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Expatriés: investir malin pour les entreprises et les particuliers

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(Article partenaire). Comment planifier votre retraite quand vous êtes Français aux Etats-Unis ? Comment optimiser votre stratégie d’investissement, et comment assurer correctement votre famille? Alexandre Mansour détient les réponses aux questions que vous vous posez. Conseiller au sein d’Axa Advisors, il s’adresse aux expatriés français aux Etats-Unis, particuliers et entreprises. 
Pourquoi s’adresser aux expatriés ?
Les expatriés sont une niche du marché dont personne dans l’industrie ne s’occupe. Ils ont des besoins très particuliers. Certains veulent passer leur vie ici, d’autres veulent rentrer en France. Nous accompagnons également les entreprises qui souhaitent s’implanter sur le territoire américain.
Pour les individus, au niveau des impôts, que se passe-t-il s’ils ont l’intention de rentrer en France. Doivent-ils rapatrier leurs fonds des Etats-Unis ? Et s’ils emménagent aux Etats-Unis, que font-ils de ce qu’ils ont en France ? Le but pour moi, c’est d’accompagner ces individus qui ont des questions,  et également les mettre en contact avec des avocats, des comptables et d’autres sociétés de services.
Quels sont les avantages à passer par Axa?
Passer par la plateforme Axa leur permet d’avoir accès à un éventail de services spécifiquement mis en place pour eux.  Axa est la plus grande société financière et d’assurance au monde. En tant que société d’assurance, nous avons accès à des produits financiers aux taxations très avantageuses. En termes de conseil en investissements, nous sommes l’une des équipes qui travaille le mieux aux Etats-Unis. Et il n’y a pas de coût supplémentaire pour le client lorsqu’il utilise nos services, alors pourquoi ne pas les utiliser? Dans l’équipe, nous venons tous d’horizons très différents. J’ai voyagé pendant onze ans et j’ai vécu en Chine, au Japon, en Inde et en Roumanie. J’ai eu des expériences professionnelles et d’étudiant sur tous les continents. J’ai deux MBA. J’ai acquis une manière de penser innovante.
Quelle est votre clientèle?
Les individus, et les entreprises, que nous aidons viennent de tous les horizons, et beaucoup sont dans la finance, ou sont des avocats. Ce sont surtout des individus qui travaillent de longues heures, et qui n’ont pas le temps de s’occuper de leurs finances personnelles. Les particuliers représentent la majeure partie de notre activité. Tout ce qui est optimisation fiscale, assurance-vie, planification de retraite, droit de succession, planification financière constituent le cœur de mon métier. 
Pourquoi ont-ils besoin d’aide ?
Les Français sous-estiment la difficulté du système américain. En général, les individus ne savent pas quoi faire, et ont tout simplement besoin d’obtenir les bonnes informations pour mettre en place leur stratégie. Mon but, c’est de les accompagner dans leurs démarches. Ensuite, il y a la question de la taxation des droits de succession, pour laquelle nous avons des stratégies attractives.  Tous les traités entre la France et les Etats-Unis intéressent aussi nos clients. Aux Etats-Unis, nous sommes dans un environnement moins punitif qu’en France quand on connait les règles.
Comment les prenez-vous en charge ?
Chaque membre de l’équipe a une spécificité particulière. Certains s’occupent uniquement de planification de retraite, d’autres d’assurance-vie et d’avantages collectifs pour les entreprises, et d’investissements. Pour chaque client, on va réussir à trouver la bonne combinaison.
On a un panel de services très large. Le seul moyen de savoir si je peux aider, c’est de discuter. Ça prend un quart d’heure. Je crois dans les relations durables. Si je ne peux pas aider, mais que j’ai un réseau d’avocats, de comptables et une société de services, je vais mettre mon interlocuteur en contact. L’objectif: faire de la qualité et non du volume. Cela me distingue de la compétition. C’est pour cela que les Français aiment bien travailler avec nous: nous offrons une méthode de travail à la française avec une dynamique américaine. Si un Français veut monter une filiale ici, il a accès à un réseau que j’ai mis des années à créer ici.
Pour contacter Alexandre Mansour

Tel: 212 541 1957

Site: www.expats-advisor.com

Le PDG de XL Airways: "Les Etats-Unis sont notre premier marché"

