Au Texas, la galette des rois n’a pas encore autant de succès que dans d’autres villes américaines, mais on commence à la trouver de plus en plus. Si le “king cake” de la Nouvelle Orléans (cousin de la brioche provençale aux fruits confits) continue de dominer dans les pâtisseries texanes, la frangipane fait son apparition.
Houston
Dans la première ville du Texas, la pâtisserie Paris je t’aime semble la seule à avoir des galettes prêtes à emporter.
11660 Westheimer Rd, Ste 107A, Houston. Tél. : (281) 531-1222.
Mais on peut aussi commander sa galette des rois à Phoenicia Foods. Elle coûte 25$.
12141 Westheimer Road, Houston. Tél. : (281) 558-8225 Ou 1001 Austin Street, Houston. Tél. : (832) 360-2222.
Dallas/Fort Worth
Dans l’agglomération de Dallas/Fort Worth, les galettes des rois de taille familiale coûtent autour de vingt dollars.
On en trouve à la Main Street Bakery à 21$.
Quatre adresses à Grapevine, Plano, Richardson et Coppell. Coordonnées à retrouver en ligne, sur le site de la Main Street Bakery.
Et on peut les commander un à deux jours à l’avance au moins à Rush Pâtisserie. Pour six personnes, il en coûte environ 20$.
1201 El Dorado, Dallas. Tél. : (214) 749-4040.
Austin
A l’Artisan Bistro, il en coûte 32$ pour une galette de huit à dix personnes. Pour ce tarif, l’établissement inclut une vraie fève en porcelaine.
900 R.R. 620 S. Suite C107, Austin. Tél. : (512) 263-8728.
A Baguette et Chocolat, la galette pour huit personnes est à 27$.
12101 FM 2244, Bee Cave. Tél. : (512) 263-8388.
Six adresses où trouver la galette des rois au Texas
Sept films français au Miami Jewish Film Festival
Le Miami Jewish Film Festival fête ses 18 ans du 15 au 29 janvier dans plusieurs salles. Dans le cadre de cette édition 2015, au beau milieu d’un des documentaires, films d’animation et autres fictions, sept films français sont programmés (dates et lieux en encadré).
20 films français en ligne pour My French Film Festival
My French Film Festival est un festival où vous, spectateur averti ou simple amateur, êtes invité à voter pour vos films préférés après visionnage. Et ce, depuis votre canapé, puisque ce festival en ligne.
Ce concept innovant fête en 2015 sa cinquième édition. Celle-ci durera un mois, du 16 janvier au 16 février. Les films seront accessibles depuis tous les Etats-Unis. En compétition, dix longs métrages, et dix films courts français. Deux films belges seront aussi au programme, ainsi que deux films canadiens francophones, hors-compétition, mais à ne pas manquer pour autant !
Parmi les films longs, “Respire“. Mélanie Laurent, qu’on connaît souvent plus en tant qu’actrice, est pour ce film passée derrière la caméra. Elle s’est inspirée du roman éponyme d’Anne-Sophie Brasme. “Respire” est le récit tragique d’une amitié qui vire à l’obsession, entre deux jeunes adolescentes, Charlie et Sarah.
“Vandal” parle aussi d’adolescence, celle de Chérif, 15 ans, plus précisément. Solitaire et rebelle, ce jeune garçon n’est pas du genre à se conformer à l’avenir tout tracé que voudraient pour lui ses parents. A la recherche d’une autre vie, Chérif va s’intéresser à ces graffeurs qui repeignent les murs de la ville la nuit tombée.
Découvrez également “Une place sur la terre“, de Fabienne Godet, Benoît Poelvoorde y joue Antoine, un photographe un peu perdu, dont le seul ami est Matéo, un petit garçon qui vit dans son immeuble. La monotonie du quotidien d’Antoine va se trouver brisée par l’arrivée d’une jolie voisine, Elena, qui l’intringue. Entre fascination et obsession, le photographe va tenter d’en savoir plus sur cette pianiste hors pair…
Les autres longs-métrages seront : “Eastern Boys” de Robin Campillo, “How I came to Hate Math” d’Olivier Peyon, “The Strange Color of Your Body’s Tears” d’Hélène Cattet et Bruno Forzani, “Les Gazelles“, de Mona Achache, “Hippocrates” de Thomas Lilti, “Miss and the Doctors” d’Axelle Ropert, et “Tristesse Club” de Vincent Mariette.
