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Repeignez les murs du New Museum

Enfilez votre blouse, retroussez vos manches, et exprimez-vous… Vous avez jusqu’au 13 avril pour aller peindre, écrire, dessiner sur les murs du New Museum en toute légalité. Le musée fournit tous les matériaux de peinture et de dessin.
Cette expérience, pour le moins hors du commun, s’inscrit dans le cadre de la première exposition américaine de Pawel Althamer, ‘The Neighbors”. Doté d’une pratique artistique unique, Althamer a développé une approche particulière de l’art depuis la fin des années 1990, et expérimente de nouveaux modes de production artistique, interpellant le public et le faisant participer directement à certaines de ses œuvres.
Organisée sur trois niveaux, l’exposition se veut une plongée dans l’univers de l’artiste. Vous pourrez découvrir des sculptures figuratives aux 2ème et 3ème niveaux ainsi qu’une maquette géante de l’artiste.
C’est au 4ème étage que vous pourrez libérer vos pulsions créatrices. Une salle entière dédiée à l’expression public vous attend. Et si les murs -et le sol-sont déjà recouverts, n’hésitez pas à mettre votre patte par-dessus l’œuvre d’un inconnu : c’est aussi ça l’art collaboratif. Lors de notre visite, les visages d’inconnus côtoyaient les nuages et les phrases comme “bon anniversaire mamie”.
L’avantage du concept est de réunir petits et grands autour dans une ambiance joyeuse. Pour peu, on se croirait à l’école : on vous prévient, il y a de la peinture partout ! Empruntez une palette, vous n’avez plus qu’à choisir vos couleurs. Des crayons et des craies sont également disponibles. Dans une petite pièce attenante à la salle vous trouverez des blouses, et vous pourrez vous débarbouiller au grand lavabo prévu à cet effet.
Originellement présentée à Berlin lors de la 7ème Biennale, l’exposition est arrivée à New York en février. Encore deux semaines pour y participer !

Tavern on the Green rouvre ses portes

Ceux qui sont à New York depuis quelques années connaissent Tavern on the Green, le restaurant mythique fréquenté aussi bien par Grace Kelly que John Lennon dans le temps. Situé dans Central Park, il a fermé ses portes en 2009 après plus de 70 ans d’existence, en raison de difficultés financières.
Mais que son fan club se réjouisse! Il doit rouvrir le 24 avril et accepte déjà les réservations. Ce Tavern on the Green 2.0 sera plus petit que l’original, si l’on en croit le New York Times. Il comptera deux salles de restauration, deux bars (dont un en extérieur) et une terrace de 300 places. Quid de la luxueuse Crystal Room (ci-dessus), que les habitués connaissent bien? La nouvelle sera deux fois plus petite – et moins luxueuse – que son aînée mais pourra tout de même accueillir 132 personnes. Elle a été rebaptisée “Central Park Room” et disposera d’une baie vitrée donnant sur le parc.
Le restaurant a été repris en 2010 par un duo de restaurateurs de Philadelphie, Jim Caiola  et David Salama. Son ouverture a été plusieurs fois retardée en raison de différends entre la Ville, les repreneurs et leurs investisseurs. Pour l’heure, seul le diner sera servi. Le déjeûner sera lancé le 13 mai.
 

Pulse New York, du grand art en mai

Le monde de l’art a rendez-vous à New York. “Pulse New York” aura lieu du 8 au 11 mai. Onze pays seront representés.
L’évènement mise sur une programmation originale, défendue par sa nouvelle directrice Helen Toomer qui met l’accent sur l’échange d’idées. Au programme: des expositions solo, en duo ou en trio : chaque galerie venant avec l’oeuvre d’un ou de plusieurs de ses artistes.
La foire est organisée autour de différents temps forts : l’exposition “IMPULSE” rassemblera des galeries émergentes et oeuvres d’artistes créées dans les deux dernières années; “PULSE” proposera notamment des tables rondes de professionnels du marché de l’art. Pour la dernière exposition, “POINTS”, des curateurs viendront présenter des oeuvres.
Du côté des Français, on comptera sur la présence de la Waltman Ortega Fine Arts, une galerie d’art  présente à Miami et Paris. Quant aux Québécois d’Art Mûr, l’une des plus grandes galeries privées de Montréal, ils présenteront les oeuvres de l’artiste francophone Laurent Lamarche.

