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L'art envahit Downtown Miami

Entre expositions, visites, et oeuvres in situ, le festival DWNTWN Miami promet trois journées d’activités inspirées.

Du 20 au 22 septembre, dans le cadre des “Art Days” organisées par le Miami DDA, plus de 50 artistes collaboreront pour faire de Downtown Miami un lieu d’échange culturel aussi bien destiné aux amateurs qu’aux néophytes. On pourra notamment y voir les premiers essais de peinture de Bob Marley et assister au fameux Redbull flugtag.

Cinq types d’activités sont proposées : les évènements spéciaux, les visites de studios d’artistes, les visites guidées -à pied ou en vélo-, les expositions et les performances in situ – ou “fringe”. Au nombre de 125, elles sont toutes gratuites.

L'art géométrique de l'Atlas et Thomas Canto hypnotise LA

Deux artistes de rue français s’installent à Los Angeles du 21 septembre au 20 octobre. L’Atlas et Thomas Canto, tous deux connus pour leurs représentations de l’espace par la géométrie, se retrouveront à la Fabien Castanier Gallery pour une exposition à quatre mains intitulée “Parallels”.

C’est la première fois que les deux artistes allient leur travail dans une exposition, même si leur amour des formes géométriques les rapproche. Alors que le premier se passionne pour les formes typographiques et calligraphiques, le second tente de représenter l’espace urbain à travers une infinité de traits et de niveaux.

Les artistes, qui n’ont jamais exposé à Los Angeles, seront présents lors de l’ouverture de l’exposition le 21, de 19h à 22h.

Photo: Thomas Canto

Le prodige français du piano joue à la Colburn School

Considéré comme l’un des meilleurs pianistes au monde, Jean-Yves Thibaudet donnera un concert à Los Angeles le 15 septembre.

L’artiste se produira avec la Colburn Chamber Music Society, de l’école de musique Colburn School. Il jouera deux morceaux de Poulenc et un de Dvorak. Encensé pour son talent et son charisme, le Lyonnais qui frappe les touches noires et blanches depuis l’âge de 5 ans a enregistré 50 albums en 30 ans de carrière.

Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres, il a également reçu plusieurs distinctions dans le domaine artistique, dont une Victoire d’honneur lors des Victoires de la Musique.

Garciaphone met le cap sur New York

Jeune pousse française, Garciaphone aura trois dates pour séduire la “Big Apple”.

Du 12 au 17 septembre, la formation d’Olivier Perez sera accueillie au Blue Monday, au Delancey ainsi qu’au Piano’s. Ce groupe, “Découverte” du Printemps de Bourges 2012, y jouera un folk bien dans ses bottes. Le groupe est acclamé par la critique française, notamment Les Inrocks, qui y voient “un prétendant (…) sérieux au trône du royaume folk-rock“.

A l’origine du groupe, en 2007, Oliviez Perez revient d’une tournée aux Etats-Unis durant laquelle il a été batteur du New Yorkais Charles Zerner. Autant dire que les Etats-Unis, il connait. D’autant plus que ses compositions sont largement inspirées de musiciens américains, des Pixies à Jason Lytle. Les trois dates seront jouées en acoustique.

Photo : Elian Chrebor

Syrie noire pour Hollande

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(Revue de presse) Une semaine après être redevenue « le plus ancien allié des Etats-Unis », la France s’enfonce dans l’imbroglio diplomatique.

A l’heure où l’opinion française se montre de plus en plus dubitative face à une intervention française en Syrie, les journaux américains, eux, sont partagés entre éloges et tacles à l’égard de François Hollande. Les journaux américains ont ainsi cherché à comprendre pourquoi notre pays est tellement disposé à aller en Syrie. “Contre toute attente, François Hollande, connu pour sa timidité en ce qui concerne les réformes, est apparu comme la mascotte belliqueuse du monde libre”, commente The Atlantic. Ce dernier va même jusqu’à revenir sur l’ère des “Freedom Fries”, comme CNN récemment. “Le fait que la France soit enthousiaste vis à vis d’une intervention en Syrie dément la fausse et injuste caricature dont elle a héritée du temps de la guerre en Irak, selon laquelle elle serait un pays excessivement isolationniste”.