Côté courts-métrages, vous pourrez voir “Aïssa” de Clément Tréhin-Lalanne, “Dip N’Dance” de Hugo Cierzniak, “Extrasystole” d’Alice Douard, “Guy Moquet” de Demis Herenger, “A town called panic : The Christmas Log” de Stéphane Aubier et Vincent Patar, “La Virée à Paname” de Carine May et Hakim Zouhani, “Le Retour” de Yohann Kouam, “Les Insouciants” de Louise de Prémonville, “Molii” de Hakim Zouhani, Yassine Qnia, Carine May et Mourad Boudaoud, et enfin, “Shadow” de Lorenzo Recio.
Les dessins de Tomi Ungerer au Drawing Center
Si Les Trois Brigands ou Jean de la Lune ont marqué votre enfance, sachez que le Drawing Center new-yorkais accueillera dès le 16 janvier une rétrospective unique sur leur auteur, Tomi Ungerer.
Ecrivain et dessinateur, Tomi Ungerer est né avec des doigts de fée. En 1957, après de longs voyages à travers le monde, il se lança tout naturellement dans l’art graphique. Il commence à New York, avec une simple planche à dessins, qui le mènera jusque dans les pages du prestigieux New York Times. Il alterne ensuite entre illustrations de livres pour enfants, sculptures et affiches de campagne contre la ségrégation et la guerre du Vietnam.
Critique sur la société qui l’entoure, Tomi Ungerer s’est fait connaître pour son humour et ses satyres perçantes. Ces nombreuses qualités lui vaudront en 1998 un prix Hans Christian Andersen, une distinction majeure en matière d’illustration.
L’exposition, la première entièrement consacrée à la carrière de Tomi Ungerer, sera visible jusqu’au 22 mars à New York. Seront exposés ses dessins d’enfants, mais aussi ses plus grandes satyres politiques, et ses illustrations pour le jeune public. Une partie de l’exposition sera aussi consacrée aux dessins érotiques de l’artiste.
Une soirée avec Agnès b. au MoMA
Au MoMA, vous pourrez découvrir la créatrice de mode Agnès b. sous un tout autre visage, avec la projection de son film “Je m’appelle Hmmm…” (“My name is hmmm…”), dès le 28 janvier.
Derrière le pseudonyme Agnès b. se cache Agnès Troublé. Née à Versailles, elle développe très tôt une passion pour la mode. Après être passée sur les bancs de l’Ecole du Louvre, elle devient rédactrice de mode chez Elle. En 1975, elle décide de lancer sa propre marque. En plus d’être une créatrice de mode textile renommée, elle se lance dans les cosmétiques.
Très vite, son autre passion, pour l’art, la rattrape. Elle collectionne les oeuvres, ouvre sa propre galerie, et participe à la restauration de vieux films. Il aura fallu attendre 2013 pour voir naître son tout premier long métrage, intitulé “Je m’appelle Hmmm…”. Avec ce film, Agnès Troublé nous plonge au coeur d’une enfance pleine de traumatismes. Bien loin de l’innocence du jeune âge, elle dresse le portrait de Céline, une jeune fille de 11 ans, victime d’abus sexuels de la part de son père. Lors d’un voyage de classe au bord de la mer, Céline va tenter de fuir cette vie qui la détruit à petit feu.
Le film sera projeté en français, et sous-titré en anglais. La réalisatrice, Agnès Troublé, sera présente à la première projection le 28 janvier, à 19h30.
Programme des projections :
Le 28 janvier à 19h30 (en présence d’Agnès Troublé)
Le 29 janvier à 19h
Le 30 janvier à 16h
Le 31 janvier à 16h
Le 1er février à 14h
Le 2 février à 16h
Le 3 février à 20h
12 librairies à visiter à tout prix à New York
Pour se remettre de la bûche, de la galette, des beaux-parents, un peu de douceur dans ce monde de brutes. French Morning vous recommande douze librairies pour refaire votre bibliothèque en 2015.
