en scène.
Le spectacle est en anglais car la comédienne habite désormais aux Etats-Unis, et parce que son spectacle est fait pour “toucher aussi les Américains” . “Je veux leur montrer que les différences entre nos cultures sont parfois plus profondes qu’elles n’en ont l’air” . Parmi ces différences, elle a été marquée par la démesure du pays de l’Oncle Sam, qui se cristallise dans les “birthday parties” où “tu sens que les mamans donnent tout” , ou la cérémonie du drapeau dans les écoles.
Elle veut d’ailleurs aller jouer son spectacle en France “l’année prochaine” pour montrer que les Français sont “pas si mal logés que ça” .

Haïti Optimiste au FIAF avec Paul Haggis

Haïti Optimiste avait fait carton plein l’an dernier avec quelques « guest stars » comme le groupe Arcade Fire et Donna Karan. Les organisateurs remettent le couvert cette année avec le scénariste Paul Haggis (Million Dollar Baby, Crash, Casino Royale…).
Haïti Optimiste 2015 aura lieu le jeudi 26 février au Florence Gould Hall du FIAF. Outre Paul Haggis, plusieurs artistes, comme le photographe Marc Baptiste et le chanteur Paul Beaubrun, ont répondu “présent” pour cette soirée qui célèbre la richesse de Haïti.
Haïti Optimiste vise à lever des fonds pour le Art Institute de Jacmel, en Haïti, un établissement composé d’une école de cinéma créée il y a dix ans (le Ciné Institute) et une école de son. Le rendez-vous à été lancé après le tremblement de terre de 2010, qui a touché Jacmel et cette école fondée par David Belle.
Un clip du groupe Arcade Fire, réalisé avec les élèves du Ciné Institute, sera montré pour la première fois pendant la soirée. Ils avaient partagé un Emmy “Creative Arts” avec le réalisateur du clip Vincent Morisett. Des courts-métrages réalisés par les élèves seront projetés, avant une session de questions-réponses animée par David Belle et une réception.

Patticure et lit king size: une vie de chien à San Francisco

A San Francisco, les chiens ont leur nourriture bio, leurs hôtels de luxe et leurs salons de beauté. La ville compterait 120 000 chiens, d’après les services municipaux. Ils sont trois plus nombreux que les enfants de moins de cinq ans.
Il faut dire que les enfants, à San Francisco, coûtent cher. En attendant d’avoir les économies pour fonder une famille, de nombreux couples comblent leur nid vide avec un animal de compagnie. Au point que ceux-ci se substituent parfois au désir d’enfants. “Je ne veux pas d’enfant, je ne ressens pas le besoin”, affirme Carlie Thibault, responsable du Wag Hotel (25 14th St), une pension pour chiens de luxe à San Francisco.
Comme la plupart de ses clients, Carlie considère ses deux chiens et son chat comme des membres de sa famille. “Mon compagnon et moi avons décidé d’adopter un chien très vite après notre rencontre, c’était un signe d’engagement l’un envers l’autre.” La jeune femme, considère ses animaux comme des “êtres humains”, qui exigent “des services de qualité”.
Ainsi, au Wag Hotel, les clients peuvent déposer leur chien à la journée ou pour un long séjour. Butch, un bouledogue français noir, réside dans l’une des suites de luxe depuis quelques jours. Ses journées sont rythmées par des sessions de jeu, des périodes de repos sur son lit king size, des films et chansons choisies par ses “parents” ainsi qu’un appel quotidien à ces derniers via Skype. Chaque soir avant de se coucher, Butch a droit à une histoire et à un gâteau à la lavande pour se détendre.
Avant de retrouver ses maitres, il passera par le salon de beauté où on lui brossera les dents, et où on lui administrera un soin du visage. Ses “parents” auraient aussi pu opter pour un tatouage ou une “patticure” !
“En ville, les chiens ont rarement un jardin et passent donc plus de temps dans le même espace que leurs maitres, parfois ils dorment avec eux. Il est donc important que celui-ci soit propre et joli à regarder. Par ailleurs, l’apparence d’un chien reflète les valeurs et la personnalité de son propriétaire. Si celui-ci aime être apprêté, son animal doit l’être aussi”, détaille Myra Marcelo responsable de Coiffure (3rd St at Mission Bay Blvd), un spa pour chien.
La demande est si grande que des services surprenants se développent. Shear Pets par exemple, est un salon de toilettage mobile : une camionnette transformée en salon de beauté pour chiens. Les soins se réalisent sur un fond en music jazz, classique ou rock. Les plus propriétaires de chiens les plus extravagants pourront même pailleter ou parfumer le pelage de leur animal.
A Happy sounds massage, les chiens peuvent bénéficier de massages médicaux ou relaxants. Shelah Barr, une masseuse professionnelle qui s’est spécialisée depuis huit ans dans ce domaine, explique : “les chiens n’expriment pas leur souffrance, il est important de la détecter et la traiter”.
Et pour satisfaire les papilles canines, Jeffrey’s natural pet food (284 Noe St) propose des tartares 100% biologiques de dinde, poulet, bœuf et légume. Pour le dessert, retour chez Wag Hotel pour un sundae pour chiens, à la glace au yaourt au beurre de cacahuète. Surmonté d’un biscuit en forme d’os, évidemment !

