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"Shrek" débarque à Coral Gables

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Qui n’a jamais entendu parler de ce gros bonhomme vert aux oreilles en trompette ? Si vous venez de répondre “moi”, une séance de rattrapage vous attend le 1er janvier, au Coral Gables Art Cinema.

A 11h, sera projeté le tout premier “Shrek”. Cet ogre au physique peu ragoûtant est un brin râleur. Il mène une petite vie paisible, dans un marécage perdu au beau milieu d’une forêt. Mais un jour, un seigneur local, Lord Farquaad, décide d’expulser sans ménagement de drôles de personnages de son royaume. Ces réfugiés, tout droit sortis de contes de fée, décident d’élire domicile dans les jardins de Shrek… Au grand dam de ce dernier. Lord Farquaad promet alors à l’ogre vert qu’il remédiera à ce problème si et seulement si il libère sa promise, la Princesse Fiona, détenue prisonnière par un horrible dragon. Avec son copain l’Ane, Shrek va partir à l’aventure, à ses risques et périls.

Grâce à un graphisme des plus modernes et un humour infaillible, “Shrek” gagna en 2002 l’Oscar du meilleur film d’animation.

Silvana, le café-concert qui fait bouger Harlem

Café le matin, restaurant le midi et petite salle de concert le soir, Silvana est l’endroit parfait à n’importe quel moment de la journée. Sa coquette devanture bleue au coin de la 116th Street et Frederick Douglass Boulevard se fait une place dans le quartier ou règne en maître la Harlem Tavern.
Ce qui frappe, la première fois qu’on passe la porte de Silvana ,c’est le calme qui y règne. Deux grandes tables trônent au centre de la pièce, entourées de bibelots en tout genre. Le café, qui fait aussi boutique, est l’endroit rêvé pour venir se réchauffer l’hiver.
Les murs, peints du même bleu pastel que la devanture, sont ornés de coussins, bijoux, cartes postales, et sacs, joliment agencés sur des étagères. L’ambiance, cosy et décontractée, rassemble les amis, venus prendre un verre tout comme les solitaires qui travaillent sur leur ordinateur. La clientèle est éclectique, à l’image du lieu.
Lorsque la nuit tombe, c’est au sous-sol que la soirée se prolonge. À côté de l’entrée du café se trouve une petite porte, donnant sur un escalier étroit et raide qui mène à la petite salle de concert. Tous les soirs, des groupes s’y produisent, tous styles de musiques confondues. On peut commander à boire et à manger -la carte est la même qu’à l’étage. Si le lieu nous a conquis, la nourriture en revanche beaucoup moins. Falafels et autres mezzes rendent pourtant la carte alléchante mais côté saveurs, on reste sur sa faim.
L’entrée au sous-sol est gratuite et la musique, très variée, comblera tous les mélomanes. Bien sûr, il y a des bonnes et des mauvaises surprises, mais il est agréable de passer du rock au jazz dans la même soirée !

Pourquoi cette boule qui tombe à Times Square pour le Nouvel An?

