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Brooklyn fête les Caraïbes

Pendant cinq jours, Brooklyn célèbrera la culture caribéenne, à l’occasion du West Indian American Day Carnival du 29 août au 2 septembre. Pour l’événement, le quartier de New York verra défiler des centaines de costumes de toutes les couleurs, vivra au rythme des percussions et dégustera des délices culinaires régionaux.
Ces cinq jours s’achèveront sur l’événement majeur du festival, la Caribbean Carnival Parade qui aura lieu le 2 septembre, jour de Labor Day. Une quarantaine de groupes costumés paraderont sur Eastern Parkway au cours du plus grand défilé costumé caribéen des Etats-Unis. B
Bordée par une centaine de stands de cuisine du monde entier, la parade évoluera de Schenectady Avenue jusqu’à Grand Army Plaza, de 11h à 18h.
Crédit : West Indian American Day Carnival Association (WIADCA)
 

Long Beach retombe dans les années 80

Long Beach se transformera en dance floor géant pour un concert en plein air au son des années 80.
“Lost 80s Live Tour” s’arrêtera à Madhaus le 24 août pour faire vibrer le sable de Long Beach. Au programme de ce concert, de nombreux groupes des années 80 tels que A Flock of Seagulls, Naked Eyes, Animotion, The Flirts, Trans-X, Gary Myrick, Johnny Vatos Boingo Dance Party, Richard Blade et un invité surprise.
Bar, restauration et de nombreux vendeurs de rue complèteront les festivités.
Crédit : Lost 80’s Live/Facebook

20.000 lieues sous les mers… dans le ciel

En 1868, un mystérieux monstre marin hante les eaux du Pacifique en attaquant régulièrement les bateaux qui naviguent sur l’océan. Le gouvernement américain envoie une expédition pour partir à la recherche du monstre des mers.
Le film « 20.000 Lieux sous les Mers » sera diffusé le 27 août à l’hôtel Intercontinental Mark Hopkins dans le cadre des soirées « Wine and Movie », organisées cet été.
Réalisé en 1954 par Richard Fleischer, le film rassemble à l’écran Kirk Douglas, James Mason et Paul Lukas. Le long métrage est une adaptation du roman d’aventures de Jules Verne, publié en 1870.
Une dégustation de vin gratuite sera organisée avant la projection du film qui aura lieu au Top of the Mark de l’hôtel, à 360 mètres de hauteur avec une vue splendide sur San Francisco.
Crédit : D.R

Les stars du ballet ont rendez-vous à Miami

Tutus, pointes et danseurs étoiles ont rendez-vous à Miami pour le Festival International du Ballet qui se déroulera du 29 août au 8 septembre.

Ce festival de danse unique en Floride rassemblera plus de 200 artistes de 20 compagnies différentes provenant des quatre coins du monde. Depuis l’Europe, l’Asie, l’Amérique Latine et l’Amérique du Nord, les danseurs se sont donné rendez-vous pour célébrer la 18e édition du Festival.

Le festival mélange cinéma, littérature et spectacles de danse. Des ateliers de danse classique, contemporaine, de modern jazz et de hip hop sont même proposés.

Côté compagnies, si le Ballet de l’Opéra de Paris n’a pas encore confirmé sa présence, on peut déjà compter sur la venue de l’American Ballet Theater, le Northern Ballet du Canada ou encore la Compania Nacional de Danza du Mexique.

A noter que la Cinémathèque de la Danse de Paris collabore avec le festival dans la diffusion de films sur la danse, projetés du 30 août au 4 septembre à la Miami Beach Cinémathèque et au Lehman Theater du Miami Dade College.

Crédit : Miami Hispanic Ballet 

Chaud devant! Burning Man est de retour

Sous-marins, canards géants, nageurs, serpents, chandeliers ou encore horloges de grands-pères, Burning Man est de retour.

L’édition 2013 de l’événement artistique annuel se tiendra du 26 août au 2 septembre dans le Black Rock Desert du Nevada. Comme chaque année, la semaine s’organise autour d’un thème. Cette saison, c’est “Cargo Cult”.