12 bars et restaurants avec feux de cheminée à New York

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Vous avez froid? Visitez donc l’un de ces bars-restaurants pour faire remonter la température. On sera u bar.
12. Blue Bird (Lefferts Garden)
On aime beaucoup ce bar spacieux, aux abords de Prospect Park à Brooklyn. Idéal après une promenade dans le parc. Le feu de cheminée se trouve dans la salle du fond, avec le bar et une cuisine ouverte. L’autre salle, spacieuse aussi, a une baby foot, un billard et plusieurs écrans de télévision. Côté menu, on vous conseille le burger et leur “apple strudel”, coiffé d’une bonne crême Chantilly. 504 Flatbush Ave. Site ici
11. Le Barricou (Williamsburg)
Ce restaurant lancé par le Français Jean-Pierre Marquet saura séduire les amateurs d’ambiance rustique. Cette tablée connue pour son brunch et son coq au vin à tomber comporte une cheminée dans sa salle du fond, mais celle-ci est réservée aux évenements privés. 533 Grand Street. Site ici
10. Black Forest Brooklyn (Fulton Street)
On a hésité à inclure Black Forest dans notre sélection car son feu de cheminée est électrique. Mais on a sauté le pas car ce kaffeehaus / biergarten allemand au cœur de Brooklyn vaut vraiment le détour. On aime la grande sélection de bières et ses plats (saucisses et soupes vous réchaufferont comme jamais). Il y a quelques places autour du faux feu de cheminée, dans l’entrée. Sinon, le bar est très bien. 733 Fulton St. Site ici
9. Shoolbred’s (East Village)
Ce bar écossais cosy est idéal pour un “date” (deux boissons pour le prix d’une avant 8pm durant l’happy hour) mais les places (fauteuils très confortables) près du feu de cheminée sont prises d’assaut. Elles sont situées dans une salle annexe, donc sont assez éloignées du bar. Le bar est constamment bondé. Admirez aussi les beaux Ecossais en kilt représentés dans le bar. 197 Second Ave. Site ici
8. Alewife Queens (Long Island City)
On ne vient pas uniquement dans ce bar pour le feu de cheminée, mais pour sa selection de bières, de cidres et aussi son burger. Il est equipé d’une table de billard. Il a figuré dans la liste 2012 de Time Out des meilleurs nouveaux bars à bière.  5-14 51st Ave., Long Island City. Site ici
7. Camp Brooklyn (Cobble Hill)
Dans ce bar (photo ci-dessus), avec ses meubles en bois, son mur de brique, sa tête de cerf empaillée au dessus du feu, vous vous sentirez à la campagne… mais en plein Brooklyn.  Les pintes ne sont pas très chères, et les fauteuils petits. Parfait pour sortir entre amis et si on aime les jeux de société. 179 Smith St. Site ici
6. Art Bar (West Village)
Ce bar est hyper-touristique qui a 20 ans mais vaut le détour. Il y a un juke box, des artistes locaux viennent exposer… L’endroit est différent à chaque visite. Les prix sont abordables. Mais on vous conseille de l’éviter pendant l’happy hour. 52 8th Avenue. Site ici
5. The Place (West Village)
The Place est surtout un restaurant, connu pour son brunch. Le lieu est élégant et l’ambiance, tamisée grâce au feu de cheminée justement, est romantique. Le nourriture est excellente et servie en grande quantité pour le prix (jusqu’à 24$). On vous conseille de réserver car The Place est petit. 310 West 4th St. Site ici
4. Brooklyn Ice House (Red Hook)
Ambiance plutôt hipster dans ce bar de Brooklyn. La bière y est pas chère et disponible en grande quantité (70 bières). Il y a également des jeux de société gratuits, et comme l’espace est plutôt grand, vous y trouverez facilement une place. 318 Van Brunt Street. Site ici
3. Molly’s Shebeen (Gramercy) 
Bar irlandais (voire taverne) qui se présente comme le plus traditionnel de New York, Molly’s Shebeen se veut authentique (avec traces de sciure sur le sol) et très cosy. Son burger est excellent, à environ 15$. Ouvert de 11am à 4am A éviter les vendredis et en semaine. 287 Third Avenue. Site ici
2. The Long Room (Midtown)
La particularité de cet endroit, c’est son très joli plafond en arcs.  The Long Room est un gastropub qui revisite les classiques irlandais. 120 West 44th St. Site ici
1. Black Mountain Winehouse (Carroll Gardens)
On se croirait dans un mini-chalet dans cet endroit tout petit, caché sur la paisible Union Street à Brooklyn. Le plus: des plats à 10$, des verres de vin et des bières abordables. On aime beaucoup l’ambiance rustique de cet endroit. N’y aller pas si vous avez faim: les plats servis sont petits, et conçus pour être partagés. 415 Union St. Site ici
 

