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La population française officielle aux US continue de croître

Le nombre d’inscrits au registre mondial des Français établis hors de France aux Etats-Unis continue sa progression. C’est l’un des enseignements tirés des statistiques sur la communauté française à l’étranger pour 2013, mises en ligne par le Ministère des affaires étrangères.
Au 31 décembre 2013, la population française officielle aux Etats-Unis s’élevait à 129.520 personnes, soit une augmentation de 3,5% depuis l’an dernier, ce qui est supérieur à la croissance observée au niveau mondial, note le Quai d’Orsay. Au total, l’Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada) est la deuxième région d’expatriation pour les Français, accueillant 13% des inscrits au registre, avec une majorité (61%) aux Etats-Unis.
Les circonscriptions consulaires de la Nouvelle-Orléans (+ 17,4 %), de Houston (+ 10,2 %), Los Angeles (+ 8,3 %) et Chicago (+ 7,3 %) enregistrent les croissances les plus fortes.
Atlanta, Boston, New-York et Washington se caractérisent par des augmentations de l’ordre de 2 à 3 %. Le nombre de Français inscrits à Miami est stable, alors que la communauté établie à San Francisco diminue de 1,2 % en un an.
Fin 2013, 1 642.953 persnnes étaient inscrites au registre mondial des Français établis hors de France, soit une hausse de 2 % par rapport à l’année précédente.

16 signes qui montrent que vous êtes new-yorkais

Ceux qui ont passé trop de temps à New York sont atteints de bizarres troubles du comportement. Si les symptômes ci-dessous se sont déclarés chez vous, c’est le moment de partir. Ou pas.
1/ Vous pouvez deviner le calendrier scolaire français à la densité de sacs et de coupe-vents “Quechua” que vous croisez dans la rue.
2/ Vous n’avez pas mis les pieds à Times Square au moins depuis que le Naked cowboy a quitté ses couche-culottes.
3/ Vous avez des envies de rétablissement de la peine de mort quand le type devant vous fait clignoter “swipe again” avec sa Metrocard pour la troisième fois.
4/ Vous n’allez plus au 230 Fifth. Vous avez compris depuis longtemps que ce n’était pas le meilleur rooftop de la ville.
5/ Vous avez égaré votre permis de conduire depuis 3 ans sans que ça vous ait manqué une seule minute.
6/ Vous avez eu des bed bugs, des souris ou des cafards. Vous emménagez dans votre appartement et vous réalisez que vous n’êtes pas seul. Vous cohabitez avec plein de bestioles en tout genre et vous l’acceptez car “it’s New York”.
7/ Vous vous souvenez quand Williamsburg était trash. Pour vous, Williamsburg, c’était mieux avant. C’était encore un endroit où on pouvait diner pour pas cher et éviter les files d’attente pour boire un verre.
8/ Vous ne pouvez pas vous empêcher de préciser au visiteur que “Houston Street” ne se prononce pas comme la ville du Texas, même si vous n’êtes pas fichu de trouver l’accent tonique sur “downtown”.
9/ Vous mangez votre burger ou pizza avec les doigts. Le nouveau maire de New York a été critiqué pour avoir mangé une pizza avec des couverts. Le veinard, c’était après l’élection.
10/ Vous souriez stupidement à chaque fois que quelqu’un prononce “New Jersey”. En bon New-Yorkais, il y a New York et le reste du monde… et le New Jersey, où vous ne mettez jamais les pieds. Même Hoboken parait loin.
11/ Vous n’avez pas le temps de vous faire cuire des pâtes mais vous passez une heure dans une file d’attente pour entrer en boite, acheter des fringues ou manger un cronut.
12/ Vous êtes persuadé que payer 1,5 SMIC pour une chambre avec vue sur la porte des toilettes est “un deal incroyable”.
13/ Vous pensez que le meilleur endroit pour faire le deal du siècle ou vous engueuler avec votre colocataire est sur un trottoir, hurlant sur votre téléphone.
14/ Vous n’avez jamais songé que pour pouvoir entrer plus facilement dans le métro il serait sage de laisser d’abord sortir ceux qui y sont. Hors de question. Le métro, c’est la guerre.
15/ Vous ne vous demandez même plus comment on peut vivre sans pouvoir aller à minuit acheter du produit vaisselle dans une pharmacie.
16/ Votre visa est expiré depuis 3 ans et vous attendez que le Congrès adopte la loi régularisant les immigrés clandestins. En attendant, vous êtes là.