Bordeaux envahit l'Alliance française de Los Angeles

Venez découvrir Bordeaux et les arts qui l’animent ! Musique, danse, cinéma, littérature, les grands artistes bordelais reconnus dans le monde seront célébrés à l’Alliance française de Los Angeles le 9 avril, de François Mauriac à Benjamin Millepied en passant par Francis Cabrel (même si celui-ci est originaire d’une bourgade à l’extérieur d’Agen).
Cette manifestation s’inscrit dans le cadre du cinquantenaire du jumelage Bordeaux-Los Angeles. Elle donnera le coup d’envoi de la seconde édition d’une série de douze conférences qui s’intéresseront à l’influence du patrimoine bordelais sur l’ensemble de l’Hexagone.
Des rafraîchissements et une discussion en français et en anglais suivront la présentation.

Tournoi de pétanque à Dallas

4 mai. C’est la date que les amoureux de pétanque à Dallas doivent marquer dans leur calendrier. Ce jour-là se tiendra le 3e LaFont Memorial Petanque Tornament, organisé par le Dallas Petanque Club.
Petit rappel des règles: les équipes doivent compter chacune deux personnes. Prix: 20 dollars par joueur, 25 pour ceux qui ne sont pas membres de la Fédération de Pétanque des Etats-Unis. Les hostilités commenceront à 9h au Gussie Field Park.
Le Dallas Petanque Club se trouve à Farmers Branch et se retrouve chaque dimanche, 14h, au Gussie Field Park.

Miami sort le Bordeaux

Un peu de Bordeaux n’a jamais fait de mal à personne. Encore moins quand les fonds récoltés sont reversés à Best Buddies International, une association qui s’occupe du bien être des personnes souffrant de déficiences mentales.
Plus d’une trentaine de producteurs de vin bordelais se réuniront le 10 avril, à l’Intercontinental Miami et vous proposeront une dégustation de leurs millésimes 2011 et 2012, accompagnés de fromage.
L’association de producteurs de vins “Le Grand Cercle des Vins de Bordeaux” présentera les crus rive gauche et rive droite de la ville, fidèle à la volonté de son fondateur Alain Raynaud de réunir les deux productions.  Une chance de côtoyer certains des vignerons les plus respectés de l’industrie et d’explorer quelques-uns des meilleurs vins que la France ait à offrir !

Charles-Édouard Catherine prend la tête de Surgeons of Hope

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Il y a maintenant deux ans, French Morning brossait le portrait de Charles-Édouard Catherine. Ce jeune homme, malvoyant, originaire de Rennes, alors en 5ème année de l’Institut d’Études Politiques (IEP) de Bordeaux était stagiaire, à Zeno Radio, une entreprise de radio par téléphone.
Nous le retrouvons aujourd’hui comme directeur exécutif de Surgeons of Hope, une ONG spécialisée dans la chirurgie cardiaque pédiatrique, qui s’occupe de former des équipes médicales dans les pays du tiers-monde et d’y construire des centres de soins. “J’ai toujours aimé leur projet” explique-t-il. 
Lire aussi : Malvoyant, je suis en stage à New York 
“C’est une petite structure qui fonctionne très bien. Sur le plan opérationnel il n’y a donc rien à changer, en terme de mission l’ONG est très forte”. C’est du côté de l’image qu’il y a des progrès à faire : “Avec mon background en relations publiques je suis en mesure de les aider, de les conseiller. L’objectif c’est de toucher le public le plus large possible“, indique-t-il.
Le gala annuel de Surgeons of Hope baptisé “A Night of Hope” aura lieu le 4 mai à la Brasserie Ruhlmann. Le Chef Laurent Tourondel sera aux fourneaux. Les fonds récoltés permettront, entre autre, de financer la fin du projet de l’ONG au Nicaragua.
Débutée en 2008, cette mission a permis dans un premier temps l’opération d’enfants souffrant de malformations cardiaques, la construction d’un hôpital à Managua, la capitale, et la formation du personnel local. Il s’agit désormais de finir d’équiper l’hôpital et de développer un réseau de cliniques satellites équipées de télémédecine.
L’hôpital de Managua draine désormais des patients qui viennent de tout le pays. Il est très important que le personnel formé soit complètement autonome. La télémédecine permettra de diagnostiquer le patient et de décider si son déplacement est nécessaire ou non “.