Que vous passiez votre 31 bien au chaud à regarder la boule de Times Square tomber à la télévision ou congelé, sans toilettes, au beau milieu du “carrefour du monde”, cette question bête est pour vous.
La réponse n’a rien à voir avec New York ou le Nouvel An. Ce dispositif de la boule tombante a vu le jour en Angleterre, dans l’esprit d’un capitaine de la Navy du nom de Robert Wauchope. Nous sommes au début du XIXème siècle. Les marins, comme Wauchope, utilisaient depuis quelques années de gros chronomètres portables pour déterminer l’heure exacte alors qu’ils étaient en mer. Problème: ces outils allaient souvent à leur propre rythme, donnant des heures inexactes aux marins, qui en avaient pourtant besoin pour se repérer.
Il fallait donc permettre aux équipages de mettre à jour leurs chronomètres. En 1818, Wauchope a une idée: utiliser une boule, hissée sur une barre verticale, qui tomberait sec sur les coups de 13 heures pour mettre les pendules à l’heure. La barre serait érigée dans les ports et visible des bateaux au large par longue vue. La boule serait hissée à 12h55 pour donner le temps aux marins de se préparer.
La première boule tombe en 1829, glissant en une demi-seconde sur une barre placée sur le toit de l’Observatoire royal de Flamsteed House, à Greenwich. Le succès de l’expérience est tel que le système se propage rapidement dans les ports du monde entier, qui utilisent l’essor du télégraphe pour se coordonner. La première  “time ball” arrive aux Etats-Unis en 1845, au sommet de l’Observatoire naval des Etats-Unis à Washington.
Comment diable s’est-elle retrouvée au beau milieu de Times Square? Grâce à Adolph Ochs, le légendaire propriétaire du New York Times. En 1907, trois ans après avoir lancé les soirées du Nouvel An sur la célèbre place (rebaptisée en 1904 pour le journal, qui y avait installé son siège), le pauvre Ochs se voit interdire par la ville de New York de tirer des feux d’artifice sur les coups de minuit. Il décide alors de faire venir une “time ball”, hissée sur un mât à la force des bras par six hommes avec une corde (jusqu’en 1995, tout de même). Le Times quitte la place en 1913, mais la tradition perdure… avec beaucoup moins de marins.
 

Fin d'année: à qui donner un "tip" aux Etats-Unis et combien?

C’est le moment que les Français radins redoutent et que votre concierge adore : le « tip » de fin d’année.  French Morning a croisé les sources pour vous expliquer ce casse-tête et éviter que votre “super” vous fasse malicieusement poireauter quand vos toilettes sont bouchées.
A qui donner de l’argent:
 au pair et baby sitter: une experte es-étiquette interviewée par CNBC conseille de donner l’équivalent d’une semaine de prestation à votre au pair et d’une soirée de baby sitting à votre baby sitter. Bien entendu, si bout d’chou lui offre un cadeau, cela sera toujours bien vu.
– votre concierge, “super”, portier et autres employés de votre bâtiment: de quelques dizaines à plusieurs centaines de dollars chacun en fonction des services proposés. Vérifier si un “pot” commun avec les autres résidents est prévu.
– personnel de ménage: l’équivalent d’une semaine de paie si l’employé est permanent, le montant de la prestation en cas d’intervention plus ponctuelle.
– votre coiffeur ou autres professionnels du bichonnage: le montant de la prestation
– le “dog walker” ou “cat sitter”: le montant de la prestation
– votre coach fitness: le montant de la prestation
– voiturier: en fonction du type de voiture dont vous disposez
– le livreur du journal: 20 dollars, soit un peu plus d’un dollar par mois
– les professionnels qui interviennent sur une résidence privée (exterminateurs, entretien de la piscine, tonte du gazon…): 20 dollars si ce sont les mêmes personnes qui viennent (sinon pas de tip). Pour les domestiques présent tout au long de l’année, donner une semaine de salaire.
– Le responsable de votre lieu de culte: Maralee McKee prend sur son site de conseils en étiquette l’exemple d’un pasteur et explique qu’il est possible de lui laisser un peu d’argent avec une carte anonyme.
Si vous ne pouvez pas offrir de tip car votre budget est serré cette année, le site Forbes recommande de dégainer une belle carte de remerciement et de donner le tip plus tard.
A qui ne pas donner de l’argent (mais un beau cadeau)
– les enseignants. Certains Etats interdisent les cadeaux aux enseignants. Le site Quartz conseille de vous renseigner auprès de l’établissement ou de l’association des parents d’élèves.
– votre assistant: si vous l’aimez vraiment, augmentez-le (la) et donnez-lui un cadeau en plus
– les facteurs
– les médecins et autres professions médicales (dentistes, vétérinaires…)
– l’aide-soignant à domicile: vérifier avec leur employeur
– les éboueurs: vérifier les règles de votre ville
– les journalistes de French Morning

L'art de la traduction analysé à Brooklyn

Vous pensez que traduire un texte est facile? On vous conseille vivement de vous rendre à la librairie WORD de Greenpoint (Brooklyn) le 6 janvier pour vous rendre compte du contraire.
Elle accueille une discussion organisée par l’école de langue Fluent City. Deux traducteurs viendront parler de leur travail: Julia Livi, l’auteure et traductrice française de Voltaire and Tonton Joe, un ouvrage bilingue pour enfants, et Alex Zucker, traducteur de The Devil’s Workshop de Jachym Topol et lauréat d’un prix de traduction PEN.
Gratuit.