Chacun est invité à venir s’exprimer de façon artistique lors de cet événement communautaire. Burning Man cherche notamment à promouvoir de nouvelles formes artistiques et encourage les artistes qui ont peu de visibilité à se manifester. La communication et la spiritualité sont au coeur de cette ville temporaire coupée du monde, qui renaît chaque année dans le désert du Nevada.

Depuis 1986 et la crémation festive d’un grand mannequin sur Baker Beach à San Francisco, Burning Man est devenu un événement mythique, rassemblant tous les ans plus de 48.000 personnes.

Crédit : George Post/Burning Man/ Facebook

Dégustation de vin dans un townhouse

Une dégustation de vin dans un décor intimiste: c’est le concept des rencontres “Grands Crus”.

Un “tasting” de Bourgogne aura lieu le 29 août dans un townhouse de l’Upper West Side. Cinq bouteilles de Chardonnay et Pinot Noir seront débouchées, sous la houlette d’Antoine Coudreuse, ambassadeur de Domaine Roux Père & Fils. La dégustation sera accompagnée d’hors d’œuvre.

A noter que les places ne sont disponibles qu’en ligne. Tenue: “casual chic”.

Crédit : Grandscrus.org

Des croisières autour de New York, les touristes en moins

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Une main sur la barre de son Smartboat et l’autre sur la manette de commande, Laurent Corbel vire lentement tribord.

Le petit bateau à moteur, balloté par les vagues, est désormais entre Liberty Island et le New Jersey, juste derrière la Statue de la Liberté. Peu de personnes voient le dos de la mythique Miss Liberty: dans cette partie de la Baie de New York, l’eau, peu profonde, ne permet pas aux grandes embarcations de touristes, trop lourdes, de s’y rendre, à moins d’endommager leur coque. A l’arrière du Smarboat, assis sur deux banquettes, les passagers apprécient la vue. “C’est assez unique“, souligne Laurent Corbel.

Le Breton de New York, promoteur du Smartboat aux Etats-Unis et ancien président de BZH New York, a un avantage sur tous les autres prestataires de croisières. Son embarcation légère, souple, peut se faufiler dans tous les recoins navigables autour de la ville. Tous sauf le capricieux Hell Gate, la zone entre Randall’s Island et le Queens connue pour ses torrents. “C’est un petit peu chaud par là“.

Dès le 21 août, le Français entend bien mettre son Smartboat à profit en lançant S-Cruise, un service de croisières privatives autour de Manhattan. Finis les équipages de 50 personnes, les organisateurs voient petit: quatre personnes à bord (plus un skipper, à la barre). Pas plus. Cerise sur le bateau: ses croisières sont “à la carte”. Les passagers sont libres de choisir l’itinéraire qu’ils souhaitent. Seules contraintes: le départ et l’arrivée ont lieu au Pier 25 à TriBeCa et la croisière ne dure pas plus de 90 minutes. Pas assez, par exemple, pour faire le tour de Manhattan. “On peut aller assez loin, assure Laurent Corbel. Jusqu’au Verrazano Bridge, le bord de Staten Island. Côté Brooklyn, Red Hook. J’aime beaucoup remonter l’Hudson River, jusqu’au George Washington Bridge, où les falaises tombent dans l’eau.

Quatre formules de croisières seront proposées tous les jours de la semaine: “petit-déjeuner” (avec café, jus d’orange et croissants à bord) – “plutôt pour les hommes d’affaires qui ne veulent pas rester à l’hôtel” ; deux en journée (10h et 14h); et enfin “coucher de soleil” avec “peut-être une bouteille de champagne“. Prix: minimum 220 dollars pour quatre personnes. M. Corbel envisage aussi de lancer une navette entre TriBeCa et Flushing Meadows, où se tiendra l’US Open de tennis en août.  Les clients peuvent apporter à boire et à manger (même si la houle rend acrobatique le débouchage de bouteilles). Oublier l’appareil-photo serait un crime. Fin des croisières: le 30 septembre.