Arrivée aux Etats-Unis il y a cinq ans, XL Airways s’est fait une place sur le marché transatlantique et dessert désormais New York, Miami, San Francisco et Las Vegas depuis Paris. Et opère un Marseille-New York. Si la compagnie (propriété à 100 % du fonds américano-suisse Beachside) a perdu de l’argent l’an dernier, notamment aux Antilles, les bonnes nouvelles sont venues d’Amérique. Et vont continuer: Laurent Magnin annonce pour l’an prochain une ou deux autres villes de province. Interview.
French Morning: Comment marchent les choses pour XL Airways aux Etats-Unis?
Laurent Magnin: Bien! C’est notre premier marché, tant en taux de remplissage qu’en rendement. Le marché transatlantique est certes “sous contrôle”, dominé par les grandes compagnies, mais une petite comme la nôtre peut “passer sous le radar” et nous profitons d’être tournés avant tout vers les touristes. Cette année nous avons une stagnation de la demande en France, mais ça a été plus que compensé par la progression de nos ventes aux Etats-Unis: désormais 35% de nos vols transatlantiques sont achetés depuis le territoire américain, principalement par des Français expatriés mais aussi de plus en plus par des Américains.
FM: Vous communiquez principalement sur vos prix. Votre priorité est d’être moins cher qu’Air France?
Laurent Magnin: Notre objectif est d’offrir un vol direct au même prix que les vols avec escale, ce qui nous place logiquement très en-dessous des autres compagnies en vol direct. La conséquence, c’est qu’en arrivant sur les vols transatlantiques (il y a 5 ans, NDLR), nous avons finalement redonné à une entreprise française des parts de marché qui partaient avant à des compagnies étrangères.
Ce qui nous permet d’être moins cher, c’est avant tout d’avoir fait le choix de la saisonnalité. Sur cette destination, de mai à septembre, la demande est très forte et les avions de toutes les compagnies sont pleins. Mais l’hiver, c’est beaucoup plus difficile: les compagnies traditionnelles perdent de l’argent qu’ils récupèrent l’été. Nous, l’hiver nous mettons nos avions sur des destinations plus rentables, ce qui nous permet d’offrir ces tarifs les moins chers l’été!
FM: L’an dernier vous avez volé entre Paris et New York jusqu’à Noël, vous ne le ferez donc pas cette année?
Laurent Magnin: Non cette année nous arrêtons sur cette destination le 6 septembre, en revanche nous allons reprendre pour les vacances de Noël. Et surtout nous allons continuer notre expansion aux Etats-Unis. Après New York, Miami, San Francisco et Las Vegas, nous envisageons d’ajouter Los Angeles.
FM: Côté français, l’ouverture de la liaison Marseille-New York a eu des résultats mitigés l’an dernier. Cela signifie qu’il n’y a que Paris qui marche?
Laurent Magnin: Au contraire! Nous avons ouvert l’an dernier. Il faut toujours deux à trois ans pour qu’une nouvelle destination marche. Nous avions bien marché en juillet et août, c’est pour cette raison que nous n’avons conservé que ces deux mois cette année, mais nous allons repasser à juillet-septembre en 2015. Et surtout, nous croyons tellement aux destinations de province que nous avons l’intention d’en ouvrir deux nouvelles dès l’année prochaine. Nous avons lancé un appel à candidature auprès de Bordeaux, Toulouse, Lyon et Nantes et, après étude de marché, nous ferons le choix en septembre pour une ouverture l’an prochain.
 

