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Hugue Dufour, le gourmet gourmand de Long Island City

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« Je rêve d’un restaurant ou personne ne viendrait, déclare le chef québécois Hugue Dufour, barbe de trois jours et gueule à la Gabin. Mais il y aurait quelques chambres pour que ceux qui viendraient quand même puissent rester ‘coucher’. »
A la Dinette (M. Wells Dinette précisément) du MoMA PS1 à Long Island City et au M. Wells Steakhouse, son style sincère et chaleureux, qui se reflète dans sa cuisine, conquiert un nombre croissant de fans.
« Je ne pars pas avec un menu, dit-il. C’est le cheminement opposé. D’abord un lieu ensuite l’inspiration. » A partir du 25 juin, ce nouveau lieu, c’est la terrasse du Steakhouse sur laquelle il construit un four à bois de ses propres mains en béton, recouvert de coquillages. « Toute la nouvelle carte sera préparée à l’extérieur. »  On y trouvera entre autres, une tarte feuilletée à la tomate au thym, des petits boudins blancs panés, des aïolis de fruits de mer et des grillades de seiches farcies.
C’est à 14 ans que Hugue Dufour décide de devenir cuisinier, mais quelques années plus tard, après cinq mois d’école de cuisine. « j’ai tout fait pour qu’ils me virent. » Il fera ses classes sur le tas, à Montréal, mais pas n’importe où : « J’ai prétendu être encore inscrit à l’école pour décrocher un stage chez  Norman Laprise », (mention “Grand Chef” Relais et Châteaux) à Toqué! Ensuite, ce sera 9 ans au fameux Pied de Cochon canadien où il sévit comme sous-chef de Martin Picard.
« Norman Laprise et Martin Picard ont véritablement marqué le paysage culinaire de Montréal », explique Jean-Philippe Tastet, critique gastronomique du quotidien Le Devoir. « L’un, il y a 30 ans, a été le premier à encourager les producteurs locaux, et la cuisine d’homme des cavernes de l’autre, délirante de calories mais délicieuse et délicate aussi, ne ressemble à aucune autre. »
Au M. Wells Dinette, dans l’ancienne école du Queens transformée en musée d’art contemporain à quelques rues du Steakhouse, tout a été mis en œuvre pour recréer la salle de classe mythique de notre enfance : on se délecte côte à côte, sur des pupitres à casiers qui révèlent crayons et cahiers. Le menu est affiché sur des tableaux noirs et les rangées de livres de la librairie attenante servent de mur au fond. A la place du professeur, une cuisine ouverte encadrée par d’immenses étagères métalliques. « J’ai voulu recréer des cabinets de curiosités, explique Hugue Dufour. Au Canada, tout finit toujours dans la cuisine. Enfant, à la ferme, on ‘regardait’ même le match de hockey à la radio dans la cuisine. »
Griffonnée sur un cahier, la carte se veut simple mais trahit les racines paysannes et le parcours du chef : une soupe froide d’asperges aux relents de prés printaniers, un medley de tripes et de légumes de saison gouteux mais léger, un magret de canard tendre et joufflu.
« L’idée de départ, c’était de créer un véritable magasin, et on avait choisi le nom Wells qui vient de ma famille », explique Sarah Obraitis, l’épouse et bras droit du chef. Elle vivait dans le Queens (où elle a grandit) quand ils se sont rencontrés.
Avant Dinette à PS1, en 2009, il y aura eu d’abord un vénérable “diner”, circa 1954, d’où Hugue Dufour envoie des cervelles grenobloises et un pain de viande au foie gras en forme d’Angel Food Cake. Des plats qui ont vite fait la « Une » des blogs culinaires. Mais forcé de fermer, le couple porte son dévolu sur un vieux garage qu’il faut complétement transformer. Cet espace est devenu le Steakhouse.
« Le défi, ça a été de suivre le foisonnement d’idées de Hugue et Sarah », explique Marion Sultan, directrice de projet chez In House Group.
A Montréal sous l’égide de Martin Picard, Hugue Dufour a « manié toute la faune canadienne du Nord », mais à Long Island City, il envoie des brochettes de rognons grillés, jongle avec les herbes salées que sa mère ramassait déjà le long du fleuve – « La sarriette, personne n’utilise la sarriette ! » Il offre du boudin en accompagnement et les truites attendent le filet du destin dans un aquarium devant l’énorme grill à bois.
Pas de castor ni d’orignal à la carte du Steakhouse mais une côte de bœuf nommée “Tomawhak” qui pourrait nourrir quatre personnes. Impossible de finir la pile de fines côtes de porc striées au grill. Et puis, la délicatesse d’une profiterole à la rhubarbe et à la violette, mais transpercée, en son cœur, d’un couteau tel un poignard. Soudain, c’est clair : chez Hugue Dufour, délicatesse et rusticité coexistent. Et l’appétit pour la vie est aussi gargantuesque que ses portions.