Kenizé Mourad: "J'écris avec ma tête et mes entrailles"

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Il aura fallu quatre ans à Kenizé Mourad pour venir à bout de son dernier livre, Dans la ville d’or et d’argent. Ce dernier sort en anglais sous le titre de “In the City of Gold and Silver”.
Fille de princesse et ancienne journaliste, notamment pour Le Nouvel Observateur, Kenizé Mourad s’est prise de passion pour le Moyen-Orient. Après des années comme correspondante de guerre, elle décide de raconter l’Orient dans des livres. Son premier, De la part de la princesse morte, paraît en 1987. Deux autres ouvrages suivront, l’un romanesque, l’autre journalistique, avant la naissance de Dans la ville d’or et d’argent, en 2010.
Dans ce dernier, elle retrace l’histoire de la charismatique Hazrat Mahal. Nous sommes en 1856, et l’Inde est presque entièrement sous domination britannique, y compris la région d’Awadh. Alors que le leader local est contraint à l’exil, Hazrat Mahal, l’une de ses femmes, va prendre la tête de la rébellion contre l’oppresseur.
Ce livre, Kenizé Mourad l’a voulu avant tout “historique“. “Je n’écris pas pour raconter l’histoire d’une belle reine“, dit-elle. Mis à part une belle histoire d’amour entre deux des protagonistes, tous les faits sont issus d’un long travail de recherche. De Londres à New Delhi en passant par Oxford, Cambridge puis Lucknow, en Inde, l’auteure a parcouru les bibliothèques, puis a interrogé les familles aristocratiques du nord de l’Inde, à la recherche d’un “point de vue différent de celui de l’Occident“.
Dans la ville d’or et d’argent se veut aussi d’une étonnante contemporanéité. A travers cette histoire d’un autre siècle, Kenizé Mourad dresse une réflexion sur la religion et le communautarisme. A Lucknow, “il y avait et il y a toujours cette coexistence entre la communauté hindoue et la communauté musulmane, ce qui donne une culture extraordinaire, explique-t-elle, il y a une véritable ouverture d’esprit“.
Pour l’auteure, “ce n’est pas une fatalité que deux communautés s’affrontent“. Ce serait selon elle surtout le résultat d’un processus d’instrumentalisation: pour déclencher une guerre, “il faut diviser pour régner“.
Le combat contre les clichés de Kenizé Mourad se poursuit aussi au fil du livre à travers le statut de femme musulmane de Hazrat Mahal. “Elle était tout à fait respectée par les hommes“, confie l’auteure. Cette dernière s’insurge contre ceux qui déforment le Coran, affirmant que dans ce texte religieux, “il n’est pas dit que les femmes doivent rester chez elles, se couvrir le visage, et même les cheveux“. Elle regrette que l’Islam, qui fut un temps “un instrument de libération pour les femmes“, se soit mué pour certains “en un instrument d’oppression“.
La protagoniste, “une femme d’une force extraordinaire“, était donc l’exemple parfait pour montrer que “les femmes musulmanes ne sont pas soumises“. L’idéal pour une auteure qui n’écrit “pas seulement avec ma tête, mais avec ma tête et mes entrailles“.
 

Conférence sur les pionniers juifs de Miami Beach

Miami Beach fête ses 100 ans. Le dimanche 4 janvier, le Jewish Museum of Florida – FIU se penche sur les pionniers juifs de la ville au travers d’une conférence.
La discussion, organisée dans le cadre des évènements du centenaire de la ville de Miami Beach et du 12eme “Florida Jewish History Month”, rassemblera l’historien de Miami Seth Bramson et Abe Lavender, professeur de sociologie à FIU. Ils se plongeront dans l’histoire des grandes familles juives de la ville. Cet évènement est le premier volet d’une série de trois conférences sur le Miami Beach juif.
Gratuit et ouvert à tous.