Du poker à la photo: Sharalike vise le jackpot

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Pour présenter son entreprise, Aymeric Vigneras a un pitch bien rodé. « Je me baladais avec des amis à Cape Cod, et nous avions fait plein de photos. Je leur avais promis un petit montage. Cela m’a pris des heures, c’était pénible. Je me suis dit qu’il y avait un moyen de rendre cela plus facile. C’est comme cela qu’est né Sharalike. »
Une idée simple qui lui a valu de gagner, jeudi 12 juin, la première place d’un concours de start-ups organisé par Boston Tech Jam.
De quoi s’agit-il, exactement ? D’une application gratuite (sur iOS et sur le web) permettant de trier vos photos et vidéos, et réaliser des petits montages automatiquement. « Notre volonté, c’est de rendre cette activité sympa, divertissante, comme un jeu. »
Et question jeu, Aymeric Vigneras s’y connait. Ce Français était arrivé aux Etats-Unis en 2010 en tant que patron d’Everest Gaming, plateforme française de poker en ligne rachetée par la société américaine CIDC. « Sharalike est ma troisième société. J’ai déjà créé, à Paris, une société d’édition de logiciels, puis une société de conseil » affirme Aymeric Vigneras, qui travaille aussi, depuis Boston, comme consultant pour des entreprises françaises s’installant aux Etats-Unis.
Son associé, Etienne Leroy, est aussi un habitué du tapis vert : ce diplômé de l’école de commerce de Reims a travaillé dans le milieu du jeu en ligne, en France puis à Boston.
Reste que le pari n’est pas sans risques : Sharalike est loin d’être la seule application sur ce créneau, qui compte d’autres joueurs comme Flipagram ou Magisto. Mais les deux Français espèrent se distinguer par l’aspect pratique du format de partage (un lien HTML), et par leur technologie qui reconnait les meilleures images.
Installés dans les locaux du Cambridge Innovation Center, les deux associés ont réuni une mise de 900.000 dollars (famille, amis, et quelques angels), et revendiquent, en trois mois d’existence, 12.500 utilisateurs. Ils réfléchissent désormais à un modèle économique viable. « A priori, les cinq premiers gigas seront gratuits, et ensuite il faudra payer pour avoir plus d’espace », détaille Etienne Leroy. La formule pour décrocher le jackpot ?

L'art surnaturel de Philippe Avignant à Brooklyn

Les œuvres de l’artiste-peintre français Philippe Avignant seront exposées à la galerie Warehouse 623 de Brooklyn, du 26 juin au 16 juillet.
Aussi bien influencé par le mouvement punk des années 1970 et 1980 que par les maîtres de la Renaissance, l’art de Philippe Avignant ne laisse pas de marbre. Grâce à l’utilisation de couleurs fortes – quand ses œuvres ne sont pas en noir et blanc – l’artiste parvient à créer un univers sobre, macabre parfois, habité par des personnages défigurés, étonnamment agréables à regarder. Installé à New York depuis 2003, c’est la cinquième fois que Philippe Avignant expose son travail dans la ville. Il a aussi fait l’objet d’expositions en France.

Dans la presse US: "Les Bleus ont la rage"