La Compagnie: la classe affaire moins chère entre Paris et New York

La nouvelle compagnie “tout business” entre Paris et New York a officiellement dévoilé son nom dans la Grosse Pomme ce mardi. Ce sera… “La Compagnie”.
Co-fondateur de l’entreprise, Peter Luethi explique que le nom s’est imposé: “Les deux agences de publicité qui ont planché sur ce projet pour nous ont toutes les deux proposé ce nom“. DreamJet, le premier nom rendu public le mois dernier, reste le nom de la société “mère”.
L’idée de vols entièrement “classe affaire” n’est pas nouvelle. Plusieurs avaient vu le jour dans les années 2000. Toutes ont depuis disparu, ou ne sont plus “exclusivement business“, comme Open Skies qui opère entre Orly et JFK. “Mais depuis, la concentration de l’industrie a abouti à une baisse des capacités et donc une hausse des prix. Le moment est parfait pour lancer ce service exclusivement ‘business’ à petit prix“, note Peter Luethi.
La Compagnie promet des prix 35 à 50 % moins chers que la concurrence, avec des allers-retours à partir de 1.800$ et jusqu’à 4.600$. Pendant l’été, une offre spéciale de lancement permettra d’acheter deux allers-retours pour 1.776 euros, valable jusqu’au 5 septembre. Cette offre ne vaut pour le moment que pour les billets achetés en France, où la vente est ouverte (sur le site www.lacompagnie.com) depuis lundi.
Aux Etats-Unis les billets ne pourront être mis en vente qu’après réception de l’agrément fédéral, “fin juin ou début juillet” mais l’offre de lancement faite de ce côté-ci de l’Atlantique sera “tout aussi séduisante” promet Jean-Charles Périno, directeur général délégué de La Compagnie.
Dans un premier temps, les vols auront lieu cinq jours par semaine (départ de Paris à 17h50 pour arriver à Newark à 20h30, retour à 21h45 avec atterrissage à Roissy à 11h15), avant de passer à six en septembre puis sept jours à l’automne. Les dirigeants prévoient d’ajouter un deuxième avion en décembre “soit sur la même ligne pour doubler la capacité, soit une autre destination, en fonction des résultats des premiers mois“.
A l’intérieur de la cabine, “un confort business qui n’est pas le plus luxueux du marché, mais le meilleur rapport qualité-prix” promet Peter Luethi. Les 74 fauteuils s’inclinent à 180° (mais n’offrent pas la position totalement horizontale). Les repas sont servis à l’assiette par les trois hôtesses ou stewards. Le divertissement est assuré par une tablette Samsung Galaxy et, à partir de l’automne, une connection wi-fi.
La Compagnie a levé 30 millions de dollars auprès d’investisseurs principalement français et européens, dont Charles Beigbeder,  co-président du conseil de surveillance et Michel Cicurel, ex-patron de la Compagnie financière Edmond de Rothschild, réunis par le PDG Frantz Yvelin, qui fut à l’origine également de l’Avion, compagnie lancée en 2007 et depuis rachetée par Open Skies (propriété de British Airways). Un groupe d’experts qui croient dur comme fer au “tout business low cost“.

Un nouveau guide sur New York

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C’est le dernier né des éditions Hikari. Le guide Portraits de New York vous invite à découvrir la Big Apple grâce au regard de ceux qui y vivent.
Chaque année, ils sont de plus en plus nombreux à venir y tenter leur chance. Aldo, Phyllis, Yacine et bien d’autres, vous racontent leurs aventures, depuis leur arrivée à New York jusqu’à leur vie quotidienne dans la mégapole. Des parcours multiples dans la Grosse Pomme, des récits de vie, mais aussi plus de 300 adresses “incontournables”, bons plans, promenades… Une manière originale de découvrir New York.

