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Brèves new-yorkaises : Un été chaud, l’école sans téléphone, un food hall Midtown

🌡️ Vous envisagez de passer l’été à New York ? D’après les prévisions météo, après le mois de janvier le plus froid depuis 13 ans, l’été qui vient sera encore plus chaud et pluvieux que celui de l’année dernière. 
Ⓜ️ La MTA teste différents portiques antifraude dans 20 stations new-yorkaises pour contrer les pertes de 700 millions de dollars annuels que la fraude engendre. 
🌮 Chipotle distribue l’équivalent d'1 million de dollars de burritos gratuits pour Cinco de Mayo, ce lundi 5 mai. Pour en bénéficier, il fallait participer à Roblox, un jeu en ligne pour avoir une chance de décrocher l’un des 50 000 codes-burritos.
🐀 Vous vous souvenez peut-être que le maire Eric Adams avait reçu des amendes pour ne pas avoir lutté contre les rats de sa propre maison. C’est désormais de l’histoire ancienne. La dernière inspection n’en a trouvé aucun. 
🦃 La société de défense des animaux vous demande d’arrêter d’appeler le 911 toutes les fois que vous apercevez la dinde sauvage Astoria dans les rues de Manhattan (et aussi d’appeler French Morning pour dire que son vrai nom n’est pas Astoria mais Rosie). 
🦝 Un chantier abandonné pendant plusieurs mois a permis à des familles de rato...

LILA : Un titre historique pour les collégiennes en basketball

[Article partenaire] Les spots bleu et rouge balayent la scène de l’auditorium du Lycée International de Los Angeles (LILA) à Burbank ; on s’affaire. Les portes s’ouvrent, la cour fleurie du LILA se vide à mesure que les collégiens et lycéens affluent en ordre vers la salle. Tous les regards de l’enceinte sont fixés vers le rideau noir, l’attente commence. Derrière la scène, elles sont une dizaine à entrer par une porte dérobée, et à constater l’atmosphère festive qui se propage. « J’avais peur de monter et d’être sous les projecteurs, mais j’étais soulagé qu’on ait gagné le titre, c’était l’objectif depuis le début. » savoure Paisley, intérieure de l’équipe.

Elles viennent de remporter un titre historique, celui de championnes de la ligue de Basketball en middle school (collège). Elles s’apprêtent à monter sur l’estrade, une par une, sous l’invitation de leurs entraîneurs Stephan Pierre et Antoine Mendy, ancien joueur professionnel en France. Les spots bleu et rouge balayent toujours la scène, mais la lumière s’éteint, les cris prennent le dessus sur la musique, la saison prend fin, le trophée est prêt à être brandi. 

Des résultats extraordinaires

C’est sous les néons aveuglants de l’historique salle Keating Memorial de Burbank que l’histoire a commencé. « Au début de la saison, nous n’avions que les débutantes, les joueuses plus expérimentées étaient mobilisées par la saison de volley-ball. » craignait Antoine Mendy, entraîneur. 

Les séances à haute intensité font leurs effets et une culture se développe au sein de l’équipe, semaine après semaine. « Ce qu’on a essayé de leur inculquer, c’est un style de jeu européen. Cela implique que le ballon voyage beaucoup, les joueuses se déplacent constamment et la marque est répartie dans toute l’équipe » expose fièrement Antoine Mendy.

Quelques mois plus tard, en mars, les « couics » des semelles des chaussures des joueuses s’associent au buzzer strident du gymnase. La salle est pleine, c’est la finale. La tension est palpable parmi les filles du LILA, elles connaissent leur redoutable adversaire : Mesrobian, un établissement dont le programme de basketball est reconnu, faisant même parfois la « une » sur la chaîne de sport mythique : ESPN. 

Une grande fierté

« Nous étions à une victoire et une défaite face à elles en saison régulière. J’étais inquiète de leurs qualités défensives à tel point que je ne pensais pas qu’on serait capable de s’imposer et de remporter ce premier titre » analyse Paisley. « Il y avait beaucoup de coups de sifflets durant cette finale, des entraîneurs habités, une grosse ambiance et deux équipes déterminées. C’était bruyant, effervescent. » constate Joseph Dennis, directeur athlétique du Lycée International de Los Angeles. 