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Revue de presse. Et 1, et 2 et 3-0 ! La France a raté sa sortie du mondial 2010, elle a réussi son entrée dans celui de 2014 en venant à terme d’une équipe du Honduras généreuse en tacles vicelards et coups de coude.
Avant que la France ne remporte ce premier match, ABC News décidait de nous rappeler quelques mauvais souvenirs, en revenant, vendredi, sur le parcours chaotique des Bleus en 2010. Mais cet échec peut se transformer en force, selon la chaine: « tirer cette difficile leçon de l’expérience traumatisante de la Coupe du Monde 2010 a rendu la France plus forte, et les joueurs sont prudents mais optimistes quant à leurs chances d’aller loin cette fois », commence l’article.
Il y a quatre ans, les Bleus plongeaient la France et le monde du sport dans l’embarras, refusant de s’entraîner et ne parvenant pas à gagner un seul match de poule. Mais les temps ont changé: « Ce groupe a la rage, il est concentré et déterminé à se rattraper pour ses erreurs ». Si ABC devait parier sur un joueur, ça serait sûrement Karim Benzema qui, selon la chaîne, a fait « une saison couronnée de succès ». Elle ne s’est pas trompée puisque l’attaquant du Real Madrid a mis deux buts hier face au Honduras.
Le New York Daily News revient lui sur une drôle d’histoire. Il rapporte les propos de Didier Deschamps, affirmant qu’un drone a été utilisé pour espionner les Bleus lors de leur entrainement en vue de leur match contre le Honduras. Mais le quotidien n’est pas dupe. « Si le Honduras est derrière le coup, c’est un échec : la France a piétiné Los Catrachos 3 à 0 ». En tout cas, la FIFA mène l’enquête.
L’article rabat-joie du jour se trouve dans leWashington Post. Dans un article au titre désenchanté  – « La Coupe du Monde ne rassemble pas les peuples. Elle les déchire » – Omer Aziz ne fait pas dans la nuance. « Les compétitions sportives internationales entretiennent les veilles rancœurs ethniques et nationales entre les peuples et elles renforcent les divisons, la ségrégation et la diabolisation des autres ».
Pour appuyer son argument, il revient sur la violence qu’avait engendré le match perdu des Russes contre les Japonais à la Coupe du Monde 2002, faisant deux morts après des échauffourées. Pour lui, pas de doute : « La seule façon dont la Coupe du Monde rassemble les peuples, c’est en leur donnant encore une nouvelle raison d’hurler que leur pays est meilleur que le vôtre ».
BNP dans le rouge
On laisse le football de côté pour s’intéresser à l’affaire BNP Paribas. Le Wall Street Journal revient sur l’amende possible infligée à la banque français et affirme que « le gouvernement français a fait des progrès en tentant de convaincre les autorités américaines de modérer l’amende potentielle de 10 milliards d’euros infligée à la banque française BNP Paribas ».
Le journal rapporte que le gouvernement  «  a cherché à influencer la négociation sur la pénalité encourue » tout en rappelant que François Hollande en personne aurait écrit une lettre à Barack Obama pour réclamer des sanctions moins importantes. Selon le journal, le plus probable serait que la banque puisse faire l’objet de restrictions sur certains transferts d’argent via les bureaux new-yorkais de la banque. “Une alternative moins drastique que de révoquer la licence de la banque, ce qui l’obligerait à cesser ses activités aux Etats-Unis“.
Cadenas d’amour, cadenas de mort
Les cadenas de l’amour sur le Pont des Arts de Paris continuent de faire parler d’eux, et pour cause un morceau du grillage avec les dits cadenas s’est effondré, obligeant les autorités à fermer temporairement le pont. « Les milliers de cadenas qui cliquettent sur le Pont des Arts à Paris sont devenus un symbole de danger plutôt que d’amour, après qu’un bout du grillage se soit effondré sous leurs poids », peut-on lire dans USA Today .
Si l’article précise que personne n’a été blessé, il affirme néanmoins qu’il devient urgent de trouver des alternatives à cette expression de romantisme. USA Today précise que « la ville a déjà sollicité les suggestions d’artistes sur ce qu’elle peut faire des cadenas lorsque le grillage s’effondre ». En attendant la réponse, reste à espérer que le pont ne commence pas à s’affaisser sous le poids de l’amour.

Yelle s'offre une nouvelle tournée américaine

La romance entre les États-Unis et Yelle n’en finit plus. Julie Budet, Grand Marnier, Tepr forment un trio atypique qui rencontre un succès florissant à l’étranger, et plus particulièrement aux États-Unis.
Vingt-trois dates viennent d’être annoncées pour leur nouvelle tournée en Amérique, qui se déroulera en octobre et novembre 2014 : le groupe se produira entre autres à New York, San Francisco et Los Angeles.
C’est par le réseau social MySpace que Yelle se fait connaître avec le single “Je veux te voir”, en 2006 . Alliant paroles provocatrices et sonorités disco/eigthies , le trio électro-pop français détonne (peut-être un peu trop pour le public français). Qu’importe, les Américains eux, adorent.
Avec deux albums au compteur, le groupe s’impose parmi les artistes français les plus en vogue à l’étranger. 2011, c’est l’année charnière pour Yelle : avec la sortie de son second opus Safari disco club, le groupe réalisait 132 concerts sur 150 à l’étranger sur cette seule année. C’est dire! Aux États-Unis, il débarquait à Coachella et commençait à remplir les salles à travers le pays. Enfin, en Grande-Bretagne, Katy Perry entichée de la chanteuse du groupe, l’invitait sur sa tournée britannique. La consécration.
 