Credit: Smartboat
 

Patricia Kaas fête Piaf en chanson

Patricia Kaas rendra de nouveau hommage à Edith Piaf lors d’un concert au Town Hall, le 20 septembre,  à l’occasion des cinquante ans de la disparition de la chanteuse.

Lors de ce concert, « Kaas chante Piaf », qui avait été joué en 2012 au Carnegie Hall de New York, Patricia Kaas chantera les morceaux les plus célèbres de l’icône de la chanson française. Pendant le spectacle, des vidéos montrant des images rares de la Môme seront projetées pour le public.

Avec 25 ans de carrière en France et de nombreux succès à l’étranger, Patricia Kaas reste l’une des personnalités les plus emblématiques de la chanson française. Elle a remporté six “Victoires de la musique”, et vendu 17 millions d’albums dans 47 pays.

La France, terre d'entrepreneurs et d'impôts

(Revue de presse) La France, vivier d’entrepreneurs ? C’est l’avis du site Bloomberg Business Week qui publie un article sur la vitalité des entreprises françaises. Enfin un article qui tranche sur la sinistrose ambiante !

« Pas besoin d’être Gérard Depardieu pour penser que les impôts élevés en France et l’Etat Providence étouffent l’entrepreneuriat. Il est alors surprenant qu’il y ait eu davantage de créations d’entreprises en France entre 2007 et 2011 que dans le reste des économies prospères du G-7, dont les Etats-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Italie et le Japon combinés », avance le site américain.

« Qu’est-il donc arrivé à la France ? », s’interroge Bloomberg Business Week. Pour le site, le responsable de ces bons chiffres n’est pas le socialiste François Hollande. « Le sursaut peut être attribué à un changement que le gouvernement du président Nicolas Sarkozy a fait en 2009 visant à simplifier les règles et à mettre en place des réductions d’impôts pour les créateurs de très petites entreprises à travers le programme appelé auto-entrepreneur », explique le site.

Bloomberg Business Week, qui s’appuie sur un rapport du Financial Times, précise que « la plupart des auto-entrepreneurs gagnent moins que le salaire minimum français de 9,40 euros de l’heure (…) comme de nombreux travailleurs indépendant aux Etats-Unis, les Français se tournent vers l’auto-entreprenariat pour générer des revenus quand ils ne peuvent pas trouver d’emploi. Et cela se passe dans un pays où les chômeurs ont des avantages beaucoup plus généreux qu’aux Etats-Unis ». Pourtant, « ce ne sera pas suffisant pour faire revenir Gérard Depardieu de Russie », estime le site américain.

Accro aux impôts

Cet élan d’optimisme n’est pas de l’avis de Richard Fisher, le président de la Réserve Fédérale de Dallas. « Je suis inquiet pour la France, plus que pour n’importe quel autre pays », a-t-il déclaré selon CNBC, qui signe un article dans lequel la France est décrite comme « la plus grosse inquiétude en Europe ». « Richard Fisher (…) est plus inquiet pour la deuxième économie de la zone euro que pour sa périphérie ». Il a déclaré être « optimiste avec prudence pour la zone euro et voit des améliorations (…) mais les problèmes en France demeurent», précise le site, qui souligne que la production industrielle française reste faible et le chômage élevé. Pour le site Broadcast Engineering, ce sont les impôts qui posent problème en France, à tel point que le site parle d’addiction. « La France entend étendre sa taxe actuelle sur (les retransmissions sportives) aux évènements dont les droits sont détenus à l’étranger. (…) Cette décision n’est pas une surprise dans un pays accro aux taxes, particulièrement depuis l’élection en mai 2012 du gouvernement socialiste actuel ».