Une Française retrouve son père GI… 68 ans plus tard

Pour la première fois de sa vie, Françoise Contreau, 68 ans, a pu serrer son père dans ses bras. Un père âgé de 100 ans, dont elle ne connaissait auparavant que le nom, Robert Garcia, et dont elle pensait ne jamais pouvoir faire la connaissance. L’émouvante rencontre a eu lieu mercredi matin à Whittier, dans la banlieue Sud de Los Angeles, à l’issue d’une quête exceptionnelle.
« Ma mère travaillait dans un hôtel-restaurant à Cherbourg pendant la Seconde Guerre mondiale», raconte Françoise Contreau. « C’est là qu’elle a fait la connaissance de mon père, un GI arrivé en Normandie peu après le débarquement des Alliés en juin 1944. Elle est tombée enceinte en janvier 1945, mais six mois plus tard mon père a reçu l’ordre de repartir sans en informer personne. »
Toutefois, Robert Garcia n’oublie pas son enfant. Dix années durant, par l’intermédiaire de sa sœur, il fait parvenir des colis en France. Seulement trois d’entre eux arriveront à destination, en raison des déménagements. « J’ai quand même pu reçu une photo et une lettre, avec une adresse au dos.»
Les années passent, Françoise Contreau construit sa vie en Bretagne, jusqu’à la rencontre, il y a cinq ans, de son nouveau compagnon, Yves Galès. Intrigué par cette histoire familiale, il décide de retrouver la trace du GI. « Je suis parti de presque rien, raconte-t-il. J’ai commencé par cette lettre avec une adresse au dos. Puis j’ai passé des centaines d’heures à lire les rubriques nécrologiques et les journaux d’Albuquerque, les registres de l’armée américaine et les census conservés par les mormons, ainsi que les US City Directories. » Un travail infernal qui finit pourtant par porter ses fruits… au bout de trois ans ! « Au bout d’un mois, le 21 janvier dernier, une lettre est arrivée pour dire que le GI Robert Garcia était toujours vivant et installé à Los Angeles ».
Une nouvelle immédiatement suivi de la planification d’un voyage aux USA en cette fin mars, afin de retrouver un père qui ne l’a jamais oublié. «Il s’est marié, mais n’a jamais eu d’autre enfant. Je suis sa seule fille ».
Aujourd’hui sous curatelle, sous la responsabilité d’une nièce du côté de son épouse, Robert Garcia, pourtant ému, a toutefois montré quelques difficultés pour se détendre face à Françoise. « Il n’a jamais dit à personne qu’il avait une fille en France, explique Yves Galès. Lorsque cette filiation a finalement été révélée, certains de ses proches lui ont dit de faire attention. Face à nous, il est donc resté distant au début, avant de partir chercher un album de photos dans sa chambre pour les montrer à sa fille. Petit à petit, l’ambiance s’est détendue et nous avons pu faire entrer les enfants de Françoise qui attendaient sur le parking. »
Une incroyable surprise pour l’ancien GI, ému de découvrir que quatre petits enfants (de 26 à 48 ans, auxquels il faut ajouter six arrières petits enfants) avaient fait le voyage pour lui. Il s’est alors mis au piano et a pris tendrement les mains de Françoise. A partir de ce moment ce fut un pur bonheur pour tout le monde. Et en nous accompagnant sur le parking, il nous a demandé de revenir le voir avant de repartir…»
L’expérience fut intense pour Françoise Contreau, désormais proche de ce père qui lui avait tant manqué, et accueillie à bras ouverts par de nombreux cousins, chez qui elle poursuivra d’ailleurs son séjour jusqu’à la fin du mois, à Albuquerque, au Nouveau-Mexique.

Manger sain à San Francisco: There's an app for that !