Le Français Alexandre Desplat remporte son premier oscar

Alexandre Desplat a remporté, dimanche, son premier oscar. Le  compositeur français a été distingué dans la catégorie “meilleure musique de film” pour “The Grand Budapest Hotel” lors des 87eme Academy Awards au Dolby Theater à Los Angeles. Il était également nominé dans la même catégorie pour “The Imitation Game”.
Un succès qui s’est fait attendre pour Alexandre Desplat, qui a connu six nominations avant les deux de dimanche soir. Marion Cotillard, qui concourrait pour l’oscar de la “meilleure actrice” pour son rôle dans « Deux jours, une nuit » des frères Dardenne, est repartie bredouille. L’oscar dans cette catégorie est revenu à Julianne Moore pour son rôle dans “Still Alice”.
La France était présente dans la course aux Oscars à travers plusieurs co-productions, dont le franco-mauritanien “Timbuktu” d’Abderrahmane Sissako, nominé dans la catégorie « meilleur film étranger », « Song of the Sea » dans la catégorie « meilleur film d’animation » et le court-métrage franco-israélien « Aya » produit par Yaël Abecassis.

Le rodéo fait son show à Houston

Au Texas, où le rodéo est pratiquement un sport d’Etat, l’évènement est incontournable: Le Houston Livestock and Rodeo viendra animer Houston du 3 au 22 mars. Considéré comme la plus “grande exposition de bétail au monde”, le festival a rassemblé en 2014 des milliers de participants venus de 70 pays différents.
Le festival dure une vingtaine de jours et met en scène des compétitions de rodéo et de bétail. Des concerts et des carnavals sont au programme, le tout autour d’un immense barbecue. Des spectacles sont également mis en scènes avec les plus grands athlètes de rodéo, en costume de compétition.
Le Houston Livestock and Rodeo a été crée en 1922 à des fins caritatives pour soutenir l’industrie du bétail aux Etats-Unis. Ses bénéfices sont utilisés chaque année pour encourager l’élevage et le commerce des animaux de ferme.

Stand Up For Passion fête sa première année !

Stand Up For Passion s’apprête à fêter son premier anniversaire. Le principe: plusieurs intervenants viennent partager leur passion quelques minutes sur scène, dans un mélange de stand-up et de story-telling à l’américaine.
Le co-fondateur, Arnaud Collery, vous invite à souffler la première bougie de « SU4P ». La réception aura lieu le mardi 3 mars de 6 :30 pm à 8 :45pm, au Consulat de France à New-York, et mettra en scène 7 intervenants, chaque séquence étant suivi d’un « questions-réponses » de 10 minutes. A l’issue de la récéption, les convives se retrouveront autour d’un verre, pour « networker », échanger. Tarif: $20 en “early bird”.
Programme des interventions :
Ilan Abehassera – There is no success without support
Ilan est le co-fondateur et président de la société Insensi. Il a auparavant fondé Producteev, rachetée par Jive Software en november 2012. Il est également investisseur dans plusieurs startups, telles que Wit.ai, Sunrise, Checkr.io, OKPanda, Circa, ou encore Algolia.
Rasanath Das – Living the tension
Rasanath est un ancient consultant en management et banquier d’affaires devenu moine. Il racontera l’histoire de sa vie.
Patrycja Slawuta – How I hacked myself
Patrycja Slawuta est chercheuse et entrepreneuse. Née en Pologne, Patrycja est une spécialiste de la complexité et la non linéarité de la nature humaine. Ses recherches se concentrent sur les sentiments de honte et de culpabilité, les dynamiques de groupe et le pouvoir du langage.
Chiyoko Osborne – The greatest liar
Chiyoko a passé 10 ans dans l’industrie de la mode et du marketing, comme développeur de stratégies commerciales. En 2010, une pratique régulière du Yoga et de la méditation ont transformé ses perspectives et aspirations, générant en lui le désir de créer une compagnie alliant bénéfices du Yoga et monde professionnel.
Joshua Spodek – The point of no return
Joshua Spodek a co-fondé plusieurs compagnies, enseigne l’art du “leadership” pour le Columbia Business School’s Program on Social Intelligence et enseigne à NYU.
Michael Wolk – Listening to the secret you
Michael Wolk est producteur et directeur, connu pour ses films don’t “Innocent Blood” (1992), “You Think You Really Know Me: The Gary Wilson Story” (2005) et “Deep Six” (1999).
Donnalynn Civello – Sometimes, you have to lose everything to find real happiness
Donnalynn Civello est directrice exécutive chez Ethereal Wellness Counseling. Elle est “coach de vie intuitive et certifiée” et nutritionniste holisitique. Elle aide principalement ses clients à trouver un équilibre dans chacun des aspects de leur vie.