Enfermé par erreur à Guantanamo

Le New York Times  met la lumière sur Nabil Hadjarab, « un Algérien de 34 ans qui a grandi en France », et serait enfermé par erreur à Guantanamo. « Il a appris à parler français avant d’apprendre l’arabe. Il a une famille et des amis proches en France mais pas en Algérie. Quand il était enfant près de Lyon, où il a grandi, c’était un joueur de football doué et il rêvait de jouer au Paris Saint Germain ou dans un autre club français », écrit John Grisham, avocat et auteur de romans judiciaires, dans sa tribune.

« Tragiquement pour Nabil, il a passé onze ans en tant que prisonnier à Guantanamo, la plupart du temps dans un confinement solitaire. Depuis le mois de février, il participe à une grève de la faim, qui a conduit à son alimentation de force », continue-t-il, avant d’expliquer la descente aux enfers de Nabil, depuis son arrestation en Afghanistan « pour des raisons qui n’ont rien à voir avec le terrorisme ou un comportement de guerre ou criminel » jusqu’à son incarcération dans la tristement célèbre prison de Guantanamo et son hypothétique extradition vers l’Arabie Saoudite prochainement. « Une autre injustice » selon l’auteur de l’article.

Adieu le surf à la Réunion

Le site Surfline crie au scandale après l’interdiction en France de surfer sur les plages de la Réunion à la suite d’attaques de requins. L’auteur de l’article supporte mal cet interventionnisme tout français. «Nous avons rarement, ou jamais, entendu parler d’un gouvernement sanctionner les attaques de requins, ou pire, interdire de surfer pour cette raison lorsque nous réservons des tickets pour l’Afrique du Sud, l’Australie ou Hawaï. Ce serait une proposition ridicule », ajoute-t-il, en se moquant de la décision française. « Ce n’est pas que nous préférerions ne pas savoir qu’il y a des monstres là-bas. Croyez-nous, nous le savons ».

En France et aux USA, devenir maman après 40 ans

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Aux Etats-Unis, comme en France, le nombre de femmes de plus de 40 ans attendant un enfant continue d’augmenter.

En 2010, selon l’Insee, les Françaises dans cette situation étaient deux fois plus nombreuses qu’il y a vingt ans. “Il faut remonter aux années qui ont suivi la Deuxième guerre mondiale pour trouver des naissances tardives aussi importantes“, précise l’institut. En 2012, 30.000 Françaises de plus de 40 ans ont accouché, ce qui représente 4,8% des naissances totales. Malgré cette constante progression, c’est “une contribution qui reste modérée“, souligne l’Insee.

Cette évolution est similaire chez les Américaines. Selon le National Center for Health Statistics, le taux de naissance chez les Américaines âgées de 40 à 44 ans a atteint son plus haut niveau depuis 1967, et croît d’ailleurs sans discontinuer depuis 2000. Sur 1.000 femmes dans cette tranche d’âge, on comptait 10,3 naissances en 2011, soit un point de plus qu’en 2010. Il s’agit de l’une des seules tranches d’âge qui a vu sa natalité augmenter en 2010 (le taux d’accouchement des 15-19 ans a chuté, lui, de 34,2 pour 1.000 en 2010 à 31,3 en 2011).  Les Américaines de 35-39 ans font également plus d’enfants, avec une augmentation de trois points entre 2010 et 2011. Même tendance en France, où les femmes dans cette fourchette d’âge faisaient 6,6 enfants pour 100 femmes en 2012, contre 5,2 en 2002.

Dans les deux pays, l’âge moyen des femmes au premier accouchement est également en progression. Mais les jeunes mamans américaines sont plus rapides que les françaises. Elles ont environ 26 ans quand elles accouchent de leur premier enfant, selon le National Vital Statistics Report de 2011, contre 28 ans en France d’après l’Insee.

Photo: Sarah Jessica Parker et sa fille. Crédit : SIPA

Electric Zoo: les stars de l'électro sur Randall’s Island

Techno, trance, house, dubstep, électro, indie dance music: Electric Zoo Festival revient vous en mettre plein les oreilles du 30 août au 1er septembre.

