Article partenaire. Caroline Goria vend sur son site web « Ku de coeur » des produits créés par de talentueux designers français. Une démarche rencontrant du succès auprès des Américains qui peuvent se procurer des pièces originales, quasiment uniques.
Tout est parti de commentaires que recevait Caroline Goria. « Dans mon bureau ou à l’école de mes enfants, les femmes me disaient souvent qu’elles adoraient mes boucles d’oreilles ou mes colliers ». Il ne lui en a pas fallu plus pour sentir le potentiel du « made in France » ici.
Arrivée il y a cinq ans sur la côte Est des Etats-Unis avec son mari pour développer la filiale américaine de leur société française de dispositifs médicaux, Caroline a déménagé en Californie l’année dernière. « Comme nous le faisons dans le domaine médical, où nous défendons les produits de qualité faits en France, sans délocalisation, j’avais envie de transposer cet état d’esprit dans un projet plus à moi, hors du domaine médical, de retourner à l’essentiel, aux choses plus simples mais avec une grande qualité: j’en avais marre de voir du ‘made in China’ de partout! » s’exclame-t-elle.
Caroline a créé la marque « Ku de coeur » il y a un an avec, en tête, la volonté de promouvoir l’artisanat et le savoir-faire français de qualité. Pour elle, si les produits français marchent si bien c’est « parce qu’il y a des personnes qui savent encore bien travailler et qui méritent d’avoir de la reconnaissance ». Et même si ceux-ci riment avec qualité, « ils restent abordables! » précise-t-elle. Les surtaxes justifiées par le « made in France », ça n’est pas le genre de la maison.
Pour se démarquer, Caroline Goria mise sur l’originalité. Les marques présentes sur le site web, créé en décembre dernier, sont quasiment introuvables aux Etats-Unis, ajoutant davantage de valeur au produit. « Anne Thomas est l’une des seules qui est connue aux Etats-Unis parce que ses chaussures sont vendues à New York, ses bijoux en revanche sont une exclusivité pour Kudecoeur.com » affirme Caroline Goria.
Et si les produits plaisent beaucoup aux Américaines, certaines acheteuses viennent de…France. « Il y a des personnes en France qui veulent acheter les produits que je vends car elles ne les trouvent pas là-bas, notamment lorsqu’il s’agit d’une couleur particulière », se félicite-t-elle. “Nous travaillons également avec deux créatrices qui nous font du sur mesure : Atelier St Loup (petite maroquinerie) et Muusa (coussins) nous avons choisi les associations de couleurs et de matière, ce qui rend le produit unique!”.
Derrière ses choix, une sensibilité très personnelle. « Je sélectionne les produits qui me touchent, mes coups de coeur! », affirme celle qui se place dans une démarche quasiment sociologique. « Je m’intéresse beaucoup à l’histoire que les artistes amènent avec eux ». Pour Caroline Goria, cette démarche est également à voir comme une forme de soutien à la communauté française puisque, d’un côté, elle fait travailler des artisans français et d’un autre, les expatriés peuvent bénéficier de produits tendances en France, souvent inconnus ici.
Sur le site, on retrouve des petites besaces en cuir, des foulards, mais également de la papeterie, des bijoux ou encore des ustensiles de cuisine. Les modèles se démarquent par leur finesse, leur design épuré et élégant, quant à la vaisselle, elle est faite main.
Pour le moment, Caroline Goria ne vend que des objets de petit volume, « je ne vends ni vêtement, ni chaussures…mais qui sait, peut-être quand Ku de coeur se développera! ». A terme, cette maman de trois enfants aimerait beaucoup ouvrir sa boutique dans la ville de Laguna Beach, au sud de Los Angeles, pour donner encore plus de visibilité à cette « French Touch » qui fait tant rêver.
"Ku de coeur" pour le "made in France"
New York prend Racines
En quelques années, les deux restaurants Racines se sont fait une solide réputation dans le monde de la bistrononie parisienne. Au point que David Lanher, patron de ces deux enseignes, a décidé d’exporter son concept dans une rue animée de Tribeca : Racines New York a ouvert ses portes mercredi 16 avril sur Chambers Street, après plusieurs mois de travaux.