Un match accroché, avec des équipes accrocheuses et un stress aussi en tribune. Leslie Galerne était à quelques mètres du parquet : « Il y avait beaucoup d’excitation… Nous parents, on demandait aux filles pourquoi les joueuses ne se parlaient pas en français, au lieu de l’anglais, alors que les adversaires ne pouvaient pas les comprendre. C’était un peu notre façon à nous de s’impliquer dans la stratégie de l’équipe. Mais plus le match avançait, plus on voulait fêter le succès le plus vite possible. » Dans un vacarme, les joueuses du Lycée International de Los Angeles lèvent les bras au ciel, elles sont championnes. 

Le lendemain, une à une, les joueuses arrivent sur la scène de l’auditorium du LILA sous des flots d’applaudissements, et reçoivent leur médaille. Le trophée, lui, est dans les mains du chef d’établissement Mathieu Mondange, qui est prêt à monter sur scène. Un mois après, le souvenir reste intact : « C’était une fierté immense d’assister à un tel accomplissement de notre équipe féminine. Ressentir une telle ferveur des élèves était une sensation épanouissante. » 

Les photos s’enchaînent alors qu’il est déjà l’heure de revenir en classe pour poursuivre une journée d’école pas comme les autres, avec des souvenirs mémorables pour un établissement qui allie excellence académique et exploits sportifs. 

Pour en savoir plus sur le LILA, rendez-vous sur le site de l’établissement.

Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

The Collective by BWB, pop-up de marques de beauté à l’Alliance NY le 13 mai

Clémence von Mueffling, fondatrice de la plateforme de média et événements Beauty and Well-Being, est une des Françaises les plus connectées à l'écosystème beauté de New York, et aux nouvelles histoires émergentes qui se font une place aux États-Unis.
Elle revient dans la Skyroom de l'Alliance New York le mardi 13 mai prochain, pour The Collective by BWB, un pop-up d'une journée qui rassemble une dizaine de marques, la plupart françaises. « Cela fait près de 20 ans que j'habite aux États-Unis et que j'évolue dans l'univers de la beauté. Grâce à mon réseau, cet événement est un tremplin pour les marques qui souhaitent se faire connaître aux États-Unis », explique Clémence von Mueffling.
Parmi elles, de nouveaux arrivants sur le continent américain comme Odièle, marque fondée par la Française Marie-Josée Leduc et qui sort cinq produits visage (lotion tonique, sérum, nettoyant visage). Cette maquilleuse professionnelle basée à New York est connue des célébrités et, spécialiste de la diversité des types de peaux, a développé une gamme aux composants exceptionnels.
Des compléments alimentaires au chocolat et collagène
Mais aussi Ondine, une marque de vêtements SPF chics et élégant...

Tribeca Gallery Night : 70 galeries new-yorkaises proposent une nocturne le vendredi 9 mai

Le quartier de Tribeca est un véritable vivier de galeries d'art. Le vendredi 9 mai prochain, plus de 70 d'entre elles seront ouvertes de 6pm à 8pm pour accueillir les visiteurs et célébrer la créativité effervescente du quartier. Préparer son parcours est un must pour ne pas rater les excellentes expositions du moment. Petit conseil de la rédaction : l'application See Saw permet d'organiser sa visite en sélectionnant ses coups de cœur, selon que l'on apprécie l'art conceptuel, minimaliste, figuratif, conceptuel, le design ou les installations.

Trois galeries françaises font partie de l'événement. La galerie Almine Reich qui profite de l'occasion pour organiser le vernissage de sa nouvelle exposition de l'artiste allemand Heinz Mack, From ZERO until Today. Chez Bienvenu Steinberg & C, la galerie fondée par la Franco-espagnole Josée Bienvenu, c'est l'Uruguayenne Ana Tiscornia qui, avec Neighbors, est à l'honneur. Enfin le Français Renaud Vuaillat, promoteur sans relâche du design contemporain d'exception, expose dans sa galerie, Twenty First, des pièces uniques qui s'apparentent davantage à la sculpture qu'au mobilier. Actuellement, avec Touching Time, le Français Erwan Boullou...