 

Patrick Bruel: « L'équipe de France ira loin »

Ça n’est pas un secret : Patrick Bruel est un grand fan de foot. Régulièrement au Parc des Princes pour soutenir son équipe fétiche, le PSG, c’est aussi un fan des Bleus.
Alors, quand French Morning l’a eu au téléphone pour parler de sa tournée prochaine aux Etats-Unis, on n’a pas résisté à l’envie de lui demander ses pronostics pour la Coupe du Monde de football.
Le chanteur, comédien, et champion de poker en est persuadé: « la France ira loin dans cette compétition ». Avant de concéder: « J‘avais plus de certitudes avant que l’on perde deux joueurs exceptionnels, Clément Grenier et Franck Ribéry, en deux jours ». Les deux talentueux millieux de terrain sont forfait pour le mondial, l’un pour une blessure aux adducteurs, le second pour une lombalgie. Patrick Bruel va même plus loin. « Ca serait génial qu’on ait un quart de finale France-Allemagne, et une demi-finale contre le Brésil ».
Bon joueur, il précise aussi qu’« il y a beaucoup d’équipes exceptionnelles à suivre pendant la coupe du monde ». Pour lui, la Belgique et l’Uruguay méritent qu’on s’intéresse à elles. «En tout cas, conclut-il, ça sera certainement un premier tour tout plein de surprises !». On l’espère aussi!

Cécile McLorin Salvant, princesse du jazz, revient à New York

Si vous ne connaissez pas le phénomène Cécile McLorin Salvant, c’est le moment de vous y mettre.
La chanteuse de jazz francophone, nominée aux Grammy Awards dans la catégorie Meilleur Album de Jazz Vocal pour son album “WomanChild”, sera en concert le 24 juin au Damrosch Park à New York.
Née à Miami, formée au chant lyrique à Aix en Provence, la jeune femme de 24 ans, d’origine haïtienne et guadeloupéenne, est une étoile montante de la scène jazz mondiale. Elle séduit les foules qui la croisent dans des festivals en Europe et aux Etats-Unis. Et malgré, son jeune âge, elle a joué avec les plus grands. Parmi eux, Wynton Marsalis et son Orchestre Jazz at Lincoln Center, Aaron Diehl, Rodney Whitaker et Jacky Terrasson. En 2010, elle remporte la compétition Thelonious Monk, graal des musiciens de jazz.

San Francisco célèbre le film LGBT

Onze jours durant, les passionnés de cinéma, les artistes et la communauté LGBT de la Baie de San Francisco (et du reste du monde) se donnent rendez-vous au Festival International de Films LGBT, du 19 au 29 juin.
Plus de 30 pays seront représentés, dont la France (avec entre autre « Violette » le 23 et « Yves Saint Laurent »le 21), avec une mise en lumière spéciale sur les films LGBT dans la Russie d’aujourd’hui. Le festival ouvrira les festivités avec « The Case Against 8 », un documentaire américain exceptionnel tourné sur cinq ans qui documente la bataille juridique de deux avocats contre la Proposition 8 en Californie, interdisant les mariages de personnes de même sexe.
Cette année, le festival a décidé de rendre hommage à l’acteur et activiste George Takei en lui remettant le Frameline Award pour avoir contribué à rendre visible les minorités LGBTQ dans les médias. Le film “To be Takei”, qui lui est consacré, sera montré pour l’occasion.

Vague de sirènes à Coney Island pour la Mermaid Parade

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C’est le retour de la traditionnelle Mermaid Parade ! Rendez-vous à Coney Island le 21 juin pour participer au plus grand défilé artistique des États-Unis !
Cet événement célèbre, chaque année, la mythologie avec quelques 1.500 participants aux costumes (très) créatifs. Fondée en 1983, la parade n’a pas pris une ride. Les deguisements les plus fous, les chars les plus colorés et les personnages les plus déjantés défileront pour le plus grand plaisir de vos yeux. N’oubliez pas votre appareil photo pour immortaliser cette tradition new-yorkaise, qui attire des milliers de curieux.
Le défilé débutera à West 21st Street et Surf Avenue à Coney Island à 13h.