Les produits de la ferme et les plats gourmets livrés à domicile ont le vent en poupe à San Francisco. Oeufs, fromages et pain: les Français ne manqueront de rien ici. Mais gare au budget!
Les vies sont bien remplies pour les francophones de la Vallée. Pas toujours le temps de faire la queue au Whole Foods le plus proche, pas toujours commode de se frayer un chemin dans les rayons de Trader Joe’s. Pas non plus toujours très agréable de déambuler dans le grand hall du Farmers Market le week-end au Ferry Plaza. Heureusement, les livraisons à domicile s’organisent: les produits sont envoyés de la ferme ou de la cuisine à la maison, depuis le smartphone, évidemment.
Pour mieux comprendre l’intérêt des locaux pour la mode “organic & sustainable”, il faut se rappeler qu’il y a 40 ans à peine, la Silicon Valley était principalement une terre agricole. Résulat: il est aujourd’hui plus facile de trouver une salade de kale qu’un Big Mac dans le coeur de la ville californienne.
Scénario 1:  pas le temps de cuisiner
Eatsprig fait la tambouille pour vous. La société a été lancée par l’ancien chef de Google, Nate Keller. Elle propose un menu concocté à base de produits frais, de saison. Tous les Franciscains souffrent d’une allergie – souvent exotique et mutante -: il est ainsi possible de commander un menu gluten-free et, bien entendu, végétarien ou végétalien. Chaque plat est facturé $10, plus $2 de livraison (dans les 20 minutes, une fois le plat préparé). Pas de cash: vous payez en ligne ou via l’application mobile (iPhone, bientôt Android). La livraison est assurée entre 17h30 et 21h30.
Munchery a eu la même idée. Des plats de chefs sont cuisinés pour vous, avec des options particulièrement recommandables si vous êtes en régime “low carb” ou si vous préférez le “100% végé”. Tous les ingrédients sont garantis “locaux, bio et durables”. Le prix moyen est de $11 par plat, par personne. Attention, il faut manger à l’heure américaine: livraison jusqu’à 19h.
Scénario 2: pas le temps de faire la conversation à la fermière
Direction FarmBox SF. Ses créateurs, Reisha Fryzer et Chako Fairbanks, recherchent dans la région les meilleurs produits de la ferme. Ils doivent être bio et répondre à des critères de développement durable: des noix, du miel, des oeufs, des fruits, des légumes, du fromage et du pain. Attention, le panier complet revient à $169. Par contre, ils offrent un service parfaitement adapté aux nombreux adeptes des régimes paleo/crossfit.
Autre option: GoodEggs. A San Francisco, le terme CSA (Community-supported agriculture) est un label connu de tous les locaux. Il fait référence au soutien (quasi religieux) apporté à l’agriculture paysanne, un mouvement importé d’Europe dans le courant des années 80. Là non plus, les produits ne sont pas à la portée de tous les budgets, mais sont d’une qualité irréprochable: des citrons aux bettes en passant par les oeufs, évidemment, mais aussi le poulet fermier.
Photo : Inetours.com

Conférence: Traduire Rabelais, une tâche gargantuesque

Gargantua, Pantagruel, vous avez sûrement déjà croisé ces classiques de la littérature française au cours de votre scolarité. Maniant la satire et la parodie, la traduction des oeuvres de François Rabelais soulève bon nombre de questions. Comment retranscrire l’esprit de sa plume dans une autre langue?
Elsa Kammerer, Maître de conférences à l’Université de Lille 3, tiendra une conférence intitulée « La traduction comme expérimentation: Johann Fischart et Rabelais (1575-1590)» qui s’intéressera à Fischart, le premier traducteur allemand des oeuvres de Rabelais. Cet événement gratuit et ouvert au public se déroulera au Barnard College, le mercredi 2 avril.
Professeure de littérature, Elsa Kammerer, se demandera à quels défis Johann Fischart fut confronté lors de la traduction de Gargantua, texte à la fois scatologique et politique.
 
 