Franck Dubosc et Lambert Wilson mettent le feu dans "Barbecue"

Nostalgiques des barbecues d’été, vous pourrez toujours vous consoler avec le film “Barbecue”.
Celui-ci fait sa grande sortie digitale aux Etats-Unis le 26 décembre. Il sera disponible sur les plateformes de téléchargement telles que iTunes, Google Play, ou encore Vudu. Et pour les moins geek d’entre vous, le film français sort également au Quad, cinéma new-yorkais.
Réalisé par Eric Lavaine, le film rassemble un casting qui promet de belles étincelles : Lambert Wilson, Franck Dubosc, Florence Foresti, Jérôme Commandeur, Guillaume de Tonquédec et bien d’autres encore. Il raconte l’histoire d’Antoine (joué par Lambert Wilson), un épicurien, qui fait un infarctus le jour de son anniversaire. Il va alors devoir changer ses habitudes, et « faire attention ». Voilà une nouvelle qui risque de bousculer aussi les habitudes de ses proches…
 
 
 

French Tech à New York: 11 start-ups dont on parlera en 2015

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Les start-up gauloises n’ont jamais été aussi nombreuses à New York. Le Consulat de France recense 200 Français ayant lancé, au cours des dernières années, un business dans le domaine du numérique. Toutes ne réussissent pas, loin de là. Quelles sont celles qui sortent du lot ? Voici les start-ups dont vous allez entendre parler en 2015.
11. Curioos
La start-up de Mathieu Vaolatto, qui vend des œuvres d’art en ligne, a effectué une levée de fonds de 1,9 million de dollars cet automne. Elle ne propose que des séries limitées et numérotées d’oeuvres numériques. Cette société, basée entre Paris et New York, réalise la moitié de ses ventes sur son site, et l’autre via des distributeurs (sur des plateformes comme Gilt ou Fancy).
10. Cord
Cord est une application lancée sur l’Apple Store en septembre dernier, qui permet de laisser des messages vocaux à son correspondant, avec une jolie interface colorée. Le Français Thomas Gayno a quitté son poste chez Google et s’est associé à un collègue pour développer cette idée. Il s’est installé à Brooklyn, et a réalisé une levée de fonds de 1,8 million de dollars, notamment auprès du fonds d’investissement de Google.
9. Doobop
Benjamin Bernet, un ex-salarié de L’Oréal, a réuni 1,5 million de dollars en 2013 pour lancer Doobop, un e-shop de produits de beauté pour “peaux foncées”. Le site a démarré en trombe grâce à Oprah Winfrey, qui en a parlé à différentes reprises. Le fondateur, qui emploie quatre personnes à New York, boucle actuellement sa prochaine levée de fonds.
8. Date My School
Lancée il y a trois ans par Jean Meyer, un ingénieur toulousain qui terminait son MBA à Columbia, Date My School est une application de dating réservée aux étudiants et anciens élèves des universités. Installée à Brooklyn, la start-up a levé trois millions de dollars depuis sa création, emploie dix personnes, et revendique un million d’utilisateurs.
7. Sketchfab