12. Idlewild Books
Avec ses deux librairies, à Cobble Hill (Brooklyn) et Manhattan, Idlewild Books est spécialisée dans le voyage. A travers des guides, bien sûr, mais aussi, et surtout, des livres en langue étrangère. L’espagnol, l’italien et… le français sont ses spécialités. Si vous enfant est bilingue, il se fera donc une joie d’y retrouver des contes dans la langue de Molière. S’il a encore un peu de mal à lire le français, sachez aussi que l’enseigne propose des cours. Manhattan : 12 W 19th street, ouvert du lundi au jeudi de midi à 19h30, et du vendredi au dimanche de midi à 18h; Brooklyn : 249 Warren street, ouvert le mercredi de 15h à 18h et le samedi de midi à 16h. (212) 414 8888, site ici

10. BookCourt
Chez BookCourt, on vend tout aussi bien des thrillers que des livres de cuisine. Si vous cherchez le dernier roman à la mode, vous pouvez être quasiment sûr que la librairie l’aura en stock, perdu parmi ses deux étages et ses interminables rayons. Il y a un rayon dédié aux enfants ! Et en ligne, BookCourt propose aussi des e-books. 163 Court Street, Brooklyn, (718) 875 3677, site ici
9. Word
Jersey City et Greenpoint à Brooklyn sont les deux fiefs de Word, une petite librairie aux airs de grande. Chez Word, on trouve les grands classiques, mais les dernières nouveautés. La librairie de Jersey City possède même un petit coin café où les plus studieux (ou les mordus de littérature) pourront y étudier et bouquiner sans être embêté, et ce, jusqu’à 21h30, même le dimanche. Brooklyn : 126 Franklin street, (718) 383 0096, ouvert tous les jours de 10 à 21h; Jersey City : 123 Newark ave, (201) 763 6611, ouvert tous les jours de 9h à 22h (café ouvert jusque 21h30)
7. Strand Bookstore
Le temple new-yorkais de la littérature vaut le détour, même si vous n’y achetez rien. Perdez vous dans les rayons de cette grande librairie située près d’Union Square, créée en 1927. Les livres s’empilent de partout dans cet établissement aux allures de caverne d’Ali Baba. Jeunesse, fiction, nouveautés, livres rares, littérature étrangère: il y a un livre pour chaque visiteur. 828 Broadway, 212-473-1452. Site ici
6. Housing Works Bookstore Cafe
Si vous faites partie de ceux qui pensent que “livres d’occasion” riment avec “vieilles reliques en ruines”, French Morning vous conseille de faire un tour à Housing Works Bookstore Cafe. Une librairie-café qui saura vous ôter tous vos a priori. Sur deux étages, ses rayons “vintage” sont remplis de livres d’occasion. Les prix commencent à 50 cents, et dépassent rarement les 15$. Sauf pour les quelques livres de collection, bien au chaud derrière des vitrines.
Tout est rangé par thème, mais il faut savoir fouiller pour trouver la perle rare : si vous avez deux heures (ou plus) à tuer le dimanche (ou tous les autres jours de la semaine), cette librairie chaleureuse est donc faite pour vous. Vous pourrez aussi profiter d’un bon café en bouquinant, ou aller écouter l’une des nombreuses conférences qui ont lieu dans la boutique. Seule petite ombre au tableau : on a du mal à trouver un libraire disponible pour nous conseiller. Mais pour leur défense, ils sont tous bénévoles, souvent amateurs, et très sympathiques. Tout votre argent sera reversé à Housing Works, une association qui vient en aide aux malades du Sida. 126 Crosby Street, (212) 334 3324 – ouvert du lundi au vendredi de 9 à 21h, et le weekend de 10 à 17h – Site ici
5. Books of Wonder
Située dans le West Village, cette librairie spécialisée dans les livres pour enfants et adolescents regorge de trésors… Des trésors qui peuvent d’ailleurs s’avérer très chers : les prix peuvent grimper jusque 8.500$ pour un tome d’Harry Potter dédicassé par JK Rowling, ou un pack de quatre Winnie l’Ourson (les premières éditions). Pour ceux qui n’ont pas autant d’argent à mettre dans un livre qui finira taché de Nutella, sachez que certains ouvrages contemporains sont bien plus abordables, tournant aux alentours de 10, 15$, parfois même moins. Le choix est varié : princesses, pirates et camions, tout ce qui peut faire rêver un enfant se trouve chez Books Of Wonder. Et en plus, les libraires sont prêts à écouter votre enfant parler de Babar pendant des heures (comprenez ils sont patients et sauront vous aider en toute situation). 18 West 18th Street, (800) 207 6968 – ouvert du lundi au samedi de 10 à 19h, et le dimanche de 11 à 18h – Site ici
4. Spoonbill & Sugartown Book