9 endroits pour jouer au foot sans pression à New York

Vous avez regardé tranquillement les pros jouer à la télé? L’heure est maintenant venue de chausser les crampons pour faire comme eux (avec les pauses clope en plus). Heureusement pour vous, plusieurs groupes de “pick up soccer” existent à New York. Le principe: des footeux et des footeuses, qui ne se connaissent pas toujours, se retrouvent pour jouer dans une athmosphère bon enfant. C’est simple, convivial et bon pour la santé.
Manhattan
Sarah Roosevelt Park: le paradis du footeux amateur, en plein cœur du Lower East Side. Des matches se déroulent en permanence au Nike Field, terrain synthétique, en 6 contre 6. Il se situe au croisement de Christie and Stanton Streets.
Chelsea Piers: Tous les vendredis, de 20h30 à 22h, sortez vos crampons. Le célèbre complexe sportif au bord de l’Hudson accueille les amateurs pour des matches de 90 minutes. Pour les plus de 18 ans seulement. Gratuit pour les membres. 10 dollars pour les non-membres. Tous niveaux.
Central Park: les terrains 8 et 9 de la Grande Pelouse (“Great Lawn) du parc sont réservés aux matches de foot le week-end. N’oubliez pas votre ballon! Entre les 79 et 95e rues.
East River Park (East 12th Street et FDR Drive). Il faut marcher un peu depuis le métro le plus proche pour y arriver (ça échauffe), mais le terrain, au bord de l’East River, grouille de joueurs en permanence, en particulier les week-ends en journée.
Fondé par un groupe d’amis qui en avaient marre de jouer avec des amateurs qui se croyaient en Coupe du monde, Pickup Soccer NYC propose des matches à Central Park, dans le Lower East Side, l’Upper West Side et Brooklyn. Les inscriptions sont en cours. Il est possible de s’inscrire en groupe. Pour les inscriptions individuelles: 125 dollars pour les matches en semaine. 330 pour un pass pour l’année. Il est possible de participer à un match gratuitement avant de s’inscrire.
NYC Soccer Pickup se retrouve tout le week-end à Manhattan (s’inscrire pour connaitre les lieux). Ouvert aux hommes et aux femmes. Tous les niveaux.
Brooklyn
McCarren Park (Williamsburg): McCarren Park Soccer for Advanced Players, comme son nom l’indique, s’adresse aux joueurs qui ont un bon niveau de foot. Le groupe cherche des joueurs capables de jouer à un niveau “compétitif” en 11 contre 11. Tous les mercredis à 20h. Pour les hommes uniquement.
Plus cool, Brooklyn Pickup Soccer joue tous les dimanches à 14h à Prospect Park.
Queens
Le groupe de “pick up” qui enregistre le plus de membres sur meet up est Fun Times Soccer. Ouvert aux joueurs et aux joueuses, il se réunit le week-end (samedi et dimanche), en matinée, à Long Island City, dans le Queens. Tous les niveaux sont acceptés. Les rencontres se terminent en général par un brunch.
Pour une liste de tous les parcs new-yorkais qui disposent d’un terrain de foot, consulter le site du Département des Parcs.

La Tarte Flambée ouvre son deuxième restaurant

J’aime bien faire les étagères. Je m’engueule tout seul quand je me mets le marteau sur les doigts“. Mathias Peter repart de zéro. L’Alsacien vient d’ouvrir son deuxième Tarte Flambée, son restaurant spécialisé dans la flamme-küche. Depuis deux ans, il régalait l’Upper East Side. Il s’attaque à présent à Murray Hill en ouvrant sa tablée sur la 33eme rue (entre Lexington et 3eme avenue).
Lire aussi: L’Upper East Side, tout feu tout “flamme-küche”
Beaucoup de personnes voulaient venir au restaurant de l’Upper East Side mais il était trop petit et je devais refuser du monde. Je perdais du business“, précise le restaurateur pour justifier l’ouverture de ce nouveau bébé.
Ce dernier est plus grand que sa grande sœur de l’Upper East Side, un restaurant tout en longueur sur 2nd Avenue. Il peut accueillir jusqu’à 35 personnes à l’intérieur et 40 autres en extérieur, sur une terrasse située à l’arrière du restaurant qui servira notamment à diffuser les matches de la Coupe du monde. Cerise sur le gâteau: l’espace comporte un bar et un four traditionnel à bois – le local était occupé par une pizzeria.
Pour l’heure, la Tarte Flambée est ouvert pour le diner uniquement. Il proposera le déjeuner dès la “fin juin“. Au menu: des tartes flambées salées, sucrées, à l’unité ou illimitées. “Nous comptons beaucoup de femmes dans notre clientèle, car la tarte flambée est un plat sain, beaucoup plus que la pizza, glisse Mathias Peter. Je suis excité, j’ai très envie d’ouvrir“.