Focus on French Cinema, le petit festival qui voit grand

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Pour fêter ses dix ans, le festival Focus on French Cinema, qui aura lieu du 4 au 8 avril à Greenwich (Connecticut), voit grand.
Sur les écrans, et parmi la sélection, le public pourra voir neuf films primés aux Césars et neuf avant-premières américaines – un record. Les acteurs Clément Sibony, Nicolas Marié (que l’on pourra voir dans Neuf mois ferme), Pierre Rochefort (Un beau dimanche), l’actrice réalisatrice Maryline Canto (Le sens de l’humour), et la productrice Christine Gozlan sont attendus.
Dominique Besnehard, agent d’acteurs, et lui même acteur, producteur et co-fondateur du festival d’Angoulême, participera aux discussions qui accompagnent les projections et donnera une master class. « C’est le seul festival au monde avec une présence en Europe et aux Etats-Unis » précise Laurence Teinturier, en charge de la stratégie de ce festival associé au Festival du film francophone d’Angoulême.
Organiser un tel festival à Greenwich semble être un pari osé, tant la proximité avec New York et son Rendez-vous with French Cinéma peut lui faire de l’ombre. Mais Focus on French Cinema ne dit rien envier à son cousin new-yorkais. « Nous sommes un festival de proximité » affirme Laurence Teinturier.
Si le festival a lieu à Greenwich, c’est qu’il y a une explication bien précise : « c’est le territoire aux Etats-Unis où il y a le plus grand nombre d’enfants qui apprend le français », annonce fièrement Laurence Teinturier. Pour autant, 70 % du public du festival ne parle pas un mot de français, et tous les films sont sous-titrés. Selon elle, ce public américain est « attiré par la profondeur, la créativité, la finesse, la variété, l’écriture que l’on retrouve dans le cinéma français ».
Le festival a fait du chemin depuis 2005, lorsqu’il a été créé par deux amies qui en avaient assez de la pratique du french bashing. « L’idée était de retrouver l’amitié entre les deux pays à travers un art que l’on apprécie en commun », se souvient Laurence Teinturier.
Les dix ans de ce festival seront célébrés avec la remise du Focus Award, un nouveau prix qui viendra récompenser une personnalité qui a beaucoup fait pour Focus on French Cinema. Des maîtres cuisiniers français viendront préparer un buffet pour le public. Et pour la soirée de cloture, le film multi-récompensé de Guillaume Gallienne Les garçons et Guillaume, à table ! sera au programme. En exclusivité aux Etats-Unis.

Houdon et Clodion à l'honneur à la Frick

Jean-Antoine Houdon et Claude Michel, plus connu sous le nom de Clodion, comptent parmi les plus grands sculpteurs en France de la fin du XVIIIe siècle. La Frick Collection met en avant leurs oeuvres des deux hommes, lors de l’exposition “Enlightenment and Beauty: Sculptures by Houdon and Clodion” à partir du 1er avril.
La Frick Collection abrite des œuvres phares des artistes depuis 1915, lorsque son fondateur, Henry Clay Frick, fit l’acquisition de la terre cuite Zéphyr et Flore de Clodion, et, l’année suivante, du buste en marbre de Houdon La Comtesse du Cayla. Cette exposition propose la réunion de ces deux chefs-d’oeuvres pour la première fois.