Dans cette jolie librairie de Williamsburg, entre les hipsters à barbe, vous trouverez de jolies perles littéraires. Si vous aimez les magazines “arty”, ou les livres mêlant art et chatons, elle est faite pour vous. Vous y trouverez des livres neufs, mais aussi des livres d’occasion, romans comme essais. Spoobill & Sugartown sont spécialisés dans les livres sur l’art contemporain, le design, l’architecture, mais il y a aussi des livres sur l’économie, la société, l’histoire, et plein d’autres choses encore. Petit bonus : un rayon enfant dans le fond, et un joli porte carte postales près de la caisse, pour faire plaisir à mamie à Noël. Et pour les fans de la série Girls, sachez que certaines scènes y ont été tournées… 218 Bedford Avenue, Brooklyn, (718) 387 7322 – ouvert tous les jours de 10h à 22h. Site ici
3. Saint Mark’s Comics
Vue de l’extérieur, la petite librairie ne paie franchement pas de mine. Mais une fois la porte franchie, elle est un véritable paradis pour les amoureux des bandes-dessinées. L’offre est variée, mais il y a majoritairement de grands classiques (neufs ou “vintage”), comme Superman, Popeye ou encore Archie. Vous y trouverez aussi une belle offre de mangas, et les figurines de leurs héros. Au fond du magasin, dans l’East Village, il y a aussi une sélection de jouets liés à l’univers de la bande-dessinée. Ils sont un peu chers, tout comme les grandes bandes dessinées (comptez 20$ pour une neuve). Pour les tout petits budgets, il existe aussi tout un rayon de petits formats à environ 4$, et quelques mangas plus accessibles.
Pour les novices, il sera peut-être un peu difficile de s’y retrouver, mais les propriétaires, qui connaissent le magasin comme leur poche, vous aident à trouver la perle rare en quelques minutes. De toute manière, vous pouvez prendre votre temps : la librairie ne ferme qu’à 1h du matin quatre jours sur sept… La librairie possède également une enseigne à Brooklyn.
Manhattan : 11 St. Marks Place, (212) 598 9439 – ouvert lundi et mardi de 10 à 23h, mercredi de 9 à 1h du matin, du jeudi au samedi de 10h à 1h du matin, dimanche de 11h à 23h; Brooklyn : 148 Montague St., (718) 935-0911 – ouvert lundi et mardi de 10 à 19h, mercredi de 9 à 21h, du jeudi au samedi de 10 à 21h, et dimanche de 11 à 19h. Site ici
2. Le Bluestockings
Bluestockings est une librairie relativement petite, mais elle n’en est finalement que plus chaleureuse. Elle est spécialisée dans les livres engagés, et fera le bonheur des militants… Racisme, théorie des genres, environnement, médias, art, la plupart des ouvrages sont des essais, voire des études, plus que de la fiction. Mais les rayons du fond sont eux consacrés aux romans, toujours sur fond de problématiques sociales ou économiques.
En plus des livres neufs à vendre, vous trouverez dans un coin à l’entrée une petite étagère de livres usés, qu’il vous est possible d’emprunter et lire sur place. Vous pourrez vous enfoncer dans l’un des sièges à disposition, et commander un bon café, le tout, pour seulement 1$. 172 Allen Street – (212) 777 6028 – ouvert tous les jours de 11h à 23h – site ici
1. The Drama Book Shop
Pour les passionnés de théâtre ou de cinéma, le Drama Book Shop et sa déco un brin vintage est l’endroit rêvé pour passer un dimanche pluvieux. Biographies, pièces de théâtre, rétrospectives, scénarios de films et autres petits trésors squattent les étagères. Les scénaristes en herbe pourront aussi trouver tout un tas de livres de conseils pour écrire leur propre script. Notre coup de cœur allant aux sticks à lèvres aux effigies de William Shakespeare et de ses personnages Hamlet et Macbeth : un must pour s’hydrater avant d’entrer sur scène. 250 W 40th street – (212) 944 0595 – site ici – ouvert du lundi au samedi de 11h à 19h.
A Santa Monica, du bon fromage français à petits prix
Si le (vrai) fromage vous manque, rendez-vous dès le 16 janvier au centre commercial Santa Monica Place pour une journée dégustation-vente de fromages du Vieux Continent.
Vous y attendront bien sagement chèvre, comté et mimolette, pour une dégustation gratuite et ouverte à tous. Organisé dans le cadre de “The Cheeses of Europe”, une initiative du Centre National Interprofessionnel de l’Economie Laitière (CNIEL) qui vise à faire connaitre le fromage européen aux Etats-Unis, l’événement sera aussi l’occasion d’exposer quelques photos… sur le thème du fromage, bien sûr.