Le DJ Joachim Garraud de passage à Los Angeles

Le DJ français Joachim Garraud sera à Los Angeles le 4 juillet et se produira à l’Exchange L.A.
Son nom vous est peut-être étranger. Et pourtant, ce DJ occupe une place privilégiée dans le paysage électro français. Au-delà ses collaborations avec les plus grands –David GuettaCarl Cox, Martin Solveig entre autres- Joachim Garraud a produit des artistes de renom comme Jean-Michel Jarre, Paul Johnson, Deep Dish, David Bowie, Kylie Minogue, Mylène Farmer, Cassius, Ceronne, Moby, Robbie Rivera ou encore David Guetta.
C’est aux côtés de Laurent Garnier qu’il commence en tant que DJ au Boy, un club parisien, après avoir étudié sept ans le piano et les percussions au Conservatoire. C’est, pour l’instant, la seule date annoncée du DJ outre-Atlantique pour cet été.
 
 

Regardez la Coupe du Monde… sur Governors Island

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Les aficionados du ballon rond peuvent se retrouver sur Governors Island pour regarder les matches.
Cathy Lang Ho et son mari francais, Stefan Jonot, ont décidé de transformer l’ile en espace de projection géant. Les retransmissions auront lieu sur trois sites : le Governors Beach Club (au bord de l’eau, dans le nord de Governors Island), sur la pelouse centrale “Parade Grounds” et au Building 403 de Colonels’ Row. Elles sont gratuites.
Pour attirer les fans de foot, le couple a réussi à convaincre le New York FC (un des clubs de foot locaux) de participer en sponsorisant une «fun zone », qui propose de nombreux jeux en lien avec le foot. Le service du ferry sera étendu pour certains matches pour vous éviter de rester bloqué sur l’ile.
LIRE AUSSI: VOIR LES BLEUS A NEW YORK

Le Fooding s'installe à Rockaway

Des après-midis ensoleillés, avec un bon repas, sur fond de musique, sur une plage… que demander de plus ?
Les 11, 12 et 13 juillet, vous avez rendez-vous avec Fooding Beach Club à Rockaway. Chefs cuisiniers de renom et DJs s’allieront trois jours durant pour apporter à Manhattan un air de vacances !
Le 11 juillet, le chef Ivan Orkin revisitera le ramen, célèbre plat japonais tandis que Cibo Matto sera aux platines. Le 12 juillet, venez écouter Jona Bechtolt et Claire L. Evans en dégustant un magret de veau préparé par le chef français Ludo Lefebvre (Trois mec).
Enfin, la dernière journée sera marquée par les plats de Enrique Olvera qui proposera des chilaquiles, ce plat typiquement mexicain. Et la musique sera assurée par Nancy Whang.
À noter, que le groupe New York Brass Band assurera la musique live, en plus des DJs. La chef Christina Tosi quant à elle (Momofuku Milk Bar) se chargera du dessert pendant ces trois jours gourmands.
Sachez que 10% des recettes des tickets seront reversés à Graybeards, une association caritative qui participe à l’effort de reconstruction des Rockaways suite à l’ouragan Sandy.

Où acheter le maillot de l'équipe de France à New York?

Les Bleus sont en quarts de finale, raison de plus pour arborer fièrement vos couleurs dans la rue et dans les bars !
Pour l’occasion, French Morning vous aide à vous habiller en Bleu. Voici notre sélection des magasins où l’on peut trouver le maillot officiel de l’équipe de France. Tous les magasins cités disposaient de maillots lundi. On vous conseille néanmoins de leur passer un coup de fil pour vérifier qu’ils en ont toujours en stock.
Upper 90: dans ce petit magasin situé dans l’Upper West Side (et à Brooklyn), on trouve les maillots de tous les pays, dont celui des Bleus. Hommes et femmes. Les maillots se vendent pour 90 dollars. 697 Amsterdam Ave.(646) 863-3105. Site
Home of Soccer: les maillots de l’équipe de France – hommes et femmes – sont vendus pour 79,95$ dans ce magasin de l’Upper East Side. 1745 1st Ave. (212) 427-6050 Site
Niketown: Seuls les maillots hommes sont vendus ici pour 90 dollars. Un vendeur indique que le prix du maillot gagne 30 dollars quand il est floqué de “Ribery”. Dommage qu’il ne joue pas. 6 E 57th St. (212) 891-6453. Site
EuroMex: Ce magasin de Spanish Harlem qui cible la population hispanique vend aussi le maillot bleu homme des Bleus. Uniquement des maillots hommes sont disponibles pour 70 dollars. 246 E 116th St. (646) 398-8074 Site
LIRE AUSSI: VOIR LES BLEUS A NEW YORK
City Sports 90:  Maillots bleus et blancs disponibles pour 90 dollars.  Hommes uniquement. 64 West 48th Street. (212) 730-2009. Site
Paragon 90: Les maillots sont vendus pour 90 dollars. 867 Broadway, près d’Union Square. (212) 255-8889. Site
Modell’s: Présente à Manhattan, Brooklyn et dans le Queens, la chaine propose les maillots de toutes les équipes, dont les Bleus, pour 90 dollars. Site
Il est possible de trouver des reproductions du maillot officiel pour moins cher (et de moins bonne qualité) un peu partout dans New York. On vous conseille d’aller voir à Harlem et Little Italy à Manhattan, ou encore sur Steinway Street à Astoria (arrêt Steinway Street sur les lignes M et R dans le Queens), où plusieurs magasins proposent le maillot pour 30 à 70 dollars.
 

