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"La Belle et la Bête", de Broadway à Thousand Oaks

Après un long séjour à Broadway, la troupe de “La Belle et la Bête” fait un petit tour en Californie… A voir du 4 au 7 décembre dans le ville de Thousand Oaks.
Belle est une jeune fille douce et intelligente, qui occupe ses journées en lisant. Son père en est très fier, d’autant plus que ses autres filles ne sont que vanité et orgueil. Un jour, ce dernier disparait mystérieusement après une promenade dans les bois. Belle, en le recherchant, se retrouve dans un mystérieux château, caché au cœur de la forêt. Ce château n’est autre que la propriété d’un terrible monstre : la Bête.
Belle découvre alors que derrière ces traits grossiers se cache un beau jeune homme, emprisonné dans ce corps par une malédiction. Prise d’amour pour cet être hybride, elle va tenter de conjurer ce mauvais sort.
Ce grand classique de Disney sera présenté sous forme de comédie musicale à Thousand Oaks, au nord-ouest de Los Angeles. Depuis sa première mondiale en 1994, le show a été vu par plus de 35 millions de spectateurs… Un peu remanié depuis, il contient toujours les chansons cultes inspirées par le film d’animation.
 

Gagnez des places pour "le Roi et l'Oiseau" au Lincoln Center

Si vous voulez voir un grand film d’animation qualifié par le New York Times de “vintage” , “habile ” et “gracieux” , vous avez jusqu’au 5 décembre pour ne pas le rater… French Morning et Rialto vous proposent de gagner deux paires de tickets pour assister à la projection du “Roi et l’Oiseau” (“The King and the Mockingbird”), de Paul Grimault, au Lincoln Center. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Pour ceux à qui le nom de Paul Grimault n’évoque rien de particulier, sachez qu’il est souvent décrit comme l’une des inspirations du réalisateur Hayao Miyazaki, qui a mis en image “Le voyage de Chihiro” et “Le vent se lève”.
“Le Roi et l’Oiseau” s’inspire de textes écrits par Jacques Prévert, eux-mêmes adaptés du conte La Bergère et le Ramoneur, de Hans Andersen. L’histoire se passe en Takicardie, une ville où règne en maître le roi “Charles Cinq et Trois font Huit et Huit font Seize”. Son palais est rempli de sculptures à son effigie, et de tableaux. Sur l’un d’entre eux, il y a cette petite bergère, que le roi admire sans cesse, et ce ramoneur, qu’il méprise.
Une nuit, les personnages des tableaux, qui s’animent lorsque le jour se couche, décident de s’enfuir du palais. La petite bergère et le ramoneur, tout émoustillés par ce nouveau monde qui s’offre à eux, ne vont pas tarder à déchanter : les agents du palais sont à leurs trousses. Heureusement, ils vont pouvoir compter sur l’aide de l’Oiseau, qui prend toujours un malin plaisir à ridiculiser le roi…
Derrière cette romantique aventure, se dresse un satyre aiguisée de la royauté … Ce qui en fait un film aussi bien pour les enfants, que pour les adultes ! Il est projeté dans sa version restaurée à New York, en français, sous-titré en anglais.
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30 ans d'Amérique dans l'oeil de Jean-Pierre Laffont