La Nouvelle Orléans à feu et à son

C’est le moment de prendre vos billets. Le New Orleans Jazz and Heritage Festival revient du 25 avril au 4 mai pour plusieurs jours de musique sous le soleil de Louisiane.
De la musique, il y en aura puisque les artistes annoncés, aux styles éclectiques, en feront pâlir plus d’un : pour les rockeurs dans l’âme Eric Clapton (27/04 à 17h25), Carlos Santana (25/04 à 17h10) et Bruce Springsteen and the Street band  (3/05 à 17h10) feront le show. Les amateurs de voix puissantes retrouveront Christina Aguillera avec plaisir (2/05 à 17h30). Tandis qu’Arcade Fire (4/05 à 15h45) viendra secouer le public avec son mélange pop/rock aux accents british. Le tombeur de ces dames, Robin Thicke, sera lui aussi de la partie (26/04 à 17h25).
Le festival perpétue aussi la tradition de mettre en avant des groupes locaux, moins connus, dont la musique s’inspire de l’histoire et de la culture de l’Etat de Louisiane. Au total, douze scènes sont mises en place. Chacune représente un style de musique : le jazz bien sûr, mais aussi le blues, le gospel, le rock, etc.
Mais ceux qui voient le New Orleans Jazz and Heritage Festival comme un simple festival de musique de plus parmi une liste déjà longue se trompent. C’est bien plus que cela puisque le festival se donne aussi pour mission de mettre en avant le Bayou, la culture cajun, la nourriture, les coutumes, la mode… Bref, tout ce qui fait qu’on aime la Louisiane. Deux scènes sont même destinées à faire découvrir les plats locaux aux festivaliers avec, au menu, jambalaya, gumbo, saucisses d’alligator, beignets de langoustes et d’autres spécialités.

"French Comedy Night": New York se poile en français

Faire rire en français aux Etats-Unis, c’est le defi de la première French Comedy Night new-yorkaise, organisée les 3 et 8 avril à Greenwich Village.
On connaît bien la tradition américaine des “stand up comedies”. Les comiques français ont l’intention d’y apporter leur “French Touch”. C’est Kallagan, un comique de 29 ans, qui essuyera les plâtres de la manifestation. Avec déjà huit années d’expérience sur les planches, le Français s’est fait connaître avec son spectacle “Le premier one woman show joué par un mec”, qui a remporté un succès considérable à Paris. Il enchaîne en 2007 avec “Alors heureuse” qui lui apportera la consécration et lui permettra de se faire un nom à l’étranger.

L’idée a germé dans sa tête après avoir tourné aux Etats-Unis, en anglais. « A la fin du show, des spectateurs venaient lui demander ‘c’est quand que tu reviens jouer en français?’ » raconte Arnaud Benjamin, l’un des organisateurs de la French Comedy Night.

« La date à New York est un vrai test » affirme-t-il. Mais il ne cache pas ses doutes car si la salle est petite (70 places), elle peine à se remplir. « A Miami, Kallagan arrive sans problème à remplir une salle de 500 personnes, mais ici à New York, c’est plus difficile d’atteindre la communauté francophone», ajoute Arnaud Benjamin. « On aimerait bien que le show donne envie au public de découvrir d’autres artistes ».

L’organisateur a cependant de la suite dans les idées. Il aimerait organiser “un petit festival d’humour français avec trois ou quatre comiques” en septembre. Le nom de Fabrice Eboué pointe le bout de son nez. « Il m’a dit qu’il était très chaud pour se déplacer si on arrive à mettre le projet sur pied…mais rien n’est fait! », ajoute l’organisateur. En attendant, le concept French Comedy Night fait les yeux doux à l’Orient puisqu’il devrait s’implanter en Asie en 2015.

Gagnez des places pour Jacques Schwarz-Bart à New York


French Morning vous fait gagner deux paires de tickets pour le concert de Jacques Schwarz-Bart, le 3 avril au Sub Culture Arts Underground à New York, en remplissant le formulaire ci-dessous. Recevez aussi un album dédicacé du saxophoniste. 
Jacques Schwarz-Bart, surnommé le “Brother Jacques” du jazz, ne devait pas devenir le grand saxophoniste qu’il est aujourd’hui. Dans une autre vie, il était assistant parlementaire au Sénat. Dans son dernier album, “Jazz Racine Haïti”, le musicien met en valeur la culture haïtienne. Un artiste à découvrir.
Lire: Jacques Schwarz-Bart, du Sénat au jazz
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Droits de retraite pour les expats: comprendre les règles avec Novelvy Retraite

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Article partenaire. Depuis plus de 25 ans, Novelvy Retraite réalise des missions pour des expatriés dans plus de 40 pays et en particulier en Amérique du Nord. Son directeur, Bruno Renardier, sera à New York du 31 mars au 4 avril et vous propose de le rencontrer pour vous entretenir de votre dossier de retraite et vous amener à prendre les bonnes décisions (les informations pour prendre rendez-vous figurent ci-contre). Pour les non New-Yorkais, il est joignable par e-mail et téléphone.