Le festival de musique électronique qui anime Randall’s Island Park depuis maintenant cinq ans, se prépare à faire vibrer plus de 100.000 personnes. Pendant ces trois jours de joyeuse folie sonore, une centaine de DJ et maîtres de la music électro venus du monde entier feront tourner leurs platines sur cinq scènes différentes. Parmi eux, David Guetta, Martin Solveig, Benny Benassi ou encore Sebastian Ingrosso.

Electric Zoo Festival, nominé dans la catégorie “Best U.S. Festival” au International Dance Music Awards (IDMA), sera muni cette année d’une deuxième scène principale.

Crédit : Electric Zoo Festival/Facebook

Un 15 août, au "Lourdes de l'Amérique"

« C’est une eau comme une autre, mais si l’on a la foi, quelque chose peut se produire ». Liliane Bernadel, 79 ans, souffre d’un problème à l’œil droit. Avant son rendez-vous chez le médecin, elle espère que l’eau qui coule de la grotte du « Petit Lourdes », à Williamsbridge dans le Bronx, l’aidera à guérir.

Ils sont une cinquantaine à venir prier devant la grotte ce jeudi 15 août pour l’Assomption, jour où Marie, la mère du Christ, aurait été élevée au Ciel. Le « Petit Lourdes », ou « Lourdes de l’Amérique », a été inauguré le 30 mai 1939, sous la direction de Monseigneur Pasquale Lombardo, le fondateur de l’église Saint Lucy. Le lieu est largement inspiré de la ville française. C’est d’ailleurs après y avoir voyagé et avoir observé la dévotion des croyants, que Pasquale Lombardo a décidé de construire la grotte. Elle attire plus de 25.000 personnes chaque année.

A l’extérieur, plusieurs bancs sont installés pour prier. Dedans, la Vierge Marie est posée dans une niche. Elle est drapée de bleu et de blanc, comme à Lourdes, en France, et entourée de chapelets accrochés à un grillage. Une grande table a été installée pour déposer cierges et bougies, allumées par dizaines. Les croyants attendent patiemment le moment où ils pourront toucher l’eau. La plupart se mouille les bras, le visage, le crâne. Une vieille dame qui se déplace en déambulateur reste un long moment à rincer sa jambe en espérant la soigner. Nombreux sont ceux qui remplissent des bouteilles d’eau pour conserver le précieux liquide. Quelques-uns déposent des fleurs près de la source. D’autres en profitent pour prendre des photos en souvenir.

« Je crois au pouvoir curatif de l’eau, affirme Liliane Bernadel, une Haïtienne installée à Miami et de passage à New York. C’est la première fois que je viens voir la grotte mais je pense que la Vierge est partout. Si j’avais été à Lourdes en France pour mon œil, je pense que j’aurai les mêmes résultats »

Louis Gjelaj est arrivé à New York depuis l’Albanie en 2009. Il ne parle toujours pas français mais son fils âgé d’une dizaine d’années traduit l’histoire de son père : « Il vient à la grotte chaque semaine. La première fois que nous sommes venus, c’était en 2009 et un miracle s’est produit. Il a ressenti une sorte d’émotion. Depuis, il considère que sa vie est bien meilleure ». Kerry Salgado, une New Yorkaise qui souffre de dépression, y vient chaque jour. « J’y ai déjà eu une expérience miraculeuse. J’ai entendu des murmures ». Sans pouvoir expliquer ce qu’elle a clairement entendu, elle affirme se sentir mieux depuis.

A midi, l’église sonne les cloches pour l’Ave Maria. Dans la petite cour, tout le monde observe le silence dans une attitude pieuse. Puis Liliane l’Haitienne et sa famille entonnent le Salve Regina, attirant les regards de tous les visiteurs, amusés d’entendre chanter en français.

C’est la première fois que Garcia Porfidi, du New Jersey, se rend au “Lourdes du Bronx”. Il a beaucoup d’espoir : « J’ai eu une attaque, un accident vasculaire cérébral et j’espère que cette eau pourra m’aider ».