Cette cave-à-manger rustique-chic, que nous n’avons pas encore pu tester, propose, dans un cadre minimaliste, de la cuisine française contemporaine, agrémentée d’une carte de vins longue comme un bottin.
“A terme, nous aurons 800 références”, affirme par Arnaud Tronche (à gauche sur la photo), co-propriétaire des lieux. “Beaucoup de vins bio, biodynamiques, et des vins naturels de vignerons”, poursuit cet ex-ingénieur télécom, qui a plaqué son boulot à Chicago et suivi une formation de sommelier pour se lancer dans l’aventure.
Pour coiffer la toque de chef, les deux patrons ont attrapé dans leurs filets un homme convoité : Fredéric Duca, Marseillais de 36 ans passé par Taillevent, Le Petit Nice, Hélène Darroze… Un chef qui a connu son heure de gloire en 2013 lorsqu’il a fait gagner une étoile Michelin à L’Instant d’Or, puis été désigné chef de l’année dans le guide Pudlo 2013. Arrivé à New York il y a deux mois avec sa famille, il a mis au point une carte courte, très française, centrée sur “des produits simples et de qualité”. “Le défi a été de trouver les bons producteurs. Mais nous y sommes arrivés, sans presque rien faire venir de France”, affirme-t-il.
Ce mois-ci, lui et son équipe serviront en entrée un tartare de veau à l’estragon (18$), des encornets à la plancha. En plat, des saint-jacques grillées (34$), de la lotte au beurre blanc (29$) ou encore de l’épaule d’agneau (29$), puis une tarte au chocolat-caramel ou une pana cota aux baies sauvages (10$). “La carte va changer très régulièrement”, assure Frédéric Duca. Le chef promet aussi quelques planchas de charcuterie et fromages, à déguster avec un verre de vin. Pour ceux qui voudraient prendre racine au bar.
A Houston, la Maternelle French Academy s'agrandit
En pleine croissance, La Maternelle French Academy à Houston se dotera de nouveaux locaux fin avril.
« Nous avions besoin de place urgemment et quand le garage conjoint à nos bâtiments s’est libéré, nous avons profité vivement de l’occasion, explique Charlotte Bidard, la directrice de l’école.
Trois nouvelles classes et une salle de gym spacieuse accueilleront les enfants dans cette annexe. La Maternelle ne cesse de croître depuis 2010, quand elle accueillait 30 enfants. Aujourd’hui, 85 enfants y suivent son programme scolaire d’immersion en française et 100 élèves sont attendus pour la rentrée 2014-2015. Une classe de très petite section, de moyenne section et de grande section vont être créées lors de cette rentrée académique.
Les classes sont constituées de 16 enfants maximum, encadrés par une institutrice et une assistante. L’espace de jeux extérieur a également été déplacé et agrandit. « Et nous y avons ajouté des jeux d’eau pour les camps d’été. Les enfants en sont toujours friands ! » poursuit Charlotte Bidard.
Trente-huit nationalités sont actuellement représentées dans l‘école. « Notre philosophie première est d’être au service des familles et de laisser l’école ouverte constamment. Pendant les vacances scolaires, les enfants sont accueillis, nous suspendons le curriculum et adoptons le mode Relax Education ».
Et avec une augmentation de 10,2% du nombre d’inscrits au registre des Français hors de France dans la circonscription de Houston en 2013, l’école devrait avoir du boulot.