Le New York Times, quant à lui, pense que la réaction de la France trouve ses racines dans la Première  guerre mondiale : “Les troupes françaises ont été gazées durant le conflit et le pays a depuis toujours tenté d’éradiquer ce type d’armes”. Pourtant, le rapport que la France a rendu public le 2 septembre – et qui vise à prouver que l’attaque chimique du 21 août a bien été perpétrée par le régime d’Assad – peine à convaincre. “Finalement, le rapport français n’a apporté que peu de preuves concrètes par rapport à ce qui avait déjà été publié par l’administration américaine”, regrette le Daily Herald.

Pis, la décision d’Obama de demander l’accord préalable du Congrès s’est retournée contre la France. “Le président français se voit lui-même renvoyé au simple rôle de laquais”, note le New York Times, qui juge Hollande inexpérimenté en matière de politique étrangère. De son côté, le Washington Post conclut que “le délai imposé par les Américains a exposé les limites militaires de la France, à tel point qu’Hollande se retrouve sur la touche”. Une position très inconfortable que ne manque pas de critiquer le New Yorker, qui ironise sur le fait qu’“Hollande trouve bien plus facile de mener des interventions expéditives que de réformer le système des retraites ou d’accorder aux professeurs de français leur traditionnel mercredi après-midi”.

Richard Gasquet, “l’enfant prodige”

Richard Gasquet a perdu en demi-finale de l’US Open, mais il peut se consoler en se disant qu’il a été remarqué par le New York Times . Le quotidien s’est intéressé au parcours de “l’ancien enfant prodige” : “Les attentes ont été hautes très vite pour Gasquet. A peine âgé de 9 ans, il faisait déjà la couverture de Tennis Magazine, avec en sous-titre ‘le champion que la France attend ?'”. Gasquet y est décrit comme quelqu’un qui manque de confiance en lui, et qui n’a pas su, jeune, gérer le feu des projecteurs. Son amitié avec Rafael Nadal y est également évoquée. Ce dernier a en effet toujours soutenu Richard Gasquet, notamment lors de sa suspension en 2009 après qu’un test a révélé des traces de cocaïne dans son organisme. “Quatre ans plus tard, Gasquet lui en est toujours reconnaissant”, note le journal. Pour autant, la compassion ne fut pas de mise samedi dernier, puisque Nadal a écrasé son adversaire trois sets à zéro, lors de la demi-finale.

La vin a froid

Qui sait, Richard Gasquet sera peut-être comme le bon vin: il s’améliorera avec l’âge. Or, la situation de la production de vin en France alerte le site Bloomberg, qui note que “la France a réduit ses projections de production pour la deuxième fois en deux mois“. En cause: “les dommages liés à la grêle dans la région de Bordeaux, et le froid et l’humidité ont fait du mal à la pollinisation, ce qui a conduit à la perte de fruits“.

Notant l’importance de l’économie du vin en France et à l’exportation, le site dresse un constat peu reluisant de l’état de nos vignes. “Grappes trop petites“, “report de la récolte à cause du froid“, “maladie“, “grêle“. Voilà qui promet. “La température moyenne en France en juin fut inferieure de 0,7 degré Celsius à la normale, avec de la pluie en excès dans le Sud-Ouest où se trouve Bordeaux.” Heureusement, après la pluie…

Credit: Pool/ABACAUSA.COM
 
 

Syrie: Frédéric Lefebvre soutient Hollande

Frédéric Lefebvre soutient “fermement et de manière résolue” François Hollande sur le dossier syrien.

Dans un entretien paru dans Le Monde, le député des Français d’Amérique du Nord a salué la “décision sage et courageuse” du président, qui veut intervenir militairement en Syrie. Une déclaration à rebrousse-poil de la ligne de son parti, l’UMP, qui défend l’option d’une intervention encadrée par l’ONU. “Je le répète : le rôle de la France est de s’engager. L’ONU ne bougera que si des pays prennent leurs responsabilités“, estime le député.

Il précise qu’il n’exigera pas de vote préalable au Parlement “pour ne pas affaiblir la fonction présidentielle“. “Je viens du mouvement gaulliste et revendique l’héritage du général de Gaulle. Si la constitution de la Ve République a voulu donner une autorité entière au président en matière militaire, c’est justement pour éviter l’immobilisme et la faiblesse que l’on a connus dans le passé.

Et le Sarkozyste de toujours d’ajouter: “Nicolas Sarkozy avait engagé la France en Libye, le rôle de notre pays était salué sur la scène internationale. Je me félicite que notre pays soit aujourd’hui à l’initiative.