Anne-Sophie Jouhanneau : Française et romancière publiée aux États-Unis, c’est possible  

Percer en tant qu'auteur n'est pas la panacée, et il s'agit d'autant plus d'une performance quand on ne publie pas dans sa langue maternelle. C’est le cas d’Anne-Sophie Jouhanneau, autrice qui vient de publier son troisième roman aux États-Unis, The French Honeymoon, chez la maison d’édition Sourcebook.
Si elle écrit depuis de nombreuses années, Anne-Sophie Jouhanneau a longtemps pensé, de son propre aveu, qu’elle ne pourrait jamais publier dans son pays d’adoption, les États-Unis. Après avoir écrit pas moins de 17 guides et des romans pour les éditions Fleurus et avoir passé quelques années en Australie, elle pose ses valises à New York avec son mari en 2010. « Je voulais publier en anglais et avoir une carrière à New York, mais j’ai beaucoup douté de moi et j'ai mis du temps à m’en sentir capable », évoque-t-elle. En attendant, elle se lance dans une carrière réussie de copywriter en freelance, et décroche de belles missions chez WeWork ou Snapchat. Mais son rêve reste ancré en elle, et elle finit par se jeter à l’eau.
Deux romans vendus à Penguin Random House
Elle écrit un premier roman jeunesse en 2018 et décroche un agent, qui l’aide à pitcher son manuscrit à un...

« Sargent and Paris » : la fougue talentueuse d’un jeune peintre américain

Avec l’exposition Sargent and Paris, le Metropolitan Museum de New York explore, jusqu’au dimanche 3 août, les années de formation du peintre américain John Singer Sargent. Lorsqu’il s’installe à Paris, il n’a que dix-huit ans. On pourrait s’attendre à des œuvres dont la personnalité reste à forger et dont les formats sont modestes. Or, c’est tout l’inverse : il propose des portraits gigantesques d’une audace picturale « scandaleuse ». Les dix années qu’il passe dans la ville, alors considérée comme le centre du monde de l'art, ont finalement produit ses œuvres les plus libres, parmi lesquelles, « Madame X », le portrait mythique de Virginie Gautreau, joyau de la collection du Met et objet du scandale au Salon de 1884.

La collaboration transatlantique : une « merveilleuse coïncidence »
Cette exposition est le fruit d’une collaboration imprévue entre le musée d’Orsay et le Met. Le projet initial de Stephanie L. Herdrich, la conservatrice en charge de la peinture américaine au Met, était de concevoir une exposition de petit format autour du sulfureux portrait de Madame X. Pourtant, les échanges fortuits avec Paul Perrin, conservateur en chef du Musée d’Orsay, ont mené les deux inst...

100 jours de Trump : « Il y a un désir de chaos »

Difficile de croire que cela ne fait que cent jours que Donald Trump est de retour au pouvoir. Depuis son investiture, le 20 janvier 2025, le républicain impose un rythme soutenu en multipliant les décrets pour réformer l’État fédéral et « rendre à l’Amérique sa grandeur » (« Make America Great Again »). Tous les jours, ses opposants crient à l’autocratie et à la démocratie en danger. Ses soutiens, eux, applaudissent ses actions pour renverser le système : la guerre commerciale, les expulsions de sans-papiers, les coupes drastiques aux dépenses fédérales sous la tronçonneuse d’Elon Musk.
Quels indices nous donnent ces cent premiers jours sur la manière dont il exercera son second mandat ? C’est l’une des questions qu’Alexis Buisson, correspondant de La Croix à New York et journaliste à French Morning, a posées à François Furstenberg, historien franco-américain à l’université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland). Il est l’auteur de deux livres : In the Name of the Father (Éd. Penguin Books, 2006), sur le père fondateur George Washington, et When the United States Spoke French (Éd. Penguin Press, 2014), sur la naissance des États-Unis vue à travers cinq ...

Pour leur 10ᵉ édition, les FABA récompenseront aussi des entrepreneurs de Los Angeles

Le jeudi 29 mai, la 10ᵉ édition des French American Business Awards (FABA) se déroulera au Mark Hopkins Hotel de San Francisco. Plus de deux cents cinquante convives (billets) assisteront à la remise de prix organisée par la French American Chamber of Commerce de Californie SF-LA qui récompense les entreprises et les personnes dont le parcours et la performance ont été exemplaires en 2024. « Nos critères de sélection ont été revus et remis à jour sur le site des FABA. L'impartialité est vraiment très importante dans le processus, et pour preuve, plus de trois-quarts des nommés ne sont pas membres de la Chambre », souligne Anne-Emmanuelle de Boysson, Directrice exécutive de la Chambre.
Avec l'extension du champ d'action de la chambre de commerce à la région de Los Angeles depuis novembre dernier, les FABA sont l'occasion de mettre en avant le dynamisme de la Californie du Sud : « Nous avons ajouté deux catégories qui soulignent les domaines d'excellence de la région de Los Angeles dans l'aéronautique et l'aérospatiale, ainsi que dans l'industrie du divertissement. Pour cette dernière, les trois nommés sont d'ailleurs de Los Angeles ».
La FACC California SF-LA envisage par ailleurs d...