Décrite comme le “YouTube de la 3D”, la plateforme d’Alban Denoyel permet d’exposer des fichiers 3D (objets, dessins…), de les intégrer sur un site web, ou les télécharger pour des impressions 3D. Sketchfab a débuté en France et 2012, et continue sa croissance à New York depuis 2013. La start-up, lauréate de l’incubateur TechStars, a levé 2,5 millions de dollars, emploie 10 personnes à Paris, et 5 a New York. Récemment, elle a signé un partenariat avec le British Museum, qui a sorti une collection exclusive sur Sketchfab, en libre téléchargement et imprimable en 3D.
6. Placemeter
Au cœur des big data, cette start-up créée il y a deux ans par Florent Peyre et Alexandre Winter commercialise un boitier qui permet de détecter le nombre de personnes qui passent devant un magasin, traversent une rue, ou font la queue sur un trottoir. Lauréate de l’incubateur TechStars, Placemeter a levé 6 millions de dollars au mois de septembre. Elle emploie une dizaine de personnes.
5. Sunrise
Ce calendrier intelligent lancé par Pierre Valade a effectué une levée de fonds de 6 millions de dollars cet été, à peine deux ans après son lancement. Cette application de calendrier gratuite permet de connecter tous ses agendas et données issues de ses boites mails, cloud et réseaux sociaux dans une seule interface.
4. FreshPlanet
FreshPlanet est une start-up qui crée des jeux vidéos pour mobile. Son jeu phare, SongPop, continue de très bien se porter, avec pas loin d’un million de joueurs par jour. “Au total, nous avons dépassé les 100 millions de téléchargements”, explique Mathieu Nouzareth, installé depuis 2010 à New York. Le fondateur va lancer dans les mois prochains quatre nouveaux jeux. Il emploie 35 personnes à New York. Au total, depuis ses débuts, FreshPlanet a levé 10 millions de dollars.
3. Adore Me
Adore Me, la boutique de Morgan Hermand-Waiche qui vend de la lingerie en ligne, continue sa croissance exponentielle. Lancée en 2012, le chiffre d’affaires de cette start-up devrait dépasser les 10 millions de dollars en 2014. Le magazine Inc l’a hissée à la 2e place des start-ups en e-commerce connaissant les plus fortes croissances aux Etats-Unis. Elle a levé 11,5 millions de dollars depuis sa création, et emploie une cinquantaine de salariés.
2. PeopleDoc
PeopleDoc, une start-up lancée à Paris en 2007, fait un carton. Elle aide les services RH à dématérialiser tous leurs documents (du bulletin de paie au contrat de travail, en passant par les bilan d’entretiens annuels), et permet aux salariés d’y avoir accès via le cloud. Il y a deux ans, son cofondateur Jonathan Benhamou a transféré son siège de Paris à New York. Il a levé 17,5 millions de dollars au mois de mai.
1. Dashlane
Dashlane, société dirigée par Emmanuel Schalit, est devenue un acteur incontournable du monde de l’identité numérique, avec une app’ qui permet à des particuliers de gérer et sécuriser leurs multiples mots de passe et moyens de paiements. Implantée à Paris et New York, elle emploie une quarantaine de personnes, et a levé 22 milllions de dollars au printemps. Ce qui porte sa levée de fonds totale à 30 millions depuis sa création, en 2009.