Santa Barbara : Deneuve et Gainsbourg sur les écrans

Catherine Deneuve et Charlotte Gainsbourg seront à l’affiche du cinéma “Plaza de Oro” de Santa Barbara au cours des deux prochaines semaines. Le film “Elle s’en va” d’Emmanuelle Bercot, est ainsi présenté à six reprises jusqu’à jeudi prochain, l’occasion d’apprécier l’un des meilleurs rôles de Catherine Deneuve ces dernières années.
En dépit de la controverse soulevée par le film de Lars Von Trier, les deux volets de “Nymphomaniac”, avec Charlotte Gainsbourg, Uma Thurman et Shia LaBeouf, seront eux-aussi programmés entre le 2 et le 9 avril.
Loin de se limiter à ces deux représentantes hexagonales, le “Plaza de Oro” a par ailleurs prévu de diffuser le film d’animation belgo-franco-luxembourgeois “Ernest et Célestine” le 16 avril, quelques jours après la production britannique “Le week-end” ayant pour sujet central la ville de Paris redécouverte par un couple proche de la rupture.
Plaza de Oro Theatre, 371 Hitchcock Way, à Santa Barbara.
“Elle s’en va” (vendredi 28 à 19h45, samedi 29 et dimanche 30 à 14h, 16h50 et 19h45, lundi 31 et jeudi 3 avril à 19h45)
“Nymphomaniac” (1ère partie, mercredi 2 avril à 19h30, 2e partie mercredi 9 avril à 19h30)
“Le week-end” (vendredi 4 avril à 19h45)
“Ernest et Célestine” (mercredi 16 avril à 19h30)

La France penche à droite et tente de sauver son art culinaire

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Revue de presse. Cette semaine les journaux américains reviennent sur les résultats des élections municipales en France, mettant en avant la percée historique de la droite mais aussi sur le renouveau de la cuisine française…qui n’est pas forcément là où on l’attend.

Le New York Times revient sur les résultats des élections municipales en France. En début de semaine dernière le journal titrait « The Verdict, for now, from France » et s’interrogeait sur les raisons pour lesquelles le FN avait réussi à mobiliser du support bien au delà de sa base électorale. L’article parlait de « désenchantement concernant la politique du gouvernement socialiste de Hollande, le président le moins populaire de la Vème République » et déplorait la faible participation « plus d’un tiers des Français ne se sont pas embêtés à aller voter ». Après ce second tour le journal rapporte l’information essentielle « les votants français ont rejeté les candidats de gauche dans au moins 155 villes ».

Pour le NYT ces résultats sont à mettre en lien avec l’enlisement économique dans lequel se trouve la France « les problèmes économiques ont jeté une ombre sur ces élections alors que les efforts de monsieur Hollande pour renverser la tendance ont montré peu de résultats », et plus particulièrement le chômage qui est « au dessus de la moyenne dans plusieurs des villes où l’extrême droite a percé ». Le journal rappelle cependant que les gains du FN sont « moins dramatiques que ce qui avait été annoncé lors du premier tour ».

Le Washington Post revient lui sur la course pour la mairie de Paris entre Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet. Avant que les résultats ne soient annoncés le journal titrait « Paris, prêt à faire l’histoire en élisant pour la première fois une femme au poste de maire ». Tout en concédant que les deux candidates ont « fait des gaffes pendant leur campagne », NKM en voulant se faire passer pour « une femme du peuple » et Anne Hidalgo avec des affiches de campagne ressemblant plus à « une publicité pour de la crème anti-rides », l’auteur de l’article s’enthousiasme. « Peu importe la candidate qui aura le plus de voix, les femmes à Paris ont déjà gagné ».