Le Français Derek Barbolla va envoûter LA avec ses concerts immersifs monumentaux Cercle Odyssey

Après dix concerts donnés à Mexico, l’événement Cercle Odyssey débarque à Los Angeles du mercredi 7 au dimanche 11 mai. Pendant cinq jours, DJ et groupes d’électro et d’électro-pop les plus fameux – de Moby à Paul Kalkbrenner, Black Coffee, Empire of the Sun jusqu’au duo The Blaze - enflammeront le LA Convention Center dans une ambiance jamais vue.
« Cercle Odyssey est un nouveau genre de concerts, explique Derek Barbolla, le Français à l’origine du concept. Bienvenue dans une nouvelle ère où le public s’immerge dans une œuvre monumentale truffée d’écrans géants jusqu’au plafond, réuni autour d’une scène centrale où se produisent les artistes. Une expérience de synchronisation parfaite entre la musique, le son, la lumière et les arts numériques, pour créer de l’émotion. »
Des odeurs diffusées pendant les concerts
Et pour pousser l’expérience encore plus loin, Cercle Odyssey a même créé des odeurs à humer pendant chaque concert. « Avec la collaboration du nez Ugo Charron, nous avons réussi à composer 4 odeurs que le public pourra expérimenter au fil des concerts. Des odeurs de forêt humide, d’océan iodé, de nuit étoilée, de coucher de soleil... ».
Derek Barbolla, le fondat...

Julien Dassin en tournée au Canada et aux États-Unis : « L’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai ! »

Entre une interview à la télévision grecque et un concert le soir même à Athènes, Julien Dassin est pris dans le tourbillon d'une tournée marathon, qui l'amènera à se produire au Canada et au États-Unis du 7 au 20 mai. Au programme, les chansons de son illustre père, Joe Dassin, qu'il interprète devant un public varié, des fans de toujours et des nouveaux curieux. « Une majorité des gens qui viennent au spectacle ont connu mon père de son vivant, mais il y a aussi des adolescents. Il n'y pas vraiment de public-type. Les chansons de Joe Dassin sont vraiment transgénérationnelles et intemporelles ! », se réjouit Julien Dassin. « Je ne m'attendais pas à un tel succès, ce serait prétentieux, et je suis quand même un peu surpris de voir qu'autant de personnes continuent à apprécier les chansons de Joe Dassin. »
Chanteur comme son père
Julien Dassin avait à peine cinq mois quand son père est décédé, terrassé par une crise cardiaque à Tahiti. Aujourd'hui âgé de 45 ans, il semble tout à fait à l'aise avec cet héritage qu'il continue à faire vivre au gré des concerts. « C'est un peu comme la recette de la tarte à la pomme qu'on transmet de génération en génération : je ne veux surtout pas d...

Guillaume Garreau (San Jose, Californie) : Mon combat pour retrouver mon fils enlevé par sa mère

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Guillaume Garreau est franco-américain installé aux États-Unis depuis une dizaine d'années. Ce chercheur en intelligence artificielle dans la Silicon Valley est aussi un père. Un père à qui l’on a enlevé son enfant. Dans cet épisode de French Expat, il raconte son histoire : celle d’un combat qui dure depuis plus d’un an pour tenter de retrouver son fils Maximilien, aujourd’hui âgé de 3 ans et demi, emmené au Kazakhstan par sa mère… qui n’est jamais revenue.

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Youssef et Pauline (Maroc) : Une histoire d’amour et de racines

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Quand Pauline quitte Paris, elle fuit une vie qui ne lui ressemble plus. Quelques années plus tard, elle élève sa fille dans un village du petit Atlas, guide des randonnées dans les montagnes marocaines et enseigne le yoga, aux côtés de Youssef, son mari. Cette semaine, French Expat vous raconte l’histoire d’une échappée devenue un ancrage. Un virage à 180°, un coup de foudre inattendu, et la naissance d’une vie réinventée, entre océan et sommets.

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