Le Los Angeles Art Show fête ses 20 ans

Le Los Angeles Art Show a décidé de fêter son vingtième anniversaire en grande pompe, du 14 au 18 janvier.

Né en 1994, ce salon n’était au départ qu’une petite initiative régionale, où se regroupait une vingtaine de galeries. Aujourd’hui, il est l’un des plus grands salons dédiés à l’art, rassemblant plus de 120 galeries, venus de 22 pays différents. Près de 50.000 visiteurs sont attendus cette année encore au Los Angeles Convention Center, où se déroulera l’événement.

Le salon sera divisé en quatre parties : l’art moderne et contemporain, les “historiques” et “traditionnels”, la section “posters vintages” et enfin, une section “impressions” présentée en collaboration avec l’IFPDA (International Fine Print Dealers Association).

Cette année, le Los Angeles Art Show accueillera aussi une exposition toute particulière, consacrée à l’art contemporain chinois. Seront présentées les sélections de grandes galeries basées à Shanghai.

Retrouvez la liste des galeries présentes ici.

"Les Diaboliques" au Festival du Film Noir de San Francisco

Les plus grands classiques du  film noir seront projetés au Castro Theatre du 16 au 25 janvier, lors du Noir City Festival (programme complet ci-dessous).
Au menu de cette 13ème édition, pas moins de 25 projections alléchantes. Le thème cette année sera “le côté obscur du mariage“. Exit le romantisme, la guimauve et les histoires d’amour qui finissent bien : à San Francisco, on montre les couples dans leurs plus sombres aspects. Ceux qui s’attachent à conserver une image intacte alors que plus rien ne va, ceux qui tentent de s’échapper d’une relation plus que malsaine…
En tête d’affiche, un film français: “Les Diaboliques”, de Henri-Georges Clouzot. La divine Simone Signoret, qui remporta en 1960 l’Oscar de la meilleure actrice, y joue Nicole, la maîtresse d’un certain Michel. Christina, portée à l’écran par Véra Clouzot, est elle, la femme de Michel.
Malgré leur amant commun, les deux femmes entretiennent des relations plus que cordiales. Cette amitié va d’ailleurs largement se nourrir de leur haine commune envers Michel. Tout bascule finalement lorsque Nicole propose à Christina de l’aider à tuer ce dernier… Même sans de grands effets spéciaux, le suspens est garanti avec ce film en noir et blanc. Il sera projeté à 22h le 24 janvier.
Le programme complet:

Vendredi 16 janvier :
“Woman on the Run” à 19h30
“Born to be bad” à 21h15
 
Samedi 17 janvier :
“Suspicion” à 13h30
“The Bigamist” à 15h30
“Ivy” à 19h30
“The suspect” à 21h30
 
Dimanche 18 janvier :
“Shockproof” à 14h et 19h30
“Sleep, my love” à 16h et 21h
 
Lundi 19 janvier :
“The thin man” à 14h et 19h
“After the thin man” à 16h et 21h
 
Mardi 20 janvier :
“Caught” à 19h15
“The set-up” à 21h15
 
Mercredi 21 janvier :
“Clash by night” à 19h15
“Crime of passion” à 21h15
 
Jeudi 22 janvier :
“The hidden room” à 19h15
“The sleeping tiger” à 21h15
 
Vendredi 23 janvier :
“The guilty” à 19h30
“No man of her own” à 21h15
 
Samedi 24 janvier :
“The steel trap” à 12h30
“Julie” à 14h20
“Cry terror !” à 16h20
“Obssessione” à 19h
“Les diaboliques” à 22h
 
Dimanche 25 janvier :
“Seconds” à 14h et 19h15
“The honeymoon killers” à 16h et 21h20

 

Emel Mathlouthi, la voix de la Tunisie à GlobalFest

Le GlobalFest renaît à chaque début d’année. Et ce n’est pas 2015 qui dérogera à la règle : rendez-vous est pris le 11 janvier au Webster Hall pour une 12ème édition pleine de surprises.
Le festival new-yorkais s’inscrit dans le cadre de l’initiative “January is Performing Arts Month in New York City”, un événement qui rassemble 45.000 personnes venues du monde entier, et pas moins de 1.500 performances, allant de la musique du monde à la danse, en passant par le théâtre.
Les musiciens du monde entier se retrouveront une fois de plus à GlobalFest cette année. Parmi eux, la Franco-tunisienne Emel Mathlouthi. Née à Tunis en 1982, elle est en 2006 finaliste du Prix RMC Moyen-Orient. Mais c’est surtout au tournant des années 2010 que l’artiste engagée commence à se faire un nom. En Tunisie, puis depuis la France, elle donne ainsi une série de concerts pendant les Printemps arabes pour soutenir les protestations. Compositrice, guitariste et chanteuse à la fois, Emel Mathlouthi mêle les influences, rock, orientales, voire lyriques.
Le programme complet, le 11 janvier au Webster Hall:
The Studio 
Emel Mathlouthi de 19 à 20h
Sam Lee de 20h20 à 21h20
The Jones Family Singers  de 21h40 à 22h40
Just A Band de 23h à minuit
 
The Marlin Room
Rivaaz Qawwali de 19h à 19h50
Kevin Johansen & Liniers de 20h10 à 21h
Emil Zrihan de 21h20 à 22h10
Kahulanui de 22h30 à 23h20
 
The Grand Ballroom
The Nile Project de 19h30 à 20h15
Zap Mama de 20h35 à 21h20
Bixiga 70 de 21h50 à 22h25
Puerto Candelaria de 22h45 à 23h30