4 films français à voir au SF International Film Festival
Action ! Le festival de films internationaux de San Francisco est de retour pour sa 57e année, du 24 avril au 8 mai. Il y a 22 films et documentaires français à l’affiche. En voici quatre:
« Jeune et Jolie » (28 avril, 21h30 et 1er mai, 15h45) : Isabelle, une jeune Parisienne, plonge dans la prostitution pour explorer son orientation sexuelle après qu’une première expérience avec Félix, un touriste allemand, la laisse indifférente. François Ozon au sommet de sa forme ! Tickets et infos ici
« Abus de faiblesse » (1er mai, 21h): Inspirée de faits réels, Catherine Breillat utilise ce film pour dénoncer les actions de Christophe Rocancourt, un escroc qui a tenté de lui voler un million de dollars lors du tournage d’un de ses films. Breillat, affaiblie à cause d’un accident vasculaire cérébral, décida de trainer Rocancourt en justice… Tickets et infos ici
« Casse-tête chinois » (26 avril, 18h) : C’est le dernier volet de la série de Cédric Klapisch commencée avec l’Auberge Espagnole. Lorsque sa femme, Wendy, part à New York avec ses enfants, Xavier (Xavier Duris) est désespéré. Mais quand il apprend que son amie, Isabelle, habite également à New York. Il décide de déménager afin de reconquérir Wendy. Une fois à New York, les choses se compliquent quand Xavier rencontre son ex-copine, Martine (Audrey Tautou). Infos et tickets ici
« Arrête ou je continue » (30 avril, 18h15, 2 mai, 21h15) : Pomme et Pierre ont perdu la flamme. Ce couple parfait s’est rapidement transformé en cauchemar. Ils ne peuvent même plus se parler sans se crier dessus. Mais même si le divorce paraît inévitable, ni Pierre ni Pomme n’a le courage de l’annoncer. Lors d’une marche dans les bois, Pomme refuse de rentrer avec Pierre, et finit par rester dans les bois, lui donnant le temps de penser à son avenir avec son mari. Infos et tickets ici
Il y a bien entendu beaucoup d’autres films pendant cette quinzaine. Visiter le guide avant de vous y rendre. Et que les projections commencent !
Du vin et de l'art au Museum of Fine Arts de Houston
Un bon verre de vin et de beaux tableaux? Que demande le peuple! Si l’expérience vous tente, participez aux séminaires de dégustation du Museum of Fine Arts de Houston !
Chaque programme commence par une brève présentation sur l’art, puis se transforme en une dégustation interactive de six grands vins français animée par James King, fondateur de l’Ecole du Vin du Texas.
Le thème de la prochaine dégustation, le 24 avril, sera “Les débuts de Braque et les Vins de Bordeaux”. Une exposition-retrospective sur le cubiste est actuellement visible au musée.
Olivia Ruiz de passage à New York
L’époque de la Star Ac’ semble bien loin pour Olivia Ruiz. La femme chocolat viendra croquer la Grosse Pomme le 7 mai, ne la ratez pas !
L’artiste donnera son seul et unique concert new-yorkais au mythique Poisson Rouge sur Bleecker Street. Elle interprétera entre autres les chansons de son dernier album “Le calme et la tempête”, sorti en décembre 2012.
Sur son quatrième album, pour la première fois, la chanteuse signe entièrement paroles et musique. Entre pop-rock et ballades, cet album s’inscrit dans la continuité musicale de l’artiste, qui affirme, une fois de plus, son identité. Sa reconnaissance comme musicienne, et non star de téléréalité, remonte à 2007, quand son album “La Femme Chocolat” lui vaut de décrocher la Victoire de la Musique dans la catégorie “Artiste féminine et Spectacle de l’année”. Il s’est vendu à 1,1 million d’exemplaires.
Belles carrosseries au Javits Center
Les amateurs de belles voitures ont rendez-vous à partir du 18 avril au Javits Center pour le sacro-saint Salon international de l’automobile de New York.
Cela fait 22 ans que ça dure. Pendant une semaine, plusieurs milliers de voitures vous attendent. Certains fabriquant profitent de l’évènement pour révéler leurs nouveaux modèles en “avant-première”. Cette année, les fans de Chrysler découvriront notamment la nouvelle Chrysler 200, pas encore commercialisée. Alfa Romeo, qui n’a pas participé à un salon automobile américain en 22 ans, révèlera elle sa nouvelle 4C. Et en l’honneur de ces cinquante printemps, Ford présentera sa Mustang du cinquantenaire, produite à un peu moins de 2.000 exemplaires.
Jusqu’au 27 avril.
6 endroits pour avoir la paix à New York
Ca y est, vous craquez. Vous n’en pouvez plus des New-Yorkais ! C’est normal. Dans une ville de 8 millions d’habitants, souvent les uns sur les autres, il faut de l’air. Heureusement, la ville regorge de petits paradis pour misanthropes. Voici notre sélection. N’oubliez pas d’ajouter vos idées en commentaire !
1. The Garden at St. Luke’s in the Field (West Village)
Un petit jardin, gorgé de verdure, situé au coeur du West Village. La rue est proche et loin à la fois. 487 Hudson Street (et Christopher Street). Site ici
2. St John the Divine (Harlem)
La cathédrale d’Harlem est tellement grande qu’il y a toujours un endroit où avoir la paix. 1047 Amsterdam Ave (et W110th St). Site ici
3. Roosevelt Island (Manhattan)
Peu de gens osent s’aventurer sur cette ile entre Manhattan et le Queens, accessible par téléphérique (2dn Ave et 60th St) et par metro via la ligne F (quand elle marche). Tant mieux.
4. La Little Red Lighthouse à Fort Washington Park (Washington Heights)
Juste à côté de l’Hudson River, ce petit phare au pied du Pont George Washington (nord de Manhattan) est devenu le point de ralliement de tous ceux qui n’en peuvent plus de l’humanité. Fort Washington Park, Hudson River Greenway, New York, NY 10032
5. Morris-Jumel Mansion (Washington Heights)
Ce manoir, le plus vieux de Manhattan, est situé dans le quartier de Washington Heights (nord). On peut le visiter pour 5 dollars. Et profiter de son jardin pour s’échapper. 65 Jumel Terrace, New York – (212) 923-8008 – Site ici
6. Queens Museum (Flushing Meadows, Queens)
Point de hordes de touristes ici, mais plein de choses à voir dans ce musée qui met en valeur les travaux d’artistes du Queens. A voir aussi: le panorama géant de New York. Pour contempler la ville… sans les New-Yorkais. Flushing Meadows-Corona Park, Queens. Site ici
Un Français s'offre la villa la plus chère de Los Angeles
Et vous, que feriez-vous avec 74 millions d’euros, soit 120 millions de dollars? Un Français ne s’est pas posé la question bien longtemps puisqu’il s’est offert la Fleur de Lys Mansion à Los Angeles, en vente depuis 2007. La demeure compte parmi les plus chères des Etats-Unis, selon Forbes.
Mais que ceux qui voudraient se faire inviter réfrènent leurs ardeurs : l’identité de l’acheteur est pour le moment tenue secrète. On sait néanmoins qu’il s’agit d’une transaction record puisque la villa, qui appartenait à la philanthrope Suzanne Saperstein, est la plus chère de la Cité des Anges… Autre information : le mystérieux acheteur a payé “cash”, selon le journal Le Parisien.
Inspirée par le château français de Vaux-le-Vicompte, la demeure se trouve sur la colline de Holmby Hills, non loin de Beverly Hills et Bel Air, toutes trois réputées pour leur chic et leurs villas démesurées habitées par des personnalités célèbres.
Avec un tel nom, « Fleur de Lys », il semble presque logique que la maison soit revenue à un Français, même si la concurrence avec des acheteurs chinois et britanniques fut rude. L’histoire dira comment le richissime français compte profiter de sa nouvelle demeure de 4.000 mètres carrés, comprenant douze chambres, quinze salles de bain, une très grande piscine, une salle de bal et une salle de cinéma, une salle de sport, des courts de tennis ainsi qu’un garage pouvant contenir jusqu’à neuf voitures.
Des films français en plein air à Miami Beach
Des films français en plein air: c’est le concept de Films on the Beach. Cet évènement totalement gratuit fête sa première édition.
S’inspirant du beau succès qu’a connu le festival de films en plein air “Films on the Green” de New York, il espère attirer les foules. La programmation mise sur la qualité plus que sur la quantité puisque seuls quatre films sont programmés du 17 avril au 15 mai, mettant en avant notamment le chef de file de la Nouvelle Vague française, François Truffaut.
Deux films plus récents seront aussi présentés. Des repas seront servis sur place.
Programmation
17/04 à 20h
« Les 400 coups » (1959) de François Truffaut
24/04 à 20h
« Jules et Jim » (1962) de François Truffaut
8/05 à 20h
« Une vie de chat » (2010) de Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli
15/05 à 20h
« Le chat du rabbin » (2011) de Joann Sfar et Antoine Delesvaux. Film diffusé le dans le cadre du Festival du Film Juif de Miami
Patrick Timsit et Thierry Lhermitte, meilleurs ennemis sur scène
“Dès qu’on a lu le livre, on s’est téléphoné avec Patrick et on s’est dit que ce serait génial de se retrouver sur scène pour le jouer, puis quelques années plus tard on nous l’a proposé à tous les deux”. Le destin fait bien les choses pour Thierry Lhermitte et Patrick Timsit.
En 2012, Jean-Marc Dumontet et Laurent Ruquier, les propriétaires du Théâtre Antoine, proposent aux deux hommes de rejoindre la troupe d’acteurs qui vont se relayer tous les mois pour interpréter la pièce “Inconnu à cette adresse”. Parmi ces acteurs, on trouve Jean-Pierre Darroussin, Charles Berling, Franck Dubosc et Michel Boujenah. Le duo accepte sans hésiter.
L’histoire, c’est celle d’une amitié prise dans les tourments de l’Histoire. Martin Schulse (Thierry Lhermitte) et Max Eseinstein (Patrick Timsit) se connaissent de longue date. La montée du nazisme en Allemagne ne va pas être sans conséquence sur leur relation. Au fil de leur correspondance, une distance insupportable s’immisce entre les deux amis (le premier est allemand, le second est juif allemand).“C’est l’histoire de deux amis dont l’un va chavirer, il va être endoctriné. Il n’y a pas de gentil ni de méchant”, résume Timsit.
Entre le 23 et 30 avril, ils exporteront la pièce tour à tour à New York, Los Angeles et San Francisco. “La pièce parle d’amitié et c’est aussi notre amitié avec Thierry qui se joue sur scène” explique un Patrick Timsit très loquace par rapport à son partenaire de scène. “La difficulté a été de trouver le ton entre lecture et interprétation (…) S’il s’agit de lire, il n’y a pas besoin de nous. On ennuie le public. Finalement, il s’agit d’interpréter sans que ça se voit”.
“Ce texte est un bijou absolu et c’est un livre que tout le monde s’offre”, poursuit l’acteur. “À chaque fois qu’on joue, on découvre un nouveau sens aux phrases”.
Très populaire, le roman épistolaire de Kathrine Kressmann Taylor a fait l’objet de plusieurs pièces au théâtre. Pourtant, l’adaptation de Michèle Levy-Bram, la mise en scène de Delphine de Malherbe couplées aux jeux des acteurs ont réussi à faire la différence. Nommée “Meilleure pièce de théâtre” aux Globes de Cristal de 2013, la pièce est également saluée par la critique.
“J’ai demandé à Thierry, tu fais quoi cet été ? Tu ne veux pas qu’on aille au Festival d’Avignon?” se rappelle Patrick Timsit. Le résultat est concluant. Pendant un mois, les deux hommes remplissent le théâtre avignonnais du Chêne Noir. On leur souhaite le même succès aux Etats-Unis.
Patrick Bosso fait rire New York
Une bonne poilade, avec un bel accent marseillais. Le comique Patrick Bosso s’offre deux dates aux Etats-Unis.
L’humoriste présentera son dernier spectacle “K Marseille” à New York (20 mai à l’Auditorium du NYIT sur Broadway) et Miami (24 mai)… entre deux dates à Barcelonnette et Menton. C’est la première fois que Bosso, qui a joué sur les plus grandes scènes françaises (de l’Olymipa à la Comédie de Paris) et est connu pour ses rôles dans “La fille du Puisatier” ou encore “Qui a tué Pamela Rose?”, s’exporte aux Etats-Unis.
Avec l’accent chantant qui fait sa renommée, le comique, qui s’est tourné vers le one-man show après des cours de théâtre avec Niels Arestrup, évoquera avec tendresse les bons et les mauvais côtés de Marseille, la ville de son enfance. Non sans faire quelques blagues sur ses différents voyages aux Etats-Unis.