C’est la première fois que le CNIEL organise une telle manifestation à Los Angeles. Le groupe a ouvert une boutique éphémère à New York.
27 résolutions pour devenir un bon Américain en 2015
La nouvelle année, l’occasion de prendre des résolutions que vous ne tiendrez pas. Voici notre liste. C’est décidé, en 2015…
27. J’arrête de me plaindre
26. Même si j’ai décidé en 2015 de m’endetter comme jamais
25. Je commence à utiliser l’adjectif “socialist” pour insulter les gens
24. Je milite pour le droit d’avoir des sodas XXL
23. Je fais un gros effort pour dire “I’m interested” au lieu de “I’m interesting”
22. Et utiliser le mot “meeting” au lieu de “rendez-vous” pour éviter les malentendus
21. J’arrête de parler français en présence d’Américains
20. J’apprends l’hymne américain par cœur
19. Je laisse un tip au resto
18. Je ne m’énerve plus quand le serveur vient me demander comment ça va toutes les cinq minutes
17. Je ne gruge plus dans le métro
16. J’écris des cartes de vœux pour 2016
15. Je ne finis plus aucun e-mail par “cordially”
Lire notre article: “Comment terminer un e-mail aux US (sans utiliser « Cordially »)”
14. Je considère que mon enfant est le meilleur de tous
13. Je deviens nul en géographie
12. Je m’intéresse au Superbowl
11. Et au base-ball
10. Tous les jours, je mange du peanut butter
9. Je fais un gros effort pour ne pas prendre de vacances
8. Je donne de l’argent à une charité
7. J’essaye enfin de comprendre le dating
6. Je parle aussi fort que je peux au bar
5. Je renonce aux petites voitures
4. Je fais semblant d’aimer la dinde a Thanksgiving
3. Je fais un gros effort pour éviter de parler politique à table ce jour-là
2. J’encourage mes proches
1. Je suis optimiste en toute circonstance
Le FIAF fait le tour de France du vin
Le French Institute Alliance française va sortir de bonnes bouteilles. Le FIAF reprend fin janvier son Tour de France du vin, à travers trois ateliers de dégustation animés par des professionnels.
Les hostilités débuteront le mardi 27 janvier avec un atelier sur le vin de Bordeaux et le sens du mystérieux mot “terroir”. Au menu: du Saint-Estèphe, du Sauternes et bien entendu du Saint-Emilion.
Le reste du programme:
– 12 février: “Truffles and bubbles”
– 12 mars: “Vintage – What a Difference!”
Bonne année 2015, et merci pour 2014!
Toute l’équipe de French Morning vous souhaite une belle et heureuse année 2015. Et vous dit merci pour une très belle année 2014.
Nous voulons profiter de ces voeux pour vous dire deux mots sur nous… Grâce à vous, French Morning a beaucoup grandi. Vous êtes toujours plus nombreux à nous lire: près de 100% de croissance du nombre de lecteurs sur le site en 2014 par rapport à 2013, soit 150.000 “visiteurs uniques”. Il y a aussi eu de nouvelles activités (salon de l’éducation bilingue, guide de l’éducation, guide Vivre New York avec Le Point…).
Dans le même temps, le nombre d’annonceurs et de partenaires qui nous font confiance, et permettent à French Morning d’exister, a lui aussi explosé. Notre chiffre d’affaire est également en croissance de 100% sur un an, comme il l’avait été l’an dernier et les deux précédentes! En 2014, notre petite entreprise est 10 fois plus grande qu’il y a quatre ans. Elle est aussi profitable, comme elle l’a d’ailleurs toujours été.
Pourquoi est-ce qu’on vous raconte tout ça? Parce que l’ambition de French Morning est avant tout d’être le magazine de la communauté franco-américaine, de faire vivre cette famille. D’où cette envie de vous parler un peu de nous.
Petit à petit, French Morning s’est installé dans le paysage franco-américain, devenant de loin le premier média de la communauté. Notre voeu pour 2015: vous donner à lire des articles qui correspondent encore plus à vos souhaits, qui parlent de votre vie quotidienne, de vos réussites, de vos envies et de vos besoins, de vos rêves américains. N’hésitez pas à nous dire ce dont vous avez envie, par e-mail par exemple, ce que vous aimez comme ce que vous aimez moins.