La résidence de l'ambassadeur à l'ONU part pour 70 millions de dollars

La vente dépasse tous les espoirs du Quai d’Orsay: mis en vente pour 48 millions de dollars, le duplex qui servait de résidence à l’ambassadeur de France auprès des Nations Unies est finalement parti pour 70 millions de dollars.
L’information est donnée par Olivier O’Mahony, le correspondant de Paris Match à New York qui révèle que l’acheteur est Israel Englander, un financier milliardaire américain, fondateur du hedge fund Millenium, dont la fortune est estimée à plus de 3 milliards de dollars. L’homme habite déjà dans le prestigieux immeuble, au 740 Park Avenue, juste au-dessus, au 14ème étage. Il ne compte pas déménager: les 18 pièces sur 700 m2 vont lui permettre d’accueillir ses enfants et petits-enfants lors de leurs visites à New York.
Le milliardaire avait indiqué son intérêt très tôt d’après des sources proches de la transaction, mais il a eu fort à faire. “Tous les milliardaires de la ville ont défilé pour visiter l’appartement, note l’ambassadeur Gérard Araud. S’en est suivie une bataille d’enchères dont Israel Englander est sorti victorieux. Argument majeur en sa faveur: étant déjà co-propriétaire dans l’immeuble, il ne devrait avoir aucune difficulté à passer le barrage souvent difficile du “board”, dont l’accord est nécessaire.
La vente représente une plus-value comme l’Etat français en fait peu: comme French Morning vous le racontait lors de la mise en vente, l’appartement avait été acheté pour 600,000 dollars en 1979, soit environ deux millions de dollars d’aujourd’hui. Une “culbute” d’autant plus appréciable que le représentant de la France va être relogé dans un immeuble lui aussi très prestigieux (le River House sur l’East River, 52ème rue) pour la modique somme de 7,8 millions de dollars. Gérard Araud ne sera pas du déménagement: il vient d’être nommé à Washington comme ambassadeur aux Etats-Unis, remplaçant François Delattre qui vient lui prendre sa place auprès des Nations Unies.

Bob Sinclar met le feu à Miami à la rentrée

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Papa de “Love Generation”, un tube popularisé par le générique de l’émission de télé-réalité la Star Academy, et de l’excellent “World, Hold On”, Christophe le Friant alias “Chris the French Kiss”, encore plus connu sous le nom de Bob Sinclar, se produira à Miami le 30 août.
Entre hymnes reggae, remixes de Madonna et sonorités disco, ce Dieu vivant (et souvent bronzé) des platines enflammera The Wall, à Miami.
Si vous le loupez cette fois pas de panique, le DJ reviendra se produire dans le club les 8 novembre et 6 décembre.

Disparition d'Ultra Violet, muse française de Warhol

Ultra Violet, figure de la scène artistique new-yorkaises des années 60 et muse d’Andy Warhol, est décédée samedi des suites d’un cancer. Elle avait 78 ans.
Isabelle Collin Dufresne, de son vrai nom, a côtoyé Andy Warhol au sein de son studio “The Factory”, pendant les années fastes du pop-art. De sa relation avec Warhol, elle a tiré un mémoire, “Famous For 15 Minutes: My Years with Andy Warhol”.
Lire aussi: De Dali aux mormons, en passant par Warhol
Amante et élève de Salvador Dali, qui la présenta à Warhol, Ultra Violet a figuré dans une dizaine de films entre 1965 et 1974, dont « The Life of Juanita Castro » . Elle a continué à travailler comme artiste jusqu’à sa disparition, après avoir frôlé la mort en 1973. Musicienne, actrice, artiste: cette Iséroise aux talents multiples, qui partageait sa vie entre New York et Nice, a récemment fait l’objet d’une exposition à la Dillon Gallery de Chelsea.