Les règles des droits à la retraite sont souvent mal connues des expatriés. Ceux-ci se posent des questions sur les droits à la retraite qu’ils ont acquis dans les régimes français, sur l’opportunité de continuer à cotiser, sur les différentes options qui s’offrent à eux (rachat de trimestres, cumul emploi-retraite …), et sur la manière d’optimiser leurs droits. Et il n’est pas rare qu’ils soient amenés à prendre des décisions sans disposer de la compréhension des règles et d’une vision claire de leur situation !
Un expatrié peut cotiser de manière volontaire aux régimes de retraite français. De nombreuses personnes ignorent toutefois qu’il est aussi possible de s’affilier lorsqu’on est commerçant, industriel ou consultant. Les affiliations se feront alors non pas à la CFE (régime des salariés) mais au RSI ou à la CIPAV.
L’intérêt d’une cotisation volontaire dans un régime de base dépendra de multiples facteurs personnels et en particulier :
– de l’ensemble des droits déjà acquis dans l’ensemble des régimes de retraite français.
– de l’âge auquel un assuré pourra prétendre percevoir l’ensemble de ses retraites à taux plein s’il continue à cotiser.
– de l’impact d’un non abattement éventuel à l’âge choisi de liquidation des droits qui s’appliquerait aussi aux régimes complémentaires, venant ainsi augmenter la rentabilité des cotisations.
– de la volonté éventuelle de revenir travailler en France à moyen terme et long terme.
–  de la possibilité que l’entreprise prenne en charge les cotisations.
– de l’avantage qu’il y aurait sur le calcul de la retraite de l’Assurance Retraite de limiter ou d’annuler la prise en compte d’années à faibles salaires dans le calcul de la moyenne des 25 meilleures années.
 
Il ne faut pas non plus passer à côté des possibilités qui sont offertes aux conjoints qui ne travailleraient pas de continuer à cotiser à la CFE.
Il est donc vivement conseillé, avant de prendre une décision, de disposer d’une étude personnalisée prenant en compte pour chaque situation tous les facteurs à considérer et qui permet de prendre ensuite des décisions en toute connaissance de cause.
Une approche individualisée en fonction des parcours et des objectifs, un interlocuteur dédié tout au long de la mission, la délégation totale de l’ensemble des démarches auprès des organismes, nos services sont particulièrement adaptés aux besoins spécifiques des expatriés.
Bruno Renardier (+33 6 18 57 77 45)
[email protected]
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un client qui en détermine le contenu.
 

Neil Young en tournée

Le chanteur et guitariste canadien Neil Young pose ses guitares au Dolby Theater de Los Angeles du 29 au 2 avril, avant d’enchainer une série de concerts aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Il sera aussi au Meyerson Symphony Center de Dallas les 17 et 18 avril.
Si «Heart of Gold», issue de l’excellent album « Harvest » (pour lequel il a reçu en France, le prix de l’Académie Charles-Cros) est la chanson que l’on associe le plus souvent à Neil Young, en cinquante ans de  carrière, le chanteur a su sans cesse se renouveler dans des genres parfois très différents (rock, grunge, folk, country et plus récemment electro).

La kermesse de Petit Prince à Boca Raton

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La Kermesse de l’école Le Petit Prince se tiendra le samedi 29 mars ! Promenades à poney, vente de petits pains et peinture sur visage et ateliers de maquillage vous y attendent de 10h à 13h.
Le Petit Prince est une école d’immersion en français. Elle accueille les enfants dès la preschool. Elle propose aussi des cours privés particuliers et de groupe pour les enfants et les adultes, un camp d’été pour les enfants de 13 ans et moins, et un programme de famille d’accueil pour les étudiants français en échange.
 

PJ Adams vante le chic des Françaises

Samedi 29 mars à Westlake, au Nord de Los Angeles, l’auteure Pamela PJ Adams présentera et dédicacera son livre « Intoxicating Paris », dans la boutique de décoration « A la Maison ». Cette rencontre avec la psychothérapeute devenue écrivain, aura lieu de 13h à 16h, avec pour thème central l’élégance et l’art de vivre de la femme française.
A travers ses pages, PJ Adams proposera notamment à chaque lectrice de « révéler la Parisienne qui sommeille en elle ». Tout un programme…
Passionnée par l’Hexagone et par le « chic » de ses habitantes, l’intéressée multiplie les séjours de l’autre côté de l’Atlantique et travaille d’ailleurs sur un nouvel ouvrage, cette fois consacré à la Provence.