En 2014, pour accompagner notre croissance, notre équipe s’est étoffée. En tout, une vingtaine de journalistes, permanents ou “pigistes” contribuent désormais à French Morning.
Cette équipe va continuer de grandir en 2015, à la rédaction comme à la publicité. Dès la semaine prochaine, nous accueillons d’ailleurs une nouvelle venue, Estelle Garnier, qui prend en charge le développement commercial de la Californie pour nous aider à grandir sur la côte Ouest, un de nos objectifs pour cette nouvelle année. Partout aux Etats-Unis nous avons de nouveaux projets pour continuer de vous informer. A très vite donc!
L’équipe de French Morning
Frédéric Lefebvre votera la loi Macron contre l'avis de Sarkozy
Frédéric Lefebvre votera la loi Macron, rejoignant une poignée de députés UMP ayant affiché leur soutien au projet de loi contre l’avis du président de leur parti Nicolas Sarkozy.
Le député des Français d’Amérique du Nord l’a annoncé, mardi, dans une tribune publiée dans l’Opinion et reproduite sur son site. «Le projet va dans le bon sens. Quand un texte proposé par la gauche me semble bon pour le pays, je le vote» , s’est-il justifié.
La loi Macron, du nom du ministre de l’Economie et des Finances, prévoit d’ “ouvrir” certains secteurs et certaines professions, comme les professions règlementées, et d’alléger les contraintes qui pèsent sur le travail dominical notamment.
Quelques députés UMP ont accueilli favorablement ce texte, qui doit être adopté par le Parlement au printemps 2015, selon Bercy. L’ex candidat à la présidence de l’UMP Hervé Mariton a d’ores-et-déjà indiqué qu’il voterait pour. D’autres, comme l’élu du Loiret Olivier Carré, et le député de l’Aisne Xavier Bertrand ont signalé qu’ils étaient prêts à en faire de même en fonction des modifications qui seront apportées au projet de loi lors du travail parlementaire qui commencera en janvier.
Ils vont contre la ligne officielle du parti. Lors d’une réunion du groupe UMP à l’Assemblée en décembre, Nicolas Sarkozy a appelé les élus à ne pas se “laisser piéger par ce catalogue de bonnes intentions” .
Un conseil que M. Lefebvre, qui fut secrétaire d’Etat sous Nicolas Sarkozy, a choisi de ne pas suivre. «Nous serons nombreux, j’espère, malgré les pressions, à aller au bout de cette logique de la sincérité» ,écrit-il.
En avril, M. Lefebvre avait été le seul député UMP à voter pour le plan d’économies de Manuel Valls.
"300.000 dollars" de vins volés au French Laundry
(Avec mise à jour du montant des bouteilles volées) “Le jour de Noël, The French Laundry a été victime d’un vol.” Lundi soir, sur Twitter et sur Facebook, le chef Thomas Keller a décidé de rendre l’affaire publique.
La cave de son célèbre restaurant français trois étoiles de la Napa Valley (Thomas Keller possède aussi, à New York, le Per Se, et les Bouchon Bistro à Los Angeles et Las Vegas) a été pillée le 25 décembre par des inconnus.
Les voleurs ont embarqué les références les plus cotées, d’après CBS, qui s’est procuré la liste des vins volés auprès du sheriff de la Napa Valley. Au total, 76 bouteilles manquent à l’appel.
Ont ainsi disparu une trentaine de Domaine de la Romanée-Conti (un des plus prestigieux domaines français, en Bourgogne) de 1993 à 2010, proposés aux clients pour 1.700 à 7.950 dollars la bouteille. Figurent aussi dans la liste quelques Nuits-Saint-George premier cru et des Screaming Eagle (des vins californiens, vendus entre 3.500 et 6.500 dollars la bouteille). Selon le LA Times, cela représente une perte de 300.000 dollars pour le restaurant. Le vol a eu lieu alors que l’espace était fermé depuis la veille, pour rénovation.
Appel au public
“Nous avons une confiance totale dans les autorités qui mènent l’enquête, et nous sommes ouverts à toute information que la communauté pourrait nous fournir, écrit le restaurant. Nous sommes sûrs que si l’une de ces bouteilles volées apparaissait en public, elles attirerait immédiatement l’attention (…) Nous avons hâte de reconstituer notre cave, et souhaitons élucider cette triste affaire le plus vite possible.”
Le restaurant demande au public à contacter [email protected] en cas d’informations sur les bouteilles.