Pour la chaîne américaine CNBC, la visite du chef de la République Démocratique de Chine, Xi Jinping est une raison suffisante pour revenir sur le vin servi lors du dîner à l’Elysée pour « booster les exports français en Chine » comme le souligne le journaliste. En effet, s’il y a bien un point sur lequel les deux pays s’entendent c’est le vin rouge. Alors que la France cherche à convaincre la Chine d’investir chez elle, elle pousse pour que le pays, le plus gros consommateur de vins rouges devant la France et l’Italie, se fournisse d’avantage en France « plus de 80% des vins consommés en Chine sont produits dans le pays, mais les vins importés gagnent des parts de marché ». Il serait donc dommage que les producteurs français n’aient pas droit eux aussi à leur part du gâteau.

Rares sont les semaines où la presse américaine n’aborde pas le thème de la gastronomie française. Le New York Times ne fait pas dans la dentelle puisqu’il s’interroge sur le devenir de la cuisine française et titre solennellement « Can anyone save french food? ». Le journal dresse un constat quelque peu alarmiste et qui ne date pas d’hier puisque le déclin aurait commencé à toucher la capitale dès la fin des années 1990: « Paris était devenue une ville ennuyeuse et prévisible sur la scène culinaire ». Mais rassurez-vous: « la ville affiche des signes d’une nouvelle vigueur venant d’une source inattendue : de jeunes chefs étrangers (…) qui font renaître un esprit artisanal qui avait disparu de la culture gastronomique française. Leurs menus sont basés entièrement sur ce qui est disponible sur le marché, au jour le jour, et ces chefs cultivent une vraie relation avec leur fournisseurs ».

Le journal new-yorkais se félicite de voir que le peuple français accepte « qu’un natif de l’Illinois puisse rendre chaque bouchée de la cuisine française aussi authentique, sophistiquée et délicieuse qu’un chef venant de Lyon ». Et il conclut « la cuisine française n’appartient désormais plus qu’aux Français! ». Qu’on se le dise.

Pourquoi le tuyau de la pompe à essence est-il si court aux Etats-Unis ?

Enfin, la question de la semaine de French Morning s’attaque aux vrais problèmes ! Qui a jamais loué une voiture de ce côté-ci de l’Atlantique a déjà vécu ce grand moment d’énervement au moment de faire le plein et de se rendre compte que la trappe du réservoir est du mauvais côté…
Ce qui suscite immédiatement la question suivante: “mais pourquoi les tuyaux des pompes à essence américaines ne permettent-elles pas de faire le tour de la voiture ?”
L’Amérique étant un beau pays, il y a bien sûr un spécialiste mondial des pompes à essence (et autres ustensiles destinés à manipuler les hydocarbures). Bob Renkes est l'”executive vice-president” du Petroleum Equipment Institute. Et voici ce que ce sage homme nous dit :”il n’y a pas de régulation fédérale sur ce sujet, mais les fabricants comme les distributeurs se réfèrent à des normes communes de sécurité, les “National Fire Codes””. Ces deux codes indiquent que les tuyaux de pompes à essence ne doivent pas excéder “18 feet”, c’est-à-dire 5,4 mètres. La raison: diminuer le risque de trébucher ou de rouler sur un tuyau.
Bob Renkes a aussi déniché pour nous une autre raison: les poids et mesures. L’organisme chargé de les surveiller exige également que le tuyau n’excède pas 18 pieds “pour s’assurer que le carburant restant dans le tuyau ne soit pas trop important, puisqu’il est payé par le client”.
Mais vous aurez sans doute remarqué que la taille du tuyau est souvent inférieure à ces 5,4 mètres. “Les stations peuvent choisir des tuyaux plus courts, et elles le font souvent pour des raisons de coûts tout simplement” assure un autre expert mondial contacté en exclusivité par French Morning, Paul Fiore, de l’Automotive After Market Industry Association.
Et maintenant le tuyau… qui va changer votre vie: toutes les voitures ont sur le tableau de bord, près de l’icône de jauge d’essence une flèche indiquant de quel côté se trouve la trappe du réservoir. On en connaît qui ont loué des voitures aux Etats-Unis pendant des années sans avoir découvert ce très utile “tip”. Ne nous remerciez pas…