Pourquoi ne trouve-t-on pas de Kinder Surprise aux Etats-Unis ?

Parce qu’ils ont toujours été interdits !
“Les oeufs en chocolat Kinder sont interdits de vente et d’importation aux Etats-Unis car ils contiennent un jouet caché à l’intérieur, ce qui engendre un risque d’étouffement et d’aspiration pour les enfants âgés de moins de trois ans”, affirme le service fédéral des douanes et de la protection des frontières, dans un communiqué, qu’il diffuse à l’occasion de Pâques et de Noël. L’administration met notamment en garde les touristes et les étrangers contre toute importation illégale de cette marchandise.
Une réglementation américaine, qui remonte aux années 30, prohibe en effet la dissimulation d’un élément non comestible à l’intérieur d’un aliment.
Régulièrement, les douanes effectuent des perquisitions d’oeufs. Le 6 novembre 2013, elles ont par exemple saisi 108 oeufs en provenance d’Allemagne. En 2011 60 000 oeufs -un record-  ont été saisis pendant l’année. Des individus surpris avec des oeufs Kinder sur le territoire américain s’exposent à des amendes de plusieurs centaines de dollars par oeuf.
Partout ailleurs dans le monde, ces chocolats sont une poule aux oeufs d’or pour Ferrero. Depuis leur création en 1974, l’entreprise italienne en a vendu 30 milliards – avec au total, 8 000 jouets différents.
L’année dernière, Candy Treasure, une entreprise américaine, a tenté d’investir ce marché en contournant la loi. Dans les oeufs Choco Treasure, le jouet est visible de l’extérieur (entre les deux moitiés de l’oeuf), et passe ainsi au travers des mailles de la réglementation.

16 façons d'avoir l'air bête à New York

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Malgré nos meilleurs efforts pour se fondre dans la masse, il y a quelque chose qui ne passe pas. Que cela soit écrit “touriste” ou “expat” ou non sur notre front, les coutumes locales, on a parfois un peu de mal à s’y faire. Ce qui donne lieu a des situations cocasses. Cette liste provient de plusieurs années d’apprentissage douloureux.
1. Quand on ne comprend pas votre accent alors que ça fait des années que vous vivez ici
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2. Quand on tente de poster des lettres dans la boîte verte avec le logo de la poste…qui n’est en fait qu’une boite de relais pour les postiers

 
3. Quand on laisse sa carte bancaire dans le distributeur et que l’on attend, longtemps. Ici, on “swipe”!
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4. Quand on monte dans un métro express sans s’en rendre compte, que l’on atterrit 5 arrêts après le nôtre, et que l’on refait le chemin inverse avec un métro local comme si de rien n’était
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5. Quand on se prend la tête avec un serveur parce que on a oublié de lui laisser un pourboire
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6. Quand une vendeuse nous demande « debit or credit? » à la caisse et qu’on lui tend notre carte bancaire pour qu’elle puisse répondre toute seule à sa question
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7. Quand on allume une clope dans un parc et que quelqu’un nous lance un regard noir en nous disant qu’il est interdit de fumer. 
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8. Quand on fait un scandale à la caisse d’un magasin parce que le prix affiché n’est pas le prix payé
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9. Quand on attend le bus et que l’on monte dedans comme un sauvage. Non, ici les gens sont civilisés
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10. Quand on marche à contre sens sur le trottoir…
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11. Quand on veut nous aussi aller faire notre footing à Central Park pour pouvoir le dire à nos potes en France, et qu’on se rend compte qu’on n’a pas le niveau 
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12. Quand on n’arrive toujours pas à s’orienter à la sortie d’une bouche de métro
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13. Quand on donne une mauvaise direction à un touriste alors que l’on habite à New York depuis quinze ans.
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14. Quand on découvre la carte de Starbucks
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15. Quand on fait la bise à un/une Américain(e) au lieu de lui serrer la main 
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16. Quand on fraude dans le subway (alors que personne ne le fait)
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