“Chaque photo doit s’expliquer à elle-même. Les miennes n’ont pratiquement pas besoin de légendes.” Jean-Pierre Laffont, tonique pour ses 79 ans, fait les cent pas autour de vous, épelant l’orthographe de tous les noms propres qu’il cite, datant les événements qu’il évoque. “La photo doit reproduire la réalité, être le témoin de son temps. Il n’y a rien de magique, il faut juste le faire bien. Et cadrer proprement.”
Célèbre photojournaliste français, Jean-Pierre Laffont s’est installé à New York en 1965. Depuis, il y vit toujours (dans l’Upper West Side), même si ces dernières années, il a arrêté d’appuyer sur le déclencheur. Baroudeur infatigable, il a travaillé pour les plus grands magazines de son époque : Time, Newsweek, le New York Times, Paris Match, le Figaro Magazine
En décembre, Jean-Pierre Laffont donnera deux conférences à New York. Sa femme et éditrice, Eliane – elle gérait les bureaux américains des agences francaises Gamma puis Sygma, auxquelles Jean-Pierre Laffont appartenait – vient en effet de publier un livre rassemblant des photos américaines de son mari. Le Paradis d’un photographe, Tumultueuse Amérique, 1960-1990 (Glitterati, 2014), découpé en trois décennies, est le fruit d’un travail de deux ans.
Le mouvement pour les droits civiques, les émeutes à Los Angeles ou Baltimore, le lancement d’Appollo 11, les funérailles de Robert Kennedy ou de Martin Luther King, le départ de Nixon de la Maison Blanche… Les photos de Jean-Pierre Laffont retracent trente ans d’histoire américaine. Les sujets les plus politiques se mêlent aux photos illustrant des phénomènes de société :  les femmes s’engageant dans l’armée, le féminisme sur les campus, la construction des tours jumelles…
L’une des photos préférées de Jean-Pierre Laffont représente des dizaines de mains qui émergent des grilles d’une prison : l’une a le poing levé, deux autres prient, les autres sont lâchées, pendantes, comme résignées. « Cette photo en dit beaucoup sur les différentes attitudes que j’ai vues chez les prisonniers », dit Jean-Pierre Laffont, qui a passé beaucoup de temps dans les prisons.
Dans une autre série, des spectateurs sur leur 31 se rendent à l’un des combats de Mohammed Ali. Parmi eux, Frank Lukas, un chef mafieux vêtu d’un manteau en poils de chinchilla, qui fut interprété par la suite par Denzel Washington dans le film American Gangster. A l’époque, Jean-Pierre Laffont n’avait aucune idée de qui il photographiait.
D’autres séries montrent la pauvreté chez les blancs du midwest, comme cette famille misérable de l’Arkansas, attablée autour de leur repas, sous un tableau représentant la cène. « C’est une photo dont je garde un souvenir très ému, car j’ai découvert en entrant chez eux que les parents étaient sourds-muets », se souvient le photographe.
De nombreuses photos montrent New York dans les années 60, une ville que l’on peine à reconnaitre. Une cité en faillite, dangereuse et sale. « C’était la jungle. Dans certains quartiers, comme Stuyvesant Town, personne n’allait. Il y avait des voitures abandonnées sur le bord des trotoirs, et dans le Bronx, les gens jetaient leurs ordures par les fenêtres », se remémore Jean-Pierre Laffont, qui a photographié les rôdeurs des sex-shops de la 42e rue, des gangs de jeunes dans le Bronx, des sans-logis dans le quartier de Wall-Street.
Sur une photo, un homme tombe d’overdose en plein Times Square – une scène « si fréquente qu’elle n’arrêtait guère le traffic ». Difficile à imaginer aujourd’hui.

French American Aid For Children organise son cocktail de Noël

Pour la onzième année consécutive, French American Aid For Children organise un cocktail de Noël au consulat de France. Il aura lieu le mercredi 3 décembre, de 18h à 20h30, en présence du consul Bertrand Lortholary.
L’événement permettra au FAAFC de récolter des fonds, destinés à venir en aide aux enfants en difficulté, qu’ils soient de France ou des Etats-Unis. Durant la manifestation, une vente aux enchères silencieuse sera organisée.
L’an dernier, sept bénéficiaires se sont partagés l’argent récolté : Storefront Academy Harlem, The Children’s Village (centre qui recueille des enfants négligés, battus ou abusés), Kips Bay Boys and Girls Club, ainsi que les associations françaises France Parrainages, La Société de Charité Maternelle de Paris qui aide les familles démunies dans des situations d’urgence, l’A.L.P.C, et Tête en l’Air.

"Oui Please": la "French box" arrive au Texas

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La mode des “box” françaises gagne le Texas. Française de Dallas, Jessica Barouche lance sa boîte “Oui Please”, comprenant une sélection de produits mode, beauté, déco et gastronomiques made in France. Avec la même idée qu’en partant aux États-Unis il y a trois ans : “Si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais !”
Elle n’est pas la première à se lancer sur le marché lucratif des boîtes thématiques. Le modèle en la matière est Birchbox. Créée par deux anciennes étudiantes d’Harvard en 2010, la firme propose à ses clients de recevoir tous les mois des boîtes remplies de produits cosmétiques et de santé haut de gamme. A New York, deux entrepreneurs avaient lancé en 2013 “Try The World”, une “box” sur la France et d’autres pays du monde.
“Oui Please” proposera six envois annuels à domicile et une boutique en ligne où retrouver l’ensemble des références.
L’offre lancée cette semaine pour un premier envoi le 11 décembre constitue le prolongement naturel de Be Frnch, la société de conseil créée par Jessica Barouche à Dallas afin d’aiguiller les candidats à la vie à la française en matière de style, de gastronomie et de voyage dans l’Hexagone –« un business qui marche très bien à New York et en Californie » et qui a toute sa place à Dallas.
Jessica Barouche a fait ses armes chez Hermès et au sein de l’agence de publicité Euro RSCG. Après un an et demi passé à mener à bien sa demande de visa investisseur tout en mettant au point son business plan en parallèle de son job de jeune fille au pair, la créatrice d’entreprise était prête à vendre les produits qu’elle conseillait sur BeFrnch.com.
La créatrice d’entrreprises présentera son activité dans le cadre du second « Women’s connection Cocktail du commerce », mercredi 3 décembre, de 18h à 20h, à Lark on the Park, 2015 Woodall Rogers Freeway. Un nouveau rendez-vous de la Chambre de commerce franco-américaine de Dallas/Fort Worth.
« Nous avons beaucoup de demandes du Canada, et aussi d’Australie, ou encore de Suède », indique Jessica Barouche, assurant toutefois avoir encore « beaucoup d’idées à tester aux Etats-Unis » avant de se lancer dans l’internationalisation. « Il y aura une offre pour ces messieurs », confirme la créatrice d’entreprise, qui envisage aussi d’ouvrir un magasin physique.

La Compagnie desservira Londres-New York au printemps

Lancée l’été dernier sur la liaison Paris-New York, la compagnie “tout business low cost” s’apprête à ouvrir une deuxième ligne entre Londres et New York.
Les fondateurs de La Compagnie (le nom de cette… compagnie), avaient le choix entre augmenter la cadence entre Roissy et Newark et se lancer sur une nouvelle destination. Ils ont fait le deuxième choix, le plus ambitieux, mais pas le moins risqué.
La ligne entre Londres et New York est plus de deux fois plus fréquentée que l’axe franco-américain et très compétitive. Mais la stratégie du PDG Franz Yvelin est la même: s’attaquer aux juteuses marges des trois grandes alliances sur la classe affaire. “La business class représente 15% des passagers et 50 % du chiffre d’affaires: c’est là où est l’argent”, disait-il à French Morning en octobre dernier, expliquant que La Compagnie ne prétendait pas offrir la meilleure business-class, “mais le meilleur rapport qualité-prix”.
L’appareil, un Boeing 757-200 comme le premier, sera équipé des même sièges inclinables à 180° et d’un système de divertissement via tablette Samsung. L’entrée en service est prévue au mois de mars 2015.
 

Le chorégraphe de la "non-danse" Jérôme Bel à Houston

Dans les années 1980, Jérôme Bel découvre la danse contemporaine, avec notamment une pièce Pina Bausch. C’est un véritable coup de foudre, qui le poussera à continuer dans cette voie-là.
Il s’inscrit au Centre National de Danse Contemporaine d’Angers seulement quelques mois après cette découverte. Très vite, le danseur devient chorégraphe, innovant notamment du côté de la “non-danse”.
L’Opéra de Paris lui commandera en 2004 une pièce. Il choisit finalement de réaliser un documentaire théâtral, sur une danseuse : Véronique Doisneau. C’est sur ce travail, et celui d’autres artistes (Wu Tsang et Haegue Yang) que l’exposition Double Life reviendra, du 13 décembre 2014 au 15 mars 2015 au Contemporary Arts Museum de Houston.
Au programme : une installation de lumières et sculptures, une projection du film Véronique Doisneau, et du solo de Cédric Andrieux, ainsi que leurs témoignages. A travers ces performances, Jérôme Bel interroge la subjectivité : pour lui, un danseur n’est pas le simple exécutant d’une chorégraphie, il participe à sa création.
L’exposition sera ponctuée de deux spectacles. Le premier aura lieu le 30 janvier à 19h. Il s’agira de comprendre avec Cédric Andrieux la vie d’un danseur, autour d’un one-man show intimiste. L’entrée sera gratuite, mais le nombre de places limité.
Le lendemain, à 14h, Jérôme Bel viendra en personne discuter de son travail et de sa manière d’appréhender la danse contemporaine. Cette présentation sera suivie d’une performance “live” de Cédric Andrieux.
 

Ils traversent les Etats-Unis sans argent

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Les yeux de Muammer Yilmaz parcourent le menu du restaurant de l’ONU de long en large. “C’est fou d’avoir le choix, dit-il. Et dire qu’il y a eu des jours où le seul but de notre existence, c’était d’avoir une bouteille d’eau (…) Quand tu voyages sans argent, tu ne choisis pas ton café, ni l’endroit où tu vas atterrir.
Faire le tour du monde en 80 jours et sans argent, c’est le pari fou de l’allemand Milan Bihlmann, 27 ans, et du français Muammer Yilmaz, 38 ans, deux globe-trotteurs au grand coeur. Après avoir traversé quatorze pays et parcouru plus de 30.000 kilomètres, c’est à New York, qu’ils se sont arrêtés, leur dernière étape avant l’Europe. Ils ont profité d’une invitation d’une fonctionnaire des Nations-Unies pour faire le tour de l’institution.
“Optimistic Traveler”, c’est eux. Cette association à but non lucratif est née en 2010 sur le canapé de Milan Bihlmann à Berlin. Le but ? Montrer que les gens peuvent faire preuve de générosité et de bonté, qu’importe les différences sociales, culturelles ou religieuses. “Un mois avant de partir, on a fait un test : aller de Strasbourg à Berlin, sans argent“, explique Milan Bihlmann, qui a fait ses études en commerce international.
Depuis les deux compères ont fait – littéralement – du chemin. De Paris, ils ont traversé une partie de l’Europe de l’est et l’Asie du sud-est, jusqu’à Tokyo où ils ont pris l’avion pour San Francisco avec l’aide de soutiens en France et en Iran. Ils sont ensuite passés par Denver, Chicago et Philadelphie. “On nous a payé des chambres d’hôtel ou dormi chez l’habitant, se souvient Muammer Yilmaz. Aux Etats-Unis, on nous donnait de l’argent – mais cela changeait la nature du projet.
Difficulté supplémentaire : les deux voyageurs refusent de dormir chez des amis ou la famille. “Pour passer du temps avec les personnes qu’on rencontre, explique Milan Bihlmann. Souvent, on nous demande de rester, de visiter. Mais on fait ce voyage pour ces rencontres, pas pour le tourisme.” Des rencontres qui ont d’ailleurs permis de “casser les préjugés“, une des autres missions de l’association. “En Iran, nous avons découvert une richesse insoupçonnée. Le gouvernement c’est une chose, mais les gens, c’en est une autre“, poursuit-il.
Les “Optimistic Travelers” prévoient d’arriver à Paris le 28 novembre. En février 2015, ils partiront à Haïti comme volontaires pendant un mois. L’argent récolté pour l’association – 13.000$ grâce à une opération de crowdfunding – sera reversé à Haïti Care. “Pendant notre voyage, on nous a tellement donné, conclut Muammer Yilmaz. C’est à notre tour de donner.

Nana Deleplanque peint sa quête du dragon à Yonkers

Nana Deleplanque a fait ses études à Aix en Provence, à l’Ecole des Beaux Arts et Arts Appliqués. Elle les termine en 1979, puis s’exile aux Etats-Unis quelques années après. En 1986, elle expose pour la première fois, entre Miami et New York, où elle vit depuis.
L’artiste n’hésite pas à combiner les techniques, alternant acrylique, collages, pastels, gouache, et bien d’autres méthodes encore. A Yonkers, ce sont pas moins de 400 petites peintures sur papier, et deux grandes toiles de l’artiste, qui seront exposées. Le thème ? “The Quest“. Nana Deleplanque a voulu retranscrire dans ses œuvres “la quête du dragon, un peu comme Saint Georges“. Ce dernier est un martyr chrétien, souvent représenté comme un chevalier tuant un dragon, allégorie de la victoire du Bien contre le Mal.
Dans chacun de ses petits dessins, Nana Deleplanque a mis en exergue des éléments familiers entre le dragon et l’être humain. Elle a ainsi peint notre “recherche de ce qui peut être sombre en nous“, cette lutte “contre nos idées noires“.  Une quête spirituelle, représentée “avec beaucoup de différentes couleurs et de différentes formes” selon l’artiste.
Ses œuvres resteront exposées à la bibliothèque de Yonkers du 4 décembre au 4 janvier. Le vernissage aura lieu le 11 décembre.
 
 
 

Un spectacle de marionnettes bilingue pour célébrer Noël

Samantha Grassian, fondatrice de DifFRactions Jeunesse vous avait promis en septembre dans French Morning un spectacle sur le thème de Noël avant les fêtes : le voilà enfin!
Musique et marionnettes seront les maitres mots de ce tout nouveau spectacle bilingue et interactif. Au programme ? L’histoire du Lutin de Noël, Rouscaille, et de l’âne magique du Père Noël. Tous deux partent faire le tour du monde pour distribuer les cadeaux : une belle occasion pour ressortir les chants traditionnels, et revenir sur les coutumes hivernales dans différents pays.
Si le spectacle saura à coup sûr faire retomber les parents en enfance, il permettra aussi aux enfants de faire “comme des grands”, puisqu’il sera présenté sous forme de cabaret. Autour de la table sont principalement attendus des enfants de 3 à 6 ans, mais tous ceux qui sont sensibles à la magie de Noël seront les bienvenus. A voir le 13 décembre au Metropolitan Room.
 
 
 

Le Cirque du Soleil fête ses 30 ans en Floride

Le Cirque du Soleil fête son trentième anniversaire en 2014. Pour l’occasion, il viendra donner un spectacle à Miami Gardens dès le 11 décembre.
A sa création en 1984, le Cirque du Soleil n’était qu’une petite troupe québécoise, composée de 73 employés. Aujourd’hui, la petite entreprise a bien grandi… Plus de 4000 employés et 1300 artistes du monde entier se partagent désormais la scène.
Cette diversité, on la retrouve d’ailleurs dans leur spectacle Amaluna, qui sera joué à Miami Gardens. Dans une mystérieuse île peuplée de déesses, la reine Prospéra organise en l’honneur de sa fille une cérémonie. Mais Prospéra, qui visiblement s’ennuie un peu, déclenche une tempête. Celle-ci va amener jusqu’à sa fille un beau jeune homme. Une belle histoire d’amour débute alors, semée d’embûches et pleine de rebondissements…
Au programme : danse, cerceau, mât chinois, jonglerie, et bien d’autres surprises encore.

L'ensemble Copperleaf se casse la voix à San Antonio

A San Antonio, on chante a capella et en français s’il-vous-plaît. L’ensemble Copperleaf donnera un concert de musique classique dans le cadre du sublime McNay Art Museum, le 30 novembre.
Le quintette interprétera a capella donc des compositions du début du XXème siècle et de l’époque romantique – fin du XIXème siècle. Claude Debussy, Camille Saint-Saens et Francis Poulenc seront au programme.
Le concert aura lieu dans la galerie Tobin au sein du McNay Art Museum. Ce musée d’art moderne aux airs d’oasis est également connu pour sa collection d’artistes français comme Cézanne, Matisse ou Gauguin.