New York, meilleure ville au monde

Les New-Yorkais le savaient déjà : leur ville est la meilleure au monde.

La Grosse Pomme arrive en tête du dernier classement d’Ipsos des meilleures villes de la planète, « Ipsos’ Top Cities ». L’institut de sondage a soumis une liste de grandes villes à 18.000 personnes dans 24 pays pour leur demander leur opinion. Et le verdict est sans appel : New York reçoit un indice de 68, contre 52 pour Londres et Paris, respectivement deuxième et troisième. Los Angeles, l’autre ville américaine  du top 10, se place 9e.

Le calcul de l’indice est basé sur plusieurs critères : tourisme, affaires et qualité de vie. New York arrive en tête du classement des villes pour le business. Trente pourcent des sondés la placent en pole position de la catégorie, devant Abu Dhabi et Hong Kong. Los Angeles, Washington et Chicago arrivent onzième, douzième et dix-septième. Paris se positionne à la quatorzième place, avec 7% des sondés la considérant comme la meilleure ville pour les affaires.

Paris se rattrape au classement des villes à visiter : la capitale française domine la catégorie, avec 28% d’opinions favorables, devant New York (22%). Los Angeles est 8e.  Quant à la ville où la qualité de vie serait la meilleure, les sondés répondent « Zürich » (21%), devant Sydney (20%), Londres et Paris (17%) et New York (16%). Los Angeles et Washington arrivent 10e et 19e.

Gagnez des places pour Gad Elmaleh à Philadelphie

Le spectacle est annulé

Après New York, Boston et Portland, Gad Elmaleh se rend au Keswick Theater de Philadelphie le 12 septembre pour présenter son spectacle « Sans tambour » dans le cadre de sa tournée americaine.

French Morning vous offre cinq paires de tickets gratuits pour y assister. Pour participer, il suffit d’envoyer votre nom, prénom et e-mail à l’adresse [email protected]

Les heureux gagnants seront tirés au sort.

Crédit : Sipa / Sipa USA

Lycées français: bourses en baisse

Moins d’argent pour les bourses, et moins de boursiers. La première commission nationale des bourses (CNB) pour l’année scolaire 2013-2014 a rendu son verdict.

Selon les données issues de la commission, qui s’est réunie en juillet, le nombre de boursiers a baissé de 242 par rapport à l’an dernier (de 1.376 à 1.134). Le budget alloué aux bourses scolaires aux Etats-Unis est également en recul: de -14,6%, soit 1,9 million d’euros. Il passe de 13,6 millions d’euros  à 11,7 environ. “Malheureusement, ce n’est pas une surprise“, estime Franck Barrat, élu MoDem de San Francisco à l’AFE (Assemblée des Français de l’étranger), cosignataire en février d’un communiqué dénonçant la réforme de l’aide à la scolarité, qui doit entrer en vigueur à la rentrée. “Le plus inquiétant est qu’on perd 20% du nombre de boursiers. Certaines familles n’ont même pas essayé de présenter de dossier cette année“.

En cause, la révision du barème des bourses engagée l’an dernier par le gouvernement pour simplifier le système et le rendre plus démocratique. Les détracteurs de la réforme fustigent notamment l’introduction dans le nouveau dispositif de calcul d’un indice de coût de la vie appelé “Mercer”. Selon les critiques, à droite comme à gauche, l’indice ne reflète pas la réalité du coût de la vie aux Etats-Unis car il ne prend pas en compte les dépenses relatives à certains services (cotisations retraites, santé, frais écolages et garderie par exemple).

“On brade un joyau de la France”

Selon les chiffres de la CNB, la circonscription de San Francisco perd le plus grand nombre de boursiers: 88. Washington et Los Angeles, 36. New York, 32. Houston et Boston, 20. Seule la circonscription consulaire de Miami voit le nombre de boursiers augmenter légèrement, de deux. Dans leur partie “observations”, les documents laissent également entrevoir un scepticisme généralisé envers la réforme, au sein des commissions locales des bourses, composées de chefs d’établissements, et de représentants des Français de l’étranger et du consulat. Un chef d’établissement dans la circonscription de San Francisco estime par exemple qu’ “on brade un joyau de la France: son réseau français à l’étranger“.

Face à la crise, à l’augmentation régulière du nombre de Français arrivant aux États-Unis, on devrait « mécaniquement » avoir davantage de familles boursières, en particulier si le noble objectif de justice et d’équité sociale du gouvernement actuel était sérieux, souligne Damien Regnard, élu AFE pour l’UMP à Houston et chargé de mission du parti pour les Etats-Unis. Au contraire, on a constaté cette année une baisse du nombre de familles bénéficiaires, parallèlement à une baisse du budget des bourses pour les États-Unis“.

L’AEFE (Agence pour l’enseignement du français à l’étranger), qui pilote la réforme, n’a pas souhaité s’exprimer sur ces chiffres, préférant attendre les résultats de la seconde campagne de bourses, actuellement en cours.  “Les données récoltées sont tout à fait provisoires et doivent être consolidées lors des secondes Commissions locales des bourses (CLB2) qui se tiendront en septembre/octobre 2013“, précise un porte-parole. La seconde commission nationale se réunira elle en décembre.

Pour Claude Girault, élu Français du Monde-ADFE à l’AFE, “il faut être méfiant, on n’est qu’à mi-chemin. On peut espérer un rectificatif, mais je n’en sais rien“. C’est la “première fois” que ce spécialiste des questions d’éducation française à l’étranger assiste à un tel recul du nombre de boursiers. “C’est une question de choix, dit-il. L’AEFE essaye de faire le maximum dans un contexte financier contraint“.

Credit:Fred Scheiber/20 Minutes/SIPA/

Michèle Boiron, porte-drapeau de l'homéopathie

Si l’homéopathie était une langue, Michèle Boiron serait bilingue. La fille et nièce des fondateurs des laboratoires dont elle porte le nom connaît les formules par cœur. Elle ne s’en vante pas, ça sort tout seul, dès qu’on évoque une maladie ou un simple mal. « J’ai grandi dans l’homéopathie, nous n’avions que cela à la maison » s’excuse-t-elle en souriant, lors d’une visite à New York.

Michèle Boiron est venue célébrer les 30 ans de la filiale du groupe aux Etats-Unis, basée dans la banlieue de Philadelphie. Pas de grande fête organisée mais l’occasion pour elle de rencontrer des professionnels de la santé américains et de lancer, symboliquement, la boîte des 30 doses d’Oscillococcinum. L’anti-rhume reste le produit phare des Laboratoires outre-Atlantique, 3 millions de boîtes (6 doses) vendues chaque année. « Mais en France, c’est quatre fois plus » précise Valérie Poinsot, la directrice générale déléguée des laboratoires lyonnais, venue accompagner Michèle Boiron dans sa tournée américaine. Le groupe mise aussi sur l’Arnicare, l’anti-bleus qui a le vent en poupe. « Le plus dur, c’est de changer les habitudes » souligne Janick Boudazin, le patron de Boiron USA. « Comme pour les yaourts : il a fallu du temps aux fabriquants de produits laitiers pour s’imposer ici, les Américains n’avaient pas l’habitude d’en consommer. »

Changer les habitudes est le combat quotidien de Michèle Boiron. Depuis longtemps, et au sein même de sa famille : bien que militante convaincue de l’homéopathie, elle a toujours défendu la complémentarité avec la médecine traditionnelle, l’allopathie dans le langage homéopathe. « Il y a 40 ans, il y avait du sectarisme des deux côtés », se souvient-elle, « aujourd’hui, on propose les deux. Pour les allergies de printemps par exemple, on peut prendre de l’homéopathie durant la journée, il n’y a aucun effet secondaire et ça soulage bien. Mais si ça persiste le soir, rien n’empêche de prendre un antihistaminique avant de se coucher. » Un concept difficilement compréhensible à l’époque de son père, Jean, et de son oncle Henri, les cofondateurs des laboratoires lyonnais en 1932. « Ils étaient passionnés, visionnaires et originaux pour leur époque. Ils travaillaient la journée et dansaient la nuit, pour s’amuser ».

Entrée dans l’officine familiale, dirigée par sa mère Simone, en 1968 après ses études de pharmacie, Michèle Boiron la quitte dix ans plus tard. « J’ai acheté une petite pharmacie dans la banlieue de Lyon. Il n’y avait pas un seul produit homéopathique. Je n’avais jamais vu une ordonnance de ma carrière, je ne connaissais rien à l’allopathie. » Très vite, elle propose les petits granules à sa clientèle, pour la plupart de jeunes mères de famille, lassées des antibiotiques prescrits alors abondamment. En huit ans, le chiffre d’affaires est multiplié par huit.

Globe-trotteur indépendant

À la fin des années 80, Simone Boiron rappelle sa fille à la pharmacie de la rue du Président Carnot. Cette dernière accepte mais pose ses conditions : elle veut vendre les deux sortes de médicaments. La famille cède. Michèle Boiron n’oubliera jamais l’air catastrophé de son père quand elle a engagé les travaux et installé les rayons de médicaments traditionnels. Pourtant, relancée, l’affaire familiale a repris des couleurs. Michèle Boiron vend la boutique en 2005, afin de partir en retraite, au moment où les Laboratoires, cotés en bourse depuis 1987, fusionnent avec Dolisos, alors le numéro deux du secteur.

Repos éphémère. Son frère Christian, président de Boiron à l’époque (il a laissé sa place à son frère Thierry en 2011 pour prendre la direction générale), lui demande de jouer un rôle dans le groupe dont le capital reste aux mains de la famille : promouvoir l’homéopathie… dans le monde.  « Je suis devenue globe-trotteur indépendant » s’amuse Michèle Boiron. Elle visite au moins un pays chaque mois et vient de co-signer un livre avec le pharmacien François Roux, Homéopathie et prescription officinale, traduit en 14 langues.

Le potentiel de croissance est élevé pour Boiron, l’homéopathie ne représentant qu’1% du marché pharmaceutique mondial. Michèle Boiron préfère parler stratégie plutôt que chiffres :  « l’avenir passe par la formation” des médecins, pharmaciens et infirmiers. Les Etats-Unis sont en retard sur la France dans ce domaine. Mais les Américains sont de plus en plus sensibles à la gestion de la douleur des grands malades, le palliative care, même dans les cas de cancer. « Quand j’ai commencé mes études d’homéopathie, je n’aurais jamais pensé donner des conseils à des personnes traitées en chimiothérapie » assure François Roux. « On peut soulager ces patients sur les effets secondaires qu’ils subissent, comme la nausée et la fatigue ».

Quand on évoque l’heure de sa vraie retraite, Michèle Boiron soupire. Elle pense aux mille et une choses qui restent à faire, aux Etats-Unis et ailleurs. Aussi passionnée et téméraire que ses aïeux, elle ne manque pas d’anecdotes pour défendre sa cause. « J’ai arrêté le hoquet d’un ami pas du tout convaincu par l’homéopathie. Il a fallu m’y prendre à trois reprises mais… le hoquet a bel et bien disparu ! »

Wax Tailor de passage à Los Angeles

Pour sa tournée 2013, Wax Tailor fera escale à Los Angeles.
Jean-Christophe Le Saoût, plus connu sous le nom de Wax Tailor, se produira le 21 septembre prochain à l’El Rey Theatre. Lui-même aux platines, il sera accompagné de son groupe “Dusty Rainbow Experience”, qui l’a suivi lors de ses tournées précédentes. Il y jouera son album “Dusty Rainbow from the Dark”, sorti en 2012,  mais aussi ses titres les plus connus, dont le quasi-hymne “Que sera”.
Propulsé sur la devant de la scène en 2005 avec son premier album, Wax Tailor a popularisé une identité sonore entre hip-hop et trip-hop qu’il agrémente de symphonies et “samples” bien pensés. Ses concerts sont connus pour être brillamment mis en scène.
Photo : encosion / flickr.com

Le Frenchy Wax Tailor de passage à San Francisco

Pour sa tournée 2013, Wax Tailor fera escale à San Francisco.
Jean-Christophe Le Saoût, plus connu sous le nom de Wax Tailor, se produira le 24 septembre prochain au Club Mezzanine. Lui-même aux platines, il sera accompagné de son groupe “Dusty Rainbow Experience”, qui l’a suivi lors de ses tournées précédentes. Il y jouera son album “Dusty Rainbow from the Dark”, sorti en 2012,  mais aussi ses titres les plus connus, dont le quasi-hymne “Que sera”.
Propulsé sur la devant de la scène en 2005 avec son premier album, Wax Tailor a popularisé une identité sonore entre hip-hop et trip-hop qu’il agrémente de symphonies et “samples” bien pensés. Ses concerts sont connus pour être brillamment mis en scène.
Photo : encosion / flickr.com