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Miami Spice, les meilleurs restos de Miami à prix cassés

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Mettre à l’honneur la cuisine et les chefs de Miami, tout en permettant au plus grand nombre de goûter leurs plats, c’est le pari de Miami Spice.
L’événement, qui aura lieu du 1er août au 30 septembre dans plus de 100 restaurants de la ville, propose un tarif fixe (23$ le midi, 39$ le soir), pour un menu entrée-plat-dessert concocté par un grand chef.
Lancé il y a quelques années par le Greater Miami Convention and Visitors Bureau dans le but de booster la fréquentation des restaurants pendant l’été, le concept (proche de celui de la New York Restaurant Week) a séduit, faisant aujourd’hui de Miami Spice un rendez-vous incontournable des foodies floridiens.
Et l’édition 2014 ne devrait pas décevoir puisque cette année encore, de grands noms de la gastronomie se sont associés au projet. Parmi eux un jeune chef français, Mathias Gervais, dont vous pourrez déguster la cuisine d’inspiration méditerranéenne et asiatique au Setai, à South Beach. Mais bien d’autres choix s’offrent à vous, puisqu’il vous sera aussi possible de goûter la cuisine cubaine du restaurant Larios on the Beach, sur Ocean Drive, ou encore aux mets italiens du Touché Restaurant de Downtown Miami.
 
 

Quatre films français au San Francisco Jewish Film Festival

Le San Francisco Jewish Film Festival (SFJFF) présente chaque année le meilleur du cinéma juif indépendant. La 34ème édition présentera 70 films provenant de 18 pays différents et 8 avant-premières, du 24 juillet au 10 août.
Côté français, quatre films seront présentés:
“24 jours : la vérité sur l’affaire Ilan Halimi” (“24 Days”), réalisé par Alexandre Arcady, US Première. Le 27 juillet au Cinearts at Palo Alto Square (20h55) ; le 29 juillet au Castro Theatre (21h05) ; le 06 août au California Theatre (18h20) et le 08 août au Smith Rafael Film Center (20h45).
“Pour une femme” (“For a Woman”), réalisé par Diane Kurys, Bay Area Première. Le 26 juillet au Cinearts at Palo Alto Square (20h45), le 31 juillet au Castro Theatre (16h) et le 09 août au Grand Lac Theatre (19h).
“Cours sans te retourner” (“Run Boy Run”), avec la présence par Pepe Danquart, Californie du Nord Première. Le 29 juillet au Castro Theatre (18h15), le 30 juillet au Cinearts at Palo Alto Square (18h) et le 07 août au California Theatre (18h30).
“Swim Little Fish Swim”, réalisé par Ruben Amar. Le 26 juillet au Castro Theatre (21h30), le 08 août au Smith Rafael Film Center (16h20) et le 10 août au Grand Lac Theatre (20h55).

Les studios de Chelsea ouvrent leurs portes

Pour la cinquième année consécutive, la Chelsea Art Walk revient à New York. Le 24 juillet, plus d’une centaine de galeries ouvriront leurs portes de 17h à 20h.
Chelsea Art Walk a pour objectif de promouvoir des expositions de groupe et de mettre en avant des projets uniques seulement exposés au public durant l’été.
Certains studios seront ouverts au public, permettant d’observer des oeuvres en cours de réalisation. Les précédentes éditions ont connu un franc succès, attirant des milliers de visiteurs.

A Hollywood, trois Français sacrés champions du monde d'art

Ils étaient arrivés à Los Angeles un brin nerveux. Les revoilà qui repartent en France on ne peut plus comblés.
Vendredi soir, trois jeunes artistes  de l’équipe de France, Adrien Pelon, Sergio  Colarossi et Cassandra Guilaine ont remporté, chacun dans leur catégorie, le prestigieux World Championship of Performing Arts (WCOPA) d’Hollywood, un concours international qui récompense chaque année depuis 17 ans plusieurs jeunes talents dans le domaine des arts vivants : de la danse à la chanson en passant par la comédie, le mannequinat, la musique et le spectacle de variété.
« Cela fait maintenant trois ans que la France participe à ce concours » rappelle la sélectionneuse de l’équipe française, Anastasia Gaï. «Nous sommes extrêmement fiers du palmarès exceptionnel de cette année. Remporter ne serait-ce qu’un grand prix, comme en 2013 avec la jeune actrice Cécile Djunga, c’était déjà incroyable, mais en remporter trois cette année, c’est un vrai bonheur ! Il faut savoir qu’il y a tout de même entre 1500 et 2000 participants tous les ans, venus de 52 pays. Ce n’est pas rien ».
Cette année, parmi les 8 participants de l’équipe française, Adrien Pelon, un Boulonnais de 23 ans, s’est distingué en remportant le Grand Prix Senior Instrumental. Le jeune chanteur et musicien, issu du cours Florent sera en janvier prochain  à l’affiche d’un spectacle au Palais des Congrès : « Malkah – David et le temps des prophètes ».
Sergio Colarossi, Val d’Oisien de 19 ans, spécialiste de danse hip-hop, a de son côté remporté le Grand Prix Senior de Danse. Enfin, l’une des benjamines du groupe d’origine vendéenne Cassandra Guilane, 15 ans, s’est elle distinguée en recevant le Grand Prix Junior de Variété, pour ses prouesses en Twirling.
Formations et carrières outre-Atlantique 
« Le WCOPA peut être un vrai tremplin pour ces jeunes artistes en herbe. Ce concours reconnu à l’échelle mondiale peut leur offrir la formidable opportunité de se faire remarquer par des agents et grands producteurs, notamment aux Etats-Unis» glisse Anastasia Gaï. Certains jeunes se sont ainsi fait repérer par le passé par le Cirque du Soleil, l’Agence de mannequinat Elite, Universal Records, Placido Domingo ou encore Steven Spielberg.
Les gagnants qui rêvent d’une formation outre-Atlantique auront également accès à de nombreuses bourses d’un montant total de plus de 200.000 dollars, offertes par de prestigieuses écoles artistiques, telles que le Millenium Dance Complex ou encore le New York Conservatory for Dramatic Arts. Une opportunité en or.

18 signes qui montrent que les US deviennent comme la France

Et si le Tea Party avait raison : les Etats-Unis sont-ils en train de devenir la France ? On vous prouve que « oui » en 18 points.
On y trouve les mêmes villes…
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Et les mêmes monuments
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Socialisme n’est plus un gros mot
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Les Américains se mettent au vélo
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Ils se plaignent de payer trop d’impôts
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Ils se plaignent de leurs dirigeants
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En fait, ils se plaignent pas mal
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La maman française est une star
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Les Françaises âgées aussi…
French actress Catherine Deneuve poses during the photocall for 'In the courtyard' (original title: Dans la cour) at the 64th annual Berlin Film Festival in Berlin, Germany, 11 February 2014. The movie is presented in the Berlinale Special Gala section of the festival, which runs from 06 to 16 February 2014. Photo by Jens Kalaene/DPA/ABACAUSA.COM
Ils se mettent au français
voulez vous
Ils s’ennuyent dans leur couple
bill clinton
Ils réclament une augmentation du salaire minimum
mini
Ils veulent une assurance médicale
Obamacare-600
On mange comme en France
PetitEcolier
Et comme en France, on aime le foot maintenant
Gold Cup US Honduras Soccer
On rigole des mêmes choses
gayet press
Et on pleure des mêmes choses aussi

Finalement, beaucoup de choses nous rassemblent
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Brice Mousset chorégraphie l'enfer du travail

Si le monde d’aujourd’hui est plus en plus connecté, l’Homme, lui, est de plus en plus seul. C’est ce paradoxe qu’explore “Travailler: Act 1 & 2”, un spectacle de danse imaginé par un Français.
Fondée en 2013 par Brice Mousset, la compagnie Oui Danse se produira sur la scène du Ailey Citigroup Theatre le 26 juillet. Pour ce show, présenté pour la première fois à New York, le chorégraphe s’est inspiré du concept de “loi du plus fort”, montrant des travailleurs dans la frénésie du travail et comment la recherche du succès, la répétition des tâches et le stress “polluent” les esprits.

Un trésor de la cathédrale de Chartres aux Etats-Unis en 2016

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Après le nettoyage de cinq lancettes du portail sud de la Notre-Dame de Chartres au printemps 2013, l’association American Friends of Chartres (AFC), qui aide à la préservation et à la restauration de la cathédrale, se lance dans un autre projet d’envergure : la restauration d’une verrière du XIIIe siècle.
Ce chef-d’oeuvre sera visible aux Etats-Unis, lors d’une exposition en 2016. La présidente de l’AFC, Dominique Lallement, ne peut pour l’instant dévoiler ni le nom ni la ville de l’heureux destinataire. “Tout ce que je peux dire, c’est que ce sera dans un musée qui présente une belle collection d’art médiéval, glisse-t-elle. Les lancettes mesurent plus de 6 mètres de haut, ce qui signifie qu’il va falloir construire une structure similaire à celle de la Cathédrale pour les accueillir.
Car les Américains adorent Chartres, et Chartres le leur rend bien. Ils sont plus d’un million chaque année à admirer l’architecture gothique et l’histoire de la Cathédrale. Cette même architecture et histoire qu’on retrouve dans nombre de livres américains, comme Da Vinci Code de Dan Brown ou The Monuments Men de Robert Edsel.
La verrière, qui se situe dans la partie haute de la nef, représente le Christ trônant, Saint-Pierre, Saint-Jacques le Majeur, ainsi que des boulangers qui, avec les charpentiers ou les maçons sur d’autres vitraux, forment un tableau des différents métiers de l’époque.
Une fois démonté, chaque panneau fera l’objet d’une identification pour repérer l’usure due au temps ou aux visiteurs. La restauration, elle, commencera à la fin de l’année.
Pour la première fois, l’AFC a recours au crowdfunding pour financer ce projet, dont le coût est estimé à 250.000 $. Pour Dominique Lallement, le financement participatif permettrait d’envisager d’autres restaurations de la nef. “Ce serait mon grand rêve !“.

"Les Nubians" en concert à Los Angeles

A l’occasion du 50ème anniversaire du jumelage entre Bordeaux et Los Angeles, le groupe bordelais “Les Nubians” se produira à Los Angeles le 2 août. Créé en 1997, les soeurs Hélène et Célia Faussart s’inspirent du R&B contemporain.
Cet événement s’inscrit dans une série de concerts appelée “People get ready: a soundtrack of the civil rights movement”. Car le 50ème anniversaire du jumelage des deux villes correspond aussi à celui du mouvement des droits civiques et du Civil Rights Act de 1964, qui met fin à la ségrégation raciale aux Etats-Unis.
Sur la scène du California Plaza, le duo rendra hommage à l’histoire de l’Amérique noire à travers des reprises de grands classiques du répertoire jazz et R&B.
 
 

Du jazz au Moca

Cet été, les amateurs de jazz ont rendez-vous au Museum of Contemporary Art North Miami (Moca). Chaque dernier vendredi du mois, un concert gratuit vous y attend !
En cette fin de mois de juillet, c’est Martin Bejerano, un natif de Miami, qui viendra pianoter sur scène. Ce professeur adjoint de piano à l’University of Miami Frost School of Music a été nominé pour un Grammy en 2004 pour son album “Fountain of Youth” dans la catégorie “meilleur album de jazz instrumental”.
Il a joué avec des sommités du jazz comme le Christian McBride Band, Kenny Garrett, Roy Hargrove, Adam Nussbaum, ou encore James Moody.

EDF va importer du gaz de schiste texan en Europe

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A l’heure où les fournisseurs européens cherchent à diversifier leurs sources d’approvisionnement pour sortir de la dépendance au gaz naturel russe, la société texane Corpus Christi Liquefaction a annoncé un contrat avec EDF qui devrait en faire le premier importateur de gaz de schiste américain en Europe.
« Electricité de France est le premier client du terminal n°3 de Corpus Christi Liquefaction », a souligné Charif Souki, le PDG de cette entreprise chargée de développer un port d’exportation de gaz naturel liquéfié à Corpus Christi. « Nous avons hâte de fournir en gaz naturel liquéfié ce leader européen de la production et la distribution d’électricité ».
EDF n’a pas commenté cette annonce.
Corpus Christi Liquefaction est une filiale de Cheniere Energy, déjà en contact avec différents groupes européens dont Total.
Un autre terminal du groupe Cheniere Energy, celui de Sabine Pass, en Louisiane, devrait toutefois être achevé avant celui de Corpus Christi, qui attend toujours le feu vert définitif des autorités fédérales. Ce dernier équipement sera la première installation d’exportation de gaz naturel aux Etats-Unis, jusque récemment importateurs de gaz naturel.
 

Trois jours à Saint Barth

St Barth est un îlot paradisiaque (24km2), parfait pour un long week-end de soleil et de saveurs tropicales.

Découverte par Christophe Colomb en 1493, elle s’appelait Ouanalao mais fut rebaptisée Saint-Barthélemy en l’honneur du frère de l’explorateur. Ni les pirates ni les Suédois qui l’occupèrent ne pouvaient imaginer que le jet setter américain David Rockefeller qui y acheta une mansion en 1957, en ferait la Mecque du tourisme de luxe aux Antilles ! De New York, comptez cinq heures de vol avec une escale à Saint Maarten avant un dernier atterrissage sur l’aérodrome de St Barth, juste avant la plage St Jean. De Miami, comptez trois heures.

Day 1

Le premier jour, laissez vous envouter par l’une des quatorze plages de St Barth, à commencer par St Jean et ses eaux turquoises. À midi, lunch au Sand Bar (80$ par pers.) de l’hôtel Eden Rock ou si vous vous sentez l’âme plus festive, au Nikky Beach (60$ par pers). Pour séjourner, l’Eden Rock est d’ailleurs le summum du palace dans l’île, situé sur un rocher de la plage St Jean. Il abrite par ailleurs le On the rocks (100$ par pers.), deuxième restaurant de l’île orchestré par le célèbre chef Jean-Georges Vongerichten.

Derrière la plage, un shopping de fin d’après midi s’impose dans la Villa Créole et ses petites boutiques comme Calypso ou Filles des îles. Mais pour un shopping de catégorie poids lourd, direction le Carré d’or à Gustavia. À l’entrée du port de St Barth, cette élégante galerie de boutiques de luxe rassemble tout ce que la planète compte de couture et de joaillerie haut de gamme. À visiter comme une « exposition permanente du modus vivendi des ultra riches ». Certaines boutiques restent néanmoins plus accessibles comme United of St Barth, idéale pour ramener t-shirt et maillot de bain (70$ pièce environ) griffés St Barth !

Pour l’apéro, on vous recommande les cocktails du Carré (25$), un bar en plein air tenu par Franck Methevet, jamais avare de bonnes anecdotes sur St Barth…

Pour le diner, tout est possible à Gustavia, du plus simple comme le Select, la plus vieille terrasse de St Barth et son impitoyable punch (5$ le verre) ou l’Isoletta, une pizzeria de poche dans les hauteurs de la ville (45$ par pers.). Plus romantique et plus jet set, risquez Bonito (90$ par pers.) dont la nouvelle cuisine tropicale autant que la vue imprenable sur Gustavia by night ravissent les yeux et les papilles. Malgré un personnel vraiment peu aimable (ce qui vous rappelle au passage que St Barth est une île française).

Day 2

Envie de débuter votre journée par un chill-out chic, faîtes vous bichonner au Spa Sisley du Christopher. L’un des plus beaux hôtels de St Barth (450$ la nuit pour deux) où vous pourrez, un fois massée et huilée, vous installer vous au bord de la piscine à débordement et admirer, sur un écran grandeur nature, les rouleaux et surfeurs de la Pointe Milou. Pour déjeuner (ou diner), le restaurant du Christopher, Taino & Mango (60$/80$ par pers.) est une adresse gastronomique renommée de St Barth pour sa cuisine métissée de poissons grillés, fruits de mer, condiments caribéens et asiatiques. Un régal !

Si vous vous sentez plutôt l’âme d’un Robinson, direction l’est vers les plages de Grand et Petit Cul de sac. Deux lagons réputés pour la plongée et le snorkling au milieu d’une faune marine extravagante. Les locaux recommandent Plongée caraïbes et Ouanalao (site) pour l’exploration des récifs.

Autre joyau local, le rhum vanillé de St Barth encore assemblé à Grand Cul de sac. A consommer avec « extrême modération », n’oubliez pas que vous n’êtes pas d’ici. Cette partie de l’île garde d’ailleurs un charme insulaire palpable dans les assiettes des restaurants. O’Corail (environ 35$ par pers.) et Bartô (environ 70$ par pers.) sont parfaits pour un déjeuner devant l’eau bleue ou un diner à la sérénade de la houle tropicale…

Day 3

En quête d’aventure pour terminer votre séjour ? Mettez la barre au sud pour la matinée dans la anse du Gouverneur ou de Saline, deux plages voisines vierges de toute empreinte humaine. Attention celle de Gouverneur nécessite un petit treck (avec eau, crème, chapeau et serviette). La légende veut que le pirate Montbard ait enterré son fabuleux trésor quelque part sous le sable blanc de cet éden. L’accès à Saline se fait plus facilement, par la route, puis par un chemin de dunes. Cette plage est un vrai mirage où un ciel bleu électrique rejoint une mer mirifique. Si vous vous sentez d’humeur sauvage au retour de Saline, un arrêt s’impose au Meat & potatoes, pour vous régaler d’excellentes viandes au BBQ (60$ par pers.).

Plus civilisée mais tout aussi paradisiaque, la plage des Flamands, au nord ouest de l’île. Le déjeuner sous les tentes de La cabane de l’Isle est un délice (90$ par pers). Certainement l’un des plus beaux restaurants de plage de St Barth. Attention, cette plage a une houle assez capricieuse dont les rouleaux surprennent souvent les meilleurs nageurs.

Enfin, si vous désespérez de donner une touche culturelle à votre séjour, vous pouvez vous lancer à la découverte des sentiers de St Barth en compagnie d’Hélène Bernier, spécialiste de la faune et de la flore d’Ouanalao (tarifs variables selon itinéraires) ou en visitant le Musée de la pointe avant de reprendre l’avion…

À savoir

• Y aller : New York – Saint Maarten avec Jetblue (350$ par pers.) puis Saint Maarten – St Barth avec St Barth Commuter ou WinAir (70€ par pers). Miami – Saint Maarten (600$ par pers.) avec US AirwaysCaribbean Airlines
Comité du tourisme de Saint-Barthélemy et activités sur St Barth Online
• Hôtels chics : Eden Rock (600€ la nuit), Taiwana (370€ la nuit), Christopher (370€ la nuit)
• Boutique Hôtels : Tom Beach Hôtel (330€ la nuit) Les Ilets de la plage (225€ la nuit)
• Déjeuners chics : La cabane de l’Isle, Taino & Mango
• Diners chics : Sand Bar, Bonito, Bartô, On the rocks
• Casual restaurants : Le Carré, Isoletta, Le Select, O’CorailMeat & potatoes
Plages : St jean, Flamands, Gouverneur, Salines, Grand Culs de sac, Petit Cul de Sac
• Shopping : Gustavia (Calypso, Lined Gallery, United of St Barth…), Villa Créole – St Jean (Fille des iles, Amaluna, Angels & Demons, Little St Barth…)
Musée de la pointe de Gustavia

Hommage aux exilés d'Hollywood au Billy Wilder Theatre

Venez découvrir une sélection de films réalisés par une «génération perdue» de cinéastes américains, qui ont fui les Etats-Unis en plein maccarthysme. A voir du 25 juillet au 17 août au Billy Wilder Theatre.
Alors que certains sont partis pour le Mexique, d’autres, comme Jules Dassin, Joseph Losey (ci-dessus), Cy Endfield, Ben et Norma Barzman et Donald Ogden Stewart, ont trouvé refuge à Londres, Paris et Rome. Sept films  de ces exilés américains – réalisateurs, acteurs, scénaristes – sont au programme:
25 juillet à 19h30 : Christ in Concrete (UK/US, 1950) a.k.a. Give Us This Day/Salt to the Devil. En présence de Norma Barzman et de l’auteure Rebecca Prime –séance de dédicace à 19h.
26 juillet à 19h30 : Du rififi chez les hommes (France, 1955); Night and the City (UK/U.S., 1950)
1er août à 19h30 : Hell Drivers (UK, 1956); Impulse (1954). En présence de l’auteur Alan K. Rode.
4 août à 19h30 : The Intimate Stranger a.k.a. Finger of Guilt (UK, 1956); Stranger on the Prowl (Italy/U.S., 1952)
9 août à 15h : These are the Damned (UK, 1963); Escapade (UK, 1955)
13 août à 19h30 : Pardon My French (France/U.S., 1952); Headlines of Destruction (Je suis un sentimental) (1955)
16 août à 15h : The Victors (1963)
17 août à 19h :  Eve (Eva) (France, 1962)Time Without